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Décidément, Victor Hugo et la banlieue sont à l’honneur au cinéma.
Après Ladj Ly et ses Miséroïdes sauce racaille, voici Montfermeil-sur-Bronx vu par la gauchiasserie germanopratine. Car, aujourd’hui, sort la dernière bouse cinématographique multiculturelle signée Jeanne Balibar : « Merveilles à Montfermeil ».
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Le point commun avec l’ex-repris de justice Ladj Ly : la référence à Victor Hugo puisque Montfermeil – nous apprennent Les Inrocks subjugués, s’avère être « la patrie romanesque du misérable Jean Valjean ». De plus, dans « Les Misérables » du réalisateur franco-malien nouveau chouchou des médias, Jeanne Balibar jouait un commissaire de police.
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Tout ce petit monde se connaît donc et il était normal, pour le film de la bobo Balibar (chevalier de la légion d’honneur ce 1er janvier) , que Ladj Ly assure « l’organisation, la régie et la sécurité dans la ville » (Cinésérie.com).
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C’est connu, à gauche, on aime s’encanailler avec la racaille, les grands frères et les caïds… Mais, pour le romanesque, on repassera.
Malgré tout, qu’ils sont touchants ces gaucho-bobos engagés du XVIe arrondissement tentant de se faire aimer par la diversité banlieusarde en pondant des œuvres absconses !
Alors que, sauf à se convertir à l’islam, ils seront les premiers sacrifiés…
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Évidemment, toute la presse de gauche adôôôre : « Merveilles à Montfermeil » est une comédie qui « tente de nous faire rire et réfléchir sur la vie politique municipale » (Paris-Normandie), « une douce utopie en Seine-Saint-Denis » se pâme Le Monde.
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C’est que Jeanne Balibar, avec l’actrice Emmanuelle Béart, une autre passionaria des sans-papiers, tente de se moquer des travers de la bourgeoisie de gauche.
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Merveilles à Montfermeil : voyage en absurdie politique
Jeanne Balibar prend donc le parti de « mettre en boîte la bourgeoisie de gauche à laquelle elle-même appartient ».
En donnant à voir une équipe municipale fraîchement élue à Montfermeil, qui expérimente avec beaucoup de sérieux les idées théoriques les plus farfelues et vaseuses avec lesquelles elle a gagné l’élection, la réalisatrice se moque allègrement des idées de gauche et des folies des hommes et des femmes au pouvoir dans les collectivités.
Un film qui tente d’expliquer les raisons de la disparition d’une certaine gauche
[…] Car pour la réalisatrice, Merveilles à Montfermeil est « avant tout une comédie du remariage, avec des amoureux séparés, qui ne peuvent se retrouver que quand ils ont traversé la société, en l’occurrence les paradoxes de la gauche »…
Et à ceux qui pourront aussi lui objecter que, quitte à aborder la politique à Montfermeil, même de façon loufoque, elle aurait pu profiter de l’occasion pour dénoncer les biais du communautarisme dans cette ville, elle clôt le débat avant même qu’il ne soit ouvert.
Selon elle, « l’art ne doit pas directement traiter de l’actualité et le voile est un costume comme un autre et un signe de soumission à une religion, tout comme le costume cravate est le signe de la soumission à la religion de l’argent ou son propre costume, celui de la soumission à la domination patriarcale ».
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Une comédie de remariage ? Effectivement, puisque Jeanne Balibar fait tourner deux de ses anciens compagnons, Mathieu Amalric et Philippe Katerine.
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Le financement ? Compliqué apparemment : 7 ans pour trouver le million d’euros nécessaire. Pourtant, le film cochait toutes les cases pour obtenir des subventions à gogo : thème gaucho-sociétal, banlieue défavorisée et sacro-sainte exigence de diversité raciale et religieuse.
Et c’est là que le bât blesse car Jeanne Balibobo veut bien se moquer des travers de la gauche mais sans les dénoncer parce que l’Aaaaaart « ne doit pas traiter de l’actualité ».
Alors, comme toute gauchiste néoféministe, elle pactise avec l’islam : dans son film, les femmes voilées font, banalement et sans critique aucune, partie du paysage.
Ici, le voile et l’islam SONT la normalité.
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D’ailleurs, certains s’en réjouissent, comme les écolococos du Huffpost (on cherche toujours le lien entre l’écologie et l’islam…)
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Dans le film « Merveilles à Montfermeil », tout le monde s’en fout de qui met un voile et pourquoi
À rebours de l’islamophobie, le film est un OVNI qui met en scène une gauche utopique et délurée osant exalter les communautés dans leurs différences.
Lorsque j’ai rencontré Jeanne Balibar pour la première fois, j’étais 3e assistant réalisateur sur les Nuits d’été de Mario Fanfani…
Dans le petit monde des techniciens du cinéma, Jeanne Balibar suscite fantasmes et appréhensions, admiration et crainte. Le lot des gens libres sûrement.
Jeanne est en retard d’une heure […] “je remets complètement en question le concept du temps.” Elle déroule et philosophe autour de l’idée d’être à l’heure qu’elle trouve aliénante…
Le 8 janvier, date de sortie de Merveilles à Montfermeil, le public va découvrir un OVNI, un objet vraiment non identifiable, tant il n’existe pas ou peu de films comme celui-ci dans l’histoire du cinéma.
À contre-temps. Il fallait oser (j’insiste: il fallait), dans un contexte si islamophobe, imaginer une municipalité fraîchement élue qui instaure des cours de mathématiques donnés en arabe à l’école.
Dans la ville où Victor Hugo a écrit Les Misérables, la gauche revient (enfin) aux affaires. Cette gauche utopique (et satyrique) portée à l’écran, délurée mais assumée, n’évitera sûrement pas les critiques d’idiots réactionnaires qui lui reprocheront un certain communautarisme.
