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Deux fois en un mois, le Parisien a tiré la sonnette d’alarme en révélant les desseins paraît-il insurrectionnels de groupes politisés qui ne voudraient pas du bien, ni à Macron (ça se comprend après sa gestion calamiteuse de la crise du coronavirus) ni à la République, ce qui serait embêtant…
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Le premier article date du 11 avril :
Confinement : pourquoi le «jour d’après» inquiète les services de renseignement
Selon des notes confidentielles que nous avons pu consulter, le service central du renseignement territorial redoute une radicalisation de la contestation sociale à l’issue du confinement.
Ils ont baptisé leur collectif « Refusons le retour à la normale ». Depuis le 4 avril, ces militants de la mouvance contestataire rennaise préparent des actions chocs à coups de slogans et invitations Facebook à des rassemblements… dont l’heure est connue (11 heures) mais pas le jour. Épidémie de coronavirus oblige. « Notre colère ne sera pas confinée. Retrouvons-nous dans la rue dès la fin du confinement! scandent-ils sur les réseaux sociaux. Mettons le pouvoir en quarantaine! »
Voilà le type de messages qu’analysent quotidiennement les policiers des renseignements français depuis la crise sanitaire. Dans des notes confidentielles sur le « suivi de l’impact du Covid-19 en France », les agents du service central du renseignement territorial (SCRT) alertent sur le risque d’embrasement de la contestation sociale à la sortie du confinement. « Le jour d’après est un thème fortement mobilisateur des mouvances contestataires, lit-on dans ces analyses datées du 7, 8 et 9 avril. Le confinement ne permet plus à la gronde populaire de s’exprimer, mais la colère ne faiblit pas et la gestion de crise, très critiquée, nourrit la contestation. »
[…]
Ce genre d’invitations fleurissait et fleurit sans doute toujours sur les réseaux sociaux :
Le Renseignement surveille donc les zozos de l’ultra-gauche… qui rivaliseraient avec les racailles islamisées dans leur haine des policiers. Mais ça c’est moi qui l’ajoute, dans son article, le Parisien ne parle pas des dites racailles islamisées. Elles ne sont pas une menace pour Macron, ni pour les policiers, ni pour la paix, ni pour la République… On n’en parle pas. Gentilles comme tout, se faisant oublier depuis 2 mois, les racailles islamisées… Pourtant il me semblait, à moi, que dès le début du confinement, ça avait swingué dans pas mal d’endroits…
Autre question : pourquoi, au lieu d’user du mot « ultra-gauche », ni journaleux ni policiers du Renseignement ne parlent-ils pas d’antifas ni d’extrême-gauche ? Feraient-ils une différence entre les deux ??? Pourquoi ? Parce que les parents des antifas font partie des cadres du PS et du PC ?
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Mais il ne faudrait surtout pas négliger de renvoyer dos à dos les gauchos prévoyant des sorties, du cassage de flics, des insurrections… et « l’ultra-droite » qui se contente de critiquer la calamiteuse gestion de la crise par le gouvernement et dénoncer les visées totalitaires des mesures prises. L’ultra-droite et ses « sympathisants » dont « les Identitaires ». Voilà le tour de passe-passe. Inquiéter le chaland, lui faire croire que la France serait au bord de la révolution, voire du chaos… en mêlant aux gauchistes les Identitaires qui se contentent de déployer de temps en temps une banderole dénonçant l’inacceptable…
Les dangereux de « l’ultra-droite » créeraient en effet « une atmosphère anxiogène » en critiquant le gouvernement. Ou comment on comprend de mieux en mieux et la loi Avia et l’essai de « site dédié à la vérité officielle » qui a fait pschitt !
Le seul vrai danger, en France, ce sont ceux qui critiquent, ceux qui parlent, ceux qui font courir un risque politique à Macron.
Mais tout le monde à l’impression de danser sur une cocotte-minute :
Un membre des services de renseignement résume : « D’un côté, l’ultra-gauche interprète le confinement comme la mainmise de l’Etat et un supposé totalitarisme. De l’autre, l’ultra-droite nourrit fantasmes et théories du complot sur l’origine de la crise. Nous sommes très vigilants sur les formes que prendra cette contestation à l’issue. » D’un côté comme de l’autre de la mouvance, les sympathisants espèrent que la crise débouchera sur un nouveau modèle de société.
Fantasmes, fantasmes… ils nous la bâillent belle, les ex-RG ! C’est pas nous qui avons inventé toutes les choses étranges qui se sont passées depuis 6 mois en France et ailleurs…
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Le second article date du 10 mai ; ça ne s’arrange pas…
Cette fois, le Parisien tire la sonnette d’alarme, il y a plein de gens pas contents qui appellent à manifester dès la fin du confinement. La contestation sociale de l’hiver dernier et du précédent serait prête à repartir. Et les voilà qui craignent une alliance entre les gilets jaunes et les syndicalistes.
