Bernard Lugan répond, point par point, à la propagande d’Arte sur la colonisation …

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J’ai, la semaine dernière  sur « Résistance Républicaine », dit combien la série d’Arte « Décolonisation » me semblait répugnante par ses mensonges constants:

https://resistancerepublicaine.com/2020/01/09/decolonisation-lignoble-serie-darte-inspiree-par-les-theses-des-indigenistes/

(D’ailleurs, ce soir mardi, attendons nous à un ton totalement différent, de la part d’Arte, dans sa série sur l’islam en France: contre toute vérité, la colonialisation par les  musulmans de la  France, elle , sera vantée par Arte).

Bernard Lugan démonte point par point cette escroquerie médiatique d’Arte :

 

Quand Arte apporte sa pierre à l’escroquerie historique de la « légende noire » de la colonisation

 

La chaîne Arte vient de se surpasser dans le commerce de l’insupportable escroquerie historique qu’est la « légende noire » de la colonisation. Or, le bilan colonial ne pourra jamais être fait avec des invectives, des raccourcis, des manipulations et des mensonges.

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Regardons la réalité bien en face : la colonisation ne fut qu’une brève parenthèse dans la longue histoire de l’Afrique. Jusque dans les années 1880, et cela à l’exception de l’Algérie, du Cap de Bonne Espérance et de quelques comptoirs littoraux, les Européens s’étaient en effet tenus à l’écart du continent africain. Le mouvement des indépendances ayant débuté durant la décennie 1950, le XXe siècle a donc connu à la fois la colonisation et la décolonisation.

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Quel bilan honnête est-il possible de faire de cette brève période qui ne fut qu’un éclair dans la longue histoire de l’Afrique ? Mes arguments sont connus car je les expose depuis plusieurs décennies dans mes livres, notamment dans Osons dire la vérité à l’Afrique.J’en résume une partie dans ce communiqué.

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1) Les aspects positifs de la colonisation pour les Africains

 

La colonisation apporta la paix

Durant un demi-siècle, les Africains apprirent à ne plus avoir peur du village voisin ou des razzias esclavagistes. Pour les peuples dominés ou menacés, ce fut une véritable libération.

Dans toute l’Afrique australe, les peuples furent libérés de l’expansionnisme des Zulu, dans tout le Sahel, les sédentaires furent libérés de la tenaille prédatrice Touareg-Peul, dans la région tchadienne, les sédentaires furent débarrassés des razzias arabo-musulmanes, dans l’immense Nigeria, la prédation nordiste ne s’exerça plus aux dépens des Ibo et des Yoruba, cependant que dans l’actuelle Centrafrique, les raids à esclaves venus du Soudan cessèrent etc.

A l’évidence, et à moins d’être d’une totale mauvaise foi, les malheureuses populations de ces régions furent clairement plus en sécurité à l’époque coloniale qu’aujourd’hui…

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La colonisation n’a pas pillé l’Afrique

Durant ses quelques décennies d’existence la colonisation n’a pas pillé l’Afrique. La France s’y est même épuisée en y construisant 50.000 km de routes bitumées, 215.000 km de pistes toutes saisons, 18.000 km de voies ferrées, 63 ports équipés, 196 aérodromes, 2000 dispensaires équipés, 600 maternités, 220 hôpitaux dans lesquels les soins et les médicaments étaient gratuits. En 1960, 3,8 millions d’enfants étaient scolarisés et dans la seule Afrique noire, 16.000 écoles primaires et 350 écoles secondaires collèges ou lycées fonctionnaient. En 1960 toujours 28.000 enseignants français, soit le huitième de tout le corps enseignant français exerçaient sur le continent africain.

Pour la seule décennie 1946 à 1956, la France a, en dépenses d’infrastructures, dépensé dans son Empire, donc en pure perte pour elle, 1400 milliards de l’époque. Cette somme considérable n’aurait-elle pas été plus utile si elle avait été investie en métropole ? En 1956, l’éditorialiste Raymond Cartier avait d’ailleurs écrit à ce sujet :

« La Hollande a perdu ses Indes orientales dans les pires conditions et il a suffi de quelques années pour qu’elle connaisse plus d’activité et de bien-être qu’autrefois. Elle ne serait peut-être pas dans la même situation si, au lieu d’assécher son Zuyderzee et de moderniser ses usines, elle avait dû construire des chemins de fer à Java, couvrir Sumatra de barrages, subventionner les clous de girofle des Moluques et payer des allocations familiales aux polygames de Bornéo. »

Et Raymond Cartier de se demander s’il n’aurait pas mieux valu « construire à Nevers l’hôpital de Lomé et à Tarbes le lycée de Bobo-Dioulasso ».

