Italie : l’Union européenne continue de nous casser les couilles !

L’Union Européenne continue à nous casser les c……s.

La manœuvre est rejetée . Nous attendons la punition.

La Commission Européenne y voit  » un non-respect particulièrement grave  » des règles fiscales.

A présent, les chantages commencent.

22 novembre 2018.

 

C’était prévisible, l’arrogance des palais de marbre de l’Union Européenne est arrivée mercredi avec le rejet de la manœuvre italienne.

La Commission y voit  » un non-respect particulièrement grave« des règles budgétaires , ce qui veut dire que celui qui n’adhère pas aux attentes de Bruxelles sera immédiatement fustigé sur la place publique et ceci ouvre la porte à la procédure pour déficit excessif basé sur le solde débiteur.

L’U.E. prépare une nouvelle recommandation pour la correction des comptes, mais le Gouvernement ne change pas de cap.

Avec cette attitude outrancière, l’Europe des banques cause une série de rétorsions immédiates sur les marchés. Mercredi le Spread descend sous  310. la Bourse à + 1,41 %. Mais c’est encore le flop pour les Btp Italie.

L’Etat revoit à la baisse les prévisions pour le Pib 2018 à + 1,1 % et l’Ocse parle d’une  » perte de relance  » de la reprise.

Peut-être faut il penser que tout ceci sont des tentatives maladroites de la part de l’U.E. pour faire tomber un Gouvernement qui, au contraire des précédents gouvernements, n’a pas voulu imposer une politique de larmes et de sang qui affame un peuple et qui REMPLIT LES DEJA GRASSES PANSES DES EURO-EXPLOITEURS ?

 Traduit pour Résistance républicaine par Valkyrie

http://www.ilpopulista.it/news/22-Novembre-2018/30492/manovra-bocciata-punizione-aspettasi.html

 

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6 Commentaires

  1. TITRE : Nicolas Hulot : assis sur une fortune bien loin d’être verte…
    URL : http://www.bvoltaire.fr/nicolas-hulot-assis-sur-une-fortune-bien-loin-detre-verte/
    AUTEUR : Marie Delarue
    DATE : 24 novembre 2018

    Sortie ultra-médiatique, retour de même… Nicolas Hulot est un homme de show, il ne faut pas l’oublier. Le petit fiancé de la France a pris de l’âge mais il a toujours le réflexe de la mise en scène. Ushuaïa forever.

    L’ex-ministre « le plus populaire » a démissionné en direct sur France Inter, en a prévenu le chef du gouvernement par texto – il était si tire-bouchonné, ce petit bonhomme, qu’il n’avait pas le courage de lui parler. Il a pleuré lors de la passation de pouvoir à son successeur et puis a joué, durant trois mois, le grand malade parti « se reconstruire ». Il avait tant souffert dans ce gouvernement, ses larmes en témoignaient…

    Soignant son burn out (c’est très en vogue) et son quant-à-soi, monsieur Hulot a refusé les interviews des magazines. Il voulait une émission ajustée à l’idée qu’il se fait de sa hauteur. Ce fut, jeudi soir, « L’Émission politique », de madame Salamé. Avec, toutefois, une petite préparation en amont : on l’avait aperçu, lundi soir, dînant en tête-à-tête avec Anne Hidalgo au Récamier, « un restaurant où l’on va surtout pour être vu », dit la journaliste rapportant la nouvelle sur RTL. Un petit peu de buzz pour chauffer la salle, ça ne fait pas de mal.

    Le magazine Le Point fait son rapport, un brin amer : « Le retour de “l’écologiste prodige” ne pouvait avoir lieu ailleurs qu’à la télévision. À la manière d’un showman du petit écran qu’il fut à l’époque du magazine « Ushuaïa ». » D’ailleurs, pour ceux qui l’auraient oublié – ou pas connu –, il y a la séquence grand frisson à la Mer de Glace, avec barbe de trois jours et pull tricoté main.

    Surtout, au-delà de la mise en scène, Nicolas Hulot n’assume rien, balance des peaux de banane à ses anciens collègues. Parce que la taxe carbone, c’est lui qui l’avait vendue à Nicolas Sarkozy, lui qui regrettait qu’elle tarde tant à venir.

    C’est parce qu’on ne l’a pas compris, dit-il aujourd’hui. L’écologie n’est pas en cause. La preuve, lui, Hulot, il avait tout deviné, tout anticipé : la crise des gilets jaunes « était inévitable, mais je n’ai pas été entendu », dit-il. Et de prophétiser : « Il faut être préoccupé par les fins de mois des Français mais, sans s’affronter, il faut aujourd’hui être préoccupé par un sujet qui s’appelle ni plus ni moins la fin du monde. » Carrément.

    Les Français, qui paraît-il l’aiment tant, n’ont pas été entendus non plus. Ainsi cet interlocuteur qui lui lance : « Monsieur Hulot, vous n’avez aucune conscience de la réalité des choses. Est-ce que vous savez ce que c’est, de vivre avec 1.200 euros par mois ? De payer un loyer 450 euros, d’aller payer des assurances qui vont augmenter, le contrôle technique qui va augmenter ? Est-ce que vous savez combien de personnes vous allez mettre à pied le 1er janvier par rapport au contrôle technique ? Mais tous ces gens-là, comment ils font, avec 1.200 euros et un chèque pour changer leur voiture de 4.000 euros pour acheter une voiture qui en vaut 10.000 ? Mais ces gens-là, M. Hulot, ils ne peuvent pas faire de prêt à la banque pour s’acheter une voiture à 10.000 euros ! C’est là que vous avez perdu la totalité de la conscience du peuple ! »

    Eh oui ! Parce que les Français qui adorent Nicolas Hulot ignorent souvent qu’eux et lui ne sont pas du même monde, comme disait la dame des rillettes. En effet, Nicolas Hulot est tout sauf un gagne-petit.

    Selon France Dimanche, qui s’était penché sur sa fortune au lendemain de sa fracassante démission, l’ancien ministre de la Transition écologique et solidaire serait assis sur un « pactole » de 7,3 millions d’euros. Il pouvait renoncer à ses 9.940 euros de salaire de ministre, ça n’entamait pas trop son budget de fonctionnement.

    Ses ressources, il les doit à la marque Ushuaïa. Victime, en quelque sorte, d’un « hold-up » de la part de L’Oréal, en 1990, qui avait créé la ligne à l’insu du présentateur vedette d’« Ushuaïa Nature », l’affaire s’est finalement révélée extrêmement rentable pour lui puisque le n° 1 mondial des fabricants de cosmétiques reverse des dividendes à sa fondation pour chaque produit vendu.

    Ainsi, « pour chaque gel douche, shampoing et déodorant vendu via sa société Eole Conseil – dont il détient 99,99 % des parts -, Nicolas Hulot continue de toucher des royalties et des dividendes. En février 2018, l’ancien ministre déclarait avoir perçu près de 249.000 euros nets de royalties et 221.000 euros nets de dividendes grâce à cette activité et ses droits d’auteur confondus. » Ce qui porte, aujourd’hui, la valeur de sa société à plus de trois millions d’euros.

    Avec ça, il peut attendre tranquillement la fin du monde…

  2. Chaque fois que je vois la gueule de l’ivrogne JUNKER, çà me file de l’urticaire, sachant que c’est avec une partie de notre pognon qu’il picole.

  3. Tiens bon la barre, SALVINI, tu seras le Sauveur de ton peuple et qui sait, celui des autres pays européens !!

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