Selon que vous êtes mère d’un enfant agressé ou une voilée, vous serez “une mère” ou “une maman”

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Vous êtes une femme, vous avez un ou plusieurs enfants.
Êtes-vous une mère ou une maman ?

Ça dépend…

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Deux cas peuvent se présenter.

Premier cas ( 2 exemples )

–  Vous êtes une islamiste plus que voilée. Vous vous présentez avec votre fils à une séance d’un Conseil Régional ( Bourgogne Franche Comté, par exemple ). Un élu interroge la présidente du Conseil Régional à propos de votre présence.

Dès le lendemain, dans tous les journaux, et sur France inter, par exemple, vous êtes : une ” maman “,  une ” pauvre maman “, une ” maman humiliée “, et votre fils est un ” pauvre enfant “, “ en pleurs “.

– De même, vous êtes la mère d’une racaille quelconque  qui s’est fait arrêter. Des médias vous interrogent et alors, vous êtes la ” maman “, quel que soit son âge,  de votre ” enfant “.

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Deuxième cas 

Vous habitez Saint Denis. Vous êtes sur la voie publique avec votre fils. Un ” migrant ” s’approche de vous. Il donne un coup de poing sur la tête de votre fils, puis vous frappe en plein visage. Après, vous avez la pommette bleue, et votre fils a une bosse sur le front.

Dans ce cas, c’est totalement différent : ” L’agression lundi d’un enfant et de sa mère ….. “.

Vous n’êtes alors pas une ” maman ” et votre fils n’est pas un ” pauvre enfant en pleurs ” !

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Note de Christine Tasin

 

Allez, lisez l’article du Parisien. Il faut bien avouer que ce qui est arrivé à Saint-Denis c’est de la roupie de sansonnet par rapport à ce qu’a vécu le pauvre gosse de Fatima au Conseil Régional de Bourgogne… D’ailleurs, l’agression subie par le fils de Sandy, c’est aussi de la roupie de sansonnet par rapport au triste sort des clandestins… C’est le Parisien qui vous le dit !

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La cohabitation s’avère tous les jours de plus en plus délicate entre les riverains et l es campements de migrants qui jalonnent l’avenue du Président-Wilson, dans le quartier de la Plaine, à Saint-Denis. Lundi, la tension est même montée d’un cran, après l’agression d’un garçon de 2 ans et de sa mère.

Il est 17h30, Sandy vient de récupérer son fils qu’elle tient par la main. A la hauteur du magasin Franprix, un homme s’approche d’eux et assène un coup de poing sur la tête de l’enfant. La mère de famille lui demande des explications, elle reçoit en retour une droite en plein visage.

La police n’a pas pu se déplacer

Ce mardi matin, Sandy a encore la pommette bleuie et son fils présente une bosse sur le front. Tous deux ont été examinés à l’hôpital Delafontaine de Saint-Denis. Les blessures sont finalement sans gravité. Mais Sandy désigne l’enfilade de petites tentes vertes qui abritent des migrants, convaincue que son agresseur venait de l’un de ces nombreux campements.

Le soir de l’agression, l’homme a échappé de peu à un lynchage par les passants. « Il a fini en sang », précise Sandy, qui a porté plainte. Ce mardi, il n’avait pas été interpellé.

Une dizaine de riverains sont descendus dans la rue. Devant la médiathèque qui fait face aux tentes, ils expriment leur ras-le-bol : « Nous avons appelé la police. Au bout d’une heure, elle nous a dit qu’elle ne pouvait pas se déplacer car elle n’avait plus de voiture de patrouille disponible ». Et pour cause, ce soir-là, la police était mobilisée sur la rencontre de football France-Turquie, au Stade de France.

Exhibition sexuelle

C’est la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. « Tout l’hiver dernier, ils ont mis leur pin-pon pour réveiller les migrants, et ils ne sont pas capables de se déplacer pour une agression ! », tonne Sabrina.

Saint-Denis, mardi 15 octobre. Suzanna de la Fuente, adjointe au maire en charge du quartier, est venue rencontrer des habitants exaspérés. LP/N.R.

Saint-Denis, mardi 15 octobre. Suzanna de la Fuente, adjointe au maire en charge du quartier, est venue rencontrer des habitants exaspérés. LP/N.R.  

Mais c’est surtout la présence récurrente depuis des années de ces campements de fortune sous leurs fenêtres qui cristallise l’exaspération des habitants.

« Il y a une violence qui s’est installée. Nous les femmes, nous sommes en première ligne », explique Youma. Le malaise a franchi un cap quand sa fille de 15 ans a assisté à une exhibition sexuelle sur le chemin de l’école. Une autre s’est fait cracher au visage sans raison. « On a peur et on esquive », indique-t-elle. Elle confie ne plus mettre les pieds à la médiathèque depuis que les migrants se regroupent sur le trottoir.

