Astronomie et Sciences : sujets surprises !

Cher ami curieux de tout, je te propose cette semaine quelque chose de différent. En effet, cette rubrique est en quasi-totalité consacrée à l’Astronomie, mais elle est aussi consacrée aux Sciences, même si c’est à petite dose.

La dernière fois que ton serviteur avait traité un sujet hors Astronomie c’était le 14/04/2021 en expliquant tout sur le pigeon voyageur, qui est tout ce que l’on voudra, mais certainement pas con ! Sans te prendre pour un pigeon, si tu veux le lire ou le relire, clique ici.

Cette semaine nous allons aborder quelques sujets très divers sans rapport les uns avec les autres. Il y a de l’Astronomie bien sûr mais d’autres choses passionnantes à connaître.

Allez, on n’y va, au hasard Balthazar !

Faut-il laisser son smartphone charger toute la nuit ?
Tu as certainement entendu dire souvent que laisser son portable branché sur secteur, quand il a atteint 100 % de charge, abîme la batterie. Alors, qu’en est-il vraiment ?
Les portables sont équipés d’une batterie lithium-ion, qui se recharger rapidement, mais s’abîme lorsqu’elle subit une tension trop élevée.
Pour éviter ce phénomène, la plupart des fabricants ont doté les téléphones de systèmes qui stoppent automatiquement le courant lorsque la charge est pleine. Mais lorsqu’on n’utilise pas le téléphone, il subit une faible décharge et cela va de nouveau réenclencher la charge jusqu’à atteindre 100 %, et ce plusieurs fois dans la nuit. Ces « mini charges » usent la batterie prématurément.
Le chargeur seul consomme aussi de l’électricité même lorsque la batterie est chargée à 100 %. C’est de l’énergie gaspillée.
Le mieux donc et de le recharger dans la journée et de le débrancher quant à batterie est pleine. D’autres conseils sont donnés, (comme avoir une charge comprise entre 30 et 80% entre autres) mais ils me paraissent irréalisables, je n’en parle donc pas.

 

 

 

L’IMC est-il un indicateur fiable ?

D’après certaines études, il semblerait que l’IMC se trompe une fois sur deux. Il permet de repérer les personnes en surpoids ou obèse, mais pas d’analyser leur graisse viscérale, celle qui se loge autour des organes. Et c’est bien celle-ci qui pose souvent problème. Il existe beaucoup de personnes minces du point de vue de l’IMC mais qui accumulent par leur mode de vie, par exemple, de la graisse viscérale. Cela pose question quant à la pertinence de cet indicateur.

Un meilleur indicateur : l’IMG

L’Indice de masse grasse ou IMG est un indicateur bien plus utile que l’IMC. Il évalue bien mieux la masse grasse et de la masse maigre. Il se calcule après avoir passé des examens médicaux spécifiques (c’est plus contraignant que l’IMC !). Mais selon une étude, cet indicateur prédit très bien le risque de syndrome métabolique, il est indépendant de l’IMC ou du pourcentage de masse grasse corporelle. Il représenterait donc un indicateur de choix pour diagnostiquer des personnes à risques.

