Refuser d’apprendre l’arabe, c’est devenu un acte militant, un acte de résistance

Illustration : Voilà ce qui attend la France, si elle ne ressaisit pas !

.En cherchant la paix arabe, on aura la guerre islamique !

Pour ma part, les dirigeants français s’apprêtent à commettre une grave erreur, une erreur terrible. Ils ne mesurent pas à quel point, la décision prise de permettre l’enseignement de l’arabe à l’école, risque de leur péter à la figure.

Non seulement, cela va pour sûr aggraver le phénomène de scission déjà largement présent sur le territoire national, quand cela donnera également des ailes, des envies de conquêtes encore plus exacerbées à ceux qui n’en avaient déjà pas franchement besoin.

Les arabo-musulmans, pour une bonne part d’entre eux, déjà bien arrogants avec tout ce qui touche de près ou de loin à l’islam, vont encore moins se gêner pour réclamer, exiger davantage d’espace pour leur pseudo religion.

Qui sait jusqu’où ils pousseront encore le bouchon, eux qui ne reculent devant rien quand il s’agit de leur infâme islam. Rien ne peut les arrêter et que fait-on en France !?!?!

On s’aplatit plus et plus jusqu’à faire entrer, maintenant, dans le temple, la graine du mal, le germe de la discorde, le poison qui véhicule le totalitarisme musulman. Eh oui rien que ça !

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Il faut savoir que les locuteurs de l’arabe, sabir ou pas, je ne veux pas rentrer dans ce débat, pour une part non négligeable d’entre eux, estiment que leur langue, étant celle du coran, doit de fait s’imposer à tous. Il y a une telle suffisance, une telle arrogance, qui vous sont assénées quand il s’agit de leur pseudo langue, c’est à peine croyable. Si vous n’êtes pas en lien direct avec eux, vous ne pouvez pas vous imaginer le degré de cette arrogance, de ce sentiment de légitimité, même de dépendance que l’on doit avoir vis à vis de leur arabe.

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Je sais de quoi je parle, j’ai tellement eu à faire à l’impérialisme arabo-musulman, dans bien des situations, autant dans ma vie personnelle que professionnelle. Peu de contact avec ce monde où il n’en a pas été question, très peu !!! Alors que penser, si ce n’est que cela est une constante avec les locuteurs des langues dites arabes.

J’aurais pu dire que mon expérience n’est pas représentative de ce que j’affirme si seulement, il n’y avait pas tant de personnes qui vous diront la même chose que moi, dont pas mal de mes proches, amis, simples connaissances ou rencontres.

Depuis que je suis enfant, j’ai droit à leurs injonctions de parler l’arabe. Pour eux, tout musulman, (ah ! ah ! une autre injonction), qui se respecte doit savoir parler cette langue, et même doit la faire passer avant toute autre. A chaque fois que j’ai rencontré ou étais en lien avec des gens se définissant comme arabo musulmans, j’ai eu les mêmes réactions. Ils étaient scandalisés plus ou moins fortement que je ne sache pas manier leur daube arabique. Ils ne comprenaient pas que cela ne me manque pas, que je me contente de m’exprimer en français ou en kabyle. C’était pour eux ni plus ni moins que de la traîtrise. D’ailleurs pour eux, que cela soit en France ou en Algérie, les personnes d’ascendance kabyle sont des salauds, des traîtres car s’acharnant à faire perdurer l’existence de Tamazight et à continuer de s’exprimer en langue française.

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L’école de la sinistre Algérie n’a pas réussi son œuvre destructrice, celle de l’arabisation des cerveaux en Kabylie. Pour une grande part des arabophones,  l’attachement des Kabyles à leur langue ancestrale est inacceptable. Il faudrait, pour leurs beaux yeux, jeter aux orties une langue qui a traversé les siècles, pour la remplacer par celle des bédouins, plus précisément par celle de l’enflure auto proclamée prophète. Je ne délire pas, il n’y a qu’à voir leur politique linguistique d’arabisation. A elle seule, tout y est dit, tout y est clair comme de l’eau de roche.