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Jacques Marseille[1] a quant à lui définitivement démontré quant à lui que l’Empire fut une ruine pour la France. L’Etat français dût en effet se substituer au capitalisme qui s’en était détourné et s’épuisa à y construire ponts, routes, ports, écoles, hôpitaux et à y subventionner des cultures dont les productions lui étaient vendues en moyenne 25% au-dessus des cours mondiaux. Ainsi, entre 1954 et 1956, sur un total de 360 milliards de ff d’importations coloniales, le surcoût pour la France fut de plus de 50 milliards.

Plus encore, à l’exception des phosphates du Maroc, des charbonnages du Tonkin et de quelques productions sectorielles, l’Empire ne fournissait rien de rare à la France. C’est ainsi qu’en 1958, 22% de toutes les importations coloniales françaises étaient constituées par le vin algérien qui était d’ailleurs payé 35 ff le litre alors qu’à qualité égale le vin espagnol ou portugais était à19 ff.

Quant au seul soutien des cours des productions coloniales, il coûta à la France 60 milliards par an de 1956 à 1960.

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Durant la période coloniale, les Africains vivaient en paix

Dans la décennie 1950, à la veille des indépendances, à l’exception de quelques foyers localisés (Madagascar, Mau-Mau, Cameroun) l’Afrique sud-saharienne était un havre de paix.

Le monde en perdition était alors l’Asie qui paraissait condamnée par de terrifiantes famines et de sanglants conflits : guerre civile chinoise, guerres de Corée, guerres d’Indochine et guerres indo-pakistanaises.

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En comparaison, durant la décennie 1950-1960, les habitants de l’Afrique mangeaient à leur faim, étaient gratuitement soignés et pouvaient se déplacer le long de routes ou de pistes entretenues sans risquer de se faire attaquer et rançonner.

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Soixante-dix ans plus tard, le contraste est saisissant: du nord au sud et de l’est à l’ouest, le continent africain est meurtri :

– Dans le cône austral, ce qui fut la puissante Afrique du Sud sombre lentement dans un chaos social duquel émergent encore quelques secteurs ultra-performants cependant que la criminalité réduit peu à peu à néant la fiction du « vivre ensemble ».

– De l’atlantique à l’océan indien, toute la bande sahélienne est enflammée par un mouvement à la fois fondamentaliste et mafieux dont les ancrages se situent au Mali, dans le nord du Nigeria et en Somalie.

– Plus au sud, la Centrafrique a explosé cependant que l’immense RDC voit ses provinces orientales mises en coupe réglée par les supplétifs de Kigali ou de Kampala.

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Si nous évacuons les clichés véhiculés par les butors de la sous-culture journalistique, la réalité est que l’Afrique n’a fait que renouer avec sa longue durée historique précoloniale. En effet, au XIX° siècle, avant la colonisation, le continent était déjà confronté à des guerres d’extermination à l’est, au sud, au centre, à l’ouest. Et, redisons-le en dépit des anathèmes, ce fut la colonisation qui y mit un terme.

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Aujourd’hui, humainement, le désastre est total avec des dizaines de milliers de boat people qui se livrent au bon vouloir de gangs qui les lancent dans de mortelles traversées en direction de la « terre promise » européenne. Les crises alimentaires sont permanentes, les infrastructures de santé ont disparu comme l’a montré la tragédie d’Ebola en Afrique de l’Ouest ou la flambée de peste à Madagascar, l’insécurité est généralisée et la pauvreté atteint des niveaux sidérants.

