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Voici ci-dessous ce qu’a réellement dit Eric ZEMMOUR, lors de la convention de la droite, selon un article de « Valeurs actuelles ».
Eric ZEMMOUR regarde la réalité en face et il nomme les faits tels qu’ils sont…
Et ce « son » de vérité déplaît aux oreilles des serviteurs de « Big Brother ».
Car BIG BROTHER veille et est le grand allié de la secte envahissante qui jubile !
Convention de la droite : ce qu’a vraiment dit Éric Zemmour
Au-delà des critiques et des attaques médiatiques, souvent caricaturales, qui ont suivi son discours, Valeurs actuelles a préféré citer longuement l’essayiste dans le texte.
« Antirépublicain », « haineux », « raciste ». C’est la curée. A peine Éric Zemmour avait-il achevé son discours, prononcé à la Convention de la droite, ce samedi à Paris, que médias, commentateurs et politiques dénonçaient en chœur les scandaleux propos de l’essayiste. Dans un éditorial, titré « Zemmour et la haine télévisée » et publié ce mardi, Le Monde condamne ainsi « un discours hostile à la démocratie et d’inspiration fasciste », « un projet de guerre civile », « une rhétorique et des techniques étonnamment similaires à celles d’Edouard Drumont, figure française de l’antisémitisme de combat ». Entre temps, la Société des journalistes (SDJ) du Figaro avait réclamé à la direction de la rédaction « de mettre un terme à cette situation ambiguë ». Et une enquête a même été ouverte, ce mardi, par le parquet de Paris pour « injures publiques » et « provocation publique à la discrimination, la haine ou la violence »
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Les propos réitérés par Éric Zemmour sont pourtant loin d’être inédits dans sa bouche. Mais ils ont le don d’insupporter toujours plus la classe médiatico-politique. La première partie de son discours, véritable réquisitoire consacré au danger du progressisme, a d’ailleurs été largement ignorée par la presse, qui a préféré vitupérer contre ses habituelles critiques de l’immigration et de l’islam. « Vous vous croyez où franchement ? Aux États-Unis, en Hongrie, en Pologne, en Italie, en Autriche ? entame ainsi l’éditorialiste, avec ironie, en s’adressant aux 2000 spectateurs. Vous croyez vraiment que vous allez échapper au second tour Marine – Macron et à la réélection de Macron ? Vous n’êtes pas sérieux, pas raisonnable, vous n’y croyez pas quand même ? (…) C’est réglé, c’est plié, vous êtes venus pour rien. Circulez, il n’y a rien à voir. Vous savez que vous êtes en France quand même et qu’en France on a la droite la plus bête du monde. »
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« Comment ne pas être séduits par ce vent de liberté qui règne sur la France ? »
Prenant toujours la salle à contre-pied, Éric Zemmour poursuit de plus belle : « Comment refuser le progrès qui nous tend les bras ? (…) Le patriarcat est mort et les femmes sont libérées de millénaires d’oppression. Les esclaves ont été sortis de leurs fers, Caroline de Haas et Rokhaya Diallo sont reines du monde. C’est quand même autre chose que Bonaparte et Victor Hugo. (…) Les beautés du progrès le plus récent me laissent chaque jour plus ébahi. Comment ne pas être séduits par ce vent de liberté qui règne sur la France et sur l’Occident ? Comment ne pas approuver toutes ces lois qui sanctionnent la pensée et la parole car on est bien plus libre en pensant bien et en taisant des pensées mauvaises ? Comment ne pas être heureux de voir ces hommes au système pileux abondant qui peuvent enfin avouer leur vraie nature de femme, de ces femmes qui n’ont plus besoin du contact dégoûtant des hommes pour faire des bébés, de ces mères qui n’ont plus besoin d’accoucher pour être mère ? »
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Durant de longues minutes, l’essayiste passe en revue tous les bienfaits du progressisme pour mieux les fustiger. Il évoque le langage inclusif, l’art contemporain, « la plume si élégante » de Christine Angot, entre autres. Puis, se lance plus sérieusement dans leur déconstruction. « Non, vraiment, vous n’êtes pas raisonnables. Mais parce que je me suis déplacé et que vous êtes nombreux, je peux essayer de vous aider. Pour trouver une alternative au progressisme, il faudrait d’abord le définir », poursuit Éric Zemmour. « Progressisme : la religion du progrès, un millénarisme qui fait de l’individu un dieu et de ses volontés jusqu’aux caprices un droit sacré et divin. Le progressisme est un matérialisme divinisé qui croit que les hommes sont des êtres indifférenciés, interchangeables, sans sexes ni racines, des êtres entièrement construits comme des Legos et qui peuvent être donc déconstruits par des démiurges. »