Une situation venant illustrer cette saleté d’arabisation : ma cousine m’avait fait part d’une gifle, d’une rare violence, reçue par un de ses camarades au lycée, car ayant simplement parlé en langue kabyle, dans l’enceinte de leur établissement scolaire. C’est un fait véridique, ce n’est pas de la propagande !!! Ce n’est pas si vieux, cela se passait dans la fin des années 90.

http://www.axl.cefan.ulaval.ca/afrique/algerie-3Politique_ling.htm

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Si l’on croit donc en France qu’en donnant la possibilité d’apprendre la langue arabe à l’école, on aura la paix, ah ah, on se fourre le doigt dans l’œil.

Aussi, ici même sur le territoire national, ce que j’ai constaté, c’est que bien des Arabes s’adressent d’office avec leur langue, sans chercher à savoir si leur interlocuteur en face la comprend, montrant par cette attitude qu’ils estiment que cela doit de fait être le cas.

De plus, où qu’ils aillent, beaucoup d’entre eux ne font aucun effort pour apprendre une autre langue car ils se sentent comblés par leur langue divine. Sans oublier que pour certains, il est hors de question d’utiliser autre chose que leur charabia, le mépris est là ancré dans leurs cerveaux coranisés. Bien sûr, je trouve cette attitude pitoyable quand on sait le peu de valeur, à tous les niveaux, des langues dites arabes. Mais cela est un autre débat !

C’est précisément de là que vient la propension des arabophones à ne pas savoir parler autre chose que l’arabe, même quand ils vivent depuis des décennies sur un territoire autre que le leur. C’est le cas en France mais c’est aussi ce que j’ai remarqué en Kabylie. Il peut y avoir un groupe de 100 kabylophones et un seul arabophone, eh bien c’est aux 100 de parler dans la langue du petit péteux car, lui, tout péteux qu’il est, ne fera aucun effort. Pourquoi sa majesté franchement se foulerait quand c’est elle qui parle dans la langue sacrée. Pour ma part, bien bourricots, ceux qui se plient à cette volonté !!!

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Dans la même veine, je me souviens d’une voisine, une arabo musulmane, qui me reprochait sans cesse ma méconnaissance de l’arabe. A chaque fois que je la rencontrais, c’était toujours la même rengaine : « Pourquoi Samia tu ne parles pas l’arabe, ça n’est pas normal ». Et elle insistait : « Normalement, tu dois apprendre. C’est dommage que tu ne saches pas ». Elle ne le faisait pas de façon violente mais son insistance, les termes qu’elle utilisait à mon encontre en disait long sur ce qu’elle pensait du fait que je ne sache pas parler son arabe, alors que dans le même temps, je faisais tout pour parler le Kabyle. Comme je l’ai déjà dit, j’apprenais la langue de mes ancêtres pour l’amour de ma grand-mère et pas pour plaire à la funeste oumma dont je n’ai jamais été et ne serai jamais.

Étant un enfant poli, je ne lui disais pas ce que j’avais sur le cœur : « Ton arabe, tu peux te le foutre là où je pense ».

Mais un jour, ses incessantes injonctions m’avaient particulièrement agacé, que je lui répondis gentiment : « D’abord Madame, je suis en terre française, mon cœur y est solidement ancré, donc je fais tout pour maîtriser cette langue. Puis, mes ancêtres appartenaient à la Numidie, et eux ils parlaient Tamazight, sûrement pas l’arabe donc je ne vois pas en quel honneur j’apprendrais cette langue. D’ailleurs, mes grands-parents, qui vivent en Kabylie, ne comprennent pas un traitre mot d’arabe. Voilà Madame, si pour vous c’est dommage que je ne sache pas parler votre langue alors que pour le Français, le Kabyle, c’est une autre histoire, dites-vous bien que je n’en aie que faire ! ».

