Les masques sont dangereux, ils ne protègent pas, au contraire, ils rendent malade

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En complément de la video sulfureuse et riche en bacilles, streptocoques et autres staphylocoques qui pullulent sur les masques, voici une autre démontration…

https://resistancerepublicaine.com/2020/07/23/ils-nous-obligent-a-porter-des-masques-pleins-de-staphylocoques-et-streptocoques/

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PORT DU MASQUE
Une mesure dangereuse, selon un microbiologiste

« Les masques qui sont sur le marché ne font rien pour protéger les gens du virus : ils ne sont pas stériles contrairement à ceux qu’on retrouve dans les hôpitaux et il ne faut pas les porter plus de 15 ou 20 minutes, sinon ils vont se transformer en incubateurs à bactéries. Et c’est encore pire pour les masques en tissus, de véritables ramassis de bactéries parce qu’ils sont poreux », estime M. Khoury.

Selon lui, le fait d’avoir une barrière collée près de la bouche et du nez permet aux bactéries inoffensives qui se trouvent dans notre organisme de proliférer à l’aide du niveau d’humidité, leur permettant de devenir dans certains cas des pathogènes menant à des infections sérieuses ou des maladies chroniques. « Ça se voit déjà à plusieurs endroits : des gens s’absentent du travail à cause des problèmes de santé dont le masque est responsable. Non seulement il ne les protège pas, mais il les a rendus malades. » Selon lui, les symptômes du port du masque sont tous les mêmes : mal de tête, nausée et difficulté à respirer.

Il ajoute que le lavage des masques réutilisables serait aussi loin d’éliminer toutes les bactéries. Ainsi, le seul contexte où il voit une utilité au masque serait dans les transports en commun, à condition que celui-ci soit jeté à la fin du trajet.

https://www.lecourrier.qc.ca/une-mesure-dangereuse-selon-un-microbiologiste/?fbclid=IwAR2_6glc3UDzMxPQuzZ_wIYHPr4RPbbNcEXuUKvuA5CeQkANTydKoZ7ErWg#.XxcCpwUiI4i.facebook

 

Après des semaines de tergiversations au sujet du port du masque, le gouvernement du Québec a officiellement annoncé lundi qu’il serait obligatoire d’en porter un dans tous les lieux publics fermés à compter de ce samedi et que les contrevenants feraient face à des amendes allant de 400 $ à 6000 $. Si plusieurs se demandaient pourquoi cette obligation n’avait pas été décrétée plus tôt, d’autres sont loin de s’en réjouir, décriant des mesures « exagérées », voire carrément « dangereuses ».

C’est le cas du microbiologiste Antoine Khoury, président-directeur général de l’entreprise Vacci-Vet à Saint-Hyacinthe. D’abord formé à la médecine dans son Égypte natale, il a ensuite étudié la microbiologie à l’Université de Montréal et s’est plus tard spécialisé dans le domaine vétérinaire. Mais depuis le début de la crise du coronavirus, il se questionne sur les décisions prises par le gouvernement et la santé publique, en particulier la question du port du masque, qui cause selon lui plus de tort que de bien.

« Les masques qui sont sur le marché ne font rien pour protéger les gens du virus : ils ne sont pas stériles contrairement à ceux qu’on retrouve dans les hôpitaux et il ne faut pas les porter plus de 15 ou 20 minutes, sinon ils vont se transformer en incubateurs à bactéries. Et c’est encore pire pour les masques en tissus, de véritables ramassis de bactéries parce qu’ils sont poreux », estime M. Khoury.

Selon lui, le fait d’avoir une barrière collée près de la bouche et du nez permet aux bactéries inoffensives qui se trouvent dans notre organisme de proliférer à l’aide du niveau d’humidité, leur permettant de devenir dans certains cas des pathogènes menant à des infections sérieuses ou des maladies chroniques. « Ça se voit déjà à plusieurs endroits : des gens s’absentent du travail à cause des problèmes de santé dont le masque est responsable. Non seulement il ne les protège pas, mais il les a rendus malades. » Selon lui, les symptômes du port du masque sont tous les mêmes : mal de tête, nausée et difficulté à respirer.