Economiquement, et à l’exception d’enclaves dévolues à l’exportation de ressources minières confiées à des sociétés transnationales sans lien avec l’économie locale, l’Afrique est aujourd’hui largement en dehors du commerce, donc de l’économie mondiale, à telle enseigne que sur 52 pays africains, 40 ne vivent aujourd’hui que de la charité internationale

 

2) Les conséquences négatives de la colonisation

La colonisation a déstabilisé les équilibres démographiques africains

La colonisation a mis un terme aux famines et aux grandes endémies. Résultat du dévouement de la médecine coloniale, la population africaine a été multipliée par 8, une catastrophe dont l’Afrique aura du mal à se relever.

En effet, le continent africain qui était un monde de basses pressions démographiques n’a pas su « digérer » la nouveauté historique qu’est la surpopulation avec toutes ses conséquences : destruction du milieu donc changements climatiques, accentuation des oppositions entre pasteurs et sédentaires, exode rural et développement de villes aussi artificielles que tentaculaires, etc.

La colonisation a donné le pouvoir aux vaincus de l’histoire africaine

En sauvant les dominés et en abaissant les dominants, la colonisation a bouleversé les rapports ethno-politiques africains. Pour établir la paix, il lui a en effet fallu casser les résistances des peuples moteurs ou acteurs de l’histoire africaine.

Ce faisant, la colonisation s’est essentiellement faite au profit des vaincus de la « longue durée » africaine venus aux colonisateurs, trop heureux d’échapper à leurs maîtres noirs. Ils furent soignés, nourris, éduqués et évangélisés. Mais, pour les sauver, la colonisation bouleversa les équilibres séculaires africains car il lui fallut casser des empires et des royaumes qui étaient peut-être des « Prusse potentielles ».

La décolonisation s’est faite trop vite

Ne craignons pas de le dire, la décolonisation qui fut imposée par le tandem Etats-Unis-Union Soviétique, s’est faite dans la précipitation et alors que les puissances coloniales n’avaient pas achevé leur entreprise de « modernisation ».

Résultat, des Etats artificiels et sans tradition politique ont été offerts à des « nomenklatura » prédatrices qui ont détourné avec régularité tant les ressources nationales que les aides internationale. Appuyées sur l’ethno-mathématique électorale qui donne automatiquement le pouvoir aux peuples dont les femmes ont eu les ventres les plus féconds, elles ont succédé aux colonisateurs, mais sans le philanthropisme de ces derniers…

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Les vraies victimes de la colonisation sont les Européens

Les anciens colonisateurs n’en finissent plus de devenir « la colonie de leurs colonies » comme le disait si justement Edouard Herriot. L’Europe qui a eu une remarquable stabilité ethnique depuis plus de 20.000 ans est en effet actuellement confrontée à une exceptionnelle migration qui y a déjà changé la nature de tous les problèmes politiques, sociaux et religieux qui s’y posaient traditionnellement.

Or, l’actuelle politique de repeuplement de l’Europe est justifiée par ses concepteurs sur le mythe historique de la culpabilité coloniale. A cet égard, la chaîne Arte vient donc d’apporter sa pierre à cette gigantesque entreprise de destruction des racines ethniques de l’Europe qui porte en elle des événements qui seront telluriques.

Bernard Lugan

[1] Jacques Marseille, Empire colonial et capitalisme français, histoire d’un divorce. Paris, 1984. Dans ce livre Marseille évalue le vrai coût de l’Empire pour la France.

https://bernardlugan.blogspot.com/2020/01/quand-arte-apporte-sa-pierre.html

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11 Commentaires

  1. J’au ici et là sur ce site évoqué les mêmes propos que je reprends. C’est la décolonisation qui a été un crime, donc le contraire de ce que raconte Macron, les années 60 furent un complet bonheur pour les nations coloniales qui avaient largué le « fardeau de l’homme blanc » comme on disait à l’époque, ce furent les « golden sixties ». Le ressentiment de l’Afrique vient du fait qu’ils sont furieux maintenant contre nous, ils sont incapables de se débrouiller seuls, suite au bienfaits de la colonisation en matière sanitaire et médicale, mais qui a détruit la société tribale et sociale du continent noir. Ces gens projetés dans le monde actuel, sont en révolte, la décolonisation a été trop rapide, mais on peut se poser aussi la question du pourquoi avoir colonisé quand on se rend compte de ce que ça à coûté.