Elle était restée bouche bée et avait même dit, par la suite, à ma mère que j’étais une petite insolente. Que dire et que faire face à cette arrogance ? Eh bien ! Ne jamais apprendre l’arabe, quel qu’il soit, sabir ou pas. C’est devenu à force d’injonctions plus ou moins virulentes, un acte militant, un acte de résistance.

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L’apprentissage d’une langue doit être un choix et non pas une obligation, une arme qui combat votre véritable identité. Eh bien ! Plus on m’obligera, plus on me dira tu dois car c’est la langue sacrée de l’islam, c’est celle du message d’allah, et plus je dirais non, mille fois non. Plus, elle voudra se substituer à celle de ma France ou celle de mes ancêtres et plus je dirais hors de question, même pas en rêve. On pourra me traiter de raciste comme cela a été le cas bien des fois, ça ne me fera pas bouger d’un iota quant à ce que je pense des locuteurs de l’arabe. L’arabe en tant que langue ne peut rien sans ceux qui la diffusent et la portent aux nues.

 

Pour ma part, c’est l’une des raisons majeures pour laquelle je serai toujours en froid avec ceux qui veulent imposer une langue, qui en réalité plus qu’une langue, est le vecteur d’une idéologie d’une toxicité n’étant plus à démontrer.

 

Pour se faire une idée du caractère impérialiste pour ne pas dire raciste d’une partie importante des arabophones, je vais vous faire part d’une situation qu’a vécue un de mes cousins vivant en Kabylie. Ce dernier devait faire son service militaire hors de Kabylie. C’était la première fois de sa vie qu’il se retrouvait en territoire arabophone. Quand il est arrivé sur place, il avait été choqué de constater la défiance à son égard  de la part des dits Arabes. Ne les ayant jamais fréquentés, il ne pensait pas avoir un tel accueil. En effet, il s’exprimait très mal en langue arabe, les seules langues qu’il maîtrisait étant le Kabyle et le Français. Aïe ! Aïe ! C’était mal barré pour lui. Heureusement sur place, il y avait d’autres Kabyles comme lui avec qui il pouvait nouer une amitié. Sans cela, il m’avait dit qu’il n’aurait jamais pu tenir le coup face à une telle hostilité !

Un jour, il fut particulièrement abasourdi par l’attitude de rejet de ses camarades arabophones. Il était avec eux dans la salle commune à regarder une émission de variété quand celle-ci diffusa une chanson kabyle. Sans qu’il ne comprenne quoi que ce soit à ce qui se passait, une bonne partie des personnes présentes dans la salle se mit à cracher violemment sur la télé, à crier des insultes envers la langue kabyle. Il tombait de haut, il se doutait de leur haine mais s’exprimant de cette façon, sans retenue ni la moindre honte, il n’en croyait pas ses yeux. Soit dit en passant, tout arabo musulman qui se respecte n’a pas à rougir de cette haine, elle est au contraire légitime, pour ne pas dire un trophée à exposer aux yeux de tous.

C’est à partir de cette expérience pénible et inattendue que son opinion a été faite quant à l’impossible terrain d’entente avec de tels gens. Depuis, pas question pour lui, d’être lié ni de près, ni de loin aux locuteurs de l’arabe. Beaucoup lui disent que c’est excessif, mais lui, il n’en a cure car ce vécu l’a particulièrement marqué. Comme il me l’a souvent fait remarquer, les réactions d’hostilité à son égard n’étaient pas le fait de deux ou trois zozos pris au hasard, non c’était le cas pour la quasi-majorité de la caserne !!!

De même, la plupart des douaniers en Kabylie, dans leur majorité arabophone, très peu d’entre eux issus de ce territoire, ne sont en capacité de s’exprimer en français ou en kabyle, alors qu’ils y vivent depuis des années. Incapables également de le comprendre alors qu’ils travaillent dans un domaine où ça devrait être le cas à minima. Non ! Non ! Que dal pour beaucoup d’entre eux !