Il ajoute que le lavage des masques réutilisables serait aussi loin d’éliminer toutes les bactéries. Ainsi, le seul contexte où il voit une utilité au masque serait dans les transports en commun, à condition que celui-ci soit jeté à la fin du trajet.

C’est pourquoi M. Khoury se dit farouchement contre cette tendance à imposer le masque partout. « La COVID-19 est comme l’influenza, mais en plus virulente. La meilleure façon de combattre cette maladie est d’avoir un système immunitaire fort, donc la clé est d’éviter de l’affaiblir en portant un masque qui obstrue la respiration et qui aide les bactéries à se multiplier », estime-t-il, assurant qu’il cessera de fréquenter tous les lieux qui imposent le port du masque à compter de samedi jusqu’à ce que la donne change.

D’autres décisions discutables

De l’avis de ce microbiologiste, aucune des décisions dans le dossier de la COVID-19 prises par François Legault et le directeur national de santé publique, Horacio Arruda, n’a été bénéfique pour la population. Cela inclut l’incitation au lavage des mains fréquent – qui dénaturerait la barrière naturelle de l’épiderme, la rendant plus vulnérable – et la distanciation sociale de 2 m – qui ne protège pas de grand-chose selon lui. Il s’avoue aussi sceptique quant au vaccin à venir, qui risque déjà d’être désuet puisque le virus a vraisemblablement commencé à muter. « Ce sont des décisions prises par la politique et par la peur, pas par la science », décrie Antoine Khoury.

Et pourtant, même s’il dénonce les directives gouvernementales, qu’il juge mal avisées, il se tient loin des mouvements conspirationnistes qui espèrent le convaincre de se joindre à leur cause. « Tout ce qui m’intéresse, c’est d’informer les gens pour qu’ils sachent pourquoi ils portent un masque. » Il espère que le gouvernement fera vite marche arrière sur l’obligation de porter le masque dans les lieux publics, une mesure qui, craint-il, fera autant de mal à l’économie qu’à la santé des Québécois si elle devient la nouvelle « norme sociale ».

D’autres avis sur la question

Notre entretien avec le microbiologiste Antoine Khoury a révélé que ses observations allaient complètement à contre-courant de ce qui est véhiculé par les autorités québécoises concernant la question du masque pour se protéger de la COVID-19. LE COURRIER s’est intéressé à d’autres avis sur la question du masque, de son efficacité et de ses risques.

Notons d’entrée de jeu que, jusqu’au 5 juin, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) ne recommandait pas le port du masque. Sa position a depuis changé grâce aux conclusions de nouvelles études et elle offre maintenant des directives sur la façon de porter le masque de façon efficace et sécuritaire. Au Canada, on le recommande, mais seulement lorsque la distance de 2 m est impossible à maintenir dans les lieux publics achalandés. Le Québec est actuellement la seule province canadienne à imposer le masque.

L’avis des spécialistes de la santé a aussi évolué avec le temps et la majorité d’entre eux semblent être d’accord pour dire que le masque peut aider dans une certaine mesure à éviter la propagation du coronavirus. L’urgentologue Dr Alain Vadeboncoeur s’est fait entendre à plusieurs reprises en faveur du port généralisé du masque.

Il s’attaque aussi à différents mythes entourant le masque et a publié, le 7 juillet, une chronique dans L’actualité où il a réalisé l’expérience de tester sa saturation en oxygène sans masque, avec différents masques et même avec plusieurs couches. Sa conclusion est sans équivoque : même avec quatre masques (dont un N95), une visière, une jaquette d’hôpital et un drap sur la tête, il n’a subi aucune hypoxie (manque d’oxygène). Son expérience a été largement relayée depuis.

Un symbole?

