Les animaux malades du COVID

Un peu d’humour en ces temps de Covid ou l’on a le temps d’en faire.

Version mal revue et mal corrigée pour se détendre, des « Animaux malades de la peste » de M. de La Fontaine.

 

Un mal qui répand la terreur,

Mal que le Ciel en sa fureur

Inventa pour punir les crimes de la terre,

Covid19, faut-il l’appeler par son nom

Capable d’enrichir et Pfizer et Macron,

faisait aux vieux Gaulois, un sans merci de guerre.

Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés.

On n’en voyait point d’occupés

à chercher le soutien d’une mourante vie ;

Nul mets n’excitait leur envie ;

Les plus grands pharmaciens épiaient

ces douces et innocentes proies.

Les petits français se fuyaient :

Plus d’amour, partant plus de joie.

Sir Macron tint conseil, et dit:

Je crois que la Chine a permis

pour de bons placements colossale fortune ;

Que les plus pendables de nous

S’enrichissent aux frais du chineste ragoût,

Certains d’obtenir la richesse commune.

L’histoire nous apprend qu’en de tels expédients

On fait de grands émoluments!

Ne nous tâtons donc point ; soyons sans impudence

de nos belles finances.

Jupiter Macron, satisfaisant ses appétits gloutons :

« J’ai dévalisé les moutons,

Que m’avaient-ils donc fait ? Nulle offense et pourtant

Il m’est arrivé de bais(s)er les retraites des retraités.

Je me défrayerai donc, il le faut, mais je pense

qu’il est bon que les autres s’accusent avant moi ».

On ne doit que souhaiter selon toute justice

Que les moins coupables périssent.

– Sire, dit Bruno le Maire, vous êtes trop bon Roi ;

Vos scrupules font voir trop de délicatesse ;

Et bien, voler moutons Français, sottes espèces,

Est-ce un péché ? Que non. Vous leur fîtes Seigneur

En les baisant profond, le plus parfait honneur.

Et quant aux retraités, l’on peut vraiment se dire

Qu’ils étaient dignes de tous maux,

Etant de ces gens-là qui sur les communaux

Se font, sans se bouger,un chimérique empire.

Ainsi dit le Bruno, le flatteurs d’applaudir.

On n’osa trop approfondir

Ni Véran, ni Castex, ni les autres impudents,

Ne se sentaient visés, ni d’être inconséquents.

Tous ces gens financiers, tous ces pilleurs malins,

Au dire de chacun, étaient des petits saints.

Quand l’anesse Bousin avançant masquée dit : J’ai quelque souvenance qu’en un temps bien lointain passant,

La bêtise, l’occasion de prendre, et je pense

quelques diables aussi me poussant,

Je prétendis gouverner de ma langue.

N’en ayant nul droit, puisque n’étant pas nette.

A ces mots l’on cria : Bravo! sur la baudette. 

Un Sale géromé perché dans sa harangue

Dit qu’il fallait sauver ce maudit animal,

Cette enfant trop gâtée n’avait rien fait de mal!….

Ses peccadilles étaient pour le moins bien pendable.

Mentir autant de fois, quel crime abominable !

La Mort en son pouvoir était donc bien capable

d’approuver son forfait, sans s’être mise à table.

Tout en la remerciant on poussa la drôlesse

vers un nouveau projet au sein de l’OMS.

Et pour nous, somme toute, pauvres et misérables 

que Macron et sa clique déclareront coupables….

Il faudra bien vider de nos tristes finances

De quoi redonner vie à notre pauvre France,

Pour que d’autres, après eux, puissent bientôt reprendre 

à nos enfants leurs droits… puisse qu’ils sont tous à pendre.

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1 Commentaire

  1. Bravo Baba !!! Je vais l’imprimer pour le lire et le relire à souhait.

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