C’est qu’elle ose accepter, même exalter, les communautés dans leurs différences. Ce n’est pas la glorification du chacun chez soi, au contraire. À la présentation de la nouvelle équipe de la maire Emmanuelle Joly (Emmanuelle Béart), toutes les cultures se mêlent. C’est que tout le monde s’en fout de qui met un voile et pourquoi.
Ici la différence est élevée en richesse et l’altérité devient le point cardinal et joyeux du vivre ensemble.
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Merveilles à Montfermeil, comme toutes les bouses cinématographiques de gauche, s’avère donc un énième plaidoyer pour le droit à la différence, une sempiternelle ode aux bienfaits du multiculturalisme et au vivre-ensemble, une répétitive injonction à la tolérance, au métissage et à la diversité raciale et religieuse.
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En fait, un déni de réalité puisqu’à Montfermeil, l’islam, le racisme antiblanc, la haine antiflic, la drogue, les grands frères régentent tout : les rares Blancs survivant dans cet auto-ghetto ne s’aventureraient pas à séduire une « sœur », de peur de finir cramés dans le coffre d’une voiture volée (n’est-ce pas Ladj Ly ?).
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« Merveilles à Montfermeil » ne serait pas donc pas un film d’auto-dérision sur les travers de la gauche mais bien son auto-promotion.
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Avec Macron et tous ces gauchistes aux manettes, on n’a pas fini de bouffer du multiculturel, de la diversité et du hidjab à toutes les sauces.
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(sans même parler de rire, arriverez-vous à sourire en visionnant la bande officielle du film ?)
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Après le rejet de toute publicité pro immigration ,par les journaleuxs { Presse et audios } Faudrat ‘il aussi ,faire une sélection drastique dans le monde du Cinéma Toujours est ‘il que c’est notre argent qui fait vivre ce monde et qu’il nous est facile de rejeter les films qui ne correspondent pas à nos valeurs;
« Tout le monde s’en fout de qui met un voile et pourquoi ». Cette phrase me fait doucement rigoler. Imaginez une femme qui porte une mini-jupe et un décolleté affriolant. Je pense qu’elle ne ferait pas deux pas dans une cité de Montfermeil sans se faire insulter ou agresser. Là-bas, tout le monde ne s’en fout pas de qui s’habille un peu légèrement et pourquoi. Mais ça, ne comptez pas sur Mme Balibar, féministe en peau de lapin, pour le reconnaître.
Montfermeil n’est point la patrie de Jean Valjean mais la commune où se situe l’auberge des Thénardiers.
Encore une merdasse a propagande élaborée par une bande de parasites qui n’oublie pas bien sûr de se remplir les fouilles au passage et surtout qui vit très loin de la société soi disant idéale dont il faut la promotion …..De sacrés salopards !
C’est leur faire trop » d’honneur » de regarder la bande annonce de cette fumisterie gauchiasse ,la gauchiasserie est une tare congénitale en ce moment , donc à éviter , au mieux a annihiler .
Comme dirait Jean pierre Coffe, « c’est de la merde » A boycotter.
Ho-ho Chevalier François, descendez de votre palefroi, un peu de compassion pour les palefrenières. Jeanne Balibar est potentiellement adorable comme d’hab’ et on est là dans la fiction narrative sans prétention : vite vu et encore plus vite oublié.
Il est vrai qu’au sortir de la salle de projection de Montfermeil, le désenchantement est complet, on passe du roman de la bibliothèque rose à la bibliothèque des littératures policières, 5ème arrondissement de Paris.
Quant au producteur Les Films du Losange, il ferait mieux de s’attaquer à la promotion automobile française au logo parallélogramme. Il est en forme de cric et le cinéma français est un pneu crevé.
Ho-ho Chevalier François, remontez sur votre destrier, d’autres chefs-d’œuvre banlieusards sont en préparation, de la couille en boîte comme à l’accoutumée. Attention aux sabots, y’a de la bouse partout, bääää (onomatopée allemande)
Ho-ho l’ami-Mil, je m’ébaubis de tant d’imagination !
En vérité je vous le dis, bon public, je ne suis pas contre une bonne satire sociale. « Qu’est-ce qu’on a fait au bon dieu » s’avérait plaisant à regarder car on se moquait de toutes les races/religions.
Çà ne plaisait pas à Télérama d’ailleurs qui déteste Clavier.
Mais là, franchement, la bande-annonce vous a fait-elle rire et donner envie de dépenser 8€ pour cette daube en boîte ?
Non, je n’ai pas regardé la bande officielle du film.. et qu’elle aille aux ch…tes (toute la bande). Ah bon: «.. l’art ne doit pas directement traiter de l’actualité et le voile est un costume comme un autre et un signe de soumission à une religion, tout comme le costume cravate…….de l’argent ou son propre costume, celui de la soumission à la domination patriarcale »??.
Elle est cinéaste, cette c….asse? Qu’elle revoie donc « Z », « L’aveu », « Missing » déjà en premier; pour les autres, j’en perds toute mémoire cinématographique, et littéraire française ou étrangère.A balancer définitivement dans la déchetterie des E. Beart et de leurs semblables.
Une grosse bouse ! Ils n’ont pas pensé à l’autre là, le marocco franco marocain le de le de le deux bouses… Il aurait été parfait le deux bouses !
Ca a l’air d’être une belle daube,et bien ce sera sans moi ,payer une entrée de cinéma pour voir ca non merci.
juste avant les municipales.. Ca me rappelle le grotesque « chez nous » avant les présidentielle. Je dois avoir vraiment mauvais esprit. Un peu complotiste n’est-ce pas?
allez pour vous dérider un petit peu croquez donc une ASPERGE 😉
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