LE COURRIER s’est aussi entretenu avec Dr Bernard Massie, microbiologiste à la retraite qui a notamment œuvré comme gestionnaire principal du secteur thérapeutique en santé humaine au Conseil national de recherches du Canada, pour obtenir son avis sur certaines affirmations d’Antoine Khoury.

Sur la question de l’utilité du masque, il reconnaît que la littérature scientifique est loin d’être unanime. « Depuis le début de la crise, on entend des messages contradictoires sur le masque et il faut dire que, scientifiquement, ce n’est pas prouvé que ça marche ou que ça ne marche pas. Alors, le gouvernement ne prend pas de chance de rendre le masque obligatoire, mais c’est plus un symbole qu’une mesure efficace validée par la science », commente-t-il. Toutefois, il doute que les masques aient véritablement l’effet d’un « incubateur à bactéries » comme le prétend Antoine Khoury. « Après tout, ce sont des micro-organismes qui sont déjà en nous. »

Dr Massie s’est intéressé à une revue des études sur la question du masque compilée et commentée par le physicien ontarien Denis Rancourt, carrément intitulée « Les masques ne fonctionnent pas » (Masks don’t work). Initialement publié en avril 2020 sur le site de Research Gate, le texte a été retiré au début juin. Or, ses conclusions se rapprochent sur plusieurs points de celles que fait Antoine Khoury aujourd’hui, posant aussi la question des dangers des bactéries qui peuvent se développer à l’intérieur des masques, mais sans fournir une réponse.

Un autre scientifique s’est aussi questionné sur le port du masque généralisé. Le 11 juillet, le professeur de physique Normand Mousseau s’est fait entendre en dénonçant la politique du port du masque dans le texte d’opinion « Masques obligatoires, science optionnelle » sur La Presse +.

Cette sortie, comme toutes les autres allant à contre-courant, a été vivement critiquée. Si le consensus scientifique semble aujourd’hui tendre vers les bienfaits de porter un masque pour protéger les autres, il reste bel et bien des moutons noirs qui, loin des théories du complot et de la défense de leur « liberté » de ne pas en porter, défendent un point de vue loin de plaire aux autorités québécoises.

LE COURRIER a tenté, mardi, d’obtenir l’opinion de la santé publique sur ces points de vue divergents, mais celle-ci n’était pas en mesure de nous mettre en contact avec un expert sur la question avant notre heure de tombée. Chantal Vallée, agente d’information à la Direction de santé publique de la Montérégie, assure toutefois que, pour l’ensemble des spécialistes du réseau de la santé, « le port du masque offre un avantage » évident pour combattre la COVID-19, surtout lorsque cette mesure est combinée à d’autres comme la distanciation physique et le lavage des mains.

Une entrevue avec un expert affilié à l’Institut national de santé publique du Québec pourra avoir lieu dans les prochains jours, nous a assuré Mme Vallée.

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14 Comments

  1. Dire que le masque ne sert à rien est une connerie sans nom et dangereuse. Non, certes, il ne protège pas totalement celui qui le porte, la taille du virus aéroporté lui permettant théoriquement de franchir cette barrière.
    MAIS il vous protège des particules chargées en virus comme les postillons des autres qui eux sont trop gros pour franchir la barrière mécanique du masque. En outre, il protège LES AUTRES de VOS postillons en les empêchant d’être rejetés à l’extérieur de votre bouche. C’est donc aussi un acte de CIVISME.
    C’est un non-sens de prétendre le contraire. Pourquoi de tout temps porte-t-on des masques dans les services de chirurgie d’après vous ?

