Du Figaro :
CHRONIQUE – Ce ne sont pas les violences qui font scandale, mais le fait qu’on les nomme sans prendre les précautions langagières attendues.
«Déni d’ensauvagement»
L’étrange querelle des dernières semaines autour du terme «ensauvagement» nous confirme encore une fois, s’il le fallait, à quel point le système médiatique travaille non pas à décrire la réalité de la société française mais à l’occulter.
Les scènes les plus violentes se multiplient, les agressions s’additionnent et pourtant, les sociologues patentés le répètent en boucle: tout ne va pas si mal et ceux qui disent le contraire versent dans la «surenchère sécuritaire».
Ce ne sont pas les violences qui font scandale, mais le fait qu’on les nomme sans prendre les précautions langagières attendues.
Le déni de l’ensauvagement fait écho à ce qu’on appelait autrefois le «sentiment d’insécurité».
Les Français étaient accusés de céder à une propagande excitant chez eux la méfiance à l’endroit de «l’autre».
Ils se laisseraient contaminer par un discours anxiogène.
C’était même leur responsabilité civique de changer le nom des suspects lors des violences, jugées «ordinaires», pour éviter d’alimenter le populisme.
Mais puisque les grands médias n’exercent plus un monopole sur la description des réalités, et que les réseaux sociaux permettent à la réalité de déborder dans l’espace public, même si elle y arrive de manière chaotique, il faudra alors traiter ces violences comme autant de faits divers insignifiants.
Ce déni d’insécurité n’est pas exclusif à la FranceQui les traitera comme des faits politiques, symptomatiques de la désagrégation d’une société victime des bandes et progressivement déstabilisée par une immigration incontrôlée sera accusé de tenir des propos haineux.
Ce déni d’insécurité n’est pas exclusif à la France.
On l’a vu depuis juin, aux États-Unis, les manifestations les plus brutales comme les raids des antifas sont toujours traités comme des événements isolés, certains reporters racontant sans gêne, devant des scènes de pillage à répétition qu’ils sont devant des «peaceful protests».
À quel moment la mauvaise foi devient-elle du mensonge à l’état pur?
À quel moment devient-on consciemment un propagandiste?
C’est Aurélien Taché qui a remporté le match de la déclaration la plus lunaire. Après avoir appris qu’une jeune musulmane bosniaque avait été tondue par sa famille qui ne tolérait pas qu’elle fréquente un chrétien serbe, il trouvera le moyen de dénoncer une classe politique rajoutant une pièce dans le «juke-box de la haine antimusulman».
On aurait cru entendre ceux qui, au lendemain de l’attentat contre Charlie Hebdo, mirent la France en garde contre «l’islamophobie». Lorsque la France est agressée, elle s’accuse. Quand elle résiste, elle est accusée de «multiplier les formules chocs sur la délinquance» et de se soumettre au populisme, même au racisme.
NDLR: « On aurait cru entendre » ?
Non !
On a entendu, HIER, dimanche, François Hollande, invité de France 2, nous expliquer que son seul souci, après les meurtres de Charlie, était de lutter contre « la stigmatisation de la communauté musulmane ».
Pas de demander des comptes aux chefs musulmans, non éviter de « stigmatiser » les musulmans !
On connaît la chanson, elle joue depuis trente ans au moins.
Qui ose des constats de bon sens risque le bannissement civique.
Le système médiatique fonctionne à la déréalisation du monde et condamne la société à évoluer dans un univers dédoublé, soumis à l’orthodoxie diversitaire.
Le réel ne passera pas!
Récapitulons:
l’ensauvagement est une illusion alimentée par un discours ultrasécuritaire, l’immigration massive est un fantasme conspirationniste et la dévastation anthropologique d’un monde refusant de distinguer un homme d’une femme est une lubie de catholique intégriste.
De même, qui se désole de la régression de la liberté d’expression confesse son désir de se vautrer dans les discours haineux et qui s’oppose à la racialisation des rapports sociaux cherche à dissimuler derrière la rhétorique universaliste son privilège blanc.
Il ne faudrait pas beaucoup d’imagination pour parler d’une nouvelle trahison des clercs.
