Blachier et Lacombe vont manger leur chapeau : malgré le vaccin, les traitements plus que jamais nécessaires !

Certains vont en effet manger leur chapeau en lisant l’article de Challenges ci-dessous… qui convient que, contrairement à ce que nos docteurs Mengele affirment depuis le début de l’épidémie, les traitements sont indispensables… Ils laissent même entendre que les vaccins pourraient ne pas être efficaces, ou de moins en moins  face au variants.

Alors ils saluent le Cloctofol auquel nous avons déjà consacré un article. Cloctofol sur lequel travaille l’Institut Pasteur de Lille.

https://resistancerepublicaine.com/2021/06/16/traitement-covid-feu-vert-pour-tester-les-suppos-de-cloctofol-grace-aux-millions-de-bernard-arnault/

Naturellement nulle évocation de l’hydroxychloroquine et de l’Ivermectine, toujours aussi peu chers et, surtout, s’ils reconnaissaient maintenant que Raoult a raison, ils pourraient bien se retrouver au tribunal pour mise en danger d’autrui et assassinat…

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Covid-19: pourquoi les traitements demeurent nécessaires à l’heure du vaccin

L’Institut Pasteur de Lille a obtenu le 10 juin 2021 l’accord de l’Agence national de la santé et du médicament pour lancer un essai clinique sur un traitement potentiel contre le SARS-CoV-2. Même si la campagne vaccinale avance, un médicament capable de guérir le Covid-19 serait une arme complémentaire et déterminante dans la lutte contre le coronavirus.

« On ne sait pas de quoi sera fait le futur: il est essentiel de trouver rapidement un traitement efficace contre le SARS-CoV-2. » Le Professeur Xavier Nassif est médecin et directeur général de l’Institut pasteur de Lille (IPL). En mars 2021, ses équipes composées de chercheurs du CNRS, de l’Inserm, de l’université et du CHU de Lille se sont associées à la start-up Apteeus pour travailler au repositionnement d’un médicament contre le Covid-19. « Le repositionnement moléculaire consiste à utiliser un médicament que l’on connaît déjà, et que l’on donne chez l’Homme pour traiter une maladie afin d’en soigner une autre. Donc ici le Covid-19 », explique le scientifique.

2.000 molécules passées au crible

Pour trouver cette perle rare, les chercheurs ont testé plus de 2.000 molécules. Et l’une d’entre elles, le clofoctol, s’est révélée particulièrement efficace contre le SARS-CoV-2. Cette substance utilisée jusqu’au début des années 2000 dans le traitement des rhino-pharyngites possède déjà les autorisations de mise sur le marché bien qu’elle en ait été retirée en 2005. Non pas en raison d’éventuels effets secondaires, mais plutôt parce que son action paraissait très limitée. « Les rhino-pharyngites étant des maladies bénignes, le clofoctol n’avait pas d’intérêt médical fort: il a donc été retiré du marché », suppose le professeur Nassif.

Mais la donne est en train de changer. Après avoir fait ses preuves contre le SARS-CoV-2 sur des modèles animaux, le clofoctol va désormais être testé chez l’être humain. « L’essai clinique a débuté dans les Hauts-de-France le 14 juin [il est financé majoritairement par des dons à hauteur de 6 millions d’euros, dont 5 versés par la fondation LVMH, actionnaire du groupe Challenges, NDLR]. Il implique plusieurs centaines de patients, tous de plus de 50 ans, non vaccinés et ayant contracté le Covid récemment, reprend le directeur général de l’IPL. C’est un essai en double aveugle avec un groupe placebo: un groupe recevra le médicament pendant 5 jours et un autre le placebo, mais sans le savoir. On regardera ensuite le nombre d’aggravations dans les deux groupes pour savoir si le clofoctol permet bien de guérir le Covid. Le vaccin a quelque peu compliqué notre recherche de volontaires, et on s’en réjouit, mais il reste toujours des personnes de plus de 50 ans qui ne se sont pas encore vaccinées ou chez qui la vaccination fonctionne mal. »

C’est le cas des sujets dits immunodéprimés. Atteints de cancers ou encore transplantés, ils sont mal, voire pas protégés par la vaccination car leurs organismes ne développent que très peu de défenses immunitaires. Par ailleurs, ces patients sont plus à risque de développer une forme grave de la maladie. Pouvoir les guérir lorsqu’ils contractent le virus est donc essentiel. Et cela avant une possible hospitalisation pour éviter une saturation des services hospitaliers.

