J’ai testé les masques grand public… au secours ! Ils nous empoisonnent !

Protocole d’analyse du taux de co2 contenu dans :

-les masques grand public

-les masques Honeywell

 

Rappel des données internationales :

Les chiffres sont en parties par millions (PPM)

Niveau 0, pas d’alerte, 400 PPM, concentration normale de CO2. Quelques différences entre ville et campagne, montagne, sont normales.

Niveau 1 alerte faible, 400-1000 PPM vigilance ordinaire, on peut dire alerte noire, niveau acceptable pour un lieu fermé, bien ventilé.

Niveau 2 alerte blanche, 1000-2000 PPM, la vigilance n’est plus de mise, nous devons, impérativement, modifier les conditions de la qualité de l’air disponible sous peine de problèmes. Niveau d’alerte : Associé à somnolence et réduction des fonctions cérébrales.

Niveau 3 Alerte rouge. 2000-5000 PPM , Il ne faut jamais atteindre ce niveau d’alerte, sous peine de graves dégâts sanitaires, attention aux dégâts irréversibles. Risques majeurs d’intoxications, surtout chez les personnes fragiles, atteintes de pathologies diverses, les personnes âgées ou très jeunes, en développement (ados), etc. …

A ce niveau, la somnolence augmente fortement, ainsi que les maux de tête. Sensation d’oppression par un air lourd, stagnant, pollué.

Faible capacité de concentration, d’attention, accélération du rythme cardiaque (pour tenter de compenser), maux de tête avec apparition d’une légère nausée.

Niveau 4 Alerte FEU 5000 PPM

Concentration complètement inhabituelle au cours de laquelle d’autres gaz peuvent être présents, d’où, toxicité et privation d’oxygène.

C’est vraiment le niveau d’alerte à ne pas dépasser, mieux, à ne pas approcher.

Les classifications noir (on peut dormir), blanc, rouge, feu, sont connues des auditeurs de notre cours de sécurité.

.

Nous allons procéder à des mesures de concentrations de CO2 dans les conditions suivantes :

-Etalonnage de l’appareil en plein air, moyenne enregistrée sur 15 minutes.

-Mesure et moyenne de l’air contenu dans un masque porté, en l’absence d’effort physique, ce qui réduit la possibilité d’augmentation de CO2.

-La moyenne sera effectuée sur 5 minutes, il est inutile de s’asphyxier plus amplement.

 

Deux masques seront testés :

-L’un, dit grand public, c’est-à-dire, suivant la notice, ne protégeant pas le porteur ( !). Ce produit est officiellement offert par la Région Auvergne Rhône Alpes. C’est dire si c’est un produit sérieux. N’étant pas masochistes, nous éviterons de tester les masques serpillières confectionnées à partir de n’importe quoi, par des personnes fort honorables et fort respectables, mais, ne présentant, peut-être pas les qualifications requises en la matière. Nous ne parlerons pas, non plus, des productions des maîtres pangolins de l’Empire du Milieu.

-L’autre, un Honeywell, produit vanté et fort recommandé par Donald Trump avant … qu’on ne lui colle une serpillière sur le blaze !

Lui-même, et sa famille, après ce comportement, critiquant, abondamment, via une video, les-dits masques serpillières. Comprenne qui pourra ! A moins que les pressions politiques aient eu raison de sa résistance. Il occupe un poste à risques, pas moi. Au fait, quoi que, ….

C’est un outil que j’ai pu utiliser, professionnellement, dans des conditions extrêmes, depuis 50 ans et plus, avec satisfaction.

 

Prise en main du dosimètre : Détecteur de CO2 pSENSE

En plein air, à 900 m d’altitude, 730 mm Hg, en pleine nature :

Sur 15 minutes, l’humidité relative étant lue sur un hygromètre maxant, (France). Les températures et les teneurs en CO2 étant relevées sur le testeur pSENSE (Suède).

 

Temps :                   2        4        6        8        10       12  (en minutes)

Températures :    26       29      30      31       31       31  (en degrés centigrades)

 

Avec bonnette de double épaisseur de gaze (pour protection hygiénique)

Teneur en CO2 relevée : 385 PPM (+/- 19)

Sonde nue : 380 PPM (+/- 19)

L’influence de la bonnette, correctement positionnée est, donc, complètement négligeable.

