Tous les peuples humains ont pratiqué l’esclavage… et ce sont les méchants Blancs qui l’ont aboli

.

Il faudrait peut-être, et même sûrement rappeler un certain nombre de vérités historiques pour mettre fin à cette escroquerie intellectuelle.

– TOUS les peuples humains ont pratiqué l’esclavage depuis la préhistoire jusqu’à son abolition progressive à partir du XIVe siècle par les Européens.

– Les PREMIERS et LES SEULS à avoir l’idée d’abolir l’esclavage et à le faire ont été les « méchants Blancs » sous l’influence du christianisme, abolitionniste depuis le départ. Cela n’a été ni les Chinois, ni les Indiens, ni les Amérindiens, ni les Africains (abolition imposée en Afrique par les méchants colons blancs), et encore moins les musulmans (oh que non, les derniers à encore le pratiquer malgré une « abolition » de façade après 1970)

– en France l’esclavage a été aboli définitivement en 1315 par Louis X. Les esclaves étaient d’ailleurs tous « blancs » à l’époque (à part peut-être quelque poignées de noirs égarés là par les musulmans). Et il a été aboli dans les possessions ultra-marines définitivement en 1848 (possessions qui n’étaient pas exactement la France, l’autorité y étant plus lointaine et plus compliquée à exercer qu’en métropole, il fallait composer avec les propriétaires locaux, prêts à passer sous une autre bannière pour défendre leurs intérêts. Facile de faire de l’anachonisme)

– de ce fait, il n’a jamais été pratiqué en Afrique par les Français, puisque l’occupation française est postérieure à 1876.

– ce sont les opinions publiques « blanches » qui ont poussé à l’abolition générale de l’esclavage et ont fait passer au monde entier l’idée de son inacceptabilité (toujours pas totalement intégrée en Afrique ou dans les pays musulmans).

– en Afrique, l’esclavage ET le commerce des esclaves, les marchés aux esclaves, étaient endémiques et bien antérieurs à l’arrivée du premier européen sur les côtes africaines de Mauritanie ou du Sénégal au XVe siècle. Le trafic des esclaves avec le monde arabo-musulman si éclairé est antérieur de MILLE ANS (minimum) au commerce triangulaire avec l’Amérique. Et a continué pendant et après…

Ben oui, difficile d’envoyer des esclaves en Amérique avant sa découverte et sa conquête, donc avant 1510, et avant d’avoir atteint l’Afrique saharienne et sub-saharienne, dans laquelle aucun Européen n’avait mis le pied avant 1450, même pas au temps des Romains. L’Afrique sub-Maghreb était à 99% « Terra Incognita » jusqu’à la fin du XIXe siècle (après 1450, seules les régions côtières étaient en partie reconnues, et seul un petit bout de l’Afrique du Sud autour du Cap était colonisé)

– ce ne sont pas les méchants Bancs qui venaient capturer comme des animaux des malheureux Noirs qui auparavant gambadaient libres, insouciants et heureux dans leurs riants villages de cases africains, mais de méchants négriers noirs qui VENDAIENT à prix d’or des malheureux Noirs captifs et déjà esclaves aux commerçants blancs.

– Aux USA et au Brésil, parmi les méchants planteurs esclavagistes Blancs, certains étaient … Noirs! Ben oui certains, affranchis et émancipés, étaient à leur tour devenus sans état d’âme propriétaires, et esclavagistes. Renouant ainsi avec leurs origines africaines, d’ailleurs…

– Si l’esclavage des noirs africains était absolument généralisé dans toute l’Afrique et tout le monde musulman pendant 1500 ans au moins, il n’a été pratiqué que par une infime fraction d’Européens, et seulement, dans les territoires conquis en Amérique.

Par conséquent, en faire porter la responsabilité et la culpabilité à TOUS les Blancs, et tous les européens, tous les STIGMATISER indifféremment pour cela, faire UN AMALGAME grossier en les mettant tous dans le même sac et en particulier ceux d’aujourd’hui qui n’y sont pour rien puisque cela fait plus de 160 ans qu’il a été aboli, et leur demander des comptes à tous au nom des arrières-arrières-arrières-arrières-grands-pères de quelques milliers d’entre eux est une vaste fumisterie, une manipulation inacceptable, une escroquerie intellectuelle et une parfaite ignominie, une saloperie.