  2. Ceci dit , le masque a au moins une utilité : il confirme à tous ceux qui en doutaient encore qu’ils ont mauvaise haleine …

  3. Enfin, arrêtez les discussions stériles et hors contexte ! Il n’a pas de solution miracle, toutes les solutions ont les avantages et les contraintes.
    L’exemple des pays asiatiques, comme la Corée du Sud, Japon montre que le port généralisé des masques, dans les endroits de la concentration des gens et en pleine d’épidémie, est très efficace. Ces pays ont traversé la crise épidémique avec les masques et sans du confinement. En résultat, la mortalité de COVID-19 (nombre de morts par population) dans ces pays est 50 fois ( !) inférieure qu’en France, donc au Japon : 0.0008%, en France : 0.0462% (https://www.worldometers.info/coronavirus/). Et encore les dégâts économiques en France sont énormes, quand l’économie Coréenne est dans son état quasiment normal.
    Par contre, le port des masques actuellement, quand l’épidémie a quasiment disparu, est absurde et ressemble plutôt à un test de soumission de la population à nos gouvernants.
    Les pays asiatiques nous montrent une autre expérience, très utile. Là-bas depuis l’épidémie de grippe de 2009 il y a apparu une nouvelle norme sociale : les gens avec les moindres symptômes du rhume, de la toux portent un masque dans les endroits publics (dans le transport, au travail, dans les boutiques de commerce, dans les rues peuplés, etc.). Donc, quand vous voyez que les certaines personnes portent les masques dans les rues de Tokyo, ça n’est pas les gens trop méfiants, mais ils essayent de protéger des autres ! Par contre, je ne suis pas du tout sûr qu’on puisse reproduire ce comportement en France, qui est socialement déchirée.

    • « …Par contre, le port des masques actuellement, quand l’épidémie a quasiment disparu, est absurde et ressemble plutôt à un test de soumission de la population à nos gouvernants… »

      Le gros de l’épidémie est effectivement passé, mais le risque de contamination est encore bien présent sinon ils ne reconfineraient pas dans certaines régions d’Espagne par exemple
      https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/le-reconfinement-prend-de-lampleur-en-espagne_4037025.html,
      Porter un masque dans certaines situations notamment dans des lieux où l’on a de fortes densités de population et donc une promiscuité n’est pas un acte de soumission. Certes ce gouvernement a tout merdé et continue d’ailleurs mais je ne pense pas qu’il faille raisonner en terme de soumission ou non à ce gouvernement, mais avec du bon sens et en terme de faire au mieux pour éviter de retomber dans la mouise que l’on a vécue en mars dernier.
      Ceci dit je ne pense pas que nos discussions soient si stériles que ça, on a des idées on les défend, on argumente et on en débat, c’est ainsi qu’on progresse…

      • D’accord pour débattre et argumenter, sauf qu’ici à moins d’avoir des connaissances avérées, c’est à la vraie science qu’ils faut s’en tenir, pas aux idées sauf si elle sont réellement basées sur dites science mais surtout expérience. Certains ont et continuent de simplifier ce qui ne l’est nullement et qui devrait être approfondi. Tel que dire qu’après tout, ‘ce sont des micro-organismes qui sont déjà en nous’, simpliste et faire fi de tous les autres éléments à prendre en considération, et ce n’est pas parce que l’on exhale quelque chose qu’il faudrait sans cesse le respirer de nouveaux. Quand à se coller plusieurs masques sur la figure et ‘tout va bien’ bla bla, ah si seulement ça pouvait être aussi simple…

        Au final les masques que n’importe qui peut acheter et soyons francs, sont franchement de la merde, n’ont effectivement rien à voir avec les masques réellement dit chirurgicaux, c’est presque le jour et la nuit, y compris et surtout le niveau de filtration.

        Il faudrait aussi avoir tous les faits en ce qui concerne pourquoi ça reconfine en Espagne, vraiment pourquoi, et ici nulle confiance dans les dépêches de l’AFP. Si effectivement des cas prouvés et non pas devinés ou fabriqués, c’est local ou importé ? Parce populaces sommées de ci et ça alors que pays ouverts comme moulins et n’importe qui et quoi peut entrer sans souci, on a vu l’exemple à Marseille avec les retours des bleds.

        Les hospitalisations se montent à combien ? Et quel genre d’admission ? Faudrait pas non plus oublier tous les traitements plus du tout suivis, les opérations annulées etc etc ces derniers mois. Je dis juste.