Le gouvernement craint « la radicalisation de la contestation sociale »… et le Renseignement craint bien que ultra-gauche et ultra-droite en se joignent à la fête…
Tout y passe, tous ceux qui grognent passent pour des révolutionnaires en herbe prêts à faire sauter la Santé… Ben oui, parmi ce qui inquiète le gouvernement ce sont les libertaires prêts à en découdre contre le traçage, contre la verbalisation du non-port du masque dans les transports… et les conditions de vie dans les prisons et centres de rétention des migrants. De façon claire, il s’agit toujours de gauchos… mais on ne prononce pas leur nom, le Parisien parle de « mouvance autonome » qui renvoie à « l’ultra-gauche »…
Mais l’on surveille surtout « l »ultra-droite qui appellerait à manifester le 16 mai à Toulouse, Montpellier, Alès… Et Chalençon, une des figures des Gilets jaunes qui appelle à monter sur Paris le 11 mai.
On sait pourquoi le gouvernement ne cesse de menacer d’un renforcement du confinement, c’est la seule arme qu’il lui reste si ça tourne vinaigre…
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On constate surtout que Macron n’a pas peur de l’embrasement des banlieues, il lui suffit d’offrir en sacrifice quelques policiers dégradés, condamnés à la prison et d’accompagner cela de quelque plan banlieue déversant la manne républicaine sur les quartiers pour acheter la paix. Pour un instant seulement, mais cela suffit à Macron, persuadé qu’avec sa méthode la société multiculturelle permettra aux racailles d’être épanouies et calmées le temps que lui est au pouvoir…
Il n’a pas vraiment peur non plus des gauchos, à eux aussi il lui suffira d’offrir le sacrifice de quelques policiers et quelque identitaires, sacrifice accompagné de la nomination de quelques dégénérés dans des commissions dévolues au bien-être des détenus et des migrants…
Par contre il tremble vraiment, au sens propre, devant la contestation patriote, celle qui peut mener à une révolution, parce qu’elle va et ira au fond des choses et que rien ni personne ne pourra l’arrêter le jour où elle sera partie. Le jour où, effectivement, des armées de patriotes en colère monteront sur Paris de toute la France… Je suis sûre que c’est le cauchemar de Macron, c’est pour cela que tout le monde est sur les dents…
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Attention un animal blessé est dangereux et peut mordre a tout instant..état urgence va permettre à ces milices de neutraliser par tous moyens les opposants .prenons nos précautions , la pire chasse aux sorcières et a venir
HS
Faut il encore faire des dons aux associations
https://www.facebook.com/groups/678285702229936/permalink/3032523053472844/
Bon débarras ! cette fois, les coupables devront régler la note !
Très bonne analyse comme d’hab chère Brigitte…
Allez rêvons un peu ,une armée de patriotes pour Brigitte, des mercenaires aguerris au combat pour Jean Paul . Et puis quoi encore ? des infirmières pour soigner les combattants sur les barricades, des cuisiniers pour ravitailler en bouffe, du Grand n’importe quoi. Les français avachis dans leur veulerie ne bougerons pas .Si pour aller chercher des clopes enEspagne, en Belgique du chocolat et du parfuM Hormis quelques défilés de gens mécontents ,nos « héros »
en blanc, les flics surchargés, les pompiers agressés, les docteurs caillassés …
Je suis trop vieux pour ces conneries …quoique?
Bonjour je vous avais dit en avril avoir vu sur un site action du Dark web qu’il se préparait
Un chaos civil sanglant ce ne sont pas des pacifistes GJ ou blacks blocs qui étaient recrutés mais des mercenaires aguerris au combat, ce régime totalitaire n’échappera pas a sont jugement. Comme je l’ai vu ,la DGSI aussi , et notre élite gouvernementale doit êtres en alerte….
Avec un mort pour avoir tiré sur un délinquant un policier est inquiété et le gouvernement avec 60000morts ne le serait pas ?
Il faudra que je trouve une explication !
Quand on est contre les diktats de l’Union européenne, contre l’invasion migratoire, contre la mondialisation, contre l’islam, on est étiqueté « ultra-droite ».
De Gaulle qui n’était pas tendre avec l’UE appartenait donc à l’ultradroite.
Rocard qui ne voulait pas accueillir « toute la misère du monde », aussi. Georges Marchais également puisqu’il ne voulait pas de clandestins concurrençant les ouvriers français. Sûrement aurait-il combattu les délocalisations et la mondialisation…
Et de grands écrivains/historiens (Chateaubriand, Renan…), lucides sur l’islam, seraient maintenant rangés du côté des néonazis.
Et que vouliez vous attendre d’un péteux, qui ne connait que le maniement du fusil de chiasse.
Force est de constater que l’Allemagne sort renforcée de cette crise et la france en piteux état. Amère constat. Mais compréhensible quand le Chef de l’etat, lui même, va, clâmant urbi et orbi que la France n’est pas une civilisation, n’a pas de culture, pas d’histoire, etc.. . Que la France est coupable de « crime contre l’Humanité » par sa colonisation.Qu’il a , au nom d’une mondialisation sauvage laissé partir les fleurons de l’industrie et qu’il s’entoure en ayant l’air d’y prendre du plaisir, de jeunes éphèbes colorés.