En Mauritanie, les filles esclaves de 9 ans sont violées par le maître, ses fils… où est la LDNA ?

 

Ô vous, les suprémacistes noirs de la LDNA :

les esclaves africains de 2020 ne vous intéressent pas ?

Vous qui crachez sur l’Histoire de France,

Vous qui vous comportez en bon petits Talibans prompts à déboulonner nos statues,

A faire table rase de notre passé,

Vous qui prétendez procéder à une forme d’épuration mémorielle (comme Pol Pot ? Comme Staline ? Comme les Talibans ?)

Revenez plutôt sur Terre en 2020 !

Vous qui accusez De Gaulle d’avoir fui durant la guerre : « De Gaulle prend la décision de fuir plutôt que défendre son territoire » dîtes-vous,

Ouvrez les yeux et allez donc lutter contre l’esclavage qui se pratique EN AFRIQUE (sur la terre de vos racines) et MAINTENANT (oui, en 2020 !).

 

Vos  frères esclaves attendent leur libération. Pourquoi ce silence de votre part ?

Un seul exemple : la Mauritanie.

« En Mauritanie, les filles esclaves de 9 ans sont violées par le maître, ses fils, son chauffeur ou son hôte de passage ».

Il y a plusieurs dizaines de milliers d’esclaves “par ascendance” (être esclave parce que né de parents ou d’une mère esclave) en Mauritanie.

 

Il a fait de la prison pour son combat contre l’esclavage contemporain.

 

Extrait d’un entretien avec  Biram Dah Abeid, un courageux militant mauritanien de la lutte contre l’esclavage.

 

L’article date d’il y a quelques temps mais il est –ô combien- toujours d’actualité.

  

Vous menez votre combat abolitionniste en mémoire de vos ancêtres esclaves ?

Il faut le dénoncer, l’esclavage est la chose la plus abjecte qui existe. Le fait d’appartenir totalement à son maître est inimaginable, inconcevable. Etant petit-fils d’esclaves, cela me paraît normal de m’engager dans cette lutte, d’autant que je vis dans un environnement où je vois les esclaves maltraités et où je les vois trimer. J’ai fait la promesse à mon père de me battre pour l’abolition à tout moment et quoi qu’il en soit.

 

Votre grand-mère paternelle était esclave. Pourquoi l’esclavagisme par descendance ne s’est-il pas appliqué à votre père comme cela est le cas habituellement ?

Mon père, qui devait être esclave, a été affranchi par hasard alors qu’il n’était encore qu’un fœtus dans le ventre de sa mère. Pendant cette grossesse, son maître était fort malade. Les marabouts ont prescrit au maître malade de faire un acte de charité et de bienveillance envers Dieu pour guérir, tout en lui précisant que le meilleur acte était d’affranchir un esclave. Au lieu d’affranchir ma grand-mère, qui avait les bras dans la farine et travaillait depuis longtemps et efficacement dans la famille, il a décidé d’affranchir son fœtus. Mon père est ainsi né libre. Le code d’esclavage mauritanien inclut les fœtus des femmes esclaves tout comme tout ce qui peut s’apparenter à la moindre propriété privée. Absolument rien n’appartient à un esclave.

 

Selon les chiffres des ONG, il y aurait entre 4 et 20% d’esclaves en Mauritanie, soit entre 150.000 et 700.000 personnes. Et ce, encore aujourd’hui ?

C’est prouvé que le nombre d’esclaves modernes est excessivement élevé chez nous. Le nombre est même stupéfiant aux yeux de la communauté internationale. La conscience humaine occidentale ne peut l’admettre. Les autorités mauritaniennes n’ont jamais accepté qu’une enquête internationale indépendante puisse analyser la situation, et ce, malgré les propositions de financement par les Nations unies et l’Union européenne. Le gouvernement mauritanien sait pertinemment bien que la moindre enquête confirmerait ces chiffres. Ce refus confirme la crédibilité de nos chiffres.

 

Pourquoi la Mauritanie ne s’attaque-t-elle pas au problème ?

L’esclavagisme des Maures noirs (haratins) pèse de manière exorbitante sur les intérêts politiques, économiques et culturels du pays. Les esclaves offrent des privilèges énormes au groupe minoritaire arabo-berbère qui en possède. Il assure le prestige et le faste depuis le 12e siècle. La grande majorité a été placée dans des terres de cultures agricoles, mais il y a aussi les esclaves domestiques qui travaillent dans la maison.

 

Les femmes sont-elles parfois l’objet sexuel de leur maître ?

Pas parfois, toujours ! Le viol des esclaves femmes et filles – dès le plus jeune âge – est la règle. C’est codifié dans le code de l’esclavage que j’ai publiquement incinéré: “le maître a le droit de disposer du corps de toutes les filles et femmes qui sont ses esclaves, abstraction faite de leur nombre, âge ou consentement”. En général, dès l’âge de 8-9 ans, les filles ont déjà toutes été violées plusieurs fois. De plus, elles sont aussi sous l’emprise sexuelle des fils du maître, du chauffeur, de l’entourage et même de l’hôte de passage.

 

Les hommes sont-ils battus ?

L’imaginaire de l’esclave enchaîné est fausse chez nous ! Que voulez-vous obtenir d’un homme accroché à une chaine ? Rien ! Il ne pourrait rien faire d’utile pour son maître. C’est absurde, les esclaves mauritaniens n’ont jamais été enchaînés. Ce sont des esclaves par ascendance depuis plusieurs générations : père, grand-père, arrière-grands-père… ils sont tous nés esclaves dans la famille. L’interprétation mauritanienne du Coran (école malikite) enseigne officiellement que l’esclavage est un commandement de Dieu. Cette version fallacieuse et purement intéressée ne se discute pas. En cas de refus, l’esclave ira droit en enfer et Dieu le punira.