        Y’a tellement à prendre en compte, y compris les climats, et il faudrait commencer à faire des comparatifs avec les pays qui ont un climat se rapprochant pas mal du notre et sont maintenant en hiver. Cas ? Vagues ? Décès ? Ou pas.

        Ça pourrait prendre des heures et des pages mais pas question, j’ajoute juste qu’il ne faut non plus perdre de vue que des pays d’Asie comme le Japon, la Chine, la Corée… depuis des décennies portent souvent des masques et prioritairement contre la pollution chronique. Pas pour dire que ce n’est jamais pour se protéger/protéger d’épidémies évidemment, mais c’est quand même un détail à rappeler.

        • Oh on peut faire très simple sans aller chercher des notions scientifiques de haut niveau et palabrer des heures.
          1) le Covid se transmet par les micro-goutes que nous projetons en parlant, en toussant et en éternuant, je pense que personne ne doute de ça
          2) Tout ce qui permettra de limiter le dispersion de ces micro-gouttes contribuera a limiter la propagation de la bète, c’est pourquoi entre autres nos parents nous apprennent très tôt à mettre « la main devant la bouche » quand on tousse et éternue où que l’on nous dit de tousser et éternuer dans notre coude. donc tout tissu, tout masque plus ou moins sophistiqué contribuera a limiter la dispersion du virus. Bien évidemment dans des endroit où il y a une faible densité de personnes c’est pas utile mais dans les endroits où les gens sont nombreux et où il y a de la promiscuité un masque correctement utilisé aura un effet certain.
          Bien sûr le lavage régulier des mains sera une mesure très efficace sans être absolue non plus

          • Avant de pour moi clore ce sujet, je souligne juste que je parlais des masques pour ce qui est de se référer à la science propre parce que n’en déplaise à pas mal, c’est loin d’être le cas.. Au final chacun de voir sur quoi se basera son choix de port de masque ou visière, ou rien.

            Quand au lavage des mains, selon avec quoi est effectué et cadence, gare de ne pas abîmer la barrière de la peau en la dépouillant de ses lipides naturels. Cela coule peut-être de source pour certains mais n’est évident pour d’autres et les dégâts, il y en a déjà, donc toujours hydrater pas avec n’importe quoi non plus.

      • Charles Martel 02,
        Bien sûr, l’épidémie est là et elle restera encore avec nous pour quelques années. Mais les réactions exagérées de nos gouvernants montrent, que leur but principal est dans une humiliation et harcèlement de population, même pendant affaiblissement d’épidémie. Leur typique schéma : (1) augmenter le nombre de tests, (2) à retrouver quelques personnes contaminés, (3) médiatiser comme une catastrophe, (4) confiner une région, provoquer les dégâts économiques importantes. En l’Espagne on réalise cette scenario dans les certains régions, bien que la situation épidémiologique générale est favorable (https://www.worldometers.info/coronavirus/country/spain/).
        Cette action du confinement local des gens en bonne santé est absurde et propagandiste. Dans les pays asiatiques (Corée du Sud, etc.) on fait inverse, on mit en quarantaine seulement les personnes contaminés et, pour les autres, la vie normale continue.