En fait, c’est de l’antisémitisme. Ou plutôt un schéma antisémite. Oui, parce que ce procès est exactement semblable à celui fait pendant des siècles à tous les juifs d’avoir « tué le Christ ». Alors que seuls les membres du Sanhédrin de Jérusalem en 33 (ou environ) sont à mettre en cause, et aussi les occupants Grecs (Hérode) et Romains

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28 Commentaires

  1. Comme promis, voici des sources qui me permettent d’affirmer qu’il y a eu des planteurs noirs libres possédant des esclaves noirs aux Etats-Unis.

    Preuves largement suffisantes pour les gens ouverts et au cerveau en état normal de marche, et bien sûr totalement irrecevables et mensongères selon les cadres de pensée gauchistes .

    – Par exemple ce livre de 2011 de Larry Koger :

    https://www.amazon.fr/Black-Slaveowners-Masters-Carolina-1790-1860/dp/0786469315

    – Dans la vidéo suivante, sont filmées des preuves matérielles : lettres authentiques, des contrats de ventes d’esclave d’époque , etc…
    Toutes choses insupportables à la vue d’un antiraciste bien lavé du cerveau.

    https://www.youtube.com/watch?v=Ab93DYcqrP8

    Vidéo qui parle de ce personnage, le plus riche des 171 planteurs noirs de Caroline du Sud recensée en 1860, et heureux propriétaire de 53 esclaves nègres:
    https://en.wikipedia.org/wiki/William_Ellison

    A noter que ce brave planteur de coton (d’abord fabricant de machines à égréner icelui), durant la Guerre de Sécession, a soutenu sans hésiter… le camp Confédéré! Et pas qu’en paroles…

    – En 1830, on recense 3775 « black slaveholders (ou slaveowners) » dans les Etats esclavagistes, principalement en Louisiane.

    Bien entendu, tout ça ne compte pas, puisque ce fait historique est aboli et effacé par une fatwa prise par un ayatollah gauchiste de la religion antiraciste qui a déclaré « c’est pas vrai ».

    ____

    PS: désolé si tous ces liens sont en anglais, je n’ai pas trouvé de travaux ou d’articles en français, car tout ceci est sans doute par trop indigne de l’intérêt des grands intellectuels français et n’a donc pas été traduit ou traité.

    A moins que ce ne soit trop dérangeant et non-conforme à la doxa, et risquant de « stigmatiser » les Noirs, comme Taubira décrétant qu’il ne fallait pas parler de la traite négrière arabe, pour ne pas faire de peine à ces pauvres musulmans.

    De la même façon que l’on a longtemps occulté le fait que les marchands d’esclaves blancs allaient tout bêtement faire leurs emplettes auprès des négriers africains… On a fait croire qu’ils allaient à la chasse au nègre, comme dans l’inénarrable feuilleton « Racines », superbe exemple « d’Histoire » falsifiée à la sauce politiquement correcte et bien-pensante, conforme à l’imagerie disneyenne chère à une certaine gauche.

    • Et bien voilà, c’est un bon début !
      Comprenez bien que le but n’est pas vraiment de convaincre les gauchistes avérés et autres manipulateurs, mais bien le plus grand nombre, tous les gens qui sont abreuvés de la même propagande, qui n’ont ni le temps ni l’envie de faire des recherches sur ce sujet.
      Vous ne pouvez pas vous contenter de nier, d’affirmer autre chose. Sans une sérieuse et importante documentation, vous ne pouvez pas être crédible face à l’intense lavage de cerveau auquel on assiste.
      Tout au contraire, vous faites le jeu des manipulateurs.
      Vous n’avez pas les moyens d’organiser un lavage de cerveau dans l’autre sens, vous ne pouvez que vous adresser à l’intelligence des gens, et pour cela il faut des informations, un maximum d’informations, ce que j’appelle des preuves.
      Bon courage !

      • Merci.