Je ne vous dis même pas les regards noirs qu’on se récolte quand on s’adresse à eux en français ou pire en kabyle. Ou quand vous osez leur dire que vous ne comprenez pas leur arabe. Houlala !  Leurs yeux seraient des fusils, que vous vous retrouveriez dans les bras de la faucheuse illico presto !

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Voilà je m’arrête là dans le partage d’expérience, il me faudrait tout un livre voire plus pour toutes les consigner. C’est sans fin vu la constance et le caractère répandu de cette affaire arabo musulmane !

Les gauchos, les dhimmis, les altermondialistes, les associations antiracistes, les médias classiques auront beau dire, beau faire, ils ne pourront rien changer à cette réalité. Là où l’arabo islamité s’implante c’en est fini de la tranquillité, de la sérénité, du respect de l’autre et des règles communes. Il y en aura que pour eux, leur arabe, leur islam.

On pourra comprendre donc que nos dirigeants sont des criminels de faire entrer la fumisterie arabique dans l’école de la République, cette école qui a été capable depuis tellement de temps de transmettre avec brio cette magnifique langue qu’est le Français. Elle a su le faire à bien des générations d’immigrés, Italiens, Espagnols, Polonais etc etc, jusqu’à ce que nous arrive sur le territoire un nombre important d’adeptes de momo. Et là patatras ! Curieusement, on ne sait pour quelle raison, on ne sait pourquoi, ce n’est plus le cas ! Les enfants mahométans ne sont plus capables d’apprendre la langue de Molière.

Pourtant, quand la France était encore ambitieuse, elle était en capacité de le faire. Je me souviens, alors que j’étais à l’école primaire, d’une fille marocaine qui arriva en cours d’année dans ma classe. A son arrivée, elle ne parlait pas un mot de français. 3 mois plus tard, eh bien cette dernière avait fini par comprendre et parler très correctement notre langue.

La question qui se pose : Est-ce que les enfants d’alors étaient plus intelligents que ceux d’aujourd’hui ? A se demander car à en croire nos chers politiciens, on pourrait le penser.

Non ! Sûrement pas ! Cela ne posait pas de problème alors, car les Arabo-musulmans, en nombre moins nombreux qu’aujourd’hui, rongeaient leur frein et ne faisaient pas encore de vagues. Leurs enfants, comme les autres, faisaient ce qu’il fallait pour rentrer dans le rang.

Par ailleurs, pour montrer le caractère mensonger de ce que disent ceux qui nous dirigent quant aux difficultés rencontrées par les enfants Arabo-musulmans, je voudrais poser une simple question. Comment se fait-il que des enfants, qui n’ont jamais mis les pieds en France, maîtrisent à la perfection notre belle langue ? Comment ?

C’est le cas en Kabylie, j’ai dans ma famille, bien des enfants qui s’expriment dans un français impeccable ! Je connais même une petite fille l’ayant appris quasiment toute seule, simplement en regardant des dessins animés en langue française !!!

Comme quoi quand on veut, on peut. Quand la volonté n’est pas là, pire quand la défiance est la règle, bien évidemment que les enfants ne parleront, ni ne maitriseront la langue NATIONALE ! Vous entrez dans les maisons de ces gens, rien ne rappelle qu’ils sont en France. Au mur, des tableaux de versets coraniques, des photos de la mecque, des télévisions branchées 24h sur 24h en direction du Moyen-Orient, des discussions exclusivement en arabe. Les enfants baignent en permanence dans un espace mental arabo-musulman, pas parce que les parents ne sont pas capables de faire autrement, c’est ce que l’on veut nous faire croire, mais bien par volonté délibérée. Tous ces mioches qui passent leur temps à l’école coranique dès qu’ils ne sont pas à l’école de la République, de quoi il retourne, à leur avis, nos Blanquer, nos Castaner, nos Shiappa et tous leurs comparses ?!?!