« Compléter à plus court terme l’arsenal technologique de lutte contre le virus »

La course au traitement n’est pas en compétition avec celle des vaccins: elle lui est plutôt complémentaire. Car vacciner la population mondiale prendra du temps et nécessite une solidarité entre les pays qu’incarne le dispositif Covax. L’objectif de ce programme animé par l’OMS: assurer une accessibilité universelle aux vaccins et vacciner 20% de la population de chaque pays membre d’ici fin 2021. Ambitieux mais insuffisant pour atteindre l’immunité collective, et délicat à mettre en place. Car la production de vaccins nécessite des matières premières parfois compliquées à obtenir, mais aussi une technologie et un savoir-faire très particulier.

LIRE AUSSICourse au vaccin: les dessous du retard de Sanofi

« Les différentes phases cliniques se font sur des cohortes de plusieurs milliers de sujets dont le suivi demande beaucoup de ressources humaines. Tout cela coûte cher. Or, si le virus mute au point d’échapper aux vaccins, il faudra recommencer une partie du processus, ce qui peut aussi prendre du temps. La recherche d’un traitement vise à apporter une réponse qui peut compléter à plus court terme l’arsenal technologique de lutte contre le virus », insiste Bruno Versaevel, chercheur en économie industrielle et spécialisé dans les enjeux de la recherche et développement en industrie pharmaceutique.

Ainsi, depuis plus d’un an les équipes du monde entier sont mobilisées sur cette question. « L’écosystème pharmaceutique a commencé par tester le repositionnement de molécules approuvées, car lorsque l’on connaît déjà une molécule on peut la produire plus rapidement en grand nombre. Il est même possible, dans le cas de certaines molécules simples, de mettre en place dans un temps assez court un système de production avec des producteurs de génériques, y compris dans des pays à faible revenu », note Bruno Versaevel, également professeur d’économie industriel à l’emlyon business school.

Autre avantage du repositionnement, il s’appuie sur des molécules ayant déjà obtenu auprès des autorités de santé les autorisations nécessaires à leur mise sur le marché. Un gain de temps essentiel dans la course contre la montre aujourd’hui engagée contre le virus et ses variants. Mais trouver la perle rare reste exceptionnel. Plusieurs des projets lancés de par le monde pour dénicher une molécule à repositionner n’ont pas abouti. Ainsi les essais cliniques Discovery (France) et Recovery (Royaume-Uni) ont permis d’identifier quelques molécules mais à l’efficacité modérée. « L’Institut Pasteur de Lille a donc choisi de travailler en parallèle sur un antiviral qui ne sera pas un repositionnement mais élaboré spécifiquement contre le SARS-CoV-2 » ajoute le Pr Xavier Nassif. Le coup de maître serait de trouver de nouvelles molécules capables de cibler des constituants essentiels et communs des coronavirus: un tel médicament serait l’arme fatale face à toutes futures pandémies causées par cette famille de virus.

Par Joséphine Codron

https://www.challenges.fr/entreprise/sante-et-pharmacie/covid-19-pourquoi-les-traitements-demeurent-necessaires-a-l-heure-du-vaccin_770744