        Mais quand j’affirme quelque chose, c’est toujours parce que je l’ai lu ou vu dans une source sérieuse, je ne fais pas comme les gauchistes qui inventent au fur et à mesure de leurs besoins et ne craignent pas d’affirmer sans vergogne n’importe quoi.

        En l’occurrence, j’avais d’abord entendu parler des planteurs noirs dans un documentaire sur la chaîne Histoire, ce qui m’a mis la puce à l’oreille

        Heureusement que je lis couramment l’anglais, car il faut bien dire qu’en France nous avons un gros problème de biais de l’information. De nombreux éléments historiques sont ignorés car tout simplement pas traités en France.

        Dans un de ses livres Noam Chomsky notait que les « intellectuels » et plus généralement l’université française souffrait gravement d’un manque d’ouverture et de connaissance des travaux étrangers, en particulier anglo-saxons, à la fois par ignorance des langues étrangères, par snobisme et par enfermement dans son propre microcosme.

        La « recherche » française se trouve ainsi enfermée dans une bulle intellectuelle franco-française. Si l’on y ajoute les méfaits de la mafia gauchiste qui sévit dans nos institutions et qui pratique une censure et un blackout sur les travaux qui contredisent le Dogme…

        Souvenons-nous comment fut (très mal) accueilli Soljenitsyne, accusé par des petits marquis gauchiste d’être un menteur et un agent de la CIA, des contestations gratuites ne s’appuyant sur aucun travail d’enquête et de recherche sérieux et balancées d’autorité, comme il est de coutume dans les milieux intellectuels français…

        Malheureusement, les « intellectuels » français se fient plus à leurs opinions, à leurs certitudes préétablies et à leur raisonnements ex nihilo, bref à leur connaissance infuse et à leur blabla qu’au travail d’étude des faits réels. Ils pensent souvent qu’un « brillant » discours suffit à établir le beau, le bon , le vrai.

  2. Article percutant, rappelant des vérités mises sous le tapis depuis trop longtemps. Merci !

  3. Je cite :  » Aux USA et au Brésil, parmi les méchants planteurs esclavagistes Blancs, certains étaient … Noirs! Ben oui certains, affranchis et émancipés, »

    Vous avez des preuves de cela ?

    • Je n’ai pas de preuves satisfaisantes de cela à vous fournir, j’avoue en être totalement incapable.

      Enfin, je veux dire par là des preuves au sens ou vous l’entendez, et susceptibles de vous convaincre, de convaincre un bon gros gauchiste cramponné comme une moule à son rocher idéologique.

      En effet, votre interjection « preuves? » est typique et récurrente des trolls gauchistes sectaires bornés enfermés dans leur univers imaginaire qui lorsqu’on les confronte à un fait qui met à bas leurs discours et leurs théories fallacieuses fabriquées de toutes pièces et ébranle leur vision idéologisée du monde refusent tout simplement de l’entendre, et le mettent systématiquement en doute par une rhétorique infantile pour simplets : « c’est pas vrai, puisque je ne peux pas et ne veux pas y croire, et que je dis que c’est faux, na! Mon jugement et mes certitudes sont plus sûrs et plus certains que toutes vos preuves que je refuse même de regarder, point barre ».

      « A celui qui croit aucune preuve n’est nécessaire. A celui qui refuse de croire, aucune preuve n’est suffisante »

      Peut-être me trompe-je, mais jusqu’à preuve du contraire, j’ai tout lieu de penser que vous êtes de cette race des gauchistes sectaires enfermés dans leurs certitudes définitives (dans le cas contraire, ce que je dis ici vaudra pour les authentiques)

      Pour ces gauchistes bornés au tout petit horizon de leurs représentations idéologiques, les seuls arguments valides et convaincants sont ceux qui confirment leurs théories et leurs croyances. Si la réalité contredit la croyance, le dogme, la foi, c’est bien évidemment la réalité qui ment.

      ___

      Remarquez bien d’ailleurs que quand ces mêmes gauchistes affirment un argument qu’ils viennent d’inventer fondé sur des « faits » irréels qu’ils viennent d’imaginer (comme ces introuvables « études qui montrent que »), c’est une preuve décisive, incontestable et définitive, car de leur Bouche de Grand Prophète du Camp du Bien coule la Seule Vraie et Divine Vérité Admissible.

