J’avais presque oublié…
A l’occasion de la fin de ce ramadan 2021, je vais donc vous raconter comment j’ai fait disparaître un squatteur musulman grâce au précédent ramadan.
Il y a un an, et des broutilles, je m’étais retrouvé confronté à un Noir stupide, borné et têtu (en sus de s’être révélé arrogant et méprisant) le dit Noir s’avérant être, sans surprise, mahométan.
Concernant ma rencontre avec cette personne, donc, je vous invite à relire mon article
Discussion impromptue avec un africain musulman migrant mineur isolé
https://resistancerepublicaine.com/2020/01/29/discussion-impromptue-avec-un-africain-musulman-migrant-mineur-isole/
Pour ceux qui voudraient juste un résumé :
Tandis que j’allais à pied à la poste envoyer quelques courriers, j’ai croisé, dans l’entrée du parking en sous-sol d’une petite copropriété, un migrant mineur isolé africain de 30 ans qui faisait ses simagrées mahométanes de prosternations en direction de La Mecque. En anglais je lui ai expliqué que ce qu’il faisait (prière en public) était interdit par la loi et qu’il devait aller prier à la mosquée de la ville. Sauf qu’il n’en avait strictement rien à faire et m’a bien fait comprendre qu’il ferait ses prosternations là où il voulait quand il le voulait sans s’embarrasser d’aller dans une mosquée. Ce n’est qu’en lui expliquant que des gens risquaient de l’agresser à cause des attentats commis par des musulmans, ajouté au fait qu’il ne respectait pas la loi et que d’autres personnes pouvaient appeler la police, qu’il a pris ses cliques et ses claques à la poudre d’escampette.
Sauf que l’histoire ne s’est pas arrêtée là.
Ce mahométan squattait en fait l’endroit, plus exactement la petite portion formant une espèce de trottoir/banquette à gauche de l’entrée du parking souterrain. A l’abri de la pluie et du vent, je l’ai vu là quasiment à chaque fois que je suis passé après 18-19 heure, c’est à dire dès qu’il se mettait à faire suffisamment sombre pour qu’on ne le voie pas trop. Pour dormir, il disposait des cartons sur le bout de banquette, d’autant que la dite banquette/trottoir était pavée de galets largement noyés dans le béton. Ils auraient été disposés un peu plus proéminents et cela aurait été trop inconfortable pour y dormir…
J’ai donc entrepris une campagne de harcèlement systématique afin de chasser ce squatteur.
Notez bien que si l’individu avait eu l’intelligence de me mentir et de me dire qu’il irait à la mosquée la prochaine fois, j’aurais (lâchement…) laissé tomber. Si je suis passé au niveau « harcèlement » c’est, honte à moi, juste parce que cet imbécile m’a envoyé paître en se comportant en territoire conquis.
Je dis « honte à moi » parce que c’est justement ce comportement coupable de ne pas virer les intrus tant qu’ils ne posent pas de gros problème, même s’ils sont clandestins, qui fait qu’à la fin certains se croient tout permis, depuis prier dans la rue jusqu’à nous massacrer au Bataclan en passant par les assassinats au couteau en public et en plein jour sans même le moindre prétexte en dehors d’une haine atavique envers nous.
Dans un premier temps, à chaque fois que je passais, si je voyais des plaques de carton laissées là par le squatteur, en attente pour son lit du soir, je pliais soigneusement les cartons que je prenais sous le bras et que je déposais dans un conteneur de récupération deux ou trois rues plus loin.
Je n’ai pas compris pourquoi les résidents ne le faisaient pas eux-mêmes. Sans doute par peur qu’un voisin les dénonce. Quoi qu’il en soit, j’ai donc viré les cartons à chaque fois que c’était possible.
Mais cela s’est avéré insuffisant.
Certes, assez rapidement le squatteur a compris qu’il était préférable pour lui de ne pas laisser son lit sur place. Je n’ai plus vu de cartons. Jusqu’à ce que, passant par un itinéraire différent, je repère, non loin, des cartons roulés et coincés entre une poubelle publique (type corbeille à papier sur un poteau) et le mur juste derrière. Subtil… Cela ressemblait à des cartons mis à la poubelle sauf que PAS dans la poubelle. Personne n’y touchait. Il pouvait les récupérer tous les soirs et les ranger là tous les matins. En les dépliant, j’ai noté les marques faites par les galets, c’était bien le lit du squatteur. Donc j’ai à nouveau régulièrement embarqué les cartons pour les jeter.
