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Cette crise du coronavirus aura eu au moins un mérite : faire prendre conscience à tous les Français que le « système de santé le plus performant au monde » est surtout la « bureaucratie française de la santé la plus nombriliste au monde », une bureaucratie ayant atteint le but ultime de toute bureaucratie : protéger et développer son PROPRE fonctionnement, sans plus aucune référence au but théorique de ce fonctionnement.
C’est un mal profondément ancré en France, qui fait que ce qui est censé protéger de quelque chose (par exemple ici, des maladies) s’est progressivement mué en un système qui a pour seul et unique but de PROVOQUER ce dont ce système est censé nous protéger.
Pourquoi ? Parce que sans les maladies il n’y aurait plus besoin de la bureaucratie de la santé !
Le sens commun nous dit que c’est absurde : il y aura toujours des maladies contre lesquelles lutter, toujours des jambes cassées par une chute dans un escalier, toujours des plaies par bricolage maladroit etc. Oui, mais pour la bureaucratie ce n’est pas assez. La bureaucratie à pour but non seulement de se protéger elle même, donc de veiller à ce que tous les bureaucrates aient du travail mais aussi d’être de plus en plus PROFITABLE pour ses bureaucrates, et non plus du tout pour les malades.
Cela se fait dans un premier temps en économisant sur les moyens afin de transférer ces économies vers les salaires de ceux qui font faire ces économies. C’est ni plus ni moins que du parasitisme mais caché sous le prétexte de « respecter les critères de Bruxelles ». Raison pour laquelle si le coût de la santé reste fixe ou diminue un peu, l’efficacité du système de santé, elle, diminue énormément.
Ensuite il faut AUGMENTER les BESOINS en bureaucrates, et là c’est la bureaucratie elle-même qui augmente le nombre de malades.
En France cela se fait selon deux axes :
– en important directement des gens malades (laisser rentrer les clandestins en provenance de pays sous-dévelopés, aller chercher directement des malades par bateaux…)
– en laissant les gens devenir malades au lieu de les soigner AVANT qu’ils ne le deviennent. L’adage selon lequel « Mieux vaut prévenir que guérir » n’est valable que du point de vue du malade. Du point de vue de la bureaucratie de la santé, il est préférable de guérir au lieu de prévenir. En effet il faut plus de bureaucrates quand il y a PLUS de malades à guérir que quand il y en a MOINS.
La même logique est à l’oeuvre du côté de la bureaucratie juridique : plus il y a de crimes et de délits, plus il y a besoin de juges, greffiers etc. et plus ces juges etc. peuvent exiger PLUS de recrutements de juges etc. ou de revalorisation de salaires vu l’ampleur de leur travail. Ce qui explique que les petits délit ne soient plus sanctionnés (ils permettent d’augmenter le nombre de délits donc de futurs procés justifiant qu’il y ait plus de juges et de bureaucrates juridiques). C’est aussi (entre autres) pour cela que « Belle ou Bête » libère à tour de bras avant la fin de leur peine des criminels condamnés (et en plus il faut faire de la place pour incarcérer les criminels comme moi, ou comme vous qui me lisez et comprenez peut-être tout à coup le Pourquoi de certaines choses incompréhensibles !)
Et pareil pour les instances supra-nationales, comme par exemple le HCR, Haut Conseil des nations unies aux Réfugiés. Cette bureaucratie humanitaire favorise la dissémination des réfugiés dans le monde entier, le plus loin possible de leur point de départ, afin de compliquer le plus possible le retour de ces réfugiés et de créer le maximum de zones ayant besoin le plus longtemps possible de l’aide du HCR !
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Tout ceci explique pourquoi la chloroquine a été subitement classée vénéneuse alors que plus 50 années de vente libre avaient permis de constater qu’elle était à peu près aussi vénéneuse que l’aspirine (à haute dose régulière c’est un poison qui tue par hémorragie interne) et beaucoup moins que le paracétamol (qui n’a pas été classé vénéneux alors que pourtant il peut tuer en moins d’une semaine, ce qui n’a justifié qu’une mention nouvelle sur son mode d’emploi pour cause de décés d’une apanchrome(1) représentante d’une minorité opprimée issue de la colonisation criminelle contre l’humanité : https://destinationsante.com/naomi-musenga-un-surdosage-au-paracetamol-a-lorigine-du-deces.html !)