      En vertu du Credo gauchiste: « C’est VRAI parce que JE le dis, c’est VRAI parce que JE le crois. MA parole est une preuve suffisante, car elle crée la réalité telle que JE la rêve. »

      Mais par chez moi, cet enfermement dans son monde de certitudes imaginaires s’appelle de l’autisme. Vous êtes autiste au réel et à la vérité.

      Je suis donc dans l’impossibilité de vous prouver quoi que ce soit, puisque les seules preuves dont je dispose sont la vérité historique, factuelle, matérielle, et les travaux d’historiens reposant dessus, ce qui ne vaut rien à vos yeux, et que vous balaierez d’un « je ne le crois pas » désinvolte.

      __

      Pour les non-gauchistes intéressés, je donnerai les éléments qui confirment mes dires dans mon prochain post (en bas). Enfin une partie, car il y en a bien trop pour être exhaustif, ce ne sont vraiment pas les preuves qui manquent.

      • Magnifique bla-bla-bla sans intérêt !
        Non, je ne suis pas gauchiste, bien au contraire, mais cela n’implique pas que je doive croire n’importe quoi.
        Je tiens à ma liberté de penser, donc il me faut des faits, et lorsque quelqu’un affirme quelque chose sans étayer ses propos, je lui demande des preuves.
        S’il n’en a pas, il ne fait que donner sa propre opinion ce qui ne m’intéresse que peu parce qu’il ne me permet pas de faire ma propre opinion.
        Alors des preuves ? Si j’avais à traiter le sujet je ferais une recherche de textes de cette époque, littéraires, descriptifs ou coupures de journaux (maintenant nombre d’anciens journaux sont numérisés) ou travaux d’historiens (si vous en avez des références pourquoi ne les donnez-vous pas ?).
        Sinon je m’abstiendrais. Je n’affirme rien sur ce que je ne connais pas.

  4. Histoire de préciser, Louis X dit le Hutin n’était pas spécialement un grand humaniste…
    En 1315, il n’y avait plus d’esclavage en France, restait le servage…
    Son édit était intéressé financièrement, les serfs libérés appelés à lui verser une petite taxe… Ce qui n’ a pas eu grand succès à ce que j’ai pu lire !

    Pour rappel, les serfs n’étaient pas des esclaves, ils n’étaient pas vendus et achetés, ils étaient attachés à la terre.

    • Le serf était en effet « asservi » à son lopin de terre, en échange de la protection seigneuriale, dans un temps où régnait une grande insécurité.

      Mais il avait des droits, contrairement à l’esclave. La société féodale était en effet fondée sur l’engagement réciproque, ce qu’on appellerait aujourd’hui un contrat. C’est le sens de « féodal », qui renvoie à la notion de fidélité, de respect des engagements et de son serment.

      Le seigneur ne pouvait lui imposer n’importe quoi selon son bon vouloir. En fait le serf ne devait qu’une partie de sa production, la taille, et des journées de travail, les fameuses « corvées ». D’où l’expression « taillable et corvéable à merci ». sauf que ce n’était justement pas à merci, c’était parfaitement encadré : tant de taille, tant de jours de travail.

      Il ne peut pas non plus lui infliger gratuitement des châtiments corporels, encore moins l’exécuter (sauf bien sûr en cas de crime, mais c’est alors en tant que juge, puisque le seigneur a aussi cette fonction. On oublie d’ailleurs que « seigneur » est d’abord une fonction administrative.)

      On a des minutes de procès où des serfs viennent se plaindre de leur seigneur à son suzerain pour mauvais traitement, abus ou manquements à ses devoirs de seigneur, ils obtiennent même parfois son « licenciement » et qu’il soit remplacé par un autre.

  5. N’a jamais été enseigné dans l’école de Castaner, si toutefois il y a mis les pieds un jour…

    • C’est un pléonasme.

      En fait toute la doctrine sociologique, anthropologique, et politique, bref la conception de l’homme de l’islam et du coran est fondée sur le lien maître esclave, considéré comme le lien social fondateur, puisqu’islam signifie soumission, ou plus exactement SERVITUDE

      Le musulman est esclave d’Allah, et par délégation de son prophète, et par délégation de son successeur (khalif).

