Grâce aux cartes postales anciennes, visitez la chocolaterie “au Nègre joyeux” ou “l’Auberge du beau Noir”

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Toute la France est occupée par la bien-pensance, le politiquement correct et la repentance.

Toute ? NON, il est encore un îlot qui résiste !

Celui des collectionneurs de cartes postales anciennes. Dans ce monde, le temps s’est arrêté.

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Les cartes postales anciennes, un monde encore préservé du politiquement correct et de l’autoflagellation

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Le collectionneur ne demande qu’à apprendre à travers les témoignages du passé : le censeur ne demande qu’à tout interdire, les mots, les articles, les dessins, les chansons etc…, ne voyant les choses que par son petit bout de lorgnette et postulant que nous ne sommes pas capables d’apprendre ni de comprendre.

Qu’il est bon et réjouissant de faire une petite promenade au pays des cartophiles. Avant que la censure et les rabat-joie nous interdisent aussi ce passe-temps.

Cartophilie : « Timbres magazine » 

Le numéro de ce début d’année de « Timbres magazine » évoque les  collectionneurs qui s’intéressent aux enseignes, à travers les cartes postales anciennes.

Hommage est rendu à une certaine Roxane Debuisson, bien connue du milieu des cartophiles,  qui avait rejoint le Cercle français des collectionneurs de cartes postales dès sa création en mars 1956.

 Au nombre de ses trouvailles figuraient des enseignes anciennes, sous la forme de pièces d’époque originales et de reproductions cartophiles.

 Compter entre 2 et 5 euros les cartes postales de la série des Vieilles enseignes de Paris, de Jean-Jules Dufour, selon la qualité et l’intérêt des dessins. Compter 8 à 20 euros les cartes réalisées à partir des photographies des façades portant des enseignes.

Tenir compte de l’animation [personnages] et de la rareté de la carte.

Prix supérieurs pour les cartes animées comme L’Auberge du Beau Noir ou La Taverne du nègre, nous apprend-on.

Sûr que les cours vont monter car on n’est pas prêt de  revoir ces enseignes dans les rues de France !

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La taverne du Nègre

La taverne du Nègre (en illustration) , située 17 boulevard Saint-Denis, est un établissement qui permet de réunir des assemblées nombreuses. Aux beaux jours, une grande terrasse s’étend sur le boulevard. Des cercles littéraires le fréquentent, sous la houlette de Charles Morice notamment, et la toute nouvelle C.G.T. y tiendra des réunions durant cette même année 1907. La taverne du Nègre n’existe plus de nos jours. L’immeuble même a été détruit. On trouve à la place une parfumerie Sephora et une librairie Gilbert Jeune.

source : http://cimandef.net/ouvrage-7-8.pdf

 

Des traces dans la littérature. 

Deux amis des impressionnistes: Le docteur Gachet et Murer, de Paul Gachet

 

Le vol des bijoux de la Bégum, de Jean-Pax Méfret

 

L’amour cruel, de Michel Hérubel

 

L’AUBERGE DU BEAU NOIR”

Vers 1910 – Au 5 rue du Jour (les Halles), le restaurant “Au beau Noir” avait des billards et…le téléphone !

Vers 1925 – Les garçons bouchers de la rue du Jour n’étaient pas des rigolos !

http://parisavantapres.blogspot.com/2016/06/paris-1er-arrondissement-des-halles-la.html

 

“AU NEGRE JOYEUX”

Peu à peu, les ayatollahs de la repentance gagnent du terrain.

En 2017, encore une belle injure au bon sens et à l’intelligence des passants : une jolie enseigne historique est retirée par le pouvoir communiste parisien.

On n’a plus le droit d’être joyeux.

Les communistes étant dans cette histoire parfaitement dans leur rôle : « Du passé faisons table rase », dit L’Internationale…

Notons que ces mêmes ayatollahs de la mairie de Paris ne trouvent rien à redire aux devantures aux couleurs de l’islam (bien contemporaines !) qui fleurissent dans Paris, et qui prêchent le “fascisme islamiste” que Résistance républicaine combat sans relâche !

Le Parisien :

Le retrait de l’enseigne d’une vieille épicerie de 1812, “Au nègre joyeux” rue Mouffetard au niveau de la place de la Contrescarpe soulève la polémique. Certains la jugent raciste. Les riverains au contraire veulent la rénover et l’accompagner d’une plaque explicative sur le colonialisme.

Le débat a commencé aux Etats-Unis avec les monuments à la gloire des confédérés. En France, la polémique a rebondi avec Colbert dont certaines associations ont demandé que le nom soit retiré des écoles parce qu’on lui doit le Code noir. Et maintenant, la controverse gagne la capitale.

Mardi dernier, le Conseil de Paris a décidé de retirer l’enseigne de l’ancienne chocolaterie « Au nègre joyeux » et de l’exposer au musée Carnavalet après l’avoir fait restaurer.

Déployée depuis 1812 sur une façade de la place de la Contrescarpe (Ve), la scène représente un serviteur noir au large sourire et une femme blanche qui tient un plateau d’argent à la main. Un vestige de l’histoire coloniale qui a été vandalisée à plusieurs reprises.

Fallait-il aller jusqu’à la retirer de l’espace public comme l’exigeaient les élus communistes ? Ou bien la préserver mais en l’accompagnant d’un panneau explicatif, comme le réclamait Florence Berthout, la maire (LR) du Ve relayant ainsi un projet validé par ses administrés lors du budget participatif de 2016 ? (…)

http://www.leparisien.fr/paris-75/paris-faut-il-retirer-l-enseigne-au-negre-joyeux-03-10-2017-7306104.php

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7 Commentaires

  1. pour mémoire, et en hommage, au Salon de thé, chocolatier deTunis,”chez les Nègres”, avenue de Paris, a cent mètres du prestigieux Lycée Carnot

    ce chocolatier réputé, dont la fille (Lola) épousera le père de Wolinski

    mais là c’est presque une histoire de famille……………. 😆

  2. Moi je pense qu’il ne fallait rien faire et laisser cette enseigne à sa place . Ils n’ont pas droit de toucher au patrimoine sans consulter la population de quel droit se permettent ils . Ce prennent ils pour la conscience du monde ses imbéciles . C’est faire bien peu de cas de l’intelligence et de la capacité de discernement de tout un chacun .Ils prennent les Français pour des imbéciles ceux qui imposent leur point de vue, en éliminant carrément les vestiges de notre histoire . Ce n’est pas glorifier un passé, c’est témoigner d’une époque et d’un contexte. Ils n’ont toujours pas pris de leçon du passé qui ont vu les révolutionnaires gratter les façades des églises ou casser bruler des nous empêchant de pouvoir mettre des marqueurs sur chaque étapes de notre histoire . Eux encore avaient des circonstances atténuantes mais les gauchos d’aujourd’hui sont impardonnables .Une fois que l’on aura plus de ces traces, qu’ils auront fait table rase , ils pourront toujours raconter leur messe !

  3. Les gâteaux têtes de nègre, ont été rebaptisés noix du Japon, quelle belle dérobade !

      • Dans une petite ville du Loiret : ça s’appelle “boule noire” !… Halte à cette censure qui n’a plus de limites. Par contre, “boucherie halal”, kébab, ça passe à fond !…

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