C’est la cerise sur le gâteau :
La lutte contre la diffusion de messages haineux en ligne devra faire partie du programme scolaire, et la formation des enseignants sera renforcée. Les opérateurs seront tenus, lors de la première utilisation de leurs services par un mineur âgé de moins de quinze ans, de sensibiliser le mineur et ses parents à une « utilisation civique et responsable », et de les informer des risques juridiques en cas de diffusion par le mineur de contenus haineux. Un « observatoire de la haine en ligne » sera créé pour assurer « le suivi et l’analyse de l’évolution des contenus » haineux, en lien avec opérateurs, associations et chercheurs.
Et il paraît que Blanquer, tout fier du télétravail, serait même en train de réfléchir à une « autre école »… où l’on travaillerait via des sites le matin et où on ferait garderie et jeux l’après-midi. C’est les Chances pour la France embauchées par les mairies qui vont être contentes.
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Trop c’est trop. Il est plus que temps que tous ceux qui le peuvent arrachent leur progéniture des tentacules des dégénérés au pouvoir depuis 50 ans. Avant qu’ils n’aient fait de nos enfants des zombies, des têtes vides, des anti-France, des adeptes de la société multiculturelle, des adeptes de Laetitia Avia, Si-bête, Bel-Kacem et Jack Lang.
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La réalité de nos gosses, à l’école…
Il n’y a plus guère de différences, hélas, entre école publique et privée dans nombre de villes, et celle-ci tend à rejoindre inexorablement celle-là.
–Ennui pour les élèves travailleurs et bons, obligés d’attendre que le bordel dans la classe s’estompe pour pouvoir entendre les profs.
-Ennui pour les mêmes obligés d’entendre et de réentendre les mêmes explications destinées aux glandus qui n’écoutent rien, qui n’entendent rien, qui ne veulent rien entendre…
–Multiplication des travaux de groupes où nos gosses, les gosses sérieux sont les seuls à bosser… afin que les condisciples zonards aient une bonne note.
-Désinformation et dé-culturation avec la disparition de notre histoire, de nos grands hommes, ni Henri IV ni Charles Martel ne sont plus évoqués, remplacés par l’islam, l’histoire des empires africains et l’étude des vêtements portés au temps de Louis XIV.
-Des animations théâtrales à la place de cours d’orthographe, des heures passées au « coin bien-être », des heures consacrées à l’apprentissage du tri, à l’enseignement de l’arnaque écologique et à celle de la découverte du clito et des MST (amoureux de la poésie et de l’amour, bonjour)…
-Des heures de cours passées à discuter avec des envoyés de la LDH, de la Licra, du MRAP et bientôt sans doute du CCIF, auxquelles il faudra ajouter les passages obligés sur la loi Avia…
-Injures et harcèlement pour les petits Blancs qui commettent le crime d’aimer l’école : « sale intello, sale Blanc »..
-Menaces, agressions, vexations, racket, harcèlement… Trop des nôtres ne sont ni tranquilles ni en sécurité à l’école et sur le chemin de l’école.
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Ce qui précède est la liste hélas non exhaustive des éléments qui font de notre école un champ de bataille, une immense garderie vouée à faire des petits mondialistes, des petits consuméristes, des incultes, des ignorants et… des couples mixtes.
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Que faire ?
J’ai dans un coin de la tête un idéal, un rêve plutôt… C’est celui de l’éducation reçue par Michel de Montaigne (1533-1592)…
Fils de petit hobereau de province, au XVIème siècle, il était élevé au château et avait comme tous les enfants de son milieu social, un précepteur.
Bref, jusqu’à 7 ans, il fut élevé à la maison, le matin il avait ses leçons.. et l’après-midi il courait les champs avec ses amis, enfants des paysans et fermiers alentour. Parfait équilibre entre la tête et les jambes, entre l’intellectuel et la sociabilité… Mens sana in corpore sano (un esprit sain dans un corps sain), idéal du poète latin Juvénal, redécouvert à la Renaissance et idéal de vie pour Montaigne. Ces premières années de liberté et d’éveil intellectuel l’ont marqué à jamais, même si, plus tard il dut fréquenter le collège, qui n’avait rien à voir avec le nôtre, où l’on travaillait beaucoup et où l’on lisait énormément…
Son père avait interdit que quiconque, dans le château, même la plus simple chambrière, lui parlât autrement qu’en latin, ce qui avait eu pour conséquence qu’il était parfaitement bilingue latin-français et même qu’il maîtrisait mieux le latin que le français. Ce qui est le cas de tous les enfants dont l’un des parents a une langue maternelle autre que le français, sauf quand cette langue maternelle est l’arabe, bizarrement ces enfants-là auraient besoin d’aller à la mosquée, à l’école coranique et dorénavant à l’école publique pour apprendre la langue parlée à la maison…
Mais revenons à Montaigne. Tout ceci ne l’a pas empêché de savoir, également, parfaitement le grec, appris grâce à son précepteur. Quand on visite sa « librairie » près de Bordeaux, on lit avec admirations tous les adages, toutes les citations en français, latin ou grec tirées de ses lectures…. ou de sa sagesse. « Au plus haut trône du monde, on n’est jamais assis que sur son cul ». Je me payais toujours un beau succès avec les élèves de Lycée la première fois que je leur parlais de Montaigne en citant cet adage. 😉 Souvenirs, souvenirs…
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Je me doute, ami lecteur, que tu te demandes pourquoi j’évoque cette éducation, cette instruction, cette culture, issus d’un passé révolu… Parce qu’on n’a pas besoin d’enfermer les gosses dans des endroits invivables à faire des activités stupides et néfastes. Une demi-journée d’étude par jour, efficace, suffit à faire des Montaigne, des Pascal… Pascal, qui, à 9 ans, avait inventé la première machine à calculer… Et ces enfants avaient en sus la convivialité, la sociabilité, partageant jeux et aventures avec fratrie, voisins…
Objection, votre honneur, me direz-vous : Les parents travaillent, ils n’ont pas les moyens de payer un professeur à domicile, l’école est obligatoire…
Voire.
