Setif, 8 mai 1945 : l’immonde plaque anti-France apposée par Mathieu Hanotin, maire de Saint-Denis

Quand toute la France commémorait la capitulation des nazis,  à Saint-Denis on crachait sur la France, sur la civilisation apportée aux tribus algériennes par la France, avec une plaque ignoble.  Le maire osant brandir le drapeau des terroristes du FLN dans la ville où gisent les rois de France.

Ce qui s’est vraiment passé à Sétif le 8 mai 1945 ?

Récit de Bernard Lugan.

Sétif (mai 1945), selon Bernard Lugan, extraits

Le 8 mai 1945, à Sétif, dans le Constantinois, des militants du PPA (Parti du peuple algérien), interdit depuis 1939 et maintenu dans la clandestinité, décidèrent de profiter des commémorations de la capitulation allemande pour tenter un coup  de force (Benmebarek, 2010).

Pour maintenir l’ordre, les autorités disposaient de 40 policiers dont environ un tiers d’indigènes, de 20 gendarmes et de 4 compagnies militaires d’instruction composées de recrues locales (Jauffret, 1987, Benmebarek (2010). Quand la police décida de faire retirer une bannière réclamant l’indépendance de l’Algérie, un coup de feu fut tiré et la manifestation dégénéra. Les civils français furent pourchassés et massacrés, non par une foule hystérique comme cela est trop souvent dit, mais par des commandos de tueurs très mobiles et très organisés qui commirent des meurtres à travers la ville. Le bilan fut de 21 Européens tués et de 36 blessés. Au même moment, et donc sans lien avec la manifestation de Sétif, d’autres massacres se déroulèrent dans la région, à Périgotville, Amouchas, Kerrata, Chevreul, Sillègue, Canrobert, Lafayette, Ampère, Davoust, ainsi que dans les maisons forestières isolées de Tamsout, Aïn Settah et Tamentout où 81 victimes européennes furent à déplorer. Parmi elles, les administrateurs Rousseau et Bancel enlevés et assassinés sur la route  Sétif-Bougie et l’abbé Navarro abattu dans le village d’El Ourica, à 12 kilomètres de Sétif. Au total, 102 Européens furent assassinés (Vétillard, 2008; Benmebarek 2010).

Des renforts arrivèrent de Constantine et de Philippeville. Si 10 000 hommes furent déployés dans tout le Constantinois, seulement 3700 -dont des tirailleurs algériens- le furent dans la subdivision de Sétif, la plus vaste, la plus difficile d’accès et la plus touchée de la Division territoriale de Constantine.

Aussitôt la nouvelle des tueries connue, le communiste Maurice Thorez, vice-président du Conseil de gouvernement présidé par le général De Gaulle, lança de véritables appels au meurtre et à la répression. Le 12 mai, le Parti communiste distribua un tract dans les villes d’Algérie dans lequel il demandait de «  passer par les armes les instigateurs de la révolte et les hommes de main qui ont dirigé l’émeute. Il ne s’agit pas de vengeance ni de représailles. Il s’agit de mesures de justice. Il s’agit de mesures de sécurité pour le pays ».

Heureusement, l’armée garda raison et la répression, réelle, n’eut  pas l’ampleur que lui donnèrent par la suite les nationalistes algériens. Ces derniers avancèrent un bilan de 40 000 victimes, chiffre lancé sans vérification par une source diplomatique américaine favorable aux indépendantistes (Vétillard, 2008). Le FLN alla ensuite jusqu’à parler de 70 000 morts… Certains historiens avancent quant à eux le chiffre de 6000 à 6500  morts tout en soulignant qu’il s’agit là d’une estimation  « haute » (SHD, 1990 ; Vétillard, 2008). Quant au préfet Benmebarek (2010), il estime que le nombre des morts serait d’environ 2500.