Quelle est la taille de l’univers ?
Notre univers ne se limite pas à la Voie lactée (notre galaxie) ! Mais alors, quelle est sa taille ? Est-il fini ou infini ?
La théorie de la relativité générale d’Einstein nous a appris que l’espace-temps pouvait se déformer comme une membrane élastique. La théorie du Big Bang, bien confirmée par l’expérience et découlant de la théorie d’Einstein, nous indique que l’espace est en expansion. Cette théorie est compatible avec l’idée que notre univers est une sorte de bulle de taille finie qui gonfle, mais aussi avec l’idée que cet univers était déjà de taille infinie au moment où a commencé son expansion.
Cette dernière idée semble paradoxale mais elle est mathématiquement cohérente. On peut aussi penser que seule une petite portion de cet univers infini est entrée en expansion à un moment donné de son histoire.
En toute rigueur, tout ce que l’on peut dire c’est qu’au moins une portion spatiale d’un espace-temps s’est mis en expansion avec une vitesse dépassant celle de la lumière il y a 13,7 milliards d’années, avant de le faire à un rythme moins rapide bien avant sa première seconde d’existence (avant le Big Bang). De sorte que les régions dont nous parvient aujourd’hui le fameux rayonnement fossile, les plus lointaines observables, sont à une distance d’environ 45,6 milliards d’années-lumière actuellement. Pour mémoire je te rappelle qu’une année-lumière (a.l.) est égale à 10 mille milliards de kilomètres.
Il faut bien comprendre que cette affirmation n’est pas paradoxale car si ni la lumière ni la matière ne peuvent dépasser la vitesse d’environ 300.000 km/s dans l’espace, rien n’empêche l’espace entre deux objets de se dilater à une vitesse bien supérieure.
Au final, la seule chose que nous sachions est que la taille de l’univers observable est d’au moins quelques dizaines de milliards d’années-lumière mais nous ne savons pas si l’univers total lui-même est fini, comme le pensait Stephen Hawking ou infini comme le pensent d’autres chercheurs. A tes souhaits !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pourquoi ne sent-on pas que la Terre tourne ?

On ne le sent pas mais pourtant la Terre tourne sur elle-même. Et oui… Ainsi, un point situé à l’équateur parcourt quelque 1.670 km par heure !

Tu ne sens pas la Terre tourner mais cela n’empêche pas les objets situés à sa surface de trahir son mouvement. En effet, la rotation de la Terre est responsable d’une force de Coriolis qui dévie les mouvements inertiels vers la droite dans l’hémisphère nord et vers la gauche dans l’hémisphère sud. C’est ainsi que, grâce à un pendule suspendu à la voûte du Panthéon, Léon Foucault a fait la démonstration de la rotation de la Terre en 1851 (ton serviteur consacrera bientôt dans cette rubrique un article sur cette expérience du pendule de Foucault).

La vitesse de rotation de la Terre est certes relativement élevée, mais l’important reste toutefois que cette vitesse soit constante. Le mouvement de rotation de la Terre est uniforme, ce qui ne donne lieu à aucune sensation particulière. Installe-toi dans un train. Lorsque celui-ci circule à sa vitesse de croisière, on ne sent rien, même s’il s’agit du TGV. Seuls les accélérations et les freinages peuvent être physiquement ressentis. En effet, dans ces moments-là, des forces vont t’attirer vers ton siège ou au contraire te repousseront.

Pour suivre le mouvement circulaire de la Terre, il faut bien qu’une force s’applique sur le corps. À défaut, le principe d’inertie nous ferait nous déplacer en ligne droite. La force en question est celle de la pesanteur, laquelle se décompose en deux termes :

  1. la force de gravitation (responsable d’une accélération de 9,8 m/s2) qui résulte de la masse de la Terre et qui nous attire vers son centre ;
  2. la force centrifuge (responsable d’une accélération d’environ 0,02 m/s2) qui résulte de la rotation de la Terre et qui a tendance à nous en éjecter.

Pour ressentir la rotation de la Terre, il faudrait que l’effet centrifuge soit plus fort que la gravité.

Quelle est l’origine de l’eau, des océans, des mers, et de l’hydrosphère terrestre en général ?

D’où vient l’eau des océans ? De multiples hypothèses ont été émises, chaque fois remises en cause par des nouvelles découvertes. Mais deux théories sont au coude à coude et sortent du lot. Alors, nos océans sont-ils le résultat d’un déluge primitif issu des entrailles de la Terre ? Ou bien est-elle d’origine extraterrestre ?

Il existe actuellement deux classes de théories sur l’origine de l’eau des océans et elles sont étroitement liée à la cosmogonie (science des lois qui régissent l’Univers) du Système solaire.

