Emeutes aux Etats-unis, instrumentalisation de la mort de Floyd… Obama n’est pas tout blanc…

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Nous avons déjà dit pas mal de choses à propos d’Obama…

L’obama-gate :

https://resistancerepublicaine.com/2020/05/18/passionnant-bercoff-raconte-lobama-gate-ne-manquez-pas-ce-quart-dheure/

https://resistancerepublicaine.com/2020/05/14/les-quebecois-dezinguent-obama-et-revelent-ses-tentatives-seditieuses-contre-trump/

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Quand l’ambassadeur d’Obama en France travaillait à notre islamisation :

https://resistancerepublicaine.com/2019/06/20/lambassadeur-dobama-rivkin-a-developpe-islam-et-communautarisme-en-france-pour-nous-faire-disparaitre/

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Selon wikilaeaks, ce serait Obama qui aurait poussé à la démission Benoît XVI, afin d’avoir un pape qui  “donner[ait]  un appui spirituel au programme idéologique radical de la gauche internationale” 

https://resistancerepublicaine.com/2017/09/23/selon-wikileaks-obama-aurait-fait-chanter-et-demissionner-benoit-xvi/

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Obama faisait prévenir l’EI 45 minutes avant un bombardement.

https://resistancerepublicaine.com/2017/01/29/obama-faisait-prevenir-les-convois-de-lei-45-minutes-avant-un-bombardement-obama-3/

et il versait des millions de dollars aux terroristes palestiniens :

https://resistancerepublicaine.com/2017/01/25/trump-vient-de-bloquer-le-transfert-de-221-millions-de-dollars-aux-terroristes-palestiniens-ordonne-par-obama/

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L’ami du peuple de gauche avait terminé ses mandats avec un taux de chômage battant tous les records

https://resistancerepublicaine.com/2017/01/12/bilan-obama-429-de-chomeurs-aux-etats-unis-cest-ca-le-modele-macron-fillon-1/

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Mais un article paru sur Dreuz, éclaire encore davantage le personnage et son rôle dans la tentative de déstabilisation de Trump qui est en train de se jouer aux Etats-Unis. Merci à Georges qui nous l’a indiqué.

Obama demande aux jeunes de poursuivre les émeutes pour apporter des changements

 

[…]

Il est évident qu’un unanimisme d’une aussi grande portée n’est atteignable que s’il est organisé et planifié. On attendait l’étincelle ou le prétexte pour des émeutes spectaculaires à but insurrectionnel, principalement à visées électorales, et on a saisi la première occasion qui s’est présentée. Aussi épouvantable que la mort de Monsieur Floyd ait été, rien ne justifie cette violence, ce vandalisme, ce pillage, cette destruction de quartiers entiers dans de nombreuses villes privant ainsi des milliers de personnes de leur gagne-pain et provoquant la mort d’une dizaine d’autres. Cela arrive après plus de soixante jours de confinement, désastreux pour l’emploi et très pénibles, tant pour les salariés que pour les petits patrons. Ça ne s’était jamais produit aux États-Unis et même quand il y avait eu des émeutes auparavant elles étaient circonscrites à certains quartiers de certaines villes et s’arrêtaient au bout de quelques jours, pour les plus graves. Que s’est-il donc passé pour que les choses dégénèrent autant cette fois-ci ?

Obama était un « community organiser », ce qui revient à dire un spécialiste de « l’agitprop », le seul emploi de toute son existence, avant d’entamer une carrière politique fulgurante qui l’a vu passer en quelques années du sénat de l’Illinois au sénat fédéral où il n’a même pas terminé son mandat pour devenir président des États-Unis. Il a brûlé toutes les étapes et est passé d’un anonymat quasi total à une notoriété mondiale en quelques semaines à peine avec les moyens financiers de Soros et autres membres de l’élite mondialiste, mais surtout grâce au formidable endoctrinement et au soutien inconditionnel des médias, devenus pour la cause des porte-paroles du candidat et du parti Démocrate. Ces médias ne cherchent même plus à sauvegarder des apparences de neutralité et ne se soucient pas le moins du monde d’être accusés de partialité ou de conflits d’intérêts. L’ancien président, pour sa part, est un expert incontesté en manipulation des masses et il a pu mettre à exécution son plan de reconquête de la Maison Blanche avec les mêmes complices que lors de son élection de 2008. C’est ce scénario qu’on voit se dérouler sous nos yeux aujourd’hui.