Bref, c’est très clair : la bureaucratie d’état de la santé a depuis maintenant trop longtemps pour but non plus du tout de nous soigner mais bien au contraire de nous rendre malades le plus longtemps possible. Et si on en meurt cela passe dans la colonne des pertes et profits. Pertes humaines négligeables et profits financiers non négligeables puisque ce sont les plus vieux qui partent les premiers, ce qui permet d’économiser un pognon de dingue sur les retraites.
Donc il faut absolumet CONTOURNER cette bureaucratie et la court-circuiter tant que faire se peut.
On réfléchira à s’occuper de la faire disparaître un peu plus tard, pour l’instant l’urgence c’est de l’empêcher de nous faire mourir par covid-19 interposé.
Oui, mais COMMENT ?
C’est très simple : en informant VOUS-MÊME, et DIRECTEMENT, votre médecin personnel des divers traitements trouvés par ceux qui se préoccupent VRAIMENT de votre santé, soit qu’ils soient un peu plus humains que les bureaucrates, soit parce que, plus prosaïquement, s’ils sont nuls pour vous soigner, vous irez tout simplement voir un autre crémier. Car oui, à ce niveau là aussi il y a une notion de clientèle mais au moins c’est comme avec votre boucher ou votre boulanger : si ce n’est pas terrible chez lui, vous allez un peu plus loin et il vous perd comme client, donc il a un intérêt personnel à être un bon boulanger ou un bon boucher. Si ce n’est pas parce qu’il aime son métier, c’est parce qu’il veut gagner de l’argent mais dans les deux cas il se soucie de son efficacité réelle et vous bénéficier directement de ses compétences.
Comment informer vous-même votre médecin ?
Tout simplement en imprimant l’article « Traitement du coronavirus : la lumière au bout du tunnel, transcription de la video de Gilles Besnainou »
https://resistancerepublicaine.com/2020/04/15/traitement-du-coronavirus-la-lumiere-au-bout-du-tunnel-transcription-de-la-video-de-gilles-besnainou/
et en l’envoyant, anonymement, par la poste, à l’adresse postale de votre médecin.
Gilles Besnainou insiste (vers la fin de la transcription) sur un point important, je le cite :
Et n’hésitez pas, imposez le traitement si jamais votre médecin… certains médecins sont encore réticents. « C’est une grippe, c’est un virus, on ne donne pas d’antibiotiques. » NON ! Il y a une composante bactérienne dans cette infection et il faut la soigner, et si vous diminuez la composante bactérienne, vous allez diminuer le niveau de l’infection.
Alors plutôt que d’argumenter, et éventuellement entrer en conflit, avec votre médecin parce qu’il refusera de vous soigner correctement par argument d’autorité (c’est LUI le médecin, pas vous !), désamorcez immédiatement à l’avance tout risque de conflit et faites lui comprendre que vous irez ailleurs s’il ne fait pas ce qu’il faut pour vous. Sans aucun risque pour vous : c’est Gilles Besnainou qui prend ce risque à votre place, et vous, vous n’avez juste qu’à informer votre médecin, anonymement, que vous approuvez ce qu’il dit et que c’est bien ce que vous voulez.
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Pour imprimer la transcription dont le lien est donné ci-dessus, c’est très simple : ouvrez l’article puis allez tout au bas, et cliquez sur « PrintFriendly », à gauche, sous la signature de l’article (ou bien ouvrez ce raccourci : https://www.printfriendly.com/p/g/SbKmxJ )
Dans la fenêtre d’impression qui s’ouvre, choisir la taille de texte 100% et la taille d’image 25%.
Pour obtenir une mise en page impeccable en 4 pleines pages, il est nécessaire de supprimer les deux dernières lignes de l’article (« Transcription : » et « Julien Martel »). Il s’agit d’un doublon qui ne manquera donc pas (la signature est déjà présente en début d’article).
Pour supprimer une phrase, positionner le curseur de la souris sur la phrase ou dans le blanc à sa droite : la phrase passe en jaune et un symbole «Poubelle» apparaît en noir. Cliquer pour effacer.
Ceci fait, cliquer sur l’icône PDF.
