La nuit vient de tomber en ce dimanche soir. La Croix-Rouge effectue ses « maraudes » habituelles pour offrir assistance aux sans-abri et à celles qu’elle appelle pudiquement les « travailleuses du sexe ».
Il est un peu plus de 22h30. Avenue de la Libération, à proximité du parc de Blossac, le camion de la Croix-Rouge est hélé par une de ces prostituées, visiblement traumatisée. La jeune femme explique en anglais qu’elle vient d’être agressée et frappée par deux jeunes hommes. Elle a laissé tomber son sac à main et ses agresseurs s’en sont emparés.
Elle désigne de la main une de ses camarades qui se trouve 200 mètres plus loin. La jeune prostituée semble être importunée par les deux hommes qui tentent de l’entraîner dans une ruelle obscure.
« On voulait juste leur dire bonjour »
Les travailleurs sociaux de la Croix-Rouge décident d’intervenir, en même temps qu’ils alertent la police. Se voyant repérés, les deux agresseurs prennent la fuite, abandonnant le sac. Ils sont cueillis par la police quelques minutes plus tard. Il s’agit de deux ressortissants afghans de 25 et 28 ans, arrivés il y a deux à trois ans en France. Ils bénéficient depuis peu du statut de réfugiés et à ce titre, rappelle à l’audience le procureur de la République, disposent d’un logement et d’un pécule alloués par le département. Ils sont inconnus des services de police.
Après avoir hésité à retenir la tentative de viol, le procureur renvoie les deux hommes devant le tribunal correctionnel en comparution immédiate pour des faits de violence volontaire et de vol. Il rappelle qu’aux yeux du ministère public, les victimes sont sinon juridiquement, du moins moralement, « des personnes vulnérables » du fait de leur activité.
Le procès a eu lieu hier et les deux prévenus ont tous deux assez maladroitement contesté les faits qui leur sont reprochés: « Elles ont eu peur parce qu’on avait bu, » explique l’un d’eux dans sa langue maternelle. « C’est de fausses accusations. On voulait juste leur dire bonjour »,surenchérit son camarade.
Le témoignage des membres de la Croix-Rouge et les dépositions concordantes des deux victimes, absentes à l’audience, suffisent à emporter la conviction des juges, qui condamnent les deux prévenus à six mois de prison, dont trois assortis du sursis et ordonnent leur placement en détention.
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Manipulations médiatiques :
Un islamiste qui a fait partie de la police révèle à médiapart :
«C’est un métier perverti par les dérives racistes»
https://twitter.com/Mediapart/status/1290993391241699329
Et dire qu’on confie des flingues à ce genre de type !
Si j’étais plus jeune je me laisserai pousser la barbe apprendrai a parler le mahométan je jetterai mes papiers et débarquerai en demandant et obtenant le statut de » réfugiou politique » ………….PENARD !!
article intéressant qui mériterait une enquête approfondie sur :
1. la putasserie avocassière.
Le coup de l’agression sous l’emprise de l’alcool, c’est un truc d’avocat ; leurs clients disent avoir perdu la tête, ne plus se souvenir, et patati et patata…
2. la bassesse parquetière.
Quand il s’agit de poursuivre un souchien pour islamophobie, les représentants du ministère public ne se gênent pas de questionner le prévenu sur ses arrière-pensées. Tandis que pour un réfugié, lesdits représentants du ministère public connivent en lâche aux bobards de la gent avocassière.
SVP M. le réfugié musulman, surtout ne dite pas à l’audience ce que vous pensez d’une femme noire non-musulmane se prostituant.
deux ou trois ans qu’ils vivent aux crochets de la collectivité, et en plus maintenant ils ont un logement gratuit et de l’argent pour vivre,
au nom de quelle guerre ??? que font-ils chez nous ?
est-ce que ce sont ceux de Calais qu’on a obligés à rester en France ?
pourquoi ne pas faciliter leur départ vers l’Angleterre ??
merci pour cet article, ces faits relatés et la toute dernière excuse invoquée pour passer au travers des mails du filet ! ils ont toujours un coup d’avance ! je sais pour être allée dans un pays où l’alcool est prohibé que celui ci était « caché servi » dans des cafetières, histoire de ne pas montrer que l’on en buvait !
Toujours des chiens lévriers !