Covid : qu’il est con ce Belge ! Le « prince » Laurent fait mettre des capteurs de CO2 dans la classe de ses enfants…

Que dire ? Cela devrait rester une histoire belge, pour rigoler entre la poire et le fromage, entre le café et le calva…

Las ! Cet imbécile patenté, 13 ème dans l’ordre de succession au trône de Belgique, va consolider les hésitants, les dégénérés… les rendre fous de peur devant le Covid et le CO2. La boucle est bouclée entre covidiens-dingos et écolos-dingos.  Et il a fait cela sur le conseil d’un prétendu spécialiste en virologie, coqueluche des plateaux télé et des médias sociaux… membre, quel hasard, du « Conseil scientifique belge », le professeur Van Ranst.

Il fallait y penser, pourtant on croyait qu’ils nous avaient tout fait !

Selon ces tarés, plus il y aurait de CO2 dans une pièce, plus il y aurait de risques pour les enfants d’attraper le Covid…

Gageons que, parce que Laurent est  un membre de la famille royale, on va accepter, avec des ronds-de-jambe et de nombreux remerciements, de mettre les capteurs dans les classes de ses enfants.

Cela ne choque pas les Belges ? Si on admettait que le raisonnement du débile était juste, la logique voudrait qu’il y eût des capteurs de CO2 dans toutes les classes de Belgique, non ? 

Déjà que ces pourris utilisent les services du lycée français, histoire de former de manière élitiste leur progéniture, abandonnant le Belge de base à la promiscuité immigrée…

 

 

Sur le conseil de Marc Van Ranst, le Prince Laurent s’est procuré des détecteurs CO2 pour la rentrée de ses enfant

Marc Van Ranst, virologue ultramédiatisé à abattre

Ultramédiatisé depuis le début de la crise du Covid-19, le virologue de la KULeuven est la cible d’entrepreneurs flamands qui veulent le poursuivre pour « dommages économiques et sociaux » du fait de ses déclarations.

Pour certains citoyens, il incarne cette « République des experts », à savoir ces scientifiques qui auraient un peu trop investi le champ de la politique depuis le début de la crise du Covid-19: le virologue Marc Van Ranst est la cible de six entrepreneurs flamands, qui veulent le poursuivre en justice car ses recommandations contre le coronavirus auraient causé des dommages économiques et sociauxexcessivement importants, via des déclarations sans nuances et imprudentes.

Le profil

1990: Docteur en médecine à la KULeuven. Travaille ensuite à l’Albert Einstein College of Medicine à New York.

1994: Doctorat en virologie.

1998: Spécialisation en médecine du laboratoire.

1999: Commence à travailler au CHU de Leuven. Professeur de virologie à la KULeuven.

1999: Conseil supérieur belge de la santé publique, où il préside le département Vaccinations.

2007: Responsable pour la planification de réponses aux pandémies chez l’homme suite à la grippe aviaire.

2009: Commissaire pour la gestion de crise pendant la pandémie de grippe Mexicaine.

« Avec la régularité d’une horloge, Van Ranst diffuse lui-même des informations et des conseils dans les médias et via Twitter, avant même que le gouvernement ne les ait communiqués », s’est insurgé dans « Het Laatste Nieuws » l’un de ces entrepreneurs, qui réclament une indemnisation d’un euro symbolique au scientifique de la KULeuven, membre du Risk Assessment Group pour lutter contre le Covid-19 et du Groupe d’experts en charge de la stratégie de sortie de crise (GEES).

Ce n’est pas la première fois que le virologue fait l’objet de tels reproches. La semaine passée, l’ASBL controversée « Viruswaanzin » (Folie virale), à l’origine d’une action en référé et d’une manifestation dénonçant les mesures anti-coronavirus, avait déposé plainte auprès de l’Ordre des Médecins contre le virologue. Elle pensait aussi l’attaquer en justice avec le même genre d’argument: à savoir que Marc Van Ranst attiserait l’angoisse inutilement, diffuserait des informations controversées et aurait même tendance à « insulter et à dénigrer » les confrères qui ne partagent pas ses analyses.

Des attaques virulentes

Conflits d’intérêt, partialité, irresponsabilité politique, manque de transparence: les experts scientifiques et médicaux faisaient déjà l’objet de critiques avant le début de la crise sanitaire, les reproches les plus fréquents étant l’inféodation éventuelle à l’industrie pharmaceutique ou les arrières-pensées politiques. Mais depuis quelques mois, les attaques se font plus virulentes, vu la gravité de la situation. Pourquoi Marc Van Ranst en particulier? Parce qu’il est sans doute le spécialiste de la virologie le plus médiatisé depuis le début de l’épidémie, les journalistes faisant systématiquement appel à lui après chaque grande décision touchant au Covid-19.

Lire aussi | La stratégie belge pour contrer le Covid est-elle vraiment erronée?

Modérément connu du grand public au début de l’année, « il peut donner aujourd’hui l’impression d’être devenu le vice-premier ministre du gouvernement », s’amuse un de ses détracteurs. Avec ses avis tranchés, ses déclarations péremptoires, sa pédagogie mais aussi son sens de l’humour, c’est ce qu’on appelle un bon client pour des médias dont les spécialistes scientifiques se comptent sur les doigts de la main.

À l’instar d’un certain nombre de ses collègues scientifiques, Marc Van Ranst ne s’est pas seulement pris au jeu de cette notoriété inattendue. On lui prête également de futures ambitions politiques. Le virologue est en effet réputé en Flandre pour ses sorties tranchées sur les réseaux sociaux contre la N-VA et le Vlaams Belang. Ce qui lui a d’ailleurs valu d’être placé sous protection policière depuis un certain temps.

https://www.lecho.be/economie-politique/belgique/general/marc-van-ranst-virologue-ultramediatise-a-abattre/10247775.html

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4 Commentaires

  1. Si le rigolo sus-cité veut se préoccuper du CO2, en voilà une idée qu’elle est bonne!
    Rien ne vaut un masque pour concentrer le CO2 et, accessoirement, divers miasmes plus nocifs les uns que les autres. Et je ne parle pas seulement de concentration du CO2, du coco virus, de toutes sortes de bactéries, champignons, et autres qui trouvent derrière le masque un terrain idéal, bien protégés, au chaud, à l’humidité, bref, tout ce qu’il faut pour cultiver des miasmes.
    Comme les masques serpillières ne protègent personne, de rien, ces divers bouillons de culture vont se répandre et croître et multiplier!
    Ma petite video sur les masques est toujours d’actualité.
    Bonne rentrée (?) à toutes et à tous, prenez soin de vous.
    On se remue!
    Gérard

  2. @ Julie GALLO. C’est difficile de vous répondre car il n’a pas encore expiré …

  3. Belges et non-belges, protégés (contre votre gré) de tous pays, bougez contre le masque !
    1/ Vous pouvez NE PAS mettre de masque en portant une ILLUSION de masque (comme Groucho Marx et son illusion de moustache) afin de pouvoir respirer correctement, au lieu de vous contenter moutonnement de subir sans réagir le masque dictatorial étouffant.
    2/ Pour les plus revendicatifs, vous pouvez utiliser un masque JAUNE, parfaitement homologué, bien visible et sans risque de contravention :
    https://resistancerepublicaine.com/2020/08/27/resistez-avec-un-masque-groucho-et-ou-un-masque-jaune/

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