Ils décapitent les blasphémateurs, mais les islamophobes devraient taire que le Coran interdit le blasphème

« Le politiquement correct garantira que les têtes des non musulmans continueront à rouler en Occident ». 22 octobre 2020 par Raymond Ibrahim

(Raymond Ibrahim est membre du “David Horowitz Freedom Center”).

 

 

Un musulman de 18 ans a décapité un professeur en France vendredi dernier pour avoir montré des caricatures du prophète de l’islam Mahomet à ses élèves, dans le cadre d’une discussion sur la liberté d’expression et de parole.

Quelques semaines plus tôt, un autre musulman avait tué un citoyen américain au Pakistan pour avoir également commis un « blasphème ».

L’homme assassiné, Tahir Naseem, était en fait jugé pour blasphème dans un tribunal, passible de la peine de mort, lorsque Faisal Khan, 15 ans, est entré dans la salle et a ouvert le feu sur lui.

Alors que Faisal Khan a « enfreint la loi » en entrant armé au tribunal, la loi pakistanaise est elle-même favorable à l’opinion du justicier selon laquelle le blasphème est un crime passible de la peine de mort.

En France, il n’y a pas de loi sur le blasphème et la liberté d’expression est, ou était autrefois,  considérée comme un droit essentiel de tous les citoyens. En ce sens donc, le gouvernement français, contrairement au gouvernement pakistanais, ne tiendrait évidemment pas Samuel Paty, l’enseignant décapité, coupable de quelque blasphème.

Et pourtant, les différences effectives entre la France et le Pakistan, dans le contexte de ces deux crimes, semblent s’arrêter là : alors que le Pakistan et de nombreux autres pays musulmans soutiennent les lois sur le blasphème de l’islam, la France et d’autres pays occidentaux prétendent que l’islam ne possède pas de lois sur le blasphème.

Après tout, reconnaître que l’islam appelle effectivement au châtiment et à la mort des blasphémateurs contre Mohamet, sans parler d’un certain nombre d’autres stipulations « problématiques » de la charia, comme la mort des apostats, c’est être « islamophobe ».

En bref, alors que les nations musulmanes comme le Pakistan affirment et soutiennent activement les codes du blasphème de l’islam, les nations occidentales comme la France y consentent passivement en prétendant qu’elles n’existent pas et n’ont donc pas besoin d’être adressées.

 

Le résultat est le même : les musulmans, que ce soit dans les pays islamiques ou occidentaux,  continuent à apprendre et à diffuser les enseignements purs de l’islam, sans entrave.

Une différence, bien sûr, est que, pendant que les musulmans peuvent se sentir libres d’afficher leur suprématie dans le monde islamique, Faisal Khan est pratiquement un héros national au Pakistan pour avoir tué Tahir Naseem.

En Occident, ils apprennent à le cacher et à « jouer le jeu », dans la mesure où ils en ont besoin; et les autorités occidentales ne sont généralement que trop heureuses de rendre la pareille, jusqu’à ce que l’un des musulmans dépasse les bornes, auquel cas les autorités font semblant d’être choquées et parlent de « problèmes de santé mentale », de « griefs » ou d’« extrémisme ».

Ainsi, et malgré le fait que, dans le passé et le présent, des musulmans tuant des « blasphémateurs » sont une réalité bien documentée, les responsables français ont déclaré :

« Il y a encore des questions sur la radicalisation du meurtrier ou sur un autre motif ».

Non seulement l’idée qu’il pourrait y avoir « un autre motif » est plus que ridicule, la seule autre alternative, qu’il ait été « radicalisé », implique également que tuer des blasphémateurs est en quelque sorte étrange ou « extrême » pour l’islam, alors que c’est et a toujours été la norme.

La réalité est que l’islam, qui est assujetti à un ensemble de lois notoirement draconien, la charia, est totalement inconscient de l’affirmation selon laquelle « les enfants, d’où qu’ils viennent, quoi qu’ils croient…, quelle que soit leur religion » sont simplement censés évoluer vers des « citoyens libres », même quand ce en quoi ils croient et leur religion enseignent exactement le contraire.

