Attention arnaque et manipulation : refusez les tests gratuits Covid-19 !

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Toutes les statistiques officielles montrent que la mortalité liée au Covid-19 est largement en baisse depuis mi-mai et est proche de zéro en Europe et même en Chine. Aux USA, la pseudo-rechute au Texas est démentie par les chefs de service des hôpitaux texans eux-mêmes qui témoignent de la vacuité des lits hospitaliers.

Alimenter la peur

Mais on veut poursuivre la panique, ce qui a deux avantages majeurs : limiter les manifestations contre la destruction de notre modèle social, et d’autre part nous faire accepter l’idée d’un vaccin obligatoire dès que possible.

Pour alimenter la panique, la peur, l’effroi, et stimuler l’obéissance, quoi de mieux que remplacer les « morts » par des « cas » d’autant que vu la non-fiabilité des tests qui dépistent tout et n’importe quoi comme le rhume lié au coronavirus d’il y a quelques années, il y a aura autant de positifs que souhaité, en multipliant les sujets testés. Et le non-médecin a bien du mal à faire la différence entre un malade et une personne testée positive, d’autant que les médias s’arrangent pour pratiquer la confusion.

Quand les « cas » faux malades remplacent les morts pour entretenir la panique

On est vraiment dans la société du fake d’Orwell.  Épidémie terminée, il n’y a plus de morts, qu’à cela ne tienne, on invente des « cas » grâce aux tests bidons, un cluster par-ci par-là, une école fermée alors que les enfants ne transmettent jamais le virus. En y regardant de plus près, chaque annonce de foyer dit « cluster » en novlangue, correspond effectivement à des sujets testés positifs sans plus, avec bien du mal pour en trouver d’autres dans l’entourage.

Les tests sont imposés pour relancer la panique, alors qu’il n’y a plus de morts à annoncer chaque soir à la télé. Même aux USA, la mortalité baisse rapidement et on ne parle plus maintenant que de cas…. Fini les morts, fini les malades qui ont des symptômes, qu’il faut soigner, il ne reste que des cas…

Faire l’amalgame entre morts, malades et « cas » (soit des testés positifs ne prouvant absolument rien) relève de la supercherie, mais alimente la peur, justifiant parfois des confinements bien utiles aux politiques. Et les membres de la secte Covid-19 mis en condition en rajoutent sur les réseaux sociaux, via cette peur intériorisée par les discours mensongers depuis trois mois et dont ils ne peuvent plus sortir.[1]

Trop facile la confusion pour qui n’est pas dans le milieu médical…. Un cas ? qu’est-ce donc, quelqu’un qu’il faut soigner ? Que nenni… « Quelqu’un qui s’est fait avoir » selon l’expression qui envahit le net concernant le Covid-19.

Quelqu’un qui s’est fait avoir ou s’est vu imposer un test pour subir enfin l’opération qu’il attendait depuis quatre mois au moins… Pourquoi un test quand chaque professionnel un peu instruit ou tout bêtement curieux a appris que ces tests ne sont absolument pas fiables, ni dans un sens, ni dans l’autre.  Mais ce sont probablement les fabuleuses Agences Régionales de Santé qui imposent de faire ces tests ! Comme vous avez pu le suivre dans les auditions à l’Assemblée nationale, tous ces gens ont les idées très claires.

Une opération d’allure humanitaire pour ces pauvres habitants d’Île-de- France [2]

« Les « gentils » vaccinateurs suivent leur méthodologie habituelle. Ils vont commencer par les tests. Ils testeront les gens gratuitement (bons de la Sécu) dans les villes d’Île-de- France les plus défavorisées.  ll y a actuellement une liste de 32 villes publiée par Véran (liste non exhaustive qui s’étendra ensuite à la France entière). 

 Ils utiliseront les bâtons dans le nez, dangereux pour plusieurs raisons :

Risque de perforation des sinus et atteinte du 6e chakra : Ajna, le chakra de la clairvoyance (troisième œil).

Risque d’inoculer par ce moyen des nanoparticules, virus ou bactéries…

Risque de fichage de la population.

Risque de chantage : une personne entrée à l’hôpital récemment pour se faire opérer a refusé de se faire tester, se sachant parfaitement saine. On l’a alors menacée de ne pas l’opérer. Elle a été obligée de subir ce test invasif.

Risque de faux positifs, ces tests n’étant pas fiables.

Les tests ne sont que la première étape du processus…Vous avez compris la suite ».

 Les tests sérologiques à partir de votre sang ne sont pas fiables non plus. Et des articles allemands américains, entre autres, le répètent chaque jour.

 « La théorie basée sur des sables mouvants prouve que l’être humain préfère toujours un mensonge logique et rassurant, simpliste, à la vérité plus complexe et plus effrayante ».

