Il était James Bond et Guillaume de Baskerville : Sean Connery nous a quittés…

Encore un grand qui nous quitte… Grand acteur, prodigieux interprète des plus grands, grand séducteur, aussi.

Quelle femme n’a pas été séduite par sa gueule, sa force ? Oui, je sais, les Coffin, Autain et compagnie devaient le détester, ce « mâle » exhibant muscles, testostérone et séduction à tous les étages, notamment quand il incarnait James Bond.

Moi qui ne suis pas trop film d’action, j’ai adoré ceux (de et/ou) avec Henri Fonda, John Wayne, Clint Eastwood… et Sean Connery. Et depuis qu’il avait quitté le rôle je n’ai pas regardé un seul James Bond…



 
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Je l’avais apprécié dans Le crime de l’Orient-Express en 1974, adaptation du roman d’Agatha Christie par le très grand Sydney Lumet 


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C’est encore lui qui faisait battre mon coeur dans les aventures d’Indiana Jones dans la dernière Croisade... Il jouait un père attendrissant mais en même temps rassurant car il partageait les aventures de son fils.

Vrais films d’aventure, avec les héros, les bons, les méchants, des courses, des menaces, des morts, des sauveurs…  La recette du récit dont ont besoin les hommes depuis que le monde est monde, depuis qu’on a remplacé les  pierres taillées, les séances d’anthropophagie, les éventrements et autres décapitations par l’évolution, l’éducation,le raffinement, le débat, le vote… Enfin ça c’était avant que l’islam ne s’impose en France avec l’aide des traîtres au pouvoir depuis 50 ans…

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Quant à son personnage de frère franciscain Guillaume de Baskerville dans le prodigieux Le nom de la rose... et je ne peux évoquer ce film sans frissonner, sans me souvenir de l’émerveillement et de l’horreur tout à la fois. C’était en 1986.

On n’est pas indemnes quand on en sort, et on en reste marqués longtemps, par le récit policier haletant, par les aventures, par les personnages, terrifiants (Le rire est un souffle diabolique…) ou grandioses comme Guillaume de Baskerville. Et par le propos.

C’était en 74, au moment où les dhimmis européens signaient avec les pays  musulmans les accords d’Eurabia qui allaient nous mener là où nous sommes, avec le retour des âges obscurs, du fanatisme religieux. Ce qui était décrit comme le fanatisme et la folie de quelques hommes, nous le vivons, nous, au milieu du fanatisme d’une religion moyenâgeuse, violente, fanatique, par essence, dans ses textes et toute son histoire. D’une religion qui arme le bras des assassins…  Sean Connery, au travers de son personnage, incarne l’intelligence, la réflexion, le rire, bref l’homme occidental face aux fous de Dieu.


Pour en savoir plus sur le choix de Sean Connery dans Au nom de la rose…

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Un petit récapitulatif du Figaro, en anglais, sur Sean Connery qui n’avait qu’un défaut, il ne parlait pas français, mais on lui pardonne… il était britannique.
https://video.lefigaro.fr/figaro/video/indiana-jones-james-bond-goldfinger-sean-connery-en-10-films/
 

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18 Comments

  1. « oui j’ai eu entre les mains des documents que Bat ye’or a récupéré dans des bibliothèques, des opuscules appelés Eurabia qui contiennent tous les accords »
    Super. Vous allez pouvoir les publier ici même, dans votre site web, et ainsi convaincre des millions de personnes que Bat Ye’or a raison et que votre combat est juste.

    • on en a déjà publié, on a interviewé Bat Ye-or.. on n’a rien à prouver

  2. Merci Mme Tasin pour ce bel hommage. Pour moi aussi, JB c’était Sean Connery et personne d’autre. Et son interprétation dans le « Nom de la Rose » est tellement superbe. Qu’il repose en paix, après une vie longue et bien remplie.

  3. en 1965 sort un film de Sidney Lumet  » la colline des hommes perdus  » dans lequel Sean Connery a le rôle principal aux antipodes de James Bond : extraordinaire film.

  4. C’est effectivement tout une époque et moi aussi j’ai préféré mille fois les JB avec Sean que les autres qui étaient juste des films d’action bien fait parfois mais pas avec ce charme indéniable de la première génération; Tout y était, les belles femmes, l’action , l’Aston Martin bourrée de gadgets , les paysages , la musique de John Barry , et le grand Sean Connery qui incarnait parfaitement le personnage de James Bond comme si il avait été fait pour lui. Du cinéma qui méritait son nom de 7ème art !

  5. « Accords entre les pays exportateurs depétrole et l’UE pour que, en échange d’un pétrole pas cher, on accélère l’immigration musulmane en Europe et qu’on islamise le pays via l’école en changeant les livres d’histoire et les programmes scolaires plus politique islamophile »
    J’entends bien. Ces accords ont-ils des titres, des dates, des lieux, des transcriptions écrites ?

    • oui j’ai eu entre les mains des documents que Bat ye’or a récupéré dans des bibliothèques, des opuscules appelés Eurabia qui contiennent tous les accords, elle en a inséré un grand nombre en photocopie dans son ouvrage du même nom, et en fouinant sur le net vous allez en trouver

  6. Encore un des derniers grands acteurs qui nous quitte il va manquer heureusement il reste ses films à revoir, en souvenir .au revoir Monsieur Connery .

  7. Il existe aussi un film de John Huston, tiré d’une oeuvre de Kipling, « L’homme qui voulut être roi » dans lequel Connery, joue magistralement un aventurier qui devient roi d’une province imaginaire de l’Afghanistan, le Kafiristan.
    https://fr.wikipedia.org/wiki/L%27Homme_qui_voulut_%C3%AAtre_roi_(film)
    Dans un autre spectre cinématographique, Connery est le personnage principal d’un film controversé de John Boorman, devenu culte pour certains cinéphiles, « Zardoz ».
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Zardoz
    SC était un acteur au physique de mec et au charisme immense. Un Clint Eastwood à la britannique, bien loin du cinéma actuel où le talent est remplacé par la bien-pensance politique.
    RIP

  8. Un GRAND Ecossais, ami de Nicola Sturgeon, la première ministre écossaise qui pousse pour l’indépendance de l’Ecosse.
    Britannique peut être, mais par obligation.
    Adieu l’ami en jupe…….

  9. « C’était en 74, au moment où les dhimmis européens signaient avec les pays musulmans les accords d’Eurabia »
    Quels accords ?

  10. Sans oublier  » à la poursuite d’octobre rouge  » dans lequel son interprétation et le personnage qu’il incarne sont extrêmement intéressants.

  11. Merci Christine pour cet hommage !
    J’adore la série des James Bond des années 60 (mhhh Ursula Andress !)
    Et « Le nom de la Rose », évidemment ! Cette ambiance médiévale et étrange, ces crimes atroces parmi les moines, le vieil aveugle et son rapport à la philosophie grecque… Plus la tête d’affreux de celui qui jouait dans « La Guerre du feu » ou « Stalingrad » : Ron Perlman, qui finit sur le bucher. Un sacré acteur !

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