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Nous nous faisions récemment l’écho d’une décision du 3 décembre dernier de la Cour de cassation qui condamnait à deux mois de prison un malheureux qui avait construit trois logements dans un immeuble au lieu des deux autorisés par le permis de construire…
En prison pour ne pas avoir respecté un permis de construire !
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Trois portes au lieu de deux, voilà qui avait justifié des poursuites du ministère public, représentant du gouvernement dans l’action pénale, et une condamnation par tous les juges intervenus dans cette affaire.
On avait eu lieu alors de s’étonner de cette sévérité au regard du préjudice minime, dérisoire voire inexistant causé à la société pour cette « infraction », tandis que par ailleurs, une mosquée était autorisée dans une zone tendue alors que les stationnements nécessaires n’avaient pas été prévus.
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Quelques articles de presse récents évoquent désormais un cas de mosquée illégale à Toulouse, la construction ayant eu lieu sans aucun permis de construire cette fois-ci !
Même le maire JL Moudenc, candidat à sa propre succession, aurait mis l’affaire sur le tapis pour, tout LR qu’il est, prétendre lutter contre l’islamofascisme, qu’il prétend par ailleurs distinguer de la « religion musulmane »… mais comme toujours, sans qu’on en sache plus quant à l’opération du malsain-esprit qui ferait basculer de l’une à l’autre…
Pour l’instant, cette histoire de mosquée illégale semble plutôt étouffée, c’est comme un tabou si l’on considère que rien quasiment ne filtre dans la presse à ce sujet, et que le seul article d’un média répandu qui lui est consacré est réservé en grande partie aux abonnés…
Les déclarations publiées par Actu.fr semblent bien corroborer l’impression que l’Etat n’a pas déclenché de poursuite pénale cette fois-ci contre les responsables de cette construction, ceux à l’initiative du projet de mosquée non autorisée.
On a pourtant ici affaire à autre chose qu’une simple porte ajoutée dans une habitation !
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Plus facile de demander que soit envoyé en prison un paisible père de famille au chômage plutôt que de viser les responsables de ce projet et les bénéficiaires de la construction réalisée sans permis, la mosquée étant de plus, selon la Dépêche du Midi, très fréquentée.
Car il y a dans la loi de finances un indicateur qui vise à évaluer le taux de réponse pénale du ministère public… Apparemment, certaines affaires sont étouffées et celle-ci en ferait bien partie…
La partie accessible aux lecteurs non abonnés est certes réduite mais éloquente à ce sujet…
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Il semble bien que malgré des relances régulières de la mairie auprès de l’Etat, depuis 4 ans, le gouvernement décide de fermer les yeux.
Cela pose quand même un gros souci au regard de l’égalité devant la loi !
Certes, nous nous inquiétions du fait qu’on puisse finir en prison pour ne pas avoir respecté un permis de construire, la simple condamnation à démolir à ses frais semblant être suffisamment dissuasive au regard du préjudice causé à la société par l’infraction, mais dans le cas présent, il s’agit quand même d’une construction volumineuse, associée à un symbole fort dans la période actuelle, qui exprime l’implantation d’une idéologie particulière dans le paysage français et, qui plus est, on ne parle plus de simple violation d’un permis, mais d’une absence de permis ! Un contexte qui pourrait justifier effectivement une sévérité accrue…
Bien au contraire, c’est le laxisme qui semble prévaloir encore une fois de la part du gouvernement et spécialement du ministère de la Justice entre les mains de Belloubet.
On observe d’ailleurs encore une fois une continuité entre Hollande et Macron. Macron est bien le Hollande bis, en plus antisocial et multiculturaliste, en encore moins républicain et moins laïque…
En marche vers la mosquée donc, comme Mme Macron sur la photo illustrant cet article… !
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La discrimination en faveur de l’islam niée par la niaiseuse
Toujours la justice à deux ou trois vitesses, la France est le pays champion du monde de la justice à deux ou trois vitesses. Les toulousains n’ont qu’à construire des maisons sans permis, et au tribunal, quand l’état qui là, ne manquera pas de les poursuivre, il n’auront qu’à faire valoir la jurisprudence concernant cette putain de mosquées construite sans permis.
En attendant là on est encore devant un cas flagrant d’injustice et de passe droit accordé aux mahométans. C’est la discrimination positive de Macron le lèche babouches
Les muzzs ont tous les droits ils font ce qu’ils veulent, alors pourquoi ce priver. Ils sont protéger par leur président, micron 1er roi des musulmans, pas des français. Les juges complices donc collabos ne sont là que pour lécher le cul du système micron, en espérant partager un peu de pouvoir.
La France est au mains des juges félons complices de toute cette voyoucratie qui est au gouvernement. Vivement que cela finisse, mais quand. En attendant c’est deux poids deux mesures, la clémence pour les muzzs et l’acharnement sur les Français, de souche bien sur.