Les « zones de non-mixité » se multiplient : la charia appliquée avant l’heure par les néoféministes ?

Illustration : extrait de la bande dessinée « Doigts d’honneur – Révolution en Égypte et droits des femmes »

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Quelle avancée ! Quel progrès ! En l’espace de 60 ans, nous sommes passés d’une société française harmonieuse et relativement apaisée à un agrégat de communautés se regardant en chiens de faïence, prêtes à se déchirer pour défendre le bout de gras de LEURS droits sacrés et inaliénables.

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Blancs contre Noirs, musulmans contre chrétiens, LGBT+ contre hétérosexuels et maintenant, les femmes contre les hommes.

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Ainsi se multiplient les « zones non mixtes », ces endroits réservés au femmes dans les salles de sport, les manifestations ou les transports en commun…

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La diversité, oui, la mixité, non ! (Photo : Fitness Phénomène)

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Mais pour le Parisien, rien à voir avec le communautarisme.

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Les agressions sexuelles dans les trains ou les VTC, les attouchements et les « frotteurs » du métro, le « manspreading », les viols filmés et diffusés sur les réseaux sociaux, les kebabs unisexes, les salles de sport « halal », les piscines aux horaires aménagés, les quartiers islamisés sans femmes (sinon voilées)  : rien à voir avec le communautarisme ?

Rien à voir avec l’importation de milliers de sauvages arriérés venus de pays où la femme excisée ne vaut pas plus qu’une vieille chamelle ?

En Allemagne, à Cologne (et bientôt en France ?), l’interdiction pour les femmes de sortir faire la fête au Nouvel An sous peine de « taharrush gamea » (viols collectifs, comme en Égypte), rien à voir avec le communautarisme, l’islam et l’invasion migratoire ?

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Non, non, nous disent les néoféministes et les médias. Sans doute la faute au patriarcat occidental qui « violente les femmes », dans une société « qui ne les protège pas ».

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Si on peut comprendre que les femmes aient besoin de sécurité et d’intimité, généraliser le système des « zones non-mixtes », c’est accepter l’installation et l’application avant l’heure de la charia.

Mais celles qui dénoncent la hausse des violences contre les femmes sont, souvent, les mêmes qui désirent accueillir sans frein des migrants musulmans venus de contrées où cette violence est coutumière, légale et institutionnalisée.

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Entre ces hommes exotiques, testostéronés, fantasmés et l’homme blanc occidental castré, féminisé, ringardisé, certaines ont, malheureusement, fait leur choix…

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«Réservé aux femmes» : sports, transports… pourquoi les zones non-mixtes se multiplient

Clubs de sports, transports… les hommes ne sont plus les bienvenus dans certains lieux. Pas pour cause de communautarisme, mais pour que les femmes y soient plus tranquilles. Certains dénoncent un sexisme à l’envers.

Certains, et même certaines, parlent de « sexisme inversé » pour qualifier cet endroit, mettant à mal le principe d’égalité entre les individus. D’autres le désignent comme une zone de respiration permettant une parole désinhibée, surtout pour les femmes, un espace rassurant pour des victimes de discriminations voire de violences, un entre-soi nécessaire pour plus de liberté. Voici les deux visages de la très controversée « zone de non-mixité » qui fait tant parler. Nous ne parlons pas ici de communautarisme mais d’une séparation temporaire et choisie entre les deux sexes.

Dernier exemple en date : le 12 décembre, plusieurs vidéos tournées Gare du Nord à Paris et circulant sur les réseaux sociaux montrent des personnels de sécurité de la SNCF privilégiant l’accès à un wagon du RER B aux femmes (mais aussi aux enfants, aux personnes âgées ou souffrant d’un handicap).

Si la SNCF assure, dans un communiqué, qu’« il n’y a pas de rame réservée aux femmes » mais qu’il s’agissait d’un « geste d’attention » dans un souci de sécurité, il n’en fallait pas plus pour que le débat s’enflamme.

Une zone dédiée dans une manif

Lorsque le Collectif Nous Toutes, organisateur des Marches du 23 novembre contre les violences faites aux femmes, annonce sur Twitter avoir affecté un espace dans le cortège exclusivement dédié aux femmes, un déluge de critiques, voire d’insultes, s’ensuit. Et ce, même si une explication accompagnait le message : « certaines personnes, notamment des victimes de viol et d’agressions sexuelles, ne se sentent pas en sécurité dans des environnements de promiscuité avec des inconnus. » Le but était donc de leur permettre de manifester « sereinement ».

« Vouloir être inclusif en excluant, c’est un concept », ironise Ronan, sur le même réseau social.