Les questions auxquelles vous aimeriez avoir réponse : « Êtes-vous infecté ? Êtes-vous contagieux ? Avez-vous été infecté ? Êtes-vous immunisé (protégé) contre le coronavirus SRAS-CoV-2, et pendant combien de temps ? [3] ».

Malheureusement l’ensemble des tests, que ce soit par prélèvement nasal (pour tests moléculaires par PCR recherchant directement le virus, ou bien les tests sanguins, ne sont pas fiables. Les réponses sont simplistes et manipulables.

 Les tests sérologiques au secours de la propagande Covid-19 ?

Ils recherchent la présence d’anticorps (AC) ou immunoglobulines (Ig) spécifiques du coronavirus SRAS-CoV-2. Il existe deux grands types d’anticorps : IgM : infection récente ou en cours, phase de contagion, et IgG : infection plus ancienne, guérison, plus de contagion.

Certains tests sérologiques dépistent uniquement les IgG. Des études ont montré que pratiquement tous les sujets qui ont présenté un Covid-19 symptomatique ont produit des anticorps IgG détectables pour autant que le prélèvement sanguin ait été réalisé au minimum 3 semaines après les premiers symptômes.

Mais ces tests n’ont aucune spécificité

C’est-à-dire qu’ils dépistent des choses, mais ne peuvent affirmer qu’il s’agit bien du coronavirus en cause pour l’épidémie actuelle. Et comme la famille des coronavirus est une famille nombreuse, il est difficile de s’y retrouver. Ces virus bénins engendrent des rhumes chaque année. Depuis la petite enfance, une véritable immunité anti-coronavirus s’est développée, facilitant la réaction immunitaire innée contre le SRAS-CoV-2 de sorte que celle-ci, chez un grand nombre de personnes, a pu suffire pour raccourcir la multiplication virale.

Les tests, aussi bien moléculaires de type RT-PCR (diagnostic, contagiosité), que sérologiques avec anticorps IgM-IgG (diagnostic, immunité) sont peu fiables.

Ils ne tiennent pas compte de l’immunité croisée aux autres coronavirus très similaires au SRAS-CoV-2 mais plus nombreux et bénins. Cette immunité a pu jouer un grand rôle dans la protection de tout un pan de la population, surtout les jeunes et les personnes en relative bonne santé (60 à 85 % des gens sont capables d’éliminer les coronavirus en n’utilisant que leur système immunitaire inné, sans développer d’anticorps pour cela).

Un taux bas d’anticorps peut simplement signifier que votre système immunitaire inné a été efficace, et a suffi à vous protéger. C’est bien !

On peut faire dire n’importe quoi aux tests, y compris les tests sérologiques (anticorps) et tout dépendra de l’intention, bienveillante et honnête OU malveillante et malhonnête, de ceux qui vous diront ce qu’ils veulent que vous croyiez.

La folie collective et la perte du bon sens [4]

 

 

« Nous avons là tous les symptômes d’une maladie qui a pour nom phobie microbienne, et si nous ne voyons pas le ridicule de cette contagion irrationnelle, c’est bien la preuve que nous y avons perdu la raison. Car l’idéologie dont nous parlons a imbibé si profondément les esprits dans la population qu’elle en a expurgé jusqu’au simple bon sens – Le respect, voire la vénération hypnotique qu’on voue à ce prêt-à-penser tenant essentiellement au caractère scientifique dont il s’est auréolé, et qui lui confère, dans la personne de l’expert, l’autorité suprême. L’affaire de la chloroquine en témoigne où cette autorité va jusqu’à bafouer l’indépendance professionnelle du « simple » médecin, en faisant fi du Code de déontologie qui la protège. ».

S’agit-il vraiment d’une simple « phobie microbienne » comme le suggère Pascal Perrier ? Probablement, mais il faut alors la voir à plus grande échelle comme un conditionnement continu depuis une quarantaine d’années, conditionnement de surmédicalisation à outrance. Cela a commencé par transformer les maladies bénignes de notre enfance en fléau : rappelez-vous la rougeole, la varicelle ou la rubéole de nos jeunes années, nous les babyboomers. Les mères étaient « tranquilles » lorsque nous les avions attrapées. « C’est fait, disaient-elles ! » Et puis on a réussi à faire croire aux plus jeunes, médecins et parents, que la rougeole est une maladie méchante sous nos contrées, et qu’il faut absolument vacciner et ainsi de suite.

La folie des dépistages du sein, de la prostate, du colon à l’essai a atteint une ampleur aberrante, si bien qu’il devient difficile de trouver quelqu’un de bien-portant autour de soi. Surmédicalisation permanente, abus de médicaments et encore plus d’examens dont la spécificité ² n’est pas évidente comme le PET-scan, et qui vous renvoient donc à d’autres examens.