 

Malgré cette pression religieuse, familiale, sociale, économique et culturelle, les nombreux affranchis ne les aident-ils pas?

Ils sont tellement socialement endoctrinés que les affranchis s’opposent, eux-aussi, immédiatement aux esclaves, comme le font les policiers, les autorités politiques, les juges, les imams… Le poids de la société et de l’Etat est terrible. Lorsqu’un esclave tente de s’affranchir, c’est la police qui le réprime et le juge qui le renvoie chez son maître.

 

Vers quels pays sont exportés les enfants esclaves ?

Par le passé, les Arabo-Berbères ont largement participé au marché des esclaves vers l’Amérique. Ils alimentaient les embarcations européennes, mais aussi le marché transsaharien, arabe et indien. Aujourd’hui, la classe religieuse mauritanienne exporte activement des esclaves vers les pays du Golfe. Principalement des esclaves sexuelles.

 

https://www.lalibre.be/international/en-mauritanie-les-filles-esclaves-de-9-ans-sont-violees-par-le-maitre-ses-fils-son-chauffeur-ou-son-hote-de-passage-58aece08cd70ce397f183305

 

Le Blanc colonisateur ? Mais c’est du passé !

Le combat, c’est la traite arabo-musulmane qui  perdure de nos jours !

Biram Dah Abeid dénonce l’inaction et l’aveuglement des Africains.

 

Les Africains se sont focalisés contre le Blanc colonisateur et raciste; il est impensable qu’ils ne fassent rien – par solidarité continentale, tiers-mondiste et confessionnelle [islam] – contre l’oppression des Noirs en Mauritanie.

 

Là se poursuit une autre traite, la traite arabo-musulmane.

Des esclaves mauritaniens sont amenés, aujourd’hui encore, dans les pays du Golfe. Toute la diaspora noire dans le monde arabe en souffre parce que la perception que le Noir, c’est l’esclave, n’y a jamais été remise en cause.

 

En Mauritanie, les militants anti-esclavage sont harcelés et arrêtés sous diverses accusations, dont celles de semer « la haine et la division » entre Arabes et Noirs mauritaniens et d’être des apostats (qui renoncent à leur religion), la version mauritanienne de la charia justifiant l’esclavage (source).

 

Biram Dah Abeid a reçu un prix  de l’Onu, pour sa lutte contre l’esclavage, « pour appeler les pays qui ont tant lutté contre l’apartheid d’Afrique du Sud à se battre contre ce qui se passe en Mauritanie ».

 

Fatwa contre Biram Dah Abeid pour sa lutte contre l’esclavage.

 Le Grand Mufti de la République, le président du Haut Conseil de la Fatwa, le ministre des Affaires islamiques appelait alors impunément le public à tuer Biram Dah Abeid parce que le prix de l’Onu était donné par « des Juifs », et parce que sa lutte contre l’esclavage en faisait  un apostat, « puisque l’esclavage est un commandement de Dieu ».

 

L’esclavage est un « commandement de Dieu » [islam]

Biram Dah Abeid souligne que la version mauritanienne du Coran se base sur un code du XIe siècle, le « Ghalil », qui appuie l’esclavage et énumère les mauvais traitements qu’il est « licite » de faire subir à ses esclaves.

 

https://www.lalibre.be/international/en-mauritanie-l-esclavage-est-un-commandement-de-dieu-581ce36dcd70958a9d5cffec

 815 total views,  2 views today

image_pdf

6 Comments

  1. chez les barbares comme chez les barbares, où est l’intrigue ?
    mais chez nous qu’on nous impose la présence de ça ? faut que ça rapporte un max ! enfin on sait bien que les émirs sont tellement généreux !!!

  2. Bonjour , Ces minables se plaignent des esclavagistes blancs, mais si ils sont noirs , cela n’est pas de esclavage , cela fait partie de leur tradition et conflit tribal , abuser d’une enfants de 9 ans est une tradition pour ces sous développés et pour certains ils ne font que suivre exemple de leur pédophile prophète .

  3. 90% de la boutargue de mulet provient de la cote mauritanienne!

    alors, perso, rien a battre de leurs traditions de maitres mélanisés a esclaves noirs

    il en a toujours été ainsi

    alors

    TOUCHEZ PAS A MA BOUTARGUE !!!

  4. Leur revendication c’est du bidon, ils ne veulent que la vengeance et nous coloniser et nous imposer l’islam. Le reste c’est du flan, trop cons pour faire autre chose. Si on ne réagit pas nos enfants seront en danger, comme au mali, et d’autre pays de merde.

  5. https://www.francetvinfo.fr/faits-divers/terrorisme/attaques-du-13-novembre-a-paris/terrorisme-qui-est-tyler-vilus-le-premier-jihadiste-francais-juge-aux-assises-pour-des-crimes-commis-en-syrie_4020029.html

    XXXX

    l’ eternelle sous merde, tout fier d’ etre devenu « émir » de DAESH

    et « français » de surcroit

    parce que le prénom Tyler est …..au fait, est quoi ??
    et son patronyme Vilus, sent bon le français de souche pourrie, né a Troyes !

    aprés le Gaon de Vilnius, voila le Rachi de Troyes

    toute une page concernant cet assassin débile, alors qu une une, soyons genereux, deux balles tirées dans la nuque devraient dans un pays honorable regler le cas de ce taré

Comments are closed.