      La femme est l’esclave de l’homme (père, mari, fils, sinon frère ou cousin ou oncle), et donc une esclave par nature.

      Le kouffar est esclave du musulman (y compris sexuel)
      .
      Le fellah (paysan) est aussi considéré au niveau de l’esclave. De même que le non-arabe, en particulier le noir, même converti.

      Le coran est en réalité un « code noir » généralisé. D’ailleurs, toues les sancitons promises à ceux qui désobéissent, crucifixion, lapidation fouet, bâton,mutilation, etc sont typiquement les peines réservées aux esclaves désobéissants ou qui ont simplement indisposé leur maître

      Et ces benêts d’Africains qui s’inclinent devant!

  6. Les blancs ont non seulement réussi à mettre fin à l’esclavage qui était répandue en Afrique, mais également à l’anthropophagie.
    En effet, il n’était pas rare que des esclaves- ceux devenus inutiles- soient vendus comme viande de boucherie sur les marchés jusqu’à la fin du 19ème siècle.!!!….
    Et pourquoi occulter le racisme en Afrique même où il bat tous les records, car ces peuples n’ont pas la problématique des droits de l’Homme, du vivre ensemble, de la démocratie ou du « développement » etc…mais vivent au contraire dans la permanence des rivalités inter-ethniques ancestrales, ne serait-ce que celles entre cultivateurs sédentaires et éleveurs nomades, razziés et razzieurs auxquelles vient s’empiler le prétexte du jihad !…
    Tous ces donneurs de leçon seraient bien inspirés de s’abonner à « L’Afrique Réelle » de Bernard Lugan.

    • Je connais l’histoire de Clemenceau alors jeune journaliste rapportant les propos d’un explorateur sur la vente d’un esclave sur un marché.
      Les « clients » indiquant le morceau qu’ils voulaient…
      Si vous avez d’autres liens plus précis, je suis PRENEUR !

      • Bonjour @Jean-Paul Saint-Marc Ci-après un extrait de « La fabuleuse épopée de l’Afrique fraçaise » de Henri Servien :

        « Nommé vicaire apostolique de l’Oubangui, Prosper Augouard est sacré évêque de Sinita le 23 novenbre 1890. C’est lui qui fait venir à Brazzaville les si dévoués Soeurs de St-Joseph de Cluny, elles y seront héroïques au milieu des incurables, des abandonnés et des esclaves rachetés. Il poursuit ses courses et fonde des missions. Chaque jour, il apprend quelque nouvelle cocasse, plus souvent dramatique : les miliciens venus à Bangui pour protéger les populations, sont mangés par elles ! Y compris les soldats qui gardaient le pavillon français. Dans un village voisin près de deux douzaines de tirailleurs et pagayeurs de la colonne Marchand sont dévorés. La « viande qui parle » étant très recherchée.
        Les Bondjos n’y voient pas malice; dans leur langue le mot esclave est le même que pour désigner la viande (nyama); sur les marchés, les malheureux destinés à être mangés sont parfois partagés entre plusieurs acheteurs : chacun retient son « morceau » à la craie sur la peau du condamné et les plus recherchés sont les enfants » !…
        Voilà comment les gens vivaient dans ces pays, il n’y a pas si longtemps, c’est à dire juste avant la très courte période de pacification et de mise en valeur par les blancs !
        Nous n’avons aucun complexe à avoir et il faut absolument s’opposer à cette espèce d’ethnomasochisme de bobos imbéciles !

  7. Y en a qui feraient bien d’étudier l’histoire avant de dire des conneries et de haïr les blancs ,et curieux d’ailleurs qu’ils ne haïssent pas ceux qui pratiquent encore l’esclavage de nos jours.

  8. Excellent article qui a le mérite de mettre les points sur les « i ».
    Merci pour cette page très instructive dont les propos, en toute logique, devraient apparaître dans toute étude sérieuse rapportée dans les manuels scolaires. Hélas, ce ne sera jamais le cas.