Par contre, pour effectuer des mesures successives, penser à la stérilisation.

Il est préconisé de désinfecter avec des lingettes imprégnées d’alcool à 90%, du gel hydroalcoolique, pas de ruissellement, la sonde ne doit, en aucun cas recevoir de liquide à l’intérieur (risque de détérioration de la sonde infra-rouge). On peut, utilement compléter par une exposition à la lampe UV pendant quelques minutes.

 

Mesures effectuées avec un masque grand public :

Nous vérifions, à l’usage, que la précaution de mesures effectuées sur 5 minutes est plus que suffisante (voir la video). En fait, l’affichage ne cesse de croître, très rapidement et, au-delà de 6000 PPM, nous décidons de cesser l’expérience. Le fait de dépasser le seuil des 5000 PPM est complètement ahurissant !

Que dire des personnes qui portent ces masques plusieurs heures par jour, plusieurs jours par semaine, et, pendant combien de temps ?

Nous ne venons, ici, de traiter que les problèmes de manque d’oxygène et surcharge en dioxyde de carbone. Ce qui est déjà considérable.

Mais, en outre, la mauvaise qualité de l’air, jointe à l’excès d’humidité, font que la situation est tout-à-fait favorable aux développements du Coco virus, bien sûr, mais, également, de toutes sortes de virus, bactéries, champignons, etc. …

Vu les rapports dimensionnels entre la prétendue protection et le virus, cela revient à interposer un grillage à mailles carrées de 1 m de côté pour faire barrage aux moustiques. Si c’est un moustique dépressif, peut-être, quoi que !

Et encore, nous n’avons pas abordé les problèmes liés aux yeux. Il est vrai que le masque grand public ne protégeant, en rien, ni la bouche, ni le nez, pourquoi se préoccuper des yeux ! Le canal lacrymal, apparemment, ce n’est pas important !

 

Donc, côté positif du masque, zéro ; côté négatif, une foule de problèmes sanitaires, psychologiques, sensation, bien réelle d’être bâillonné et politique, sensation d’être muselé.

Se masquer et se laver les paluches, méthode Ursula, c’est du pipeau, de l’enfumage destiné à masquer, sans jeu de mots, les problèmes réels.

Vous voulez que je vous dise ce que sont les problèmes réels ? !!!

 

Par contre, nous allons tenter d’étudier, pour les civils qui n’ont pas fatalement approché des produits véritablement dangereux, l’utilisation d’un masque à large spectre de protection.

Nous pensons que ce masque, dont l’utilité n’est pas évidente, en ces temps de petite épidémie déguisée en pandémie pour les besoins de la cause, ce masque pourrait s’avérer fort utile, … la prochaine fois.

Les pouvoirs qui n’en manquent pas une, ont le temps pour eux. Ils nous ont amusés avec la grippe des zoziaux, avec le H1N1, ils ont forcé la dramatisation avec le coco virus. Alors, la prochaine fois, le bon populo croyant avoir affaire avec les mêmes blagues que précédemment, le bon populo va continuer comme si de rien n’était, et là, vlan, …. Trop tard !

Nous préférons, donc, anticiper.

 

Présentation succincte du masque intégral Honeywell Optifit TWIN bi cartouche ABEK1 P3

  

 

 

Avantages :

Masque professionnel, étanchéité sérieuse, pas bricolée. Cartouches polyvalentes : gaz, vapeurs, particules solides et liquides.

Le coco qui voyage sur aérosols n’a qu’à bien se tenir (s’il existe !) et surtout, on est prêt, tous azimuts, au plus près de ce qui est prévisible.

Je ne connaissais de mieux que le Spiratom de Spirotechnique, il semblerait qu’il soit relégué aux antiquités ! Serais-je une antiquité ?

Problème de ce produit : Le prix et quelques embrouilles (gouvernementales) pour se le procurer.

Bon, pour aller faire son marché, le succès est assuré, mais, il faut choisir, la sécurité, la santé ou le politiquement correct.