  2. Bernard Lugan est un puits de science sur l’Afrique. Il aurait largement mérité de continuer à donner ses cours à l’Ecole militaire et nous aurions du l’avoir en permanence comme conseiller du gouvernement afin de bénéficier de ses avis sur le monde très particulier qu’est ce continent… Mais avec des pieds nickelés à la tête de l’Etat, ils doivent se contenter de bellatar,et consorts …
    Rien à ajouter à sa vision réaliste et objective des situations, sauf quelques détails qui sont quand même d’importance :
    — hormis les grandes sociétés comme Borgeaud & C°, la majorité des petits blancs agriculteurs d’Algérie se sont échinés sur des petites exploitations de dizaines d’hectares de caillasses …D’ailleurs, bien des soldats appelés, professionnels des métiers de la terre, se demandaient si le jeu en valait vraiment la chandelle …
    — c’est la colonisation qui mit fin à l’esclavage et au cannibalisme à la fin du 19ème siècle… Hé oui, fin de la vente de « la viande qui parle » si prisée à l’époque …
    Dans un reportage complet et objectif, comme on doit s’attendre de gens qui se gobergent avec nos impôts (plus de 400K€# pour la delnotte & cie…) on pourrait s’attendre à un minimum d’objectivité !!… Bande de salauds !

    # en 2017 … Qu’en est-il aujourd’hui ??… Je considère qu’il devrait y avoir obligation de publier la grille des salaires de tous ces incapables payés avec nos impôts dans ces institutions publiques de désinformation !

  3. merci pour cet article très intéressant qui devrait être lu par ces grosses buses d’ARTE

  4. Chaque fois qu’il y a des élection nous avons le droit de subir la propagande de Arte mais cela aurait pu être la 3 ou autres chaines publiques . C’est pour enfoncer dans les esprits déjà bien formatés depuis la prime enfance par des profs gauchos sur des programmes d’histoire fait par des auteurs gauchos que nous devons accepter d’être remplacés parce que nous avons été de méchants colonisateurs . Cela ne mange pas de pain et ça fait voter les populations qui croient dur comme fer à partit du moment qu’elles ne cherchent pas à se faire une idée réaliste de ces périodes en se laissant bercer par des manipulateurs et ça fait voter les gens dans le bon « sens » . J’ai été comme cela , je sais de quoi il en retourne avant de me réveiller et de commencer à être moins c…n ! J’ai écouté les uns et les autres les vérités, les témoignages et les écrits des uns et des autres ,ceci depuis plus de 45 ans , . J’en arrive à cette conclusion que ce sont les gens qui ont une vision décomplexée de cette périodes, qui ne font pas dans le militantisme aveugle, ni la haine , ni la repentance qui ne sont pas manipulables par la propagande déversée dans certains médias qui ont raison. .Bernard Lugan fait parti de ces gens.