De nouveau, les cartons ont rapidement disparu, mais le squatteur dormait toujours au même endroit.
J’ai entrepris de saloper les galets.
J’ai ramassé dans une grosse bouteille d’eau de type 5 litres, toutes les crottes de chien que j’ai pu trouver alentour, j’ai rajouté de l’eau, remis le bouchon, bien secoué afin d’obtenir un coulis immonde, suffisamment liquide mais pas trop et je suis allé déverser ce sirop sur le lit de jolis galets. Puanteur assurée, lit impraticable.
Sauf que trois jours plus tard, la banquette-trottoir avait été nettoyée nickel-chrome, plus propre même qu’avant que je ne la souille, manifestement passée au karcher, donc nettoyée par les résidents eux-même, ou leur syndic.
Caramba, encore raté !
Cette fois j’étais allé un cran trop loin, l’odeur devait incommoder les résidents qui avaient fait nettoyer… afin que le squatteur puisse confortablement continuer à les envahir.
J’ai par conséquent cherché une autre solution en examinant le terrain.
A gauche, donc, un trottoir-banquette, surélevé, pratique pour poser un chargement lourd. Si on se gare en marche arrière dans cette entrée de parking juste le temps de charger dans le coffre, de nuit, pas grand monde ne risque de vous voir.
J’ai découvert que, de nuit, cette entrée de parking renfoncée est plongée dans l’obscurité malgré l’éclairage de la rue sauf qu’il y a un projecteur automatique qui s’allume dès que quelque chose bouge dans le volume de cette entrée. Je regarde tout cela et vois que la câble d’alimentation du projecteur provient de la gauche, en bas (le projecteur est à droite en haut de la grille basculante).
J’examine donc le boitier de connexion en bas à gauche. Le câble qui en sort remonte le long du mur du fond, en tête du trottoir-banquette de galets, le long d’une espèce de cloison faite de briques décoratives évidées à travers lesquelles on peut, en certains endroits, passer le bras, dans le genre ci-dessous.
De l’autre côté de ces briques, la banquette continue sur un mètre environ et est encombrée d’un fatras de petits cartons vides, ouverts, de cageots mal empilés, de quelques caissettes en plastique, de trois ou quatre petites bûches…
Et j’avise, dans ce fatras, quelque chose qui ressemble à une poche réutilisable de supermarché, soigneusement pliée et dissimulée dans le fatras, poche dont on ne distingue qu’un maigre petit bout, juste de l’autre côté d’un passage dans les briques, derrière une brique similaire posée là, derrière la cloison et devant le fatras, abandonnée sur place probablement depuis la construction de la cloison.
Je passe le bras, écarte la brique, attrape le paquet du bout des doigts, le ramène en le passant à travers la cloison de briques à travers laquelle il passe tout juste et l’ouvre. Dedans, une boîte de dattes entamée et soigneusement refermée, des conserves (sardines, salades de thon…) et deux faux citrons en plastique verts (jus de citron) qui me font sourire.
En effet, les bouchons de jus de citron ne sont pas des bouchons dévissables, quoique ronds. En fait ces contenants plastique en forme de citron ont des bouchons indévissables avec un opercule à charnière au sommet. Il faut d’abord enlever la sécurité devant l’opercule pour ensuite l’ouvrir. L’opercule, refermable, permet de laisser gicler le jus de citron quand il est ouvert. Or ces bouchons portent de profondes traces de fortes morsures, en spirale : le squatteur n’ayant pas compris le principe de sécurité de ces bouchons, il a tenté de les dévisser avec les dents. Et à la profondeur des traces dans le plastique, je suis pris d’un frisson en imaginant ce que cela donnerait sur un de mes doigts dans l’hypothèse où le squatteur venait à me mordre…
Je compatis alors avec tous les policiers qui sont régulièrement signalés mordus lors d’une interpellation. « Un des policiers a été mordu par l’individu » Brrrr !
