Victoire totale de Boris Johnson : le 31 janvier 2020, Brexit !

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Un succès pour les conservateurs britanniques aux législatives ? Non, un triomphe absolu, une victoire par KO pour Bojo, qui lamine littéralement l’opposition travailliste. Une claque sévère à tous les antidémocrates de tout poil, qui, à Bruxelles et en Grande-Bretagne, ont usé et abusé de toutes les bassesses et mensonges, pour confisquer au peuple son vote de 2016 en faveur du  Brexit.

Trois ans et demi de coups bas, de peaux de banane en tous genres, de machinations diaboliques, de déclarations apocalyptiques des dirigeants européens, promettant la ruine de la Grande-Bretagne en cas de Brexit.

Comment les leaders de l’Union européenne, Merkel et Macron en tête, ont-ils pu s’associer à une telle ignominie ? Comment les élus de la plus vieille démocratie du monde moderne ont-ils  pu, eux aussi, s’opposer à la volonté du peuple souverain ? Une ignominie. Seul Donald Trump a soutenu ouvertement Boris Johnson.

Mais Boris Johnson aura triomphé de tous les obstacles.

Il lui fallait 326 sièges pour obtenir la majorité absolue, il en obtient 364, au grand dam de ses opposants et des impérialistes de Bruxelles, pour lesquels les peuples européens ne sont que des sujets qu’il faut soumettre. Mais on ne soumet pas le peuple anglais. Le Labour obtient 203 sièges, les éternelles contorsions de Jeremy Corbyn ayant découragé bon nombre d’électeurs travaillistes.

C’est donc une immense victoire pour la démocratie.

Après trois années et demie de discussions avec l’UE, de guérilla parlementaire, de coups de théâtre, d’incertitudes multiples, de sondages contradictoires, de votes incessants ajoutant à l’imbroglio, la Grande-Bretagne sort enfin de l’instabilité politique et de l’impasse du Brexit. Celui-ci sera effectif le 31 janvier 2020.

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Cette victoire éclatante de Boris Johnson est amplement méritée, car il n’a jamais renoncé malgré les obstacles mis sur sa route, y compris par son propre camp.

Affaibli par les désertions de certains des siens, il lui fallait regagner une large majorité, c’est fait…

Pourtant, tout aura été tenté pour annuler le référendum de 2016 et confisquer au peuple son « oui » au Brexit.

Les Remainers nous ont vendu la fable du peuple mal informé, voire irresponsable. Ils ont mobilisé la rue pour rejouer la partie et refaire un second référendum. Mais le « People’s vote » initiateur de cette entreprise s’est  crashé. Les donations de Georges Soros pour torpiller le Brexit n’auront servi à rien.

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À la dernière minute, ce sont les grosses pointures de l’anti-Brexit qui ont tenté le « vote tactique ». John Major et Tony Blair ont incité les électeurs à voter dans leur circonscription, non pas pour le candidat de leur choix, mais pour le candidat le mieux placé pour battre le conservateur. Mauvaise pioche. On ne dicte pas aux électeurs un choix aussi crucial.

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Au cours de ces trois années et demie, l’artillerie médiatique européenne, anti-Brexit à 99 %, aura déversé des torrents de mensonges et de faux sondages, annonçant le revirement de l’opinion britannique en faveur du Remain. Mais toute cette entreprise antidémocratique aura eu un effet contreproductif. Les électeurs se sont braqués et Jeremy Corbyn a perdu une partie de son électorat de gauche.

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On aura même entendu un député travailliste déclarer sans honte, suite à l’enlisement parlementaire :

« Je ne pense pas que ce soit à 650 politiciens de décider pour 65 millions de personnes » !! Ce bon démocrate a simplement  oublié que le peuple souverain a choisi librement son destin en 2016…

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De toutes façons, les Britanniques, épuisés par des années de palabres sans lendemain, ne voulaient pas d’un second référendum. 47 % y étant opposés contre 41 % y étant favorables.

La conclusion de tout cela est que le peuple britannique a perdu plus de trois années en palabres stériles, par la faute de l’UE et de ses propres élus.

Ce que personne ne dit et qui reste la cause première du Brexit, c’est que ce sont les questions d’immigration et d’insécurité qui ont été déterminantes pour le choix du peuple.

Sur les terres travaillistes, Jeremy Corbyn a perdu des légions d’électeurs, ne supportant plus les méfaits de l’immigration.

C’est la politique immigrationniste de l’UE qui est responsable du Brexit. Les Britanniques ont dit non au mondialisme et au multiculturalisme. Ils sont enfin maîtres chez eux !

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2 Commentaires

  1. Bravo à Boris Johnson Belle victoire qui fait la nique à macron et sa copine allemande !!!!!

  2. Je pensais qu’il n’y arriverait jamais mais bon attention…. c’est pas encore fait , mais il serait temps que ces messieurs dames les pourris de politiciens véreux respectent le choix du peuple au lieu de défendre uniquement leurs planques et leurs intérêts et c’est valable pour chez nous également !

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