Attentats de Bruxelles – des bougies… comme en France !
La rengaine des merdias de la bien-pensance pleure sur le sort de ces pauvres musulmans victimes des attentats … de la part de musulmans !
Et les belges, la RTBF les oublie rapidement après que le pays tout entier a été marqué. Rien de plus : service MINIMAL histoire de se dédouaner face à une éventuelle accusation !
Attentats du 22 mars : le traumatisme de la communauté musulmane.
Barbara Boulet le 22 mars.
Il y a cinq ans, le 22 mars 2016, deux attentats allaient secouer Bruxelles, deux explosions simultanées à l’aéroport de Zaventem à 7h58 et une autre, dans une rame de métro à la station Maelbeek, à 9h11. Les bombes allaient provoquer la mort de 32 personnes – en plus des kamikazes, en blesser 340 autres et marquer un pays tout entier. Les attentats, revendiqués par l’organisation terroriste État islamique, allaient aussi traumatiser la communauté musulmane.
Dévisagés et stigmatisés (les pôvres !)
Attablées au centre communautaire du quartier maritime à Bruxelles, ces mamans voilées se souviennent des jours qui ont suivi les attentats de mars 2016 :
« A la télévision, à la radio, du matin au soir, on n’entend que ça : ‘des musulmans, des musulmans, des musulmans‘. Ce qui me blesse, c’est le regard des gens*. On vous regarde de haut en bas comme si vous étiez une terroriste* ». Une autre surenchérit : « Dans la rue, dans le bus, parfois même on change de place* ».
* : Comment pourrait-il en être autrement ?
Un éducateur du centre s’invite dans la conversation, il témoigne lui aussi de ses souvenirs : »La communauté s’est sentie stigmatisée*. Elle ne se sentait plus en sécurité. Il y a eu des attaques au couteau sur des femmes qui allaient chercher leurs enfants à l’école**« .
* : Victimisation habituelle !
** : Effectivement UNE attaque le 2 avril 2019… mais combien de non-musulmans attaqués « officiellement », voire tués, ces dernières 5 années ?
Résumé des attentats en Belgique !
Virginie Leblicq exerce son métier de psychologue dans un centre pour familles de Saint-Josse. Parmi sa patientèle, elle compte de nombreux hommes et femmes de confession musulmane. Elle décrit chez eux une peur double au lendemain des attaques de Maelbeek et Zaventem. « J’avais des patients qui n’osaient même plus sortir de chez eux, confie-t-elle. Parce qu’en plus des terroristes*, ils craignaient aussi de se faire agresser par quelqu’un qui déteste les musulmans. Il y avait vraiment une double peur« .
* : Comme s’ils étaient visés, parmi les victimes des attentats de 2016, 1 marocain ! Ils auraient eu des difficultés à prétendre, comme les musulmans l’ont fait pour l’attentat de Nice, de représenter 1/3 des victimes (dont j’ai démontré le bidonnage relayé sans vérification par la presse collabo).
Une vague d’islamophobie (et pour cause !).
Pour Abou Youssouf, imam à mosquée Al Azhar à St Josse, il y a véritablement eu une vague d’islamophobie : « Des gens ont essayé de mettre l’islam en accusation, alors qu’il n’y a pas de liens effectifs avec ceux qui ont fait les attentats*. Ce qu’on a senti dans une certaine presse, c’est qu’on a trop pointé la communauté musulmane et l’islam sans faire la part des choses. Si un musulman a commis un attentat, a-t-il demandé la permission des musulmans** ? Est-ce que les musulmans savaient et n’ont pas dit ?*** »
* : Pas prêts de questionner leur religion au nom de laquelle agissent les djihadistes, pas d’appel des musulmans à leur intelligence comme leur conseille Ferghane Azihari !
** : L’ordre est dans le coran, l’islam n’étant en rien une démocratie !
*** : Ne manifestent pas ouvertement de condamnation après, alors avant !
Ce climat suspicieux, Unia (ex-centre pour l’égalité des chances) essayera de l’objectiver dans un rapport réalisé en 2017 (et mis à jour la semaine dernière) intitulé Mesures et climat : conséquences post-attentats*. Ce rapport explique que l’institution a ouvert entre 2010 et 2020, 150 dossiers de supposées discriminations liées aux mesures de lutte contre le terrorisme ou au climat général en relation avec les attentats** : vingt de ces dossiers à peine remontent à 2015 ou aux années précédentes. Les 130 autres, c’est à partir de 2016. En particulier, du 22 mars 2016 au 31 décembre 2017, donc pendant près de 2 ans, Unia a ouvert 4 dossiers par mois.