La première, la plus ancienne, avance que l’eau proviendrait du dégazage du manteau de la Terre pendant l’Hadéen (période située avant la plus ancienne roche connue, la « petite enfance » de la Terre pourrait-on dire), il y a plus de 4 milliards d’années. Les gaz volcaniques, riches en vapeur d’eau, se seraient alors refroidis et auraient formé les premiers nuages. La condensation de l’eau aurait ensuite arrosé la Terre sous la forme d’un déluge primitif qui aurait peu à peu formé et rempli les océans.

L’autre théorie, de plus en plus étayée par les découvertes des scientifiques, repose sur une origine extraterrestre de l’eau. En effet, la Terre a subi lors de sa formation un intense bombardement météoritique. Comètes de glace et astéroïdes similaires aux météorites de type chondrites riches en eau (des poussières et des micrométéorites peuvent aussi avoir joué un rôle important au début de l’histoire du Système solaire) auraient apporté pendant des millions d’années la précieuse substance bleue dont la Terre aurait été peu pourvue. L’influence du gaz présent dans le disque protoplanétaire a aussi été proposée récemment.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Comment expliquer la sensation de déjà-vu, de revoir le passé ?

Tu as l’impression d’avoir déjà vécu une situation pourtant nouvelle ? Si la plupart des gens ont fait l’expérience de cette sensation de « déjà-vu », son explication scientifique n’est pas encore très claire.
La sensation de déjà-vu s’observe plus souvent chez des personnes jeunes, dans des situations de fatigue ou de stress. De nombreuses théories existent pour l’expliquer, certaines relevant du paranormal : souvenir d’une vie passée, prémonition… Des scientifiques ont aussi essayé de percer ce mystère pour trouver des explications plus rationnelles.
La sensation de déjà-vu chez les personnes épileptiques
Le déjà-vu a notamment été étudié chez des personnes épileptiques car c’est un symptôme qui est fréquent lors des crises. En effet, pendant une crise d’épilepsie, l’activité électrique de certains neurones est altérée. Ce dysfonctionnement se répand dans le cerveau et l’activation électrique touche les lobes temporaux médians. Cette perturbation électrique génère une sensation de déjà-vu au début de la crise.
La région responsable de cette sensation chez les épileptiques est la région rhinale, située sous l’hippocampe, dans le cerveau. Des chercheurs français, en 2012, ont réussi à stimuler la sensation de déjà-vu chez des patients épileptiques en stimulant le cortex rhinal.
Qu’en est-il des personnes qui ne sont pas épileptiques ?
Soit des décharges électriques comparables ont lieu dans le lobe temporal en absence d’épilepsie, soit le déjà-vu relève d’autres processus.
Le rôle des aires frontales du cerveau
En 2016, des chercheurs anglais ont décrit des scanners de personnes qui expérimentaient une sensation de déjà-vu. Pour créer cette sensation, les chercheurs leur ont présenté une liste de mots qui avaient un lien entre eux (oreiller, lit, nuit, rêve…) sans le mot-clé reliant tous ces mots (sommeil). Les chercheurs ont demandé aux participants s’ils avaient entendu des mots commençants par « s » et ceux-ci ont répondu par la négative. Quand plus tard on leur a demandé s’ils avaient entendu le mot « sommeil », ils se souvenaient qu’ils ne l’avaient pas entendu mais, en même temps, le mot leur était familier : ils avaient une sensation de déjà-vu.
Ce sont les aires frontales du cerveau, qui jouent un rôle dans la prise de décision, qui sont activées. Une hypothèse est que les régions frontales du cortex vérifient les mémoires et envoient des signaux en cas d’erreur quand il y a un conflit entre l’expérience vécue et ce que nous croyons avoir déjà vécu. Le sentiment de déjà-vu serait un signe que le système de vérification de la mémoire fonctionne bien.