Comme il n’y eut pas de ratissages en raison des faibles moyens dont disposait l’armée, l’on voit mal comment 3700 hommes dispersés sur de vastes territoires auraient pu tuer des dizaines de milliers de personnes. Et où les corps auraient-ils été enterrés? Nul doute que si des charniers avaient existé, les actuelles autorités algérienne se seraient empressées de les montrer…

Ce qui s’est passé à Sétif est donc à la fois bien connu des historiens et très éloigné de cette histoire officielle algérienne si complaisamment relayée par la gauche française. Le préfet Benmebarek qui a vécu dans la région et qui a donné une excellente analyse des évènements (2010) explique que nous sommes en réalité en présence d’un soulèvement raté qui devait être suivi d’une insurrection dans toute l’Algérie, mais, comme la coordination fut mal assurée, seule la région de Sétif fut touchée. Ce fut en quelque sorte une répétition des évènements de la Toussaint 1954 que la IV° république fut incapable d’anticiper.


http://bernardlugan.blogspot.fr/2015/04/setif-mai-1945-encore-une-provocation.htmljeudi 9 avril 2015

http://resistancerepublicaine.com/2015/05/08/setif-8-mai-1945-un-soulevement-rate-qui-devait-aboutir-a-linsurrection-dans-toute-lalgerie/

Autre récit par Jules Ferry

Rappel, en 1945, de l’épisode de la provocation des drapeaux algériens.

Le président algérien Abdelmadjid Tebboune a décidé d’instaurer une « journée de la Mémoire » « en souvenir des massacres du 8 mai 1945 perpétrés par les forces de l’ordre françaises » dans le Constantinois, qualifiés de « crimes contre l’humanité ».

La répression qui se déroula le 8 mai 1945 dans les villes de Sétif, Guelma et Kherrata, constitua le prologue de la guerre d’Algérie (1954-1962).

Ce jour-là, lors des festivités célébrant la fin de la Seconde Guerre mondiale, des nationalistes sont autorisés à défiler dans les rues à condition de ne brandir que des drapeaux français. 

À Sétif, après quelques heurts, la police fait feu sur un manifestant agitant un drapeau algérien et le tue. La situation dégénère en émeute, provoquant la légitime intervention de l’armée française, qui naturellement entend réprimer la provocation des manifestants.

(Comme quoi, le drapeau algérien sur les Champs Elysées n’est pas une fatalité)

« Symboliquement, le massacre de Sétif marque le début de la structuration politique d’un mouvement national algérien qui vient de beaucoup plus loin », considère Kader Abderrahim, spécialiste du Maghreb et auteur de Géopolitique de l’Algérie (éditions Bibliomonde).

https://resistancerepublicaine.com/2020/05/09/8-mai-lalgerie-commemore-linsurrection-de-setif-et-attise-la-haine-des-algeriens-contre-la-france/

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A contrario, voilà le discours du dhimmi anti-France Hanotin.

 

Source Facebook.