Obama a fomenté un coup d’état, commencé au lendemain de l’élection de Trump, alors qu’il était encore président pour trois mois avant la passation de pouvoir. La « collusion avec la Russie » et celle de « trafic d’influence avec l’Ukraine » s’étant dégonflées comme des baudruches et constatant que les chances de réélection de l’actuel locataire de la Maison-Blanche augmentaient sensiblement, Obama a joué son va-tout en « jetant le bébé avec l’eau du bain ». Il a organisé une véritable sédition en affaiblissant durablement « son » pays, ce qu’il avait réussi avec brio lors de sa présidence, en le mettant au bord de la guerre civile. Tout faire pour préserver son « héritage progressiste », garder ainsi le contrôle sur le « deep state » et poursuivre la marche forcée vers la mondialisation abusive qui a caractérisé ses deux mandats. Il continue, aujourd’hui, à encourager les protestations en jouant les apprentis sorciers sans se préoccuper des conséquences et risque fort, si cela perdure, de s’aliéner un nombre important d’électeurs indépendants. Il est encore trop tôt pour savoir si c’est un coup de maître ou un coup de trop mais on peut d’ores et déjà dire qu’il a gagné la première manche, largement. 

Cinq mois, c’est une éternité en politique mais comme les attaques seront aussi impitoyables qu’incessantes, il n’est pas inconcevable de croire que les Démocrates vont finir par l’emporter. Ce n’est pas impossible mais c’est loin d’être une certitude, d’autant plus qu’il y a encore bien des écueils pour ce parti. Le premier d’entre eux s’appelle, Joe Biden. La faiblesse de ce candidat est singulière : outre son âge, sa sénilité tous les jours un peu plus évidente, l’inintelligibilité de ses propos et surtout le nombre ahurissant de casseroles qu’il traine – plagiaire avéré il a été obligé de se retirer de la primaire présidentielle en 1988 après un mea-culpa retentissant, il a prononcé l’éloge funèbre de Robert Byrd, ancien sénateur Démocrate longtemps membre éminent du KKK, des soupçons de corruption assez faciles à démontrer, un népotisme digne d’une république bananière, un CV rédhibitoire avec des lois très controversées votées par lui en 34 ans au Congrès, des propos racistes outranciers tenus en public et à la tribune du Sénat et bien d’autres agissements dont la liste serait trop longue à énumérer – il est invisible, son unique sortie en public s’est produite hier pour rencontrer la famille de George Floyd et il se terre dans le sous-sol de sa maison depuis presque trois mois sans même rencontrer ses directeurs de campagne avec lesquels il ne communique que par « Zoom »… 

Comment se fait-il que tout cela ne ressorte que maintenant alors qu’il a été élu deux fois vice-président sans encombre ? Une seule réponse, Obama. Ce dernier a été la rock-star et la coqueluche des journalistes depuis l’annonce de sa candidature en 2008 et tout au long de sa présidence, il marchait sur l’eau, aucun superlatif n’était suffisant pour parler de lui et ça a permis à Biden de passer à travers les gouttes dans son sillon. L’autre écueil est l’inimaginable coup de barre à gauche du parti Démocrate de même que la démagogie absolument inédite de ses élus, assortie d’une culpabilisation disproportionnée qui ne plaira pas forcement à la majorité des électeurs. Les élus Démocrates du Congrès n’ont pas arrêté de se donner en spectacle depuis une dizaine de jours alliant le ridicule à l’exhibitionnisme.

Dans cette partie de poker menteur tous les coups sont permis. La conquête du pouvoir justifie tout pour ces mondialistes acharnés et, à défaut d’avoir pu éliminer Trump, physiquement, légalement ou par impeachment, ils ont eu recours à une propagande digne de Goebbels avec les méthodes des « chemises brunes », ancêtres des SA. Les cinq mois qui restent jusqu’à Novembre vont être d’une très grande intensité et tout peut arriver, dans un sens comme dans l’autre.