 

Pourquoi la France est-elle représentée par un coq ?

Avec le drapeau bleu blanc rouge, la Marseillaise ou la Marianne, le coq est l’un des emblèmes de la France. Pour nous, gaulois patriotes, tous les symboles de la France sont d’une extrême importance. Ils représentent tout notre pays, sa culture, ses traditions, toute sa construction dans l’Histoire, sa chrétienté, et beaucoup d’autres choses que la gauche destructrice permanente veut anéantir pour les remplacer par l’islam. La résistance des gaulois patriotes que nous sommes, avec nos frères de combat, est remarquable et fait honneur à la France qui est humiliée et bafouée par une gauche dégoulinante de merde. Notre résistance devrait être un exemple pour ce peuple français qui a décidé la soumission, l’envahissement islamique, et qui remet au pouvoir depuis 50 ans, en leurs donnant tous les pouvoirs, des traîtres dont le seul objectif est la disparition de notre pays extraordinaire. Honte à 90 % de ce peuple français qui a sombré dans la folie.

De quand date le symbole du coq et pourquoi cet animal a-t-il été choisi ?

Aujourd’hui, bien ancré dans la culture nationale, le coq n’a pourtant pas toujours été le symbole de la France. « À l’origine, les Gaulois étaient symbolisés par l’alouette, symbole de joie et d’ardeur », rappelle Stéphane Bern dans son livre « Les Pourquoi de l’Histoire ». On lui préfère aussi le sanglier, qui représente la puissance, courage et ténacité (les temps ont bien changé depuis…).

C’est sur une moquerie des Anglais, farouches ennemis de la France, que le coq va être assimilé aux Gaulois. Au début du Moyen Âge, le roi Philippe Auguste ironise sur le double sens de « gallus », qui signifie à la fois coq et gaulois. Dans son esprit, le gallinacé est un animal braillard, vantard et orgueilleux. Par bravade, les Français décident de s’emparer du symbole, considérant à l’inverse le coq comme une marque de bravoure et de fierté et arguant qu’il est même cité à plusieurs reprises dans la Bible.

Déjà à cette époque, les Français faisaient tout à l’envers et les choses n’ont toujours pas changé…

Napoléon essayera ensuite, en vain, de remplacer le coq par le symbole de l’aigle impérial, bien plus valorisant à ses yeux.

Bien que considéré comme emblème de la République, le coq n’est pas un symbole officiel. Il est aujourd’hui surtout utilisé dans les compétitions sportives (il est présent notamment sur les logos des fédérations de football et de rugby) et il figure sur certains monuments aux morts, timbres et pièces de monnaie. Un coq orne par ailleurs la grille du palais de l’Élysée, palais de l’Élysée que je qualifierais personnellement comme inoccupé, car destiné à un président de la république dont la mission est la défense et le développement de la France.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pourquoi les fantômes n’existent pas ? Les explications scientifiques.

Selon un sondage, 54 % des Français croient aux fantômes et aux esprits. Tu fais parti de ces 54 % ? Désolé… Brian Cox, physicien britannique, est pourtant formel : les fantômes n’existent pas. Et il en apporte la preuve…

Le grand collisionneur de hadrons (LHC) est le plus grand et le plus puissant accélérateur de particules au monde. Depuis sa mise en service en 2008, il fournit une avalanche de données qui permettent aux physiciens des particules d’affiner leurs théories et leurs modèles. C’est, par exemple, grâce à lui qu’a pu être identifié le fameux boson de Higgs.

Le rapport avec les fantômes ? C’est le physicien théorique britannique Brian Cox qui l’explique : « Si nous voulons faire une place aux fantômes dans nos vies, nous devons inventer une extension du modèle standard de la physique des particules qui a jusqu’alors totalement échappé aux expériences menées à l’aide du grand collisionneur de hadrons. C’est presque inconcevable aux échelles d’énergie typiques des interactions de particules dans notre corps », assure le pensionnaire de la Royal Society.