 

Petit rappel concernant les normes en vigueur pour les masques disponibles, en vente légale et libre, … pour le moment.

 

A Gaz et vapeurs organiques de produits d’ébullition 65° C, solvants et hydrocarbures divers (chimie organique).

B Autres gaz et vapeurs inorganiques (chimie minérale).

Les différences sont assez complexes, donc, mieux vaut être protégé des deux risques. Seuls des professionnels avertis peuvent faire l’économie d’une protection ou de l’autre, suivant leur activité.

E Gaz et vapeurs acides

K Ammoniac et amines. AZF et Beyrouth, nitrate de type agricole ou autre, 33.33%, quand ça flambe, les gaz produits ne sont pas du Chanel N°5 !

P Classe de protection en fonction de la teneur en gaz :

P1 : <0.1%,   P2 : entre 0.1 et 0.5%,   P3 : entre 0.5 et 1%

D’autres protections existent, évidemment, mais elles ne sont pas disponibles pour le public, raison de plus pour anticiper.

 

Nous allons rapporter ici un descriptif sommaire de la deuxième partie de la video sur les masques.

 

On peut voir que la teneur en CO2 se stabilise en quelques minutes autour de 1 200 PPM. Ce qui nous amène à deux conclusions :

Premièrement, le port d’un tel masque n’est pas une opération anodine et doit être décidé en toute connaissance de cause.

Deuxièmement, même s’il est efficace, il ne garantit pas une protection à 100%. Donc, autant que possible, éviter les risques de contaminations avant de songer à se protéger, uniquement, si nous ne pouvons pas faire autrement, c’est-à-dire, si on est obligé de se trouver en présence d’un danger potentiel.

 

Rappel important :

Le constructeur insiste fortement sur la nécessité de formation avant d’utiliser l’appareil. Au vu de sa sophistication, comprenons bien qu’il est impératif de bien connaître le masque, les divers filtres adaptables, la manière de monter les filtres, leurs limites d’utilisation, les divers réglages, etc. …

 

Dans la limite de nos connaissances, nous répondrons volontiers aux demandes de nos amis qui souhaiteraient plus de détails.

 

Des jours, des mois, des années difficiles se profilent à l’horizon, restons vigilants.

 

Lien de la video : Carmentran et CO2 ( Carmentran, c’est, en Provençal, la fête du Carnaval, carême prenant, début du Carême).

 

 

Bonne santé à toutes et à tous,

Michèle et Gérard

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5 Commentaires

  1. “…Niveau 3 Alerte rouge. 2000-5000 PPM , … graves dégâts sanitaires, attention aux dégâts irréversibles. Risques majeurs d’intoxications…” Je m’inscris en faux contre cette affirmation ! ON NE PEUT PAS S’INTOXIQUER AU CO2 ! Parce que le CO2 n’EST PAS UN GAZ TOXIQUE ! Plus lourd que l’air, il se répand au niveau du sol et vous prive d’oxygène exactement comme l’eau d’une inondation vous noierait. Vous mourriez aussi sûrement dans une enceinte ne contenant que de l’azote, ou que de l’hélium mais uniquement par manque d’oxygène. Il ne faut pas confondre étouffement et intoxication.

  2. Il manque une mesure importante de référence pour comparer : mettre la sonde directement devant la bouche pendant la respiration, sans masque.

  3. Bravo à Michèle et Gérard!
    Cela dit : 200 euros pour une période de 6 ans, ce n’est pas très optimiste concernant la durée d’un virus toujours mutable.. même avec retour sur investissement comme disent nos bricolos de la finance mondialiste. Croyez-vous qu’au “vu des chiffres galopants de la positivité des djeunes, ils vont le rendre obligatoire par précaution, pour tous les vieux encore non confinés???

  4. C’est bien pour ça que depuis tout le début le gouvernement de bras cassés que la France a hérité nous a seriné que le masque était inutile.

    Nous n’avions pas compris la pensée complexe de leur chef de file.

    Maintenant, ils nous l’imposent parce qu’ils ont compris qu’ils pouvaient nous conditionner et nous imposer, sinon par la force, du moins par la ruse, le vaccin de venin assorti, pourquoi pas, d’une puce espion de BigPharma…

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