Choisir la taille de page « A4 » (« Letter » est le format américain) puis cliquer sur « Téléchargez votre PDF » et enregistrer le PDF sur votre ordinateur.
Désormais vous pouvez imprimer l’article dans sa version PDF de 4 pleines pages, en deux feuilles : la première feuille imprimée recto-verso avec les pages 1 & 2, et la deuxième feuille imprimée recto-verso avec les pages 3 & 4.
Timbrer et, enfin, postez à l’adresse de votre médecin.
Non seulement vous ferez connaitre à votre médecin les divers traitements potentiels disponibles à utiliser selon votre état de santé mais vous contribuerez aussi à faire connaître Résistance Républicaine dans le milieu médical.
Voilà, faire acte concret de résistance pour vous protéger contre la bureaucratie de la « santé » qui veut que vous tombiez gravement malade du covid-19 pour vous soigner afin de justifier son parasitisme, ça commence en investissant un timbre.
(1) apanchrome (néologisme résistant) : « a » (absence) de « pan » (toutes) les « chrome » (couleurs). Les couleurs sont définies dans l’arc en ciel, du rouge au violet. L’absence de toutes les couleurs définit le noir (quand il n’y a plus ni soleil ni lune, c’est la nuit… noire). Inversement, le mélange de toutes les couleurs définit le « panchrome », le blanc.
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Je comprends maintenant pourquoi dans les hôpitaux parisiens ils ont traité les malades avec des antiviraux conçus pour le VIH,
ils savaient ce que nous venons d’apprendre par le prix Nobel , le professeur Montagnier, à savoir, ce petit morceau de VIH dans l’ARN du virus covid19,
reprenons le raisonnement, si le covid contient bien un fragment de VIH, sera-t-il possible d’envisager un vaccin ??
étant donné que depuis 40 ans , il n’a pas été possible d’en réaliser un contre le VIH,
d’autre part, il nous vient de plus en plus d’infos, signalant des rechutes de patients guéris, ce covid agirait comme le virus de l’Herpès, une fois entré dans l’organisme , il ne peut plus en être chassé,
un mois après, certains patients rechutent, ce virus est diabolique , comme ceux qui l’ont inventé
Pour se débarrasser de l’épidémie en France, il faudra A LA FOIS un traitement curatif ET un traitement préventif.
Curatif pour soigner les malades, et préventif pour vacciner tout le monde.
Pour le 1er point, il y a déjà le traitement du professeur Raoult. C’est peut-être imparfait, mais si c’est cela ou rien, choisir rien est tout simplement criminel.
Pour le vaccin… Combien de temps faudra-t-il ? Un an ? Deux ans ?
Donc, c’est absurde de voir le traitement du Pr Raoult comme un concurrent des labos. Il faut les deux!
Sans trop attendre, il faudra déconfiner en commençant par les métiers les plus indispensables (et non par tranche d’âge ou juste par région). Mais pour pour cela, il faut : des masques, des gants, du gel et des tests par millions.
Seule solution pour en avoir suffisamment : que l’Etat passe des appels d’offres pour inciter les industriels à en fabriquer au prix proposé.
Compter sur la Chine pour être suffisamment doté est dangereux. Nous venons de l’apprendre aux dépens de nos 18.681 morts.
oui!
ilfaut absolument faire le Buz et laisser les skis en Pologne !!
quand je pense a tous les flacons de nivaquine que j’ ai pu me taper….a l’ époque, les comprimés étaient vendus en bouteillettes ou en tubes de métal
et cette grosse tache qui se comporte en micro dictateur en décidant de qui est bon ou mauvais pour 60 millions de Français (je suis généreux, en y incorporant les 18 millions de ces « français vivant EN france)
Il ne suffit pas que le médecin vous donne l’ordonnance, il faut ensuite se battre avec la pharmacie qui n’ont pas le droit de les délivrer.
Un super pays.
la chloroquine oui mais pour les antibiotiques et autres c’est bon
Tout à fait Christine, mais ce qui m’étonne c’est qu’on interdise ce médicament spécialement qui parait montrer une certaine efficacité contre ce virus, en plus il y a d’autres médicaments qu’on commence à ne plus en trouver dans les pharmacies ou qu’on vous impose les génériques.