On ne prête pas forcément attention aux implications quand on lit une telle phrase dans un article de faits divers, on imagine peu ou prou que ça doit faire un mal de chien, mais guère plus. Sauf que quand on voit des marques de dents profondes dans un bouchon de plastique bien plus solide que la simple chair humaine, on réalise soudain la possible animalité brutale tapie derrière le lumineux sourire émail Diamant d’un gentil migrant africain mineur non accompagné…
Et puis en regardant les dattes, soudain, je comprends !
Je comprends comment me débarrasser définitivement de celui dont j’ignore s’il est un jihadiste en devenir ou pas, mais qui est un squatteur de toutes façons.
En effet, c’est le ramadan. Les musulmans rompent traditionnellement le jeûne le décalage des repas en mangeant quelques dattes.
J’ai mis la main sur la réserve de nourriture du squatteur qui fait ramadan.
Et là JE LE TIENS !
Un souvenir me revient. La technique de combat du chef de guerre somalien Mohamed Farrah Aidid. Plutôt que d’affronter directement en combat la milice de son principal rival, il pillait les convois d’aide humanitaire à destination de la région contrôlée par son rival. Totalement insensible aux milliers de victimes de la famine qu’il provoquait, la seule chose qui lui importait était que les miliciens ennemis désertaient et venaient s’enrôler dans sa milice à lui pour pouvoir tout simplement manger et survivre.
L’équation est simple et brutale, comme l’islam, comme la guerre, et elle est connue depuis toujours, c’est par exemple la politique de la terre brûlée qui a vaincu l’Empereur Napoléon et le Furher Hitler quand ils ont présomptueusement envahis la Russie. Rien à manger = obligation de partir aller chercher de la nourriture sous peine de mort de faim.
Je pars donc avec sous le bras la réserve de nourriture du squatteur que je jette à la poubelle quelques rues plus loin. Et je sais que ce soir le squatteur, outre continuer son jeûne ramadanesque toute la nuit, va comprendre qu’il ne peut désormais plus cacher son stock de nourriture à proximité de son squat. Et qu’il va donc partir se trouver un autre squat ailleurs où il ne risquera pas la famine.
Je constate dans les jours, puis les semaines, qui suivent, le bien fondé de ma tactique. Il n’y a plus aucune trace de cette personne. Il a totalement disparu du jour au lendemain. Je l’ai définitivement chassé de mon quartier.
Et très rapidement je constate aussi que les résidents ne veulent clairement pas d’un autre squatteur. Donc qu’ils ne voulaient pas plus du précédent qu’ils ne veulent d’un suivant. S’ils n’ont rien fait c’est sans aucune doute qu’ils estimaient ne pouvoir rien faire sans risquer des représailles, non pas qu’ils souhaitaient abriter un individu à l’insu de leur plein gré.
Moi je n’habitais pas là, je pouvais, contrairement à eux, me permettre d’intervenir sans trop de risques.
En effet, il a été installé sur la banquette des sortes de vaguelettes de métal, plaques d’inox de 20 cm de large, pliées en dent de scie et solidement vissées, au nombre de trois en largeur, sur toute la longueur de la banquette.
On peut toujours poser, de façon bancale, des objets sur la banquette, si on veut charger une voiture par exemple, mais il est certain que cette fois on ne peut plus s’allonger dessus pour dormir, même avec une pile de plaques de carton.
Il n’en reste pas moins que cette protection est une gène pour les résidents. Une petite gêne, sans réelles conséquences, mais une gêne. Avant ils pouvaient poser des choses là le temps de les charger, ou s’asseoir confortablement pour attendre quelqu’un. Maintenant ce n’est plus possible.
Voilà le genre d’enrichissement qu’apporte trop souvent l’immigration mahométane à notre pays.
En acceptant de cumuler tous les enrichissements de ce genre depuis des décennies, on en arrive à pousser certains mahométans à conclure que maintenant ils peuvent entrer dans un Bataclan et massacrer tous le monde à la kalashnikov sans susciter de résistance, ou si peu, et que donc ils peuvent ourdir d’aller décapiter un Samuel Paty à la sortie de son collège, car ils trouveront toujours d’autres mahométans pour leur désigner sans sourciller le Samuel Paty en question.