Commémoration à la mémoire des milliers de victimes de la répression coloniale perpetrée en Algérie, à Sétif, Guelma et Kherrata – en présence de Stéphane Troussel et Stéphane Peu]
Il y a soixante-seize ans, le jour même de la capitulation de l’Allemagne nazie en Europe, alors que prenait fin le conflit le plus meurtrier de l’histoire de l’Humanité, une répression sanglante menée par l’armée française s’est abattue sur une partie de la population algérienne.
Le 8 mai 1945 à Sétif, à Guelma et à Kherrata, des Algériens ont été massacrés alors qu’ils manifestaient pacifiquement pour leur liberté et leurs droits de citoyens.
Cette folie meurtrière a fait des milliers de victimes innocentes, arrêtées, torturées et exécutées sommairement. Loin de se limiter à la journée du 8 mai, cette répression dura près de 2 mois.
Au total, plusieurs dizaines de milliers de victimes civiles, hommes, femmes, enfants, furent à déplorer.
Je tenais absolument, pour la première commémoration du 8 mai par la nouvelle municipalité, à poser un acte fort qui permette d’honorer la mémoire de ces victimes innocentes.
J’ai une pensée toute particulière pour la première d’entre elles, un jeune scout algérien, tué par balles pour le simple fait d’avoir brandi le drapeau de son pays pendant la manifestation à laquelle il participait.
Ce massacre est une tache indélébile dans l’histoire de la République française, une souillure faite à ses principes fondateurs.
Nous devons regarder ce moment avec courage, lucidité et objectivité, en examinant les faits avérés, comme ont déjà commencé à le faire des historiens.
Un peu à l’image du 17 octobre 1961, autre jour noir dans l’histoire de la 4ème République, l’impensé des évènements sanglants survenus le 8 mai 1945 dans le Constantinois est synonyme de blessures non encore cicatrisées.
Il s’agit donc aujourd’hui de se souvenir, de faire œuvre de mémoire. Cette mémoire, nous voulons en faire un outil au service de notre jeunesse, et non pas une arme politique en cherchant une quelconque instrumentalisation.
L’histoire de notre pays est faite de joies et de grands moments d’espoir. Mais elle comporte aussi des périodes terribles, et la force d’une grande démocratie comme la nôtre doit être de pouvoir regarder son histoire dans les yeux, sans détourner le regard quand celle-ci dérange.
A cet égard, la parole de l’historien Benjamin STORA, que nous allons écouter dans quelques instants puisqu’il nous a fait l’amitié de nous délivrer un message vidéo, est plus que précieuse.
En votre nom à toutes et tous, je tiens à chaleureusement le remercier. Universitaire brillant, historien spécialiste de l’Algérie et de la décolonisation, Benjamin STORA a un lien particulier avec Saint-Denis et il ne pouvait être question de faire aujourd’hui oeuvre de mémoire sur les massacres de Sétif, Guelma et Kherrata, sans s’appuyer sur la qualité unanimement reconnue de ses travaux de recherche.
Son rapport sur la mémoire de la colonisation et de la guerre d’Algérie, qu’il a récemment remis au Président de la République en début d’année, marque une étape importante dans le processus de mémoire collective que doivent mutuellement engager la France et l’Algérie.
Je veux d’ailleurs saluer la démarche prolongée par le président Macron sur les sujets ayant trait à l’histoire coloniale de notre pays, après la reconnaissance par le président Hollande de la responsabilité indiscutable de l’Etat dans la tragédie du 17 octobre 1961.
De la commande d’un rapport sur la guerre d’Algérie à Benjamin Stora à la volonté de mettre en lumière l’action héroïque des soldats des troupes coloniales et d’Outre-mer pendant les deux guerres mondiales, ces positions marquent un tournant important dans la doctrine officielle de l’Etat.
Ce sont des messages forts adressés à toute une partie de nos concitoyennes et de nos concitoyens dont les familles ont subi la colonisation. Par ces actions, la République cesse d’occulter les injustices faites à leurs ancêtres, et par là-même elle leur délivre un message de réconciliation, d’intégration à notre mémoire collective, de reconnaissance de leurs souffrances.
Pour que les relations entre la France et l’Algérie soient pleinement apaisées, il faut que la mémoire soit partagée et que l’histoire soit écrite de manière plurielle, en dépassant les tabous.
Aujourd’hui même, de l’autre côté de la Méditerranée, l’Etat algérien organise pour la première fois une « journée nationale de la Mémoire ». Sur les deux rives aujourd’hui, nous sommes réunis en pensée dans un seul et même but : honorer la mémoire des morts, assumer ensemble ce moment d’histoire commune.
Nous avons l’ardente obligation de porter plus haut un message d’entente, de concorde et d’amitié.
A Saint-Denis, une plaque commémorative rappellera désormais, sur cette place du 8 mai 1945, que cette date fut un jour funeste pour le Constantinois, en particulier, mais pour l’Algérie et la France en général.
Je conclurai mon propos par ces mots d’Albert Camus qui avait l’Algérie chevillée au corps et qui militait inlassablement pour une paix qu’il ne verra pas de son vivant.
« Dans la lumière, le monde reste notre premier et notre dernier amour. Nos frères respirent sous le même ciel que nous, la justice est vivante. Alors naît la joie étrange qui aide à vivre et à mourir et que nous refuserons désormais de renvoyer à plus tard »
Je vous remercie.
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On ne commentera pas le tissu de mensonges, de dhimmitude, de capitulation du discours de hanotin. 
Juste ce petit mot de Conan :
Ils ont osé faire ça dans la ville où reposent les Rois qui ont fait la FRANCE ! Il n’est nullement  incorrect ni haineux d’affirmer que certains Français sont devenus ignobles.   Mais cela permettra de parfaire l’opinion des Français car cette cérémonie est bien conforme à l’idéologie du maire, Mathieu Hanotin, fils à papa qui n’a jamais travaillé de sa vie, mais qui a bien mérité de l’ordre merdeux de l’UNEF, cette espèce de réceptacle à purin !
Vous les voyez, ces pourris, écharpe tricolore en bandouillère et drapeau algérien en mains , inaugurer cette plaque immonde?
Hé oui les ducon (pas les Lajoye, non, mais les ducon mortifères de cette gauchiasse immonde),  posez-vous la question : qu’auraient pu faire les quelques troupes restées sur place en Mai 1945 ? Laisser se poursuivre les égorgements ? Les encourager à massacrer ces « sales colons » (3,75% de la population française d’Algérie…) Bien se dégager le cou pour se faire égorger à leur tour?
Qu’auriez vous fait, vous mêmes, devant un tel déferlement de haine de crétins fanatiques, poussés par les youyous hystériques des femmes, massacrant tous les « mécréants » leur tombant sous la main sur leur passage, dans les rues, les terrasses des cafés, les habitations, les fermes … Votre couardise co-allahborationniste nous dégoûte!  Vous devrez rendre des compte pour vous être rangés du côté des ennemis de la France, laquelle n’avait pas d’autre moyen que la répression pour protéger les siens !  SI VRAIMENT, UN CONSEIL D’ETAT OU CONSTITUTIONNEL DIGNE DE CE NOM EXISTAIT REELLEMENT, VOUS DEVRIEZ ÊTRE DEJA DEMIS DE VOS FONCTIONS ET BANNIS A TOUT JAMAIS DES SERVICES DE L’ETAT !  Et qui voudrait de vous, bande de bons à rien ?