Un collectif des «habitants en souffrance »

Pourtant jusqu’à présent, entre les réfugiés et les habitants, une entente cordiale s’était installée. Très actif, le collectif Solidarité migrants Wilsona servi tous les jours pendant deux ans des petits-déjeuners, puis à partir de septembre 2018, distribué plus de 250 repas sur l’esplanade.

« Mais les crackeux sont arrivés. On a arrêté les petits-déjeuners », explique Philippe Caro, conseil municipal dissident et bénévole du collectif. Il estime que « le campement se régule ». « Il y a plein de gens formidables et bien sûr quelques voyous dans le paquet. Leur santé mentale se dégrade et ils ne sont pas pris en charge ».

Un collectif baptisé « Les habitants en souffrance » est en train de se constituer. Dans un courrier, il égratigne les « pouvoirs publics » : « Nous regardons, impuissants, leur inertie devant le phénomène. Qui sont les responsables, la mairie, l’Etat ? Aujourd’hui, ce sont les habitants organisés en association qui fournissent nourriture, vêtements, tentes et soutien moral ».

La municipalité en appelle à l’Etat

En mairie de Saint-Denis, on rappelle que la municipalité PCF « ne cesse d’alerter l’Etat depuis plusieurs semaines, sur une montée des tensions sur place ». Le cabinet de Laurent Russier précise : « Récemment, la médiathèque Don-Quichotte a dû fermer ses portes suite à l’agression du personnel ».

La ville réitère sa demande à l’Etat « d’une opération de mise à l’abri ». « Seulement deux opérations ont été menées sur notre commune, alors même qu’elles se déroulent toutes les semaines à Paris ».

Et réclame également que la présence policière sur l’avenue du Président-Wilson soit renforcée de manière conséquente. Des exigences qui seront exposées ce jeudi par le maire lors de son entretien avec le préfet d’Ile-de-France, Michel Cadot.

Article du Parisien :
http://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/saint-denis-tensions-entre-riverains-et-migrants-apres-l-agression-d-un-enfant-15-10-2019-8173476.php
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” La maman des poissons, elle est bien gentille …. ” C’était une chanson prémonitoire de Bobby Lapointe .

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5 Commentaires

  1. c’est dommage que ici je ne capte pas radio courtoisie , ça au moins c’est un vrai média et le langage utilisé par les présentateurs et leurs journalistes , c’est du vrai français qui tire vers le haut . tout le contraire des médias et journalopes du système qui tire le peuple français vers le bas .
    écoutez Radio Courtoisie , si vous avez la chance de la capter prêt de chez vous !

  2. En France tous les gros problèmes finissent par devenir insolvables, car les journaux à la solde de MACRON, racontent dans un language collabo, ce que veut MACRON et les migrants…
    J’ai de la famille en Allemagne, en Italie, en Angleterre et aux USA, peut être ailleurs… mais les générations passant, on ne peut connaître que les descendants de deux ou trois générations nous ayant précédé, ou qui nous suivent… Les autres ça devient trop compliqué…
    Toute cette famille éparpillée à travers ces 4 pays autres que la France, et même si chez eux, ça n’est pas joli-joli avec les Politiques de nuls que nous avons tous…, il n’empêche que en France nous avons les pires spécimens… et ça n’est pas peu dire…!!!
    Les Journaleux touchent des subventions qui leur permettent en toute “bonne conscience” de se comporter comme ceux de la dernière guerre 39-44… Ils sont la honte de ce pays… et ça il faut leur faire savoir que nous ne sommes pas dupes…! Il faudra se venger, oui, car si nous voulons gagner ou essayer de gagner dans la légalité… Nous ne sommes pas sortis de l’auberge, pour ne pas dire que:
    “Nous n’y avons même pas encore mis les pieds…!, par conséquent, la sortie sera peut être au mieux, à la fin du siècle prochain… et encore…!!!!”

    J’ai honte de mon pays, de cette France qui est devenue un ramassis de tout ce que l’on veut et ne veut pas, d’ailleurs, mais c’est vraiment un pays de crasses… oui au pluriel… parce que désormais la crasse est partout…!

  3. Comme les soutien gorge. Les uns sont étudiés pour minimiser, les autres pour maximiser.
    C’est jouer sur les mots, un peu de mélo pour les uns, rien que de l’ordinaire pour les autres.
    Deux poids deux mesures.

  4. Ah, la terminologie empruntée par la presse, quelle qu’elle soit me laisse toujours rêveur ! Et ça s’accorde toujours avec victimisation et takîya ! Mère ou maman, le problème ne se pose pas ainsi. Ce sont des pondeuses qui se reproduisent en captivité, avec la grande bienveillance de toutes les “aides sociales”. Certaines mères font même une portée par an, ou peu-s’en-faut !… Il faut bien faire manger la smala, au frais de ceux qui bossent, gagnent peu ou ont des retraites de misère…

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