Certains pourraient être tentés d’opposer à Brian Cox que le modèle standard qu’il brandit ainsi est une théorie bien incomplète. Le physicien assure que la question de l’existence des fantômes n’est pas de celles qui posent problème au modèle.

Bon, moi je te répète l’expérience ci-dessus, mais je ne suis pas dans le secret des Dieux concernant les fantômes.

Bon, on s’est bien amusé ! La semaine prochaine on continuera de s’amuser avec les merveilles de l’Astronomie.

Bonne semaine et à la semaine prochaine,

Bye-bye !

Professeur Têtenlair

 

 1,013 total views,  1 views today

image_pdf

18 Commentaires

  1. Pour les fantômes, c’est pas facile à expliquer comme ça.
    Depuis je me suis souvenu d’un troisième fantôme que j’ai « vu » chez des amis où j’avais passé deux semaines .
    Cette fois c’était en plein jour, ça ressemble à un nuage de particules très ténu.
    Les enfants les voient mieux que nous. La petite cousine de trois ans l’a vu en même temps que moi, elle s’est figée dans une attitude d’émerveillement que je ne lui avait jamais vue, les yeux levés , écarquillés, elle avait l’air tellement heureux ,ça devait être un sacré fantôme.
    Et sa venue s’était manifestée par des coups répétés la nuit, chose qui ne s’était jamais produite, et qui ne s’est pas reproduite par la suite.
    Ce domaine est passionnant, comme celui de la réincarnation, de la sortie hors du corps, de l’apparition de la vierge, ou ce que tu as vécu, l’expérience de mort imminente, voir Richard Moody, le premier à avoir exploré ce domaine.

    • Que de témoignages en faveur de l’existence des fantômes tu apportes ! J’ai lu avec le plus grand intérêt tes témoignages multiples. Il en existe également beaucoup d’autres.
      Cela dit, en restant très honnête avec toi, j’ai quand même du mal à y croire. Mais le fait que des gens comme toi apportent des témoignages précis, doit nous obliger à y réfléchir et à laisser nos préjugés de côté.

      • je me suis trompé, ce n’est pas Richard mais Raymond MOODY, médecin américain qui devrait t’intéresser ;
        deux livres principalement
        « la vie après la vie, »
        et « l’expérience de mort imminente », ce que tu as vécu

  2. Bonjour Cachou,

    Merci pour toutes ces infos, mais il y en a un peu trop pour répondre à toutes.
    Pour l’univers, il est difficile de penser qu’il puisse être fermé, car on serait obligé de se demander qu’est-ce qu’il y a derrière la supposée frontière .

    Pour le chargeur du portable, je le laisse toujours branché, je n’ai pas l’impression qu’il consomme, il reste froid, peux-tu me donner plus de preuve de sa consommation ?

    Pour le phénomène de déjà-vu, je confirme que perso, ça m’arrivait ado, pas souvent, et que c’était perturbant, sans explication.

    Pour les fantômes, je me fie à mon vécu, j’ai dormi dans une maison fréquentée par un fantôme,

    Plus tard, j’ai habité une autre maison qui était traversée la nuit par un groupe de fantômes qui fuyait en criant, je ne sais quoi.
    Personnellement je n’ai jamais eu peur, je n’ai eu affaire qu’à des fantômes inoffensifs.
    Ils sont peut-être tous inoffensifs, les gens en ont peur à tort.
    Il doit s’agir de traces énergétiques de personnes ayant vécu en ces lieux,
    ils ne peuvent pas interférer avec le monde des vivants

    • En effet, comme tu dis, il est difficile de considérer que l’univers soit fini, ce qui implique une frontière, et autre chose derrière.