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Il y a des solutions possibles, des solutions à trouver pour libérer nos enfants d’une école qui n’est plus qu’endoctrinement et décervelage et, où, dans trop d’endroits, ils sont en danger.
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La solution la plus simple et la moins chère, c’est d’avoir recours au CNED, car si l’école n’est pas obligatoire, l’instruction l’est et il faut prouver que l’enfant est élevé, soit par le Cned soit par l’enseignement dispensé à la maison.
Et cela nécessite de compléter l’enseignement donné, conforme aux programmes ô combien lamentables, il faut donc être capable de le faire.. et il faut résoudre le problème de la garde d’enfants… C’est possible si l’un des parents ne travaille pas, si l’un des parents est en travail partiel ou en télé-travail et qu’il y a grands-parents, voisins, amis… disponibles pour être présents régulièrement. Pas simple.
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Une autre solution serait de former un petit groupe de parents pensant la même chose et de se relayer pour qu’il y ait toujours une personne au moins avec un petit groupe d’enfants, quitte à indemniser un des parents qui ne travaillerait pas. Mais tout cela de façon discrète, car si le petit groupe était dénoncé comme une école clandestine, il aurait mille ennnuis. On n’ouvre pas une école sans autorisation, commission d’hygiène et de sécurité, vérification des qualifications des intervenants etc.
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Tout cela est à réfléchir, à approfondir.
Nous avions publié il y a quelques années le témoignage d’une famille qui avait délibérément choisi, justement, d’échapper à l’école publique, il me semble intéressant de lire ou relire en cette année 3 du quinquennat de Macron cet article qui pose une vérité intangible : faire l’école à la maison est un acte de résistance en soi, même si le moteur premier est le bien de nos enfants.
Il est un peu dommage que la discussion sous l’article ait pris la forme d’une croisade anti-franc-maçonnerie, notre problème, nos problèmes avec l’école sont bien trop nombreux et multiples pour se contenter d’y voir l’oeuvre des françs-maçons.
J’invite ceux d’entre vous qui auraient des idées, des expériences… à partager à les envoyer à contact@resistancerepublicaine.com ; nous publierons d’autres articles sur ce sujet majeur, nous pouvons aussi mettre en contact des gens du même coin pour monter ensemble ce genre de choses…
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Triste époque du triomphe de la médiocrité, sur tous les plans, et en premier lieu celui de l’enseignement. Triomphe du collège pour tous, autrement dit de la médiocrité pour tous, en tous cas telle qu’on peut la constater. Gangrène progressive orchestrée par tous nos gouvernements depuis une cinquantaine d’années. Cheminement vers le « grand merdier » ?, pour reprendre l’expression de Louis Leprince-Ringuet, dans son livre « testament d’un scientifique ». Espérons un sursaut salvateur, vite … Mais il faut quelqu’un pour l’incarner. Un Poutine, un Orban, un Salvini, à nous; peut-être une Marion …
Trente-quatre ans d’enseignement. J’en suis sorti dégoûté. Les cinq premières années étaient agréables. Le reste a été un pensum.
Des élèves encouragés par les parents qui discutent tout au Conseil des classes, des proviseurs illettrés, tout comme les profs, qui rejettent toute autorité et surnotent des crétins pour avoir la paix.
Les élèves ne savent même plus tenir un crayon.
Et que dire des profs d’université? De quoi rire…
Le fruit est pourri et c’est fini.🤮
Autres temps, autres moeurs… Notre fille aînée est prof de Français dans une école qui correspondrait au lycée (je parle d’AVANT le coronamachin « made in China » car en ce moment elle fait ses cours par l’internet). La première chose qu’elle faisait à l’entrée des élèves dans sa classe était d’exiger que tous les téléphones portables soient rangés dans un placard, demeurantr fermé pendant toute la durée des cours… Certains profs qui n’ont pas appliqué cette discipline en souffrent énormément… Question stupide (de nos jours) : tous ces gosses ont-ils besoin d’un portable pour aller au lycée ?