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hollande est une grosse merde sans aucun scrupule,il a dû se réjouir de ces attentats commandités par ses potes pour ensuite leur donner une médaille
Si ce plat de nouilles imbécile de Hollande avait réellement voulu lutter contre l’islamisme les attentats de novembre n’auraient jamais eu lieu 9 mois après Charlie ce mec est un menteur et un imposteur…..Comment comprendre qu’après avoir rendu hommage à 2 pas du Bataclan la semaine qui a suivi ces attentats il se soit rendu à la grande mosquée de Paris?Pourquoi a-t-il donné la légion d’honneur au prince d’Arabie saoudite 15 jours après les attentats alors que tout le monde savait que ce pays avait largement financé les terroristes?
https://twitter.com/MattWalshBlog/status/1300506485840064514
Ici ou là-bas c’est pareil, sournois, lâches, haineux, racistes. Mêmes les cris simiesques sont identiques. Ca finira très mal pour eux!
Cette chiasse d’Hollande après Charlie Hebdo n’avait qu’une pensée pour les muzz. Les muzz se réjouissaient de la « punition » qui d’après leur immense connerie faisait plaisir à leur dieu des égorgeurs. Et le con boursouflé se déshonore dans sa soumission à la muzzerie pestilentielle. Comme toutes les merdes en robes noires il s’est mis à pleurer sur les barbares sans aucune pensée pour les victimes
« Le réel ne passera pas ! »
Oui, l’antifascisme des années 2000 a son slogan et étonnament, il fait écho à un des slogans de mai 68 : « le rêve est réalité ».
Ce cloporte a toujours été un nul, et là il le confirme.
Vous êtes étonné moi pas du tout, ce minable gaucho n’était ,que la pâle copie de Mitterrand premier lâche qui a facilité invasion de notre pays.sans oublier ceux qui ont continuer la traîtrise , Chirac , Sarko et bien entendu actuel dictateur .il est temps que notre pays soit libérer de cette malsaine occupation , espérons qu’ils restent encore assez de résistants pour acte final inévitable.
La gauche et la droite qui ont gouverné le pays sont responsables de son état actuel ce sont les mêmes crapules qui nous bassinent sur les plateaux TV et qui « miracle » auraient les solutions pour nous en sortir.
Bonjour Antislam.
Vous écrivez une évidence perceptible par tout individu ayant les pieds sur terre.
Et par ce déni, tant de voir les choses, que de ne pas les nommer, illustre le propre de cette gauche servile dont le verbiage idéologique a toujours composé avec amour, paix et tolérance ( comme l’autre idéologie victimaire) pour nous l’imposer de force; la droite y contribuant également par pusillanimité.
J’ai eu l’opportunité aujourd’hui, d’assister au débat « l’heure des pros » réunissant sur le plateau, Leclerc, Chartier, d’Ornellas où, chacun de s’exprimer sur le terme d’ensauvagement. D’après, Chartier, l’emploi de ce terme n’est que le reflet d’un sentiment ( au début de l’émission).
Attitude analytique de Praud ( il me surprend de plus en plus ce gars là, en bonification entends-je pour sa franchise), de s’exaspérer auprès des deux gauchistes de plateau, de refuser de voir la réalité de la société.
Et, en fin d’émission, suite à une déclaration de Sarkozy au sujet de propos de Jospin portant sur l’insécurité, qui avait répondu à une dame âgée se plaignant d’avoir peur dans le métro, de s’entendre dire par Jospin, » qu’elle n’avait pas peur mais seulement l’impression d’avoir peur ! ». Ce à quoi Sarkozy d’en conclure que cela explique ses 15 % aux élections de l’époque.
Et c’est là que revient Chartier, en disant qu’elle donne raison à Sarkozy à savoir, qu’il ne s’agissait pas d’un sentiment mais bien d’une peur légitime à laquelle se trouve confrontée cette dame.
Toute la contradiction de l’esprit de cette gauche s’en trouve démontrée avec ces deux exemples et ce, en l’espace d’une heure de débat et, où l’on ne peut qu’adhérer à l’amusement de Praud devant ces attitudes contradictoires car l’on perçoit combien Chartier a mal aux articulations de sa mâchoire pour reconnaître ces faits ainsi que sa crispation à prononcer ces mots.
Vraiment à voir !
Et moi qui croyais que son passe-temps favori était de vérifier l’entretien du scooter.