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22 Commentaires

  1. Les algériens sont traumatisés par la colonisation mais n’ont aucune repentance pour les milliers de morts et d’esclaves qu’ils ont fait sur les côtes européennes de la Méditerranée.
    Les esclaves mâles étaient castrés ce qui constitue de nos jours en France un crime. Pourquoi ne le reprocherions nous pas aux algériens actuels ?
    Il semblerait que les homosapiens aient exterminé les neandertaliens.Pourquoi ne pas le reprocher aux Européens ?
    En fait les Européens n’ont pas fait comme les ottomans qui exterminaient tous leurs ennemis.Si nos ancêtres l’avaient fait, l’Algérie serait un paisible département francais qui nous fournirait pétrole,huile d’olive et blé à volonté sans compter que les francais iraient y profiter du doux climat pour les vacances.
    On ne refait pas le passé mais les gens malhonnêtes le réécrivent.

  2. ça alors, c’est vraiment incroyable!
    Un grand merci à tous ceux qui font un travail de mémoire remarquable sur ce site RR, pour que la Vérité ne puisse être ensevelie sous les tonnes de purin des ramollos du bulbe, à savoir, la gauche traitresse, celle qui a toujours trahi depuis tant de longues années, que ça se traduit aujourd’hui en décennies , cette gauche à laquelle appartient le banquier qui nous mène à notre perte à vitesse accélérée.

  3. Mr Hanotin vous pouvez préparer une plaque pour les disparus d’Oran entre le 5 et 7 juillet 1962 pieds noires enlevés par l’armée Algérienne jamais revenu .

  4. Mathieu Hanotin est une vermine communiste,un collabo inculte lèche-babouches des islamistes qui a achevé de détruire la ville de Saint-Denis (tombeaux des rois de France),en la transformant en ville africaine où les racailles maghrébines pullulent et se livrent à tous les trafics en toute quiétude !

  5. Derrière le maire PC, pas une seule voilée, mais une bande de pouffiasses gauchiasses,
    elles doivent être en mal de mâle algérien,

  6. Il faudrait expliquer à cette « enfant de salaud » que c’est suite au massacre de plus de 100 civils européen (hommes,femmes,enfants,vieillards) que cette opération de représailles eue lieu. Le général qui avait commandité cette action avait dit « je vous ai donner la paix pour 10 ans » et le 1er novembre 1954 débutait la guerre d’algérie et qui continue de nos jours (regardez l’origine ethnique des auteurs des attentats…la majorité est de souche algérienne).Je crois que je vais mettre une plaque au 8 de la rue Lauriston à Paris… »La GESTAPO reconnaissante de l’aide apportée par des algériens dans la tortures des terroristes Français »

    • « plaque au 8 de la rue Lauriston à Paris… »La GESTAPO reconnaissante de l’aide apportée par des algériens dans la tortures des terroristes Français » »
      Ah ah ah ! Une EXCELLENTE idée provocatrice à souhait !

      • Bonjour,

        La Gestapo était au 93.

        La dernière fois que je suis passé devant c’était le siège de … la chambre de commerce franco-arabe !