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« Le progressisme est une révolution »
« Le progressisme est un messianisme sécularisé, comme le furent le jacobinisme, le communisme, le fascisme, le nazisme, le néolibéralisme ou le droit-de-l’hommisme, ajoute-t-il encore. Le progressisme est une révolution. D’ailleurs, souvenez-vous, le livre de campagne de notre cher président s’appelait Révolution. Une révolution ne supporte aucun obstacle, aucun retard, aucun état d’âme. Robespierre nous a appris qu’il fallait tuer les méchants. Lénine et Staline ont rajouté qu’il fallait aussi tuer les gentils. La société progressiste au nom de la liberté est une société liberticide. Pas de liberté pour les ennemis de la liberté. Le cri de Saint-Just est toujours à son programme. Depuis les Lumières, depuis la Révolution française, depuis la révolution de 17, jusqu’à même la IIIe République avec ses radicaux franç-macs, jusqu’à aujourd’hui, c’est toujours le même progressisme : la liberté c’est pour eux, pas pour les autres. »
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Éric Zemmour ne manque évidemment pas d’évoquer à propos de « notre dictature », de « ce pouvoir tyrannique » et de « cette idéologie diversitaire », son « appareil de propagande qui réunit la télévision, la radio, le cinéma, la publicité, sans oublier les chiens de garde d’Internet. Son efficacité fait passer Goebbels pour un modeste artisan et Joseph Staline pour un débutant timoré. Le progressisme, c’est l’omniprésence de la parole soi-disant libre, servie par une technologie d’une puissance de diffusion jamais vue dans l’histoire mais en même temps, comme ils aiment dire, un appareil répressif de plus en plus sophistiqué pour la canaliser et la censurer. » Plus loin, l’éditorialiste du Figaro, toujours accroché à son pupitre, s’en prend à la fois au « libre échange mondialisé » des libéraux et du marché et à « la sainte cause des minorités » sexuelles et ethniques de l’extrême gauche.
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L’ennemi ? « L’homme blanc hétérosexuel catholique »
Leur cible ? « Le seul ennemi à abattre, c’était l’homme blanc hétérosexuel catholique », résume Zemmour. « Le seul à qui l’on fait porter le poids du péché mortel de la colonisation, de l’esclavage, de la pédophilie, du capitalisme, du saccage de la planète, le seul à qui on interdit les comportements les plus naturels de la virilité depuis la nuit des temps au nom de la nécessaire lutte contre les préjugés de genre, le seul à qui on arrache son rôle de père, le seul qu’on transforme au mieux en seconde mère ou au pire en gamète, le seul qu’on accuse de violences conjugales, le seul qu’on balance comme un porc. » L’essayiste raille au passage « la prose des indigénistes, des féministes racisées, des luttes intersectionnelles ». Et insiste : « L’homme blanc hétérosexuel catholique n’est pas attaqué parce qu’il est trop fort, mais parce qu’il est trop faible, non parce qu’il est assez tolérant, mais parce qu’il l’est trop. »
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Selon Éric Zemmour, « nous sommes ainsi pris entre l’enclume et le marteau de deux universalismes qui écrasent nos nations, nos peuples, nos territoires, nos traditions, nos modes de vie, nos cultures : d’un côté, l’universalisme marchand qui, au nom des droits de l’homme, asservi nos cerveaux pour les transformer en zombies déracinés ; de l’autre, l’universalisme islamique qui tire profit très habilement de notre religion des droits de l’homme pour protéger son opération d’occupation et de colonisation de portions du territoire français qu’il transforme peu à peu, grâce au poids du nombre et de la loi religieuse, en enclave étrangère. (…) Ces deux universalismes, ces deux mondialismes, sont deux totalitarismes. » L’écrivain de 61 ans déplore notamment la trahison de l’État contre la nation, la tyrannie de l’Union européenne, le « concept fumeux d’islamophobie », le danger cumulé de l’islam et de la démographie africaine, et le « remplacement » du peuple français.