  4. Non, on ne peut pas dire que les masques ne servent à rien et rendent malade. C’est comme si on disait que s’exposer au soleil ne sert à rien et rend malade. S’exposer raisonnablement au soleil sert à fabriquer son stock indispensable de vitamine D, mais ça peut rendre très malade si on fait n’importe quoi et qu’on se surexpose. Les masques ont une utilité mais ils doivent être utilisés en suivant certaines règles pas très difficiles à respecter dans le cadre de geste barrière contre le Covid. Je ne peux pas abonder dans le sens de certains articles parus ici et de certaines tendances qui dénigrent à fond et sans discernement le port du masque. Il faut tout de même pondérer cette aversion un peu aveugle des masques, aversion qui, je le conçois, est pour beaucoup due au foutage de gueule et aux pantineries étatiques, à l’incompétence et à la corruption crasses et criminelles d’un gouvernement qui a clamé que les masques étaient inutiles et qui, soudain, se met à les rendre obligatoires partout et parfois dans des conditions où ils sont parfaitement inefficaces. On en arrive un peu à rejeter sans appel tout ce que dit le gouvernement et je ne blâmerai pas cette défiance qui peut trouver tout un tas de justifications dans l’impéritie crasse de nos gouvernants (menteurs professionnels) et de ces comités de médecins experts de salons plus soucieux de satisfaire Big Pharma que de prendre des mesures, peut être imparfaites, mais un tant soit peu efficaces pour sauver quelques vies de plus dans un contexte de guerre comme l’a répété 7 fois Choupinet dans un de ses discours. Mais dans le cas des masques il faut prendre un peu de recul.
    Le risque Covid:
    Le Covid 19 est bien présent et bien que l’on aurait pu grandement limiter le nombre de morts si on n’avait pas eu un gouvernement de salopards incompétents et corrompus, les morts sont là et bien là. La catastrophe sanitaire vécue par les gens des départements de l’est, entre autres, est bien une réalité, le Covid 19 tue, il suffit de voir ce qui se passe aux USA où les gens se sont contrefoutu de toute mesure de précautions https://www.dailymotion.com/video/x7uq6s1.
    En ce moment nous sommes en été, et du fait du fort ensoleillement et du temps sec, les virus disséminés dans la nature s’inactivent beaucoup plus vite, c’est le cas de beaucoup de maladies saisonnières comme la grippe ou les rhumes (dont certains sont dus à des coronavirus). Cependant le risque de contamination par une personne atteinte est toujours réel et on peut envisager une recrudescence des cas de Covid 19 quand nous aborderons l’automne et des saisons plus humides, sans pour cela crier au loup et prédire une seconde vague catastrophique, l’hypothèse d’une seconde vague, peut être sérieuse, ne peut pas être écartée.
    Les masques :
    Bien sûr tous les masques n’ont pas la même efficacité, un FFP3 sera mieux qu’un FFP2, qui sera mieux qu’un masque chirurgical, qui sera mieux qu’un masque en tissu etc etc mais à partir du moment où on protège ne serait-ce que partiellement nos congénères de nos postillons et des aérosols que nous pouvons émettre en éternuant ou en parlant, on va limiter (je dis bien limiter et non pas totalement empêcher) la propagation du virus. On ne peut pas dire que les masques ne servent à rien, à ce moment-là, les pays asiatiques, bien connus pour leur pragmatisme, ne s’enquiquineraient pas à imposer des masques à la population dans les moments d’épidémies que ce soit de grippe ou autre maladies transmissibles par les voies aériennes comme le Covid 19. Le problème c’est qu’un masque ça doit s’utiliser suivant certaines règles et je suis d’ailleurs étonné que notre gouvernement, avec ses multiples agences et « hautes autorités » sensées prendre soin de notre santé, ne diffuse pas de clips télévisés afin de montrer où et comment on utilise un masque et quelles sont les limites de son utilisation. Le cadre de gestes barrière contre le Covid 19 n’est pas le même cadre d’utilisation d’un masque dans un bloc opératoire ou une salle stérile. Le but c’est limiter au mieux l’exposition de la population saine aux postillons et aérosols émis par d’éventuelles personnes contaminées. Bien sûr, je vois tous les jours des choses qui m’exaspèrent un peu : masques sur le menton ou au-dessous du nez, masques de toute évidence enlevés et remis depuis plusieurs jours, bref autant de mauvais gestes qui contribuent à faire du masque un engin pouvant devenir contaminant. Mais un masque qui une fois correctement posé est porté 3 ou 4 heures puis correctement jeté va avoir une certaine efficacité. Un masque porté 30 minutes, correctement suspendu et remis correctement (ce qui est inconcevable dans un bloc opératoire bien sûr) aura une efficacité. En fait tout ce qui va limiter la diffusion de postillons ou de micro-gouttes d’humidité aura un effet, certes pas absolu mais effet il y aura.
    Les masques lavables
    Oui ils ont une efficacité, dans le contexte dont nous parlons, un lavage à 60°C, ou un lavage à froid suivi d’un repassage avec de la vapeur à 100°C va neutraliser les particules virales. Le fait de sécher un masque en plein soleil toute une journée va neutraliser du virus. Quant à son efficacité en tant que barrière je dirai que quelqu’un qui éternue ou parle sans masque projettera bien plus de particules virales que la même personne qui éternue ou parle avec un masque ou même un simple foulard devant la bouche, diminuant de ce fait la concentration en particules virales susceptibles de se balader devant le nez des autres. Vu que le niveau de contamination est aussi lié à la concentration de virus dans l’air, le port d’une barrière devant la bouche et le nez aura nécessairement un effet.
    Tout ça pour dire que oui les masques bien utilisés ont une efficacité, que oui le Covid 19 se balade toujours et que l’hypothèse d’une seconde vague ne peut pas être écartée https://www.la-croix.com/Sciences-et-ethique/Sante/LOMS-alerte-recrudescence-cas-Covid-Europe-2020-06-25-1201101795. Il faut réaliser que rien de ce qu’on pourra faire sera à 100% efficace, seul un faisceau de précautions correctement appliquées qui auront tout au plus une efficacité individuelle partielle mais qui auront, ensemble, un effet synergique permettra de limiter les dégâts provoqués par la propagation de ce virus. Encore une fois, le bon sens – chose se raréfiant au fur et à mesure qu’on monte dans la pyramide de l’état – doit présider à tous ces actes. Bien évidemment obliger des gens à remettre un masque dans une salle de restaurant pour aller pisser est débile car la personne va passer devant des tables où par la force des choses les gens ne portent pas de masque, la distance entre les personnes sera alors la meilleure des précautions. Cependant dans les magasins et autres lieux où la densité de personnes est élevée le port d’un masque correctement utilisé aura une efficacité certaine.
    Dans ce contexte rien n’est parfait, ce sera l’accumulation de plein de précautions simples, masques, distance, lavage des mains etc qui permettront de limiter au maximum les effets du Covid 19, car s’il advenait qu’une nouvelle vague épidémique apparaisse, on ne pourrait ni compter sur Choupinet et sa bande de sinistres ministres corrompus ni sur ces multiples conseils scientifiques et hautes autorités composés de mandarins plus soucieux de leur promotion que de la santé des français, pour éviter de retomber dans le merdier que l’on a connu en début d’année.