      Cependant, Stephen Hawking qui n’est pas le premier venu, a publié un article peu de temps avant sa mort (son dernier article) stipulant que l’univers est en réalité constitué de plusieurs univers et c’est ce que l’on appelle le multivers. Ce multivers serait une fractale composée de diverses petites bulles-univers.
      Selon Hawking, après le Big Bang l’univers a connu une période d’inflation (= expansion) exponentielle avant de ralentir car son énergie s’est progressivement convertie en matière et rayonnement.
      Ainsi notre propre univers ne serait qu’une « bulle » parmi d’autres, et toute sont séparée par des morceaux d’espace-temps dans lesquelles l’inflation continue.
      Pour résumer, selon Stephen Hawking, l’univers est fini, mais possède en lui des « bulles » isolées les unes des autres (la nôtre n’en étant qu’une parmi les autres) dont l’espace entre les bulles (certains les appellent « objets ») aurait une inflation continue, ce qui constitue la théorie de « l’inflation éternelle ».

      Pour la consommation du chargeur d’un portable, ne pouvant pas tout détailler dans un article, j’ai dit qu’il continuait de consommer de l’électricité ce qui a été démontré par une étude du laboratoire Berkeley Lab.

      Le Berkeley Lab a comme vrai nom Laboratoire national Lawrence-Berkeley. C’est un laboratoire américain dépendant du Département de l’Energie situé à Berkeley en Californie et géré par l’Université de Californie.

      Selon donc ce laboratoire, un chargeur représente ainsi une puissance moyenne de 3,68 watts lors de la charge et 2,24 watts quand il reste branché sur secteur alors que la batterie est pleine.

      Pour les fantômes, j’ai été quand même très surpris de ton témoignage. Tu as habité deux maisons dont la première était fréquentée par un fantôme, et la deuxième par un groupe de fantômes qui traversaient la maison en criant. Et, toi, de conclure, que les fantômes sont tous inoffensifs et doivent représenter des traces énergétiques de personnes décédées dans les lieux.

      Que dira cela ? Je ne te fais pas l’injure de dire que ces fantômes ne sont-ils pas le fruit de rêves que tu faisais en dormant ? Mais tu es si affirmatif qu’il semblerait que tu ais vu ces fantômes sans dormir (?). C’est là ton témoignage.

      • Bonjour,
        pour ce qui est du rechargement en continu, la nuit, un fait réel arrivé à une personne amie, que nous dirons « M ».
        Avant de se coucher, M branche son portable, sur la prise Salle à Manger, puis va se coucher. 4 heures du matin, M réveillé en sursaut par un bruit anormal, venant de la SàM, l’y conduit. Une odeur, et une subtile fumée mais rien de significatif… apparemment. Un rapide tour d’horizon, fait constater que tout est en place… M aère la pièce est retourne se coucher.
        Au matin, en entrant dans la pièce, M se dirige droit vers le portable pour le débrancher : « tient, c’est drôle… le rabat du téléphone est ouvert, l’appareil autrement orienté » ? Une fois en main, M le regarde sur toutes les coutures et s’aperçoit d’un vide béant là où se doit trouver la batterie. M, cherche celle-ci près du lieu de charge, pense que c’est elle qui a modifié la position de celui-ci… mais ne trouve rien du tout. Agacé, M passe à d’autres occupations. L’une la fait passer entre la partie SàM et Salon, et voit, la batterie de son téléphone, sur le tapis, dans lequel elle s’est incrustée, faisant fondre les fibres. (La marque y est toujours visible).
        En fait la batterie, sans casser le téléphone, en est sortie, expulsée en force suffisante pour lui faire décrire un arc de plusieurs mètres, passant au-dessus de la table, pour retomber sur le tapis, heureusement en matière non inflammable !
        Cela est une expérience qui devrait dissuader, outre toute idée d’économies, de laisser ces engins « travailler » hors contrôle pendant la charge… D’autant que les « vapeurs » qui s’en sont dégager ont persister plus de 48 heures, dans un lieu très dégagé. Elles disent combien les composants peuvent être nocifs. Dans la chambre par exemple…
        Pour toutes les autres questions… il y a beaucoup encore à dire… trop pour aujourd’hui, tant les sujets sont intéressants ! Merci.