Macron poursuit : « Ils ne passeront pas. C’est ce qu’ils recherchent et nous devons rester unis ».

Qui sont ces « Ils » de Macron ?

La réponse officielle est que ce sont des « terroristes » génériques, qui « déforment » les enseignements autrement « pacifiques » de l’islam.

En réalité, ce ne sont pas ces « Ils » qui cherchent à nous soumettre, mais plutôt les enseignements fondamentaux de leur religion, qui, loin d’obliger les musulmans à vivre ensemble avec les non-musulmans, les appelle en fait à se démarquer, via la doctrine coranique très controversée de « Aimer et haïr » pour l’islam.

Jusqu’à ce que ces simples truismes soient acceptés, et qu’on agisse en conséquence, les têtes d’infidèles continueront à rouler, et les politiciens continueront à lancer des platitudes dénuées de sens.

https://www.frontpagemag.com/fpm/2020/10/beheaded-infidels-vs-fear-islamophobia-raymond-ibrahim/

Traduit par Jack pour Résistance Républicaine.

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5 Commentaires

  1. la confusion vient de ce que ceux qui se disent modérés ne sont plus des pratiquants aux yeux des autres comme ceux qui se disent “catholiques ” en France parce qu’ils vont trois fois à l’église dans leur vie ‘ baptême / mariage / enterrement ) dont au moins deux fois sans le savoir. Dans les vrais pays musulmans ils sont remis de force dans le droit chemin à coup de fouet , de prison ou décapitation.

  2. LA RÈGLE , ELLE EST LA:
    Extrait des hadiths (les paroles du prophète)
    Quand un poète du nom de Kaab ibn el Achraf se moqua de Mahomet, ce dernier dit à ses compagnons:
    « Kaab a offensé Allah ET son prophète, qui le tuera pour moi ? »
    La suite ,toute aussi ”vivre ensemble”:
    Coran 8.57-60) “Inflige-leur un châtiment exemplaire pour effrayer les autres, afin qu’ils se souviennent. (…) Et préparez la guerre contre eux avec tout ce que vous pouvez, afin d’effrayer l’ennemi d’Allah et le vôtre …………………………..les banlieues et les AK 47

  3. Et le comportement honteux du “pas de vagues” des gouvernements de profiteurs pour beaucoup avocats où énarques, est en passe d’avoir rendu le français minoritaire dans son propre pays. L’organisation européenne aura eu pour conséquence, non pas le sécurité de ses pays, mais leur destruction. C’est le rejet des nationalistes au profit des communautaristes. La France n’est plus qu’un ensemble de communautés paumées, en passe de se disputer le territoire national. La patrie n’existe plus. C’est le destin réservé à tous les pays sous le joug de L’UE. dirigées par des crétins de haut vol à qui il devient urgent de fermer la gueule. Ils ont transformé l’Europe en tiers monde, et Paris en taverne d’Ali Baba.

  4. Tout est mensonge chez eux c’est comme la double nationalité et son aberration. En réalité trop de musulmans font semblant d’être français pour occuper le sol et percevoir nos avantages tout en continuant à inculquer à leurs enfants l’islam comme référence suprême. Quand ils sont scolarisés, les enseignants comprennent immédiatement que leurs élèves sont déjà formatés à l’islam rigoriste et les tensions sont déjà là dès le début, des enfants s’opposent déjà à l’enseignement républicain en le contestant ouvertement.

  5. Ils décapitent sous n’importe quel prétexte pour pouvoir vivre selon les lois de la charria. Le Maire de Bron qui fait régner l’ordre parce qu’il refuse que sa commune devienne une zone de non droit, est menacée de décapitation. En France il y a déjà des zones de non droit, qui vivent selon les lois de la charria. Un état dans l’Etat. Et dans ces zones là il faut avoir le courage de fermer la mosquée et les associations qui sont des lieux de renforcement de cette radicalisation. Dans ces zones là, il faut reconquérir la France !🇫🇷

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