  5. Les gauchos ont subit un traumatisme avec l’effondrement du bloc soviétique et ils pensent qu’ils ont trouvé une justification à leur existence par la colonisation qui est pour eux comme une bouée salvatrice. Elle leur permet de justifier l’immigration et de faire de la démagogie avec les populations entrantes et de l’électoralisme . C’est tout ce qui leur reste à se mettre sous la dent . Et ils ânonnent comme certains immigrés qui sont parfaitement ignorant mais sont capables de vous faire une tirade sur les méfaits de la colonisation et le pillage de leurs matières premières ? On leur apprend la colonisation avant d’apprendre leur langue ou les maths, lobotomisés qu’ils ont été par leur dirigeants respectifs à gros comptes en Suisses . Ces mêmes dirigeants qui ne doivent leur place qu’à cette même colonisation. Qu’aurait -ils été si les colons n’avaient pas mis en valeur leur fameuses matières premières . Ces oligarchies ne tiennent que grâce au pétrole pour les uns, aux minerais pour les autres au gaz etc…Les infrastructures construites sous la colonisation sont les seules choses de solides sur lesquelles les populations peuvent compter. Les gauchos utilisent avec leur copains libéraux les mêmes ficelles grossières avec les immigrés qu’ils ont utilisé lors de la décolonisation; Pour les macronistes les immigrés font parti de la monnaie d’échange largement pratiquée pour éponger un peu les immenses problèmes sociaux de ces ex colonies dirigées par des incapables contre des matières premières. Ils disent que l’on pille leur matières premières mais qu’en feraient ils puisqu’ils n’ont pas su se doter d’une industrie pour transformer justement ces matières premières en produits finis. Ce sont eux les voleurs qui nous ont pillé, ils mettent le nom de leur « héros « sur des aérodromes que nous avons construits Constatez ce qui se passe ne France avec les population qui critiquent notre pays tout en s’y rendant en nombre et vous avez .une idée du taux d’honnêteté de ces gens qui se sont installé dans les maisons des PN avant même qu’ils soient partis et pillent aujourd’hui nos caisses sociales .Le reste est à l’encan! Et vous avez les gauchos qui bien sûr n’ont plus que l’électoralisme en direction des immigrés pour sauver leurs bastions locaux en utilisant les mêmes ficelles que les dirigeants de ces oligarchies et présidents de républiques bananières qui n’ont que la corruption et l’islam à offrir à leurs population respectives. A mettre en parallèle avec l’immense apport de la colonie et les efforts sur humain qui ont permis de mettre en valeur toutes les richesses de ces pays qui sont aujourd’hui tous en faillite et qui du fait d’ une surnatalité ne servent d’une part que de réserve de main d’œuvre et une manne électorale pour des occidentaux sans scrupules. En tout cas bravo à Bernard Lugan pour cette démonstration et cette désintoxication des esprits sur les colonies à contre courant de toutes cette propagande de gens qui ne sont pas désintéressés à perpétrer les ineptie habituelles sur cette période à l’inverse Bernard Lugan qui est un esprit libre, Lui n’a aucun intérêt ni électorale ni économique à le faire juste rétablir des vérités . Il n’a pas dit qu’il voulait recoloniser ces pays bien au contraire il explique bien que la colonisation a même eut un coût pour la France . Et les populations ont eu des velléités d’indépendantisme au moment où la France était encore fragile , 10 ans à peine après la fin de la deuxième guerre mondiale une toussaint de triste mémoire en 1954 !

  6. Merci d’avoir remis les choses en place et la réalité est nous sommes loin des versions officielles d’intox que nous subissons depuis tant d’années afin d’entretenir dans l’esprit des français une culpabilisation permanente concernant nos présences en Afrique .

  7. La lucidité et conséquemment, les analyses, et les conclusions de Bernard Lugan sont stupéfiantes.

    Tout est clair, et parfaitement démontré.

    Le problème est que la Vérité n’est jamais bonne à dire dans le monde des idéologues, des salauds, des falsificateurs des faits et de l’Histoire.

    Pour en revenir à l’Afrique, bombe démographique à (court) retardement : quels dirigeants de pays « avancés », quelles instances internationales (ONU, OMS… ) oseront dire clairement aux dirigeants africains que pour le bien, non seulement de l’Afrique mais aussi de la planète, qu’il conviendrait qu’ils édictent drastiquement (comme cela est en train de se faire en Inde) une limitation des naissances à 2 enfants ?

  8. La réputation remarquable de Bernard Lugan n’est plus à faire depuis longtemps. Chassé de Coëtquidan par Le Drian sous la présidence de Hollande- boutefeu au Mali- il est depuis presque cinq ans mis à l’index. Et c’est le maqueron qui réunit à Pau (!!!!) pour leur faire sa morale neuf chefs d’états africains « sahéliens »..
    Ce nul inculte, » chef des armées », exempté de service militaire comme de classement à l’ENA, se veut être le père fouettard, le gendarme façon Guignol assisté du casse-ta-nère Gnafron ? Et il envoie ses pieds- nickelés dans les mairies en mars prochain??
    Je souhaite, comme beaucoup de Français, qu’il comprenne ce qu’est « Fêter Pâques avant les Rameaux » entre autres souhaits bien plus féroces.

  9. Thx, 20h50 programmé via ma môman. Arte, le meilleur comme le pire. Le pire, la série « Juifs et Musulmans » avec le beau rôle accordé à ces derniers, une dhimmitude originelle quasi entièrement occultée. Le meilleur, les téléfilms allemands en tout genre. Enfin, je préfère le méchant Arte au gentil TF1 ludico-amerloque pour estropiés du cerveau.

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