        • Bonjour zbabou,
          Un grand merci de ton témoignage intéressant. C’est vrai qu’il arrive parfois des choses tout à fait hors normes que l’on aurait du mal à croire mais qui, dans certains cas, sont réellement arrivées. Pour ton témoignage, je pense qu’il fait parti de ces dernières.
          Le phénomène des batteries peut effectivement amener à des accidents curieux et parfois graves. Mais cela est d’une rareté très importante. Il y a des dizaines de millions de téléphones portables qui circulent dans le monde, et les accidents gravissimes, même si nous ne les connaissons pas tous, doivent être très probablement un chiffre infime je suppose.
          Merci de tes encouragements pour l’ensemble de mon article.

      • Bonjour Cachou,
        tu abordes tellement de sujets passionnants qu’on ne peut pas développer.
        Pour le chargeur, j’ai compris qu’il continue à fonctionner quand la batterie est pleine, et ça je veux bien le croire,( et donc il continue à consommer de l’électricité) car à force de laisser charger en continu, on abîme la batterie qui ne charge plus à la longue. et le chargeur devient chaud
        Par contre, je laisse le chargeur branché en permanence, mais sans téléphone connecté. Je connecte le téléphone une à deux heures quand la charge devient faible.
        Dans ce cas, mon impression est que le chargeur ne fonctionnant pas, logiquement il ne consomme pas,

  3. Merci pour ce cours, a la fois pertinent et ludique! Pour l’IMG, je confirme! Un radiologue m’a dit un jour, après un examen, que le gras dans les rognons au Madère, c’était bon, mais pas sur mes reins! J’ai pris conscience ce jour-là que l’IMG était plus pertinent que l’IMC! Depuis j’ai rectifié le tir et surveillé mon alimentation et exit les plats en sauce et vive l’alimentation diversifiée! Tout est rentre dans l’ordre! Encore une fois bravo pour ce cours magistral! Je n’ai pas eu l’impression de déjà-vu!👍👍👍👍👍

    • « (…) le gras dans les rognons au Madère, c’était bon, mais pas sur mes reins ! » 🤣
      « Je n’ai pas eu l’impression de déjà-vu ! ». Moi non plus, mille fois hélas, pour les bons numéros du Loto !! 😂
      Plus sérieusement, j’ai déjà eu plusieurs fois dans ma vie une impression de « déjà vu », même si cela ne s’est présenté que quatre ou cinq fois, donc phénomène rarissime. Et à chaque fois, je me suis demandé comment cela pouvait exister de revivre une situation présente avec un souvenir d’un passé lointain qui te remet exactement dans la même situation et dans le même décor ??? Un véritable mystère.

      • Pour les fantômes, ou les manifestations paranormales, j’ai vécu une situation bizarre. Après le décès de mon arrière-grand-mère maternelle, Catherine, à l’âge respectable de 98 ans, que j’aimais profondément -nous étions très liés, elle et moi-, mon épouse et moi, nous nous sommes rendus dans la maison qu’elle habitait, et qui appartenait à mes parents, pour aérer un peu. C’était en été. Je me suis rendu dans la pièce où elle se reposait, et là, son fauteuil a émis un énorme craquement. Nous avons été saisis par la peur! Ce fauteuil n’a plus jamais émis le moindre craquement après ça. Elle est morte à l’hôpital, elle était dans le coma . Elle ne répondait plus à aucun stimulus. Quand je me suis penché pour l’embrasser, elle a murmuré mon prénom et m’a serré la main droite avec une force insoupçonnée chez une personne de cet âge. Le personnel de l’hôpital, les autres membres de ma famille en étaient tout remués! Elle s’est éteinte tranquillement quelque temps après mon passage. J’en suis encore tout ému aujourd’hui.