« Il y a eu débat au sein du collectif sur cette question, reconnaît Madeline da Silva, militante chez Nous Toutes et maire adjointe aux Lilas (Seine-Saint-Denis). Mais à partir du moment où vous avez des femmes qui vous disent j’ai vécu des choses violentes et je ne viendrai pas si le cortège n’a pas de zone non mixte, nous répondons : nous vous croyons et nous allons nous adapter.

Évidemment, la non-mixité n’est pas la solution. Il faut travailler pour le vivre ensemble, pour transformer en profondeur une société qui violente les femmes et ne les protège pas.

La vraie question est, pourquoi il y a cette demande? », rétorque-t-elle…

Car force est de constater que la tendance s’installe dans l’espace public.

C’est le cas dans de nombreuses salles de sport comme le Capofit à Lyon (IIIè) ou encore le Lady coach club dans le Val-d’Oise. « Je ne prive personne d’un service en me rendant dans ce genre d’endroit, défend Louise, 34 ans.

En revanche, lorsque j’allais faire du sport dans un lieu mixte, j’ai eu droit à de la drague lourde ou des regards appuyés. Je n’ai pas à subir cette ambiance malsaine. C’est moi qu’on privait alors d’un droit à la tranquillité », tacle cette cliente de l’enseigne Curves, regroupant des clubs de fitness exclusivement féminins en Ile-de-France.

Agressions sexuelles dans les VTC

Le tourisme n’échappe pas au phénomène « women only ». En avril 2019 est ainsi lancé La Voyageuse, le premier site de couchsurfing – soit « squatter un canapé à l’autre bout du monde » – dédié aux femmes. L’agence de voyages, L’Odyssée du Papillon, organise également des périples 100 % féminins, ainsi que le tour-opérateur Copines de voyage. Selon l’Organisation mondiale du tourisme, entre 2014 et 2017 (donc avant MeToo), les baroudeuses solos sont passées de 59 à 138 millions.

Même pour commander un taxi, les femmes sont nombreuses à plébisciter les applications leur assurant qu’elles auront une conductrice, à l’image de Kolett ou encore Femme au volant. « À tous ceux qui disent que ce concept est sexiste, pour une femme, il est au contraire très rassurant.

Surtout, lorsque l’on voit toutes ses affaires d’agressions dans les VTC », justifie une utilisatrice de Kolett.

Encore récemment, une vague de témoignages de femmes, toujours sur les réseaux sociaux, dénonçait des agressions sexuelles réalisées par des chauffeurs Uber.

Le 12 décembre, à la suite d’une rencontre entre la secrétaire d’État chargée de l’égalité femmes-hommes, Marlène Schiappa, et le directeur général d’Uber France, plusieurs mesures ont été annoncées pour les contrer.

http://www.leparisien.fr/societe/reserve-aux-femmes-sports-transports-pourquoi-les-zones-non-mixtes-se-multiplient-25-12-2019-8224302.php

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Paris, 2030 : « faire du sport entre femmes, le pied ! »

 

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7 Commentaires

  1. La dernière photo de l’article m’a trop fait rire !! qu’est ce qui faut être con ………….

  2. partout où il y a des muzz faut des soldats en arme avec mitraillette , ils ne respectent que la force alors les femmes blanches !

  3. Quand on a des Autain qui se pointent à Sevran avec son larbin pour casser l’émission de de la villardière où Nadia Remadna de la brigade des mères dénonçait l’interdiction des femmes de consommer dans certains bars ou des Garridos qui se sentant plus pisser voulant interdire les MIss en allant dans le sens de ceux qui trouvent qu’elles sont trop dénudés et qu’elle pourraient donner des idées à leurs filles,on comprend mieux pourquoi il y a eu des Pinochets et des francos!!! Ce genre de femmes génèrent elles mêmes leur antidote!

  4. Les femmes non musulmanes qui mordent, comme des connes, à toutes ces stupidités, ne sont plus conscientes de la réalité. Ce sera très plaisant de voir comment elles régiront quand les CPF vont les traiter comme des sous-merdes. Nous, les gaulois, sommes respectueux des femmes mais pas les musulmans.

  5. Partout ou il y a l’islam il y a la merde, mais chut il ne faut surtout rien dire, surtout ne pas critiquer cette religion de paix, de tolérance et d’amour.
    Faut vraiement être le roi des ordures et surtout le roi des cons pour croire une connerie pareille et nous l’imposer de force comme le fait ce gouvernement et toute sa clique de vendus.

    • Notre très cher Eric Zemmour, arguments à l’appui, le rappelait sur Cnews, il y a quelques jours sous l’oeil courroucé de la présentatrice qui s’est empressée de conclure par une superbe idiotie.

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