* : Dans la présentation du rapport : « …un regard devenu plus suspicieux voir haineux à l’encontre de la communauté musulmane. »
** : Organisation de la culture doloriste
Comptes bancaires fermés, retrait d’attestations de sécurité.
« Il y a véritablement eu dans les années qui ont suivi l’attentat, toute une série de cas et de situations de personnes à qui on a fermé des comptes bancaires, retiré des attestations de sécurité pour un travail dans un aéroport ou une centrale nucléaire* », commente Patrick Charlier, directeur de l’institution.
* : Les pôvres, ils n’avaient plus de ronds pour partir en Syrie ou à envoyer à leurs frères ou sœurs ?
« Il y a aussi eu des discours ou des actes de haine, des personnes que l’on accusait d’être des terroristes*. Voire des enseignants qui disaient à des enfants turbulents qu’ils feraient mieux d’être en Syrie qu’ici. Ce type de comportement est beaucoup plus rare aujourd’hui. Même s’il reste de la discrimination et des discours de haine à l’égard des musulmans, mais sans faire de lien avec les attentats comme c’était le cas par le passé ».
* : Comme on dit « chat échaudé craint l’eau froide », mais malheureusement on oublie vite !
« L’ensemble de la communauté aujourd’hui se concentre sur le vivre ensemble »
Pendant ce temps, en son sein, la communauté musulmane de Belgique mène un examen de conscience (?), raconte l’imam Abou Youssouf : « On a essayé de comprendre. Au début c’était la stupéfaction. Puis on a essayé de reprendre et il y a eu une dynamique de rejet : dans les mosquées, chez la plupart des imams, on commence à réagir contre cette pensée qui a fait une OPA sur la religion musulmane en poussant des jeunes musulmans à devenir haineux envers leurs concitoyens non musulmans*. On ne laisse plus de place à cette pensée dans nos mosquées, ni même dans nos réunions familiales ou nos discussions. L’ensemble de la communauté aujourd’hui se concentre sur le vivre ensemble« .
* : Pour rappel, un petit verset : « Et combattez-les (tuez-les) jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’association et que la religion soit entièrement à Allah seul. S’ils cessent, donc plus d’hostilités, sauf contre les injustes. ». Où est l’OPA, qui pousse les jeunes musulmans à devenir haineux envers ceux qui ne sont pas de la religion d’Allah ? Comme d’hab., le mensonge islamique à l’encontre des mécréants…
Identification réactive.
Ces années de turbulence n’auront pas pour autant fait fuir les fidèles. Pour la politologue Corinne Torrekens, le lien s’en trouvera même souvent renforcé : « Je pense qu’on a pu voir deux types d’attitude. La première, minoritaire, c’est une mise à distance de son identité musulmane*. ‘Je n’ai rien à voir avec ces attentats. Si des personnes sont capables de commettre ce type d’acte, il y a quand même un problème**’. Donc une sorte de rejet de ce lien culturel ou religieux. Et puis il y a eu une deuxième sorte de réaction, plus prégnante celle-là. Une sorte d’identification réactive : Puisque ce débat public crée mon identité comme étant un nouvel ennemi de l’intérieur, un nouveau cheval de Troie, je m’identifie d’autant plus à cette partie de mon identité malmenée, blessée par ce débat public***. Et donc je m’identifie d’autant plus aux musulmans et musulmanes« .
* : Déplore que des musulmans (combien ?) s’éloignent de l’islam !
** : Et quel problème ? Il faut poursuivre…
** : Les responsables ==> les belges !!!
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Donnez leur la carte bleue ainsi que l’accès illimité à la caisse de l’état, et vous verrez qu’ils seront toujours traumatisés.
Avec eux, c’est « vider la mer avec une passoire ».
Eternelle victimisation, histoire de noyer le poisson et détourner l’attention
Ces pôôvres victimes, stigmatisées, dévisagées, terrorisées, ne sont pas rentrées dare-dare dans leur pays d’origine, si doux, si calme, si paisible, si attrayant. Etrange. Ben moi, à leur place, j’aurais déguerpi vite fait bien fait.
Les premiers coupables de tout ces attentats sont eux-mêmes les Belges ,qui par leur traître nativité ont si bien accueilli et intégré islam dans leur pays , n’oubliez jamais que la plus part des terroristes qui on assassinés nos parents et amis ici en France venaient de Belgique . Pour nous qui avons perdu nos proches dans ces attentats il n’y aura jamais de pardons pour islam et encore moins pour les pays qui le soutiens.
Permettez-moi de ne pas verser une seule larme sur leur sort!
mal écrit ce texte !
Bonjour,
Merci pour cet article.
On nage en plein « privilège musulman » !
C’est un gag, c’est pas possible.