  9. L’idée d’abolition de l’esclavage en France date de bien avant 1315 et de Louis X.

    La reine Bathilde épouse et Clovis II à la mort du roi devient régente et rend l’esclavage illégal :

    « À la mort de son mari elle exerce la régence de 657 à 659 »

    « Bathilde rend la vente et l’achat d’esclaves définitivement illégaux, sans toutefois obliger les propriétaires, souvent d’ancienne origine gallo-romaine, des grandes exploitations d’affranchir les leurs immédiatement. Le système finira par s’éteindre. Quant aux captifs venus de l’étranger et proposées à la vente, elle décrète qu’ils deviennent obligatoirement libres sur le sol des Francs. Elle s’efforce d’interdire la vente des enfants, et essaie aussi de faire interdire la vente d’esclaves chrétiens sur les marchés extérieurs. La reine rachète alors de nombreux captifs. De plus, elle libère de nombreux chefs de famille emprisonnés pour dette fiscales, dénonçant le principe de l’impôt payé en fonction du nombre de personnes au foyer, ce qui a parfois pour conséquence qu’on laissait mourir les nouveau-nés4. Enfin, elle combat la simonie dans le clergé ».

    (Source Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Bathilde )

    • Je ne connaissais pas, mais il a dû être rétabli ensuite, vu qu’il y avait des esclaves sous Charlemagne.

      Les chrétiens d’occident ont (malheureusement) fait commerce des Slaves – d’où le nom – en les revendant aux musulmans jusqu’à leur conversion au christianisme vers le XIIe siècle (conversion progressive, on ne peut la dater précisément)

      Napoléon a bien rétabli l’esclavage après que la Révolution l’a aboli le 4 février 1794.

      En histoire, on ne peut jamais donner une date unique et définitive pour un phénomène étendu dans l’espace géographique et humain, et étalé dans le temps. Ça ne se fait jamais du jour au lendemain.

      Mais ce fait confirme ce que je disais sur le rôle fondateur et central du christianisme (religion des laissés-pour-compte et des esclaves dans l’empire Romain) dans l’abolition, pour laquelle l’Eglise a constamment œuvré.

      ____

      J’ai trouvé un excellent texte sur ce point (et qui mentionne Sainte Bathilde, elle-même ancienne esclave) mais je sais pas si RR peut le publier (le site ne mentionne pas s’il autorise la libre reproduction). Peut-être le recommander en donnant le lien ?

      C’est ici :

      http://egliseetverite.canalblog.com/archives/2018/02/27/36180383.html

      Lire aussi les commentaires : évidemment des gauchos à la tête farcie d’idées reçues et de lieux communs fallacieux tentent de discréditer le texte, mais les réponses de l’auteur à ces critiques débiles sont lumineuses d’intelligence et d’érudition.

      Voir aussi la controverse de Valladolid, qui a interdit définitivement l’esclavage des Amérindiens (en fait déjà aboli par Charles Quint).
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Controverse_de_Valladolid

    • Certes, l’esclavage à la « romaine » a été aboli assez rapidement au 7ème siècle. mais avec la montée en puissance de la féodalité post-carolingienne, l’esclavage s’est transformé dans une forme plus subtile : la servilité. Les serfs ne sont pas des esclaves que l’on vend ou achète sur un marché, ils jouissent d’une certaine liberté d’action, peuvent se marier, avoir des enfants, voir peuvent racheter leur liberté et devenir un vilain.Toutefois, ils ne peuvent pas quitter la terre dont ils sont l’accessoire humain.La propriété de la la terre féodale entraîne celles des bâtiments, champs, animaux et des serfs. Le servage s’est plus ou moins éteint avec le rachat des libertés et remplacé par des impôts et redevances plus rentables pour les seigneurs. A noter que le dernier pays ayant aboli le servage est la Russie fin du XIXéme siècle !

  10. l’esclavage existe toujours
    en afrique, entre africains
    et au Qatar, et en arabie saoudite
    les qataris et saoudiens detiennent une main d’oeuvre asiatique et africaine

    • Cela serait bien d’y envoyer les criminels de France au lieu de les nourrir en prison.
      M’est avis que si cette sentence, qui devrait être la norme, existait, la criminalité baisserait très rapidement chez nous.

  11. Oui mais, dire des vérités ne permet pas de s’auto-détester.

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