Cela me fait dire : « Bande d’inconscients ! Faire entrer l’arabe à l’école, même de façon facultative, ça va finir par se payer cher, croyez-moi !».

La plupart des arabo-musulmans, vous leur tendez un doigt et ils vous prennent tout le bras si ce n’est pas plus. Vous leur laissez un tantinet de liberté, et cela en est fini de la vôtre.

Pour finir, comme le dit l’indépendantiste Kabyle, Shamy Chemini, ami de Ferhat Mehenni :

« Que je sache, en principe, ce sont les émigrés qui doivent adopter les us et coutumes des pays d’accueil. Pour les Arabes, c’est le contraire, ce sont aux autochtones d’apprendre la langue et de se convertir à la religion du nouveau venu… alors que ce serait à eux de demander une carte de résidence comme cela se fait dans le monde, y compris chez eux en Arabie ! »

https://kabyle.com/amazigh-ou-arabe-lafrique-du-nord

 

De mon côté, je pense être raisonnable, quand je demande, simplement, à ce que l’on applique le principe de respect envers seulement ceux qui, pour leur part, respectent la société dans laquelle ils sont. Pas de favoritisme pour qui que ce soit, seulement une règle qui s’applique à tous. C’est uniquement comme cela que l’on retrouvera la paix dans ce pays.

 

A méditer !!!

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15 Commentaires

  1. Avec une phonétique personnelle : ” ALLAH MAQQYA HAB BIBI ” serait la seule phrase à dire et à écrire en langue arabe … Cela veut dire : ” IL N’Y A PAS DE ALLAH ” !
    L’horreur pour les musulmans .

  2. Bonjour, bel article mais qui pourra changer les choses? Je crois que c’est le début de la fin pour la France, personne ne bouge contre cette décision d’enseigner cette saloperie de vomis. Samia, j’ai bien connu une Samia dans le temps mais elle était marocaine de Rabat.

  3. Article très intéressant sur un sujet grave !

    Manque de chance les Français manipulés à longueur d’année par des médias vendus ont élu un président immature, faible, naîf et stupide, qui à mon avis n’est pas de taille à gouverner un pays comme le nôtre avec toutes ses particularités culturelles et historiques.

    Soyons donc nombreux à résister contre cet enseignement honteux dans les classes primaires

  4. Les Kabyles n’ont rien à voir avec cette engeance de merde que sont les arabo-musulmans. J’ai eu des profs de fac et des amis Kabyles, rien à voir avec ces ordures puantes d’arrogance et fières de leur religion de merde que sont les muzz. On a à faire à des gens civilisés, ouverts, intelligents et parfaitement intégrés . Sinon rien a ajouter à votre article Samia comme toujours tout y est bien dit.

  5. quel cri ! partagé bien sur !

    Azul fellam !

    je viens de noter “bourricots,”

    marrant , pour faire avancer le
    l’ âne, on lui crie “Ourrrr!”, et quand tu as enlevé le “ourr” de bourricot, il reste ?? HAHAHAHA !

    • Azul fellak, ayamdakel !
      Comme d’habitude, tu m’as fait mourir de rire !!! Ourrrr !!!

  6. Merci Samia de cet article. Un sujet que tu maitrises à nous partager ! Je n’ai pas eu la chance de rencontrer des Kabyles, en Algérie. je n’ai donc que les pires souvenirs de ce pays, pourtant géographiquement magnifique !
    Mais je peux dire, maintenant, que j’ai une amie Kabyle !

  7. J’avais appris, à l’école, que la Kabylie était autrefois un territoire habité par les ROMAINS. M’aurait-t’on trompé?

  8. Possibilité d’apprendre qui deviendra très vite une obligation.

  9. Un Alsacien né en 1888 racontait qu’à la maison, c’était Français pour tout le monde, et à l’école Fridolin obligatoire.
    Il n’y a que les collabos qui changent.

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