Alors virer un squatteur de façon sournoise et lâche en le poussant à une petite famine locale, je trouve que c’est encore très charitable de ma part.
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mais quelle aventure !!! une médaille doit être descernée a cet homme si courageux .
Verser des merdes de chiens alors là cela dépasse l’Action pure .
Je n’ose qualifier cette merdouillerie nous en sommes arrivés là ? et il s »en vante l’idiot .
sur trois pages . Benzema en équipe de France ? les footeux vont être contents. les dimmis aussi . Quelle pression sur Laurent ? le calme dans les banlieues acheté ?
Pas assez de merdes de chiens ?
Bah, si le MRAP et autres couillonades du genre vous repèrent, vous êtes bon pour une comparution immédiate
Vous pouviez avoir pitié de lui et lui offrir saucisson pur porc, sandwich au jambon
Très bonne idée que j’applique systématiquement (et sournoisement !) à l’occasion des collectes de la Banque alimentaire ou des Restos du coeur.
je faisais la même chose quand je participais : choucroute garnie, lentilles au petit salé, et autres du même genre.
Personnellement je connais bien ce genre d’individu ayant été plusieurs fois en Afrique ,la seule loi qu’ils connaissent c’est celle du rapport de force et les combines « bachchich » et la corruption règne a tous les niveaux ,les paroles ne servent a rien cela les fait rigoler car ils savent qu’ils n’ont rien a craindre des mots de gens civilisés alors il faut leur parler comme dans leur pays un grand coup de pied dans leur tète avec leur sourire narquois et de grand coups de pieds dans leur cul !c’est ce qui est efficace a 100 pour cent ,Mr Poutine lui a appliqué cette méthode et son pays n’est pas gangréné par les MUZZ
Vous n’avez fait que déplacer le problème,..
Il y a exactement la même chose de part chez moi! Un ancien garage automobile qui a été transformé en parkings privés avec un volet roulant et entre l’entrée sur la rue et le volet roulant il y a une petite zone qui servait du temps où c’était un garage à réparer les pneus et qui maintenant sert de résidence à un squatter africain. Mais celui-ci est mieux outillé car il possède un matelas qu’il range dans la journée dans un des nombreux recoins du parking.
Il faut pisser sur le matelas ou faire pisser son chien !
Très déçu ,j’avais espoir !!!! il n’à disparu que de ce lieu !!! mais BRAVO quand même,
Bravo à cet homme. Il a faut déguerpir ce ramassis de déchets.
Quel courage de votre part, mais quelle lâcheté de la part des autres! Avec de tels combattants, on est pas sortis de l’auberge! (On n’y est même pas entrés, d’ailleurs.)
Dans la fable ‘ La lice et sa compagne ‘ Jean de la Fontaine écrivait : ‘ Laissez-leur prendre un pied chez vous, ils en auront bientôt pris quatre. ‘
Rappel : les flics n’interviennent pas pour ce genre de problèmes alors, organisons-nous, à plusieurs si nécessaire et agissons, vite.
Sans vouloir te froisser. Tu as fais cesser « CE » squat ! Le problème n’est donc pas résolu !
Hélas…
Vous avez bien agi Laurent.
Il est nécessaire de leur faire comprendre qu’ils ne sont pas en territoire conquis. Leur emprise réside souvent dans le fait qu’ils ne rencontrent pas d’oppositions à leurs attitudes.
La vôtre, s’ajoute à ma confrontation rencontrée sur un quai de gare contre deux muzzs crachant aux pieds de français sans que ceux-ci, ne leur fassent de remarques; alors qu’ils sont dans la défiance pour nous jeauger dans notre opposition ou soumission.
Un autre cas de défiance en gare de Montparnasse, m’avait poussé à réagir contre un couple de muzzs venu défier les consignes d’interdiction de fumer en salle d’attente. Ma réaction les avait engagé à aller se faire voir ailleurs.
Il est nécessaire de les dénoncer et les remettre à leurs places chaque fois que nécessaire.
Evidemment, dix contre un, la partie est d’avance pliée, je le conçois !
très juste !! moi j’aurais remis les dattes en place après !!
Vous avez été courageux et tenace !
Bonjour. Très bien tout cela !