        • Bonjour Argo, cette expérience me fait penser à celles que raconte Didier van Cauwelaert. Passionnant à mon avis. cf Positions de l’auteur sur sa fiche wikipedia.

          • J’ai profité de ta réponse pour Argo pour aller voir cet écrivain que je ne connaissais absolument pas, Didier van Cauwelaert. J’ai appris, en ce qui concerne notre sujet des fantômes, qu’il était persuadé d’une communication avec les morts et de l’existence d’une vie après la mort.
            L’existence d’une vie après la mort n’est pas nouvelle, et un très grand nombre de gens y croit, moi le premier. Il existe des milliers de témoignages répartis sur toute la planète de personnes ayant connu un début de vie après la mort et être revenues sur terre par les méthodes de réanimation.
            J’ai réfléchi longtemps avant de te dire ce qui suit, mais je pense que ce témoignage peut être utile. Moi-même j’ai connu le début d’une existence après la mort lors d’un arrêt cardiaque et être revenu à la vie après l’intervention d’un cardiologue. J’ai eu « la chance » d’avoir fait mon arrêt cardiaque au sein même d’un hôpital qui avait un service de cardiologie. Selon le cardiologue mon cœur a cessé de battre pendant 2 mn 30 s.
            La communication avec les personnes décédées c’est déjà beaucoup plus rare, et personnellement je n’y crois pas du tout. Mais bon…
            Il affirme avoir été en communication avec Albert Einstein et Nikola Tesla, par l’intermédiaire de la médium Geneviève Delpech veuve de Michel Delpech, et en a même écrit un bouquin qu’il a intitulé « Au-delà de l’impossible » en 2016.
            Bon, c’est son témoignage. Il n’engage que lui.
            En tout cas, un grand merci mon ami Jules, de m’avoir fait connaître cet écrivain.

          • Bonjour ami Cachou. Entièrement d’accord. Il raconte très bien l’étrange mais c’est parfois fumeux. Je retiens tout de même la partie sur les guérisons miraculeuses. Dans son « Dictionnaire de l’impossible », je crois, il raconte qu’Emile Zola le matérialiste se rend à Lourdes pour démontrer l’imposture religieuse. Or la vie lui joue un drôle de tour car il assiste à une guérison inexplicable ! (Jeune fille atteinte de tuberculose, condamnée par les médecins).

            Sur le sujet de l’après mort, les « milliers de témoignages » de par le monde sont troublants. Alors tu dois connaître Jean-Jacques Charbonier, qui est vraiment très convaincant. Les conséquences morales qu’il en tire sont intéressantes. Apparemment, certaines personnes ne voient pas les choses de la même façon après.

          • Un grand merci de tes infos. Non, je ne connais pas Jean-Jacques Charbonier mais je vais m’y intéresser de près.

        • Ton témoignage m’a profondément ému, même si je n’ai connu aucune des personnes que tu cites. C’est un témoignage plein de tendresse, d’amour et d’affection.
          Quant au craquement du fauteuil…. ??
          Ce qui m’a surpris au premier abord dans ton témoignage ce sont les séparations qui te séparent toi et de la personne que tu aimais.
          Il y a ta génération, plus celle de ta maman, plus celle de ta grand-mère, et enfin celle de ton arrière-grand-mère maternelle. Cela fait quatre générations, et je ne pensais pas que l’on puisse avoir des relations de son vivant de façon si éloignée. C’est magnifique.
          Il faut dire que de mon côté, je n’ai jamais connu des deux côtés de mes parents ni grand-mère, ni grand-père, ni oncle, ni tante, ni cousin, ni cousine, je n’ai connu que des frères et sœurs.
          Et la nostalgie d’aller passer des vacances chez une grand-mère m’a toujours profondément manquée et, à 68 ans, me manque toujours profondément de ne pas avoir de tels souvenirs attendrissants.

Les commentaires sont fermés.