Même si les premières manifestations anti-racisme pouvaient absolument se justifier, vous ne croyiez tout de même pas que tout cela n’avait à voir qu’avec le malheureux George Floyd, j’espère ? Ce pauvre homme après avoir agonisé, et supplié le policier pour rester en vie, a été instrumentalisé de manière éhontée et a servi de prétexte à l’une des plus grandes supercheries de l’Histoire. À suivre…

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Eber Haddad

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9 Commentaires

  1. Barack, Hussein O est un logiciel, un virus anti-US et anti occidental, cela n’a rien à voir avec la couleur de sa peau mais tout à voir avec sa duplicité et sa servilité, sa double ou plutôt sa triple allégeance à l’état-profond , à l’ultra gauchisme et …à l’islam.

  2. C’est sur qu’il n’est pas tout blanc ! Ce nullard a été le plus mauvais président des USA depuis au moins 60 ans. Il a fait quoi en huit années de présidence?

    Mais là cet irresponsable fait prendre à son pays et à la France des risques énormes. C’est une ennemi avéré de la France à neutraliser comme tel, au moins médiatiquement.

  3. obama-pédo et sale type ami d’epstein est loin d’être “tout blanc” avec ses importations par charter de “hot dogs” (petits garçons) et “pizza-gates” (petites filles): sujet à creuser….Quant à sa femme pourquoi a-t-elle débarqué à Paris le matin même de l’incendie de Notre Dame ? ET POURQUOI a-t-elle été vue par des parisiens sablant le champagne et riant, dans un bar du 5e PENDANT que Notre Dame brûlait sur l’autre rive ? couple satanique comme leurs amis les clinton..sujet à creuser également !

  4. Ce Président des Etats-Unis a favorisé tant qu’il a pu la progession de l’idéologie mahométane: l’abominable discours du Caire au début de son mandat qui n’a pas, semble-t-il, alerté les américains sur la vraie idéologie de celui qu’ils venaient de porter à la Maison Blanche (tiens, vu le contexte actuel il faudrait peut-être songer à lui trouver un autre nom, non?).
    Rappelons aussi lors des rencontres officielles ses courbettes devant les pétromonarques d’ Arabie Saoudite, manifestant ainsi sa soumission, également l’effoyable accord sur le “nucléaire iranien” dénoncé à juste titre par Donald Trump. N’oublions pas non plus son attitude peu favorable à Israël (Benjamin Netanyahou savait à quoi s’en tenir à son sujet).
    Les mondialistes immigationistes dhimmis font preuve de la même arrogance et du même mépris du peuple en France comme aux USA. Ils sont tellement sûrs de leur victoire que cela ne les dérange même pas de présenter contre Donald Trump, un “Joe Biden” dont on dit qu’il devient sénile chaque jour un peu plus, montrant ainsi que le vrai pouvoir n’est plus aux mains du Président élu des Etats-Unis, mais exercé par l’oligarchie mondialiste.

  5. Ce “machinchose” n’a pas encore capté qu’il n’est plus en place, et n’a plus rien à dire. Qu’il se mette un doigt entre les…

  6. les democrates et Obama ont mis de l’huile sur le feu et attisent les pillages et manifestations
    Merci a eux , ca va aider Trump dans sa reelection
    + de 60% d’americains sont blancs

    • bonjour @Jojo
      Ce que vous dîtes n’est que partiellement vrai.
      Beaucoup de noirs et de petits blancs apprécient la politique de relocalisation des emplois de D.Trump qui n’est pas chose aisée étant donné le noyautage de l’Administration américaine par les démocrates, conjugué à la puissance des trusts industriels et financiers qui ont tout paramétré sur la mondialisation et la préférence étrangère…
      Ces noirs enracinés dans l’Amérique n’ont rien à voir avec les africains arrivés par charters bondés depuis quelques décennies…
      Et le coup de maître (ou de buzz…) de D.Trump a été de se rendre, à pied, à la Chapelle Saint John, la bible à la main …
      Croyez-moi, cela aura un sacré impact !

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