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18 Comments

  1. Oui bien sur ,le père-Noel va arriver de chez Pasteur !Alors après que leurs vaccins se révèlent dangereux et ne servent a rien !Alors que des traitement éxistent déja et qui ont fait leurs preuves l’on ne les utilise pas car ils sont vieux et ne rapportent rien !C’est bizarre car d’après quatre virologues C’est pasteur qui a déposé le brevet du Covid en 2014 avec son numèro !ils nous prennent vraiement pour des blaireaux! Il faut rapidement que tous ceux qui ont organisé cette pandémie et tous ceux qui ont trempé dedans soient rapidement mis hors état de nuire!car c’est l’arnaque du siècle ne l’oublions pas seules les personnes de plus de 85 ans en décèdent et celles qui ont déja des pathologies graves avec 0.05% de décés moins qu’en 2017 morts de la grippe et d’autres pathologies ,l’on n’a confiné personne !Madoff,les subprimes ,la spéculation ,l’évasion fiscale cela ne ramenait pas assez alors on a utilisé la santé pour se faire du blé les fonds de pension amerlocks c’est les rois!Tous nos élus ont trempé dedans veran 200000 les autres combien ainsi que nos élus européens achetés par big-Pharma !la corruption règne a tous les niveaux ,elle est belle notre civilisation!

  2. Mieux vaut un traitement que la piqûre de la MORT de macron et son toutou véran ……

    • tout a fait raison Langlois , que l’on nous laisse nous soigner avec les remédes du Dr Raoult , et continuons a augmenter nos défenses immunitaires avec des produits naturels zinc vit.c et D ainsi que du Glutation (des anti-oxydants tres éfficaces )

  3. Pas la peine de tergiverser,lisez le communiqué du Dr.Vernon Goldman qui nous explique parfaitement ce qui va se passer dans peu de temps.
    Les victimes du vaxinator tueur vont tomber comme des mouches par millions.
    N’est ce pas le but recherché par les salopards qui contrôlent le monde des finances ?
    Attendons un peu, vous apprendrez ce qu’est un génocide.

  4. Une chose est certaine, il faut de l’expérience et être un spécialiste de la question pour commencer à ressortir des pistes sûr « comment combattre ce virus » mais surtout être capable d’anticiper des interactions avec l’ARN.

  5. Le vaccin ne sert à rien sauf pour gonfler les poches des labos, j’ai regardé sur le site du gouvernement pour les français qui rentrent de l’Angleterre ou les anglais notre gouvernement demande pour les vaccinés et les no vaccinés un test PCR ça vait dire que ils savent que la vaccination n’a aucune incidence pour ce virus comme l’avait dit le Professeur Raoult la seule solution est traiter les gens malades et laisser tranquilles les non malades

  6. Oui, mais, cependant on en a marre ! Mieux vaudrait encore qu’ils aient raison ! Maintenant, els « variants » vont durer 10 ans; pas besoin qu’il soit trop dangereux, mais il va falloir entretenir le peur des limaces pour les faire taire.

  7. Il existe aussi un spray inventé par une scientifique en Israël, dont on ne parle pas,qui désinfecte les voix respiratoires

  8. Ils sont à la recherche d’un traitement car ils ne veulent pas utiliser ceux qui existent, car ils savent qu’ils marchent et devront rendre des comptes si ils les utilisent donc ils vont tout nié en bloque attendant que Pfizer trouve un poison

  9. Il faut bien que les francais se mettent une chose dans la tete cette danse mortifere autour des moyens de suppression du covid n’est que la face cachee du genocide voulu par l’elite mondialiste.
    Les raisons pour lesquelles les gens de race blanche sont plus cibles c’est simplement qu’en regle general ils reflechissent plus que les autres (mais ca c’etait avant).

  10. Quand ils vaccinent  » ceux qui ne sont rien » ça ne se voit guère…Mais quand ils « vaccinent » des gens aux manettes c’est le cas de le dire, ça se REMARQUE!
    Ils ont du mal à le cacher.

    • Attention Gaviva Réseau international n’est absolument pas fiable, nous évitons d’utiliser leurs liens et infos sur RR.

      • Bonjour Christine, Réseau international est une revue de presse à l’instar d’Aube Digitale, Fawkes News ou d’autre sites alternatifs.
        Je reconnais cependant que RI n’est pas non plus totalement neutre politiquement, je ne mettrais plus de liens venant de ce site.
        Bonne journée

  11. j’adore quand on croit découvrir l’eau chaude……….ça prouve au moins que les chercheurs cherchent……et voir la tronche de ceux qui n’y croyaient pas, quelle extase…….

    • EXACT, avec des P…es, des macs, des vicieux, des pervers, des michetons. Il ne manque rien!

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