  7. Ce merdeux d’Hanotin devrait se rensiegner sur les saloperies commises par le FLN. Il n’est pas question d’excuser les barbaries qui ont pu être commises par des français mais il faut remettre les chose à leur place, le FLN a torturé sauvagement et tuer des algériens par villages entiers qu’il supposait en collaborer avec les français, ce génocide était commis par les algériens. Le jeunes soldat français appelés qui se sont retrouvés éventrés vidés, remplis de sable, les couilles enfoncées dans la bouches par les irréprochables algériens; eux ne savaient pas ce qu’il venaient foutre en Algérie. La plaque commémorative devrait être pour eux M.âne hautin. La France, a depuis fait biberonner quelques générations d’algériens à la C.A.F, et à la S.S. C’est une quinzaine de millions nès dans cette France. accusée de génocide par des arrivistes algériens..

  8. des maires collaborateurs avec l’ennemi et traîtres à la patrie
    il y en a de plus en plus en France …
    les plus nombreux sont les maires encartés au PS, au PC, à EELV, à LFI
    mais pas que il y en a également de LREM, du Modem, et même du parti LR
    tous ces maires collabos-dhimmis qui crachent sur la France
    et qui poignardent dans le dos les Français originels et autochtones
    cette guerre civile ethnique et religieuse aura effectivement belle et bien lieue en France !
    aux armes citoyens-patriotes et préparez-vous … cette guerre sera féroce et sanglante !..

  9. Il devrait plutôt parler d’Oran et des accords d’Evian, le pourri.

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    Signer au bas de la dernière page, dans l’espace resté blanc, avec votre prénom et ville (inutile de bêtement donner vos coordonnées complètes à un collabo de la cinquième colonne mahométane…) puis poster.
    Voilà, faire acte CONCRET de résistance ça commence en investissant un timbre.
    Pour ceux qui voudraient en faire PLUS+ :
    vous pouvez de même envoyer une copie de l’article à ses collègues de la 5ème colonne dont vous avez les noms sur le trombinoscope https://ville-saint-denis.fr/vos-elus

  11. Le vilain Hanotin
    Avec sa noire plaque,
    Ce bien méchant rupin,
    Mérite une claque!

    T’étais même pas né
    Lorsque ça s’est passé,
    Ta plaque en la posant
    Injure aux combattants!

  12. Qu’est-ce qu’ils attendent les résistants de Saint Denis pour foutre un coup de masse sur cette merde !

    • Saint-Denis est arabe et afro-maghrébine ainsi que turque
      des Français de souche ont disparu de la circulation depuis belle lurette
      d’ailleurs le maire de Saint-Denis a fait une demande pour que cette ville Saint-Denis soit une sous-préfecture de Alger-Rabat-Tunis-Istanbul-Ouagadougou-Bamako-Dakar … …

  13. Il n’y a pas de mot assez fort pour qualifier cette pourriture de maire. Si l’on veut reconstruire notre France, il va falloir s’occuper des traîtres en priorité ! Ce sont eux les premiers responsables de la situation actuelle…

  14. Excellentissime article qui met bien en évidence l’esprit co-allahborationniste et francophobe affiché officiellement jusque par des personnes ayant rang d’édile de grande ville…voire même jusqu’au plus haut niveau de l’Etat… Le tout financé, bien sûr, avec nos impôts !!!!… Merci Christine !
    Ediles pétris de toute la propagande anti-française mensongère déversée par le FLN et récupérée par cette gauchiasse qui n’a absolument plus rien à proposer aux français et dont la veulerie pousse à flatter une certaine « clientèle » pour se faire élire…
    De quoi s’agit-il donc, sinon d’une véritable trahison ? Messieurs du Conseil Constitutionnel, répondez !
    Dans sa profession de foi, ce traître en rajoute en évoquant le massacre imaginaire du 17 octobre 1961 sur lequel B.Lugan donne son éclairage d’historien :
    http://www.laplumeagratter.fr/2013/01/10/le-massacre-imaginaire-du-17-octobre-1961-par-bernard-lugan/

  15. C’est comme la noyade prétendue de centaines d’Algériens dans la Seine en 1962, qui n’a pas eu lieu! J’ai fait ma petite enquête et il s’avère que c’était bidon! Encore une légende qui à la peau dure! 🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷

    • Taguer ? Vous êtes indulgente. Quelques coups de massette de maçon pour exploser le bidule façon puzzle serait nettement plus mérité et méritoire.

  16. Les cocos ont toujours été des traitres. On l à vu sous Vichy.

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