Knock n’en croirait pas ses yeux. La peur de la maladie, tellement bien exacerbée par les marchands, a fait des milliardaires et aussi tant de victimes qui ont « eu un cancer » et qui ne vivront jamais normalement.  Sans la sinistre convocation de la mairie pour une mammographie gratuite, le petit nodule dépisté à force de machines de plus en plus pointues n’aurait jamais fait parler de lui. L’examen gratuit a transformé inutilement une femme heureuse en malade chronique, mutilée dans sa féminité et angoissée.

Si c’est gratuit, c’est vous le produit qui fera faire des profits. Pour les tests Covid-19 c’est idem, alors résistez. Regardez la courbe descendante des contaminations depuis TROIS mois. Chasser la peur que nos gouvernants et les médias tentent de maintenir !

Oubliez le virus, s’il revient on s’adaptera (chloroquine…) et sinon ce sera un autre virus, une autre maladie pour vous éviter de penser au désastre économique et à la perte de vos libertés.

Nicole Delépine 

[1] https://ripostelaique.com/une-nouvelle-secte-est-nee-les-porteurs-de-masque.html

[2] https://www.etresouverain.com/2020/07/01/les-5-bonnes-raisons-de-refuser-les-tests-covid/

[3] https://www.mondialisation.ca/le-jeu-des-tests-une-brique-de-plus-dans-la-desinformation-covid-19/5646879

[4]https://www.mondialisation.ca/covid-19-saurons-nous-tirer-toutes-les-consequences-de-cette-crise/5646735

https://ripostelaique.com/attention-arnaque-et-manipulation-refusez-les-tests-gratuits-covid19.html

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8 Commentaires

  1. Ces gens là sont prêts à tout pour nous dominer, nous astreindre, nous contraindre et faire gagner beaucoup d’argent à leurs bons amis dont Big Pharma, y compris contaminer des pseudo  » écouvillons stériles  » pour créer des  » cas  » . Les labos ont bien inventé des maladies pour vendre des médicaments inutiles https://youtu.be/sGCj9k0jwY0
    Ajoutez à cela que, mathématiquement, plus il y a de tests et plus il y a de cas, vous comprendrez que pour entretenir la peur du retour de la pseudo épidémie et du vrai reconfinement, il faut augmenter les tests quitte à les faire gratuitement pour augmenter le nombre de cas et accentuer la menace. C’est Salomon qui commande le couperet !

  2. Vaccins à vendre, qui veut un vaccin.
    Il marche votre vaccin,
    Bien sur il soigne tout, de la peine de cœur, la crise de foie à la rage de dent.

  3. Il y a un truc bizarre. Un ami m’a envoyé ce lien avec ce commentaire : « Le président de la Tanzanie, John Magufuli, a un doctorat de chimie.
    Il ne parle pas très vite, mais l’expérience qu’il a fait mener sur des tests Covid donne un résultat étrange !
    On nous dit déjà de nous méfier des vaccins à venir !!! »

    https://www.egaliteetreconciliation.fr/Test-Covid-le-president-tanzanien-pense-qu-il-se-passe-des-choses-etranges-59316.html

    ce n’est pas trop long mais il faut aller jusqu’au bout car … en Tanzanie on émet l’hypothèse que les bâtonnets qui servent à faire les tests sont piégés/manipulés…
    Bien sûr nous ne croyons pas ça mais… si en Tanzanie on y pense pourquoi n’y penserions-nous pas nous aussi ? Titre du nouvel épisode : « Les mystères des cotons au bout des tiges des test » qui fournit ces test ? qui les fabrique ? qu’est-ce qu’ils contiennent ? sont-ils anodins ? pour quelle raison aller blesser le fond du nez et de la gorge ? etc. Bref : le coton-tige n’a pas dit son dernier mot…

  4. Ce qui me convainc le plus dans cet article est que mon chakra risque d’en prendre un sacré coup dans la gueule avec leurs tests.

    Et mon troisième oeil, alors ?

    Sans lui, je serais foutu !

  5. bon article, ils aiment entretenir la peur et ainsi essayer d’avoir sous leurs seings la population fra nçaise,

  6. Risque de fichage de la population.
    C’est ça ce qu’ils veulent vraiment, ficher la population puis la vacciner pour lui introduire une puce sous cutanée!
    Big Brother’s watching you !

    • Le risque de voir une obligation d’ici 2030 une puce sous cutanée dé la naissance un nouveau né. Fait vite révolution on n’en veut pas.

  7. Un grand merci à ce couple de médecin HONNETE.
    Ce sont des gens courageux comme eux comme RAOULT PERRONNE et d’autres qui nous aident le plus, encore une fois Merci Messieurs et Mesdames

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