  5. ========================
    Ils vont venir ; ils s’ront tous là ;
    du bled ils vont venir
    avec du COVID plein le coooorps.

    Et nous, et nous et nous ?!
    Aïe de nous !
    Des prioritaires qui nous arrivent ;
    et eux n’se rasent pas
    ils rasent !

    La Chance ! C’est pas eux pour la France
    Mais la France pour eux ;
    Cette France blanche,
    raciste allergique à l’islam.
    Qu’ils en ont de la chance !
    Et nous pas d’être les « privilégiés »
    d’un pays de « chanceux » !
    ______________________
    Coronavirus
    Si le Covid-19 n’est pas stoppé en Algérie, les médecins «seront obligés de trier les malades»
    :::: https://sptnkne.ws/DeUN

  6. Bonjour voilà une des raisons pour laquelle je ne porte pas de masque, n’y je ferais de vaccin , personne de m’y obligera, j’en mets un a entrée d’un commerce puis je enlève aussitôt , sinon je le mets a aucun autre endroit…quitte a frapper celui qui voudrait me imposer. Quant au covid je l’ai eu en mars comme toute ma famille, certains âges sont décédés , rien ne peut empêcher notre départ quant cet notre tour, perso je ne craint n’y la mort n’y enfer celui ci est déjà sur terre propagé par islam.

  7. C’est pour finir ce que le covid 19 à épargné. Le problème des retraites va pouvoir enfin être résolu, n’est ce pas mohamad micron.

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