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« Invasion, colonisation, occupation »
A ce sujet, Éric Zemmour évoque alors sans détour les dangers de l’immigration et de l’islam. « “Nous sommes arrivés aujourd’hui au temps des conséquences et de l’irréparable”, disait Drieu la Rochelle dans les années 30. En France, comme dans toute l’Europe, tous nos problèmes sont aggravés par l’immigration, école, logement, chômage, déficits sociaux, dette publique, ordre public, prisons (…) et tous nos problèmes aggravés par l’immigration sont aggravés par l’islam. C’est la double peine. » Aussi, « la question qui se pose donc à nous est la suivante : les jeunes Français vont-ils accepter de vivre en minorité sur la terre de leurs ancêtres ? Si oui, ils méritent leur colonisation. Si non, ils devront se battre pour leur libération », préconise l’éditorialiste du Figaro, pour qui au « triptyque d’antan – immigration, intégration, assimilation – s’est substitué invasion, colonisation, occupation ».
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Face à cette crise identitaire, Éric Zemmour en appelle donc au « peuple français » pour « refaire une nation » contre « les universalismes qu’ils soient marchand ou islamique ». Pour « tout remettre sur pied », poursuit-il, il faut « s’affranchir de la religion des droits de l’homme », « des pouvoirs de nos maîtres : médias, universités, juges », « restaurer la démocratie qui est le pouvoir du peuple », « abolir les lois liberticides qui au nom de la non-discrimination nous rendent étrangers dans nos propres pays » et au contraire, « remettre à l’honneur le principe de la préférence nationale ». Visiblement inquiet, il ajoute avec gravité : « Bien sûr, nous devons être conservateurs de notre identité, mais que pouvons-nous conserver puisque tout a été détruit ? Notre tâche est plus immense, presque désespérée. Nous devons restaurer. »
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« L’identité, une question de vie ou de mort »
L’essayiste précise d’ailleurs sa pensée. « Je ne dis pas que la question de l’identité est la seule qui nous soit posée, je ne dis pas que l’économie n’existe pas (…), je prétends seulement que la question identitaire du peuple français les précède toutes, qu’elle préexiste à toutes, même à celle de la souveraineté. C’est une question de vie ou de mort », affirme-t-il, toujours la voix enrouée. « Cette question de l’identité est aussi la plus rassembleuse, car elle réunit les classes populaires et les classes moyennes, et même une partie de la bourgeoisie qui est restée attachée à son pays. Elle réunit toutes les droites, jusqu’à une gauche restée près du peuple français, sauf la gauche internationaliste et la droite mondialiste, qui est déjà passée chez les progressistes macronistes et pour qui la France n’existe plus et pour qui importe seulement les villes dans le monde où sont localisées les banques qui gèrent son argent. »
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En conclusion, Éric Zemmour le redit : « Nous devons savoir que la question du peuple français est existentielle quand les autres relèvent des moyens d’existence. Les jeunes Français seront-ils majoritaires sur la terre de leurs ancêtres ? Je répète cette question car jamais elle n’avait été posée avec une telle acuité. Dans le passé, la France (…) a été occupée, rançonnée, asservie, mais jamais son peuple n’a été menacé de remplacement sur son propre sol. » Puis, livre un dernier conseil. « Ne croyez pas ceux qui vous mentent depuis 50 ans », insiste-t-il, « les démographes et leur porteurs médiatiques de bonnes nouvelles », « les optimistes qui vous disent que vous avez tort d’avoir peur, vous avez raison d’avoir peur, c’est votre vie en tant que peuple qui est en jeu ». Avant d’exhorter : « Récitez-vous la célèbre phrase de Bernanos que beaucoup connaissent déjà : “L’optimisme est la fausse espérance des lâches et des imbéciles, la vraie espérance est le désespoir surmonté” ».
« L’intellectuel a dit la vérité il doit être exécuté ainsi l’envahisseur/ pourrisseur peut exulter … »
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Zemmour m’a impressionné . Je ne dirais pas qu’il dit tout haut ce que tout le monde pense tout bas, il a dépassé cela , son discours d’ une rare acuité fait le tour des maux qui angoissent et tenaillent les gens que l’on appelle Français , qui commencent à devenir étrangers dans leurs propre pays à force d’avoir été tout le contraire de ce que les gauchistes universalistes n’ont pas cesser de leur reprocher depuis une quarantaine d’années:Trop tolérants et trop accueillants et ils le payent cache!
Retranscription vraiment intégrale du discours de Zemmour à la Convention de la Droite
http://resistancerepublicaine.com/2019/10/02/retranscription-integrale-du-discours-de-zemmour-a-la-convention-de-la-droite/
Eric Zemmour est le nouveau Winston CHURCHILL il y en a un par siècle , malheureusement la situation est beaucoup plus grave qu’en 39-45 !
Bravo Monsieur Eric ZEMMOUR, je vous soutien totalement, vous avez raison en tout point, merci pour votre courage et vos dévouements face à tous ces lâches et collabos.