Immigration : la Commission Européenne prête à tout pour faire taire définitivement les opposants

Le coût exorbitant du multiculturalisme de l’Europe
Le sacrifice d’un continent sur l’autel des idéaux utopiques.
20 février 2017, par Joseph Puder
http://www.frontpagemag.com/fpm/265852/dire-cost-europes-multiculturalism-joseph-puder

Jusqu’où les élites multiculturelles de l’Union européenne (UE) vont-elles  aller pour supprimer la liberté d’expression dans l’intérêt de la promotion de l’immigration non européenne ? C’est invraisemblable et alarmant. Autrement dit, les musulmans, d’où qu’ils viennent, seront immunisés contre les poursuites et les déportations, en dépit des viols commis sur des enfants et femmes adultes d’origine européenne. Quand une voix pleine de bon sens se soulève, comme dans le cas de Geert Wilders aux Pays-Bas, elle est pénalisée.

Si les élections se tenaient maintenant aux Pays-Bas (elles auront lieu le 15 mars 2017), le chef du Parti de la Liberté Geert Wilders pourrait très bien emporter la majorité au parlement néerlandais et se voir propulser au poste de premier ministre. Nonobstant les sondages d’opinion, Geert Wilders a dû subir un procès à Amsterdam pour avoir incité à la haine et à la discrimination raciale. Le tribunal néerlandais l’a déclaré « coupable » d’incitation à la discrimination contre les Marocains dont la présence, selon The Guardian du 9 décembre 2016, « devrait intensifier le débat sur la migration aux Pays-Bas ».

Geert Wilders était « coupable » d’avoir demandé à la foule, lors d’un rassemblement du Parti de la liberté en 2014, si elle voulait « moins ou plus de marocains aux Pays-Bas ». Il a qualifié le procès de « parodie politiquement motivée ». Ce que le procès montre en fait, c’est l’étouffement de la liberté d’expression dans les pays de l’UE, en l’occurrence aux Pays-Bas, lorsqu’elle ne respecte pas les précieux idéaux des élites du multiculturalisme et de la défense de l’immigration libre en Europe.

Soeren Kern, dans un article de l’Institut Gatestone, a mentionné l’interview d’un haut fonctionnaire allemand à Francfort, publié dans le journal allemand Bild : « ll y a des instructions strictes de ne pas signaler les agressions sexuelles commises par des réfugiés. Ce n’est tout de même pas normal que certaines infractions ne soient pas délibérément signalées et que l’information soit classée confidentielle ».

Boris Johnson, ancien maire de Londres et voix prépondérante du Brexit, a soutenu que : « Napoléon, Hitler et d’autres personnes ont essayé d’unifier l’Europe, par la force au besoin, et cela s’est terminé tragiquement. L’UE tente tout simplement de le faire par des méthodes différentes ». L’une de ces méthodes coercitives est de limiter, voire d’interdire, tout propos contre l’immigration.

L’élite de l’UE se trouve devant une montée de mouvements de protestation des Européens sur l’ensemble du continent. Les peuples des États de l’Union européenne, sans droit à la parole, se sont vu imposer le multiculturalisme et le politiquement correct comme leur nouvelle « religion » civique ; leurs voix dissidentes sont maintenant étouffées par une série de mesures menant tout droit à la réduction de la liberté d’expression.

La Commission européenne (CE), branche puissante et non élue de l’exécutif de l’UE, a annoncé l’année dernière un plan visant à lutter contre « les propos illégaux en ligne incitant à la haine ». Cette même Commission a dévoilé un code de conduite qui garantira que les réseaux sociaux n’offrent aucune possibilité « de se répandre comme un virus ». Rien de surprenant que ce soit la Commission européenne qui déterminera ce qui constitue un « propos illégal en ligne incitant à la haine » et non pas les représentants élus des peuples des différents pays européens qui composent l’UE.

Un communiqué de presse publié par la CE à Bruxelles le 31 mai 2016 dit ceci : « La Commission européenne et les entreprises de l’informatique annoncent un code de conduite sur les propos illégaux en ligne incitant à la haine »… « Il est essentiel de veiller à ce que des lois nationales répercutant la décision du Conseil relative à la lutte contre le racisme et la xénophobie soient pleinement appliquées par les États membres, tant en ligne que hors ligne. Si l’application effective des dispositions criminalisant les propos haineux dépend d’un système solide d’application de sanctions pénales contre les auteurs individuels de tels propos, ce travail doit être complété par des actions visant à faire en sorte que les propos haineux en ligne soient rapidement examinés par des intermédiaires en ligne et des plateformes de médias sociaux, sur réception d’une notification valide dans un délai approprié. Pour être considéré comme valide à cet égard, une notification ne doit être ni insuffisamment précise ni insuffisamment étayée ».

Ces dispositions contre les propos haineux n’ont guère contribué à empêcher la montée de l’antisémitisme dans les pays de l’UE, pas plus qu’elles n’ont criminalisé le caractère antisémite du mouvement de boycott, de désinvestissement et de sanction qui vise directement l’État d’Israël. La CE cherche cependant à étouffer le mouvement anti-immigration, qui tente d’alerter les Européens de la future islamisation de leurs pays. Qui plus est, la décision de la CE aura un impact négatif sur les libertés civiles de plus de 500 millions d’Européens.

L’impact direct des récentes lois sur la « l’expression » promulguées par les gouvernements européens a été amplifié par la censure privée sur les propos contre les immigrants. Ainsi, la plupart des médias ont cessé de montrer des images de Mahomet, alors qu’aucune censure de cet ordre n’existe concernant les caricatures d’autres figures religieuses. En septembre 2012, l’actrice et activiste des droits des animaux Brigitte Bardot a été condamnée à plusieurs reprises à des amendes pour ses commentaires sur la façon dont les musulmans sapent la culture française. En Grande-Bretagne, une jeune fille de 15 ans a été arrêtée pour « brûler un Coran à l’école et publier des images sur Facebook ».

 Alors que l’Allemagne est en train de commettre un suicide démographique et culturel par l’admission de millions de migrants du Moyen-Orient et d’Afrique, pour la Suède, c’est déjà fait. Le peuple suédois permet à ses partis radicaux de gauche et à sa presse aux ordres d’accélérer sa disparition nationale. Le 22 décembre 2014, L’Institut Gatestone avait annoncé qu’avant les élections prévues en mars 2015, le gouvernement actuel de la coalition du Parti social-démocrate et des Verts avait promulgué « une mesure fort peu divulguée par les médias, entrée en vigueur à la Noël 2014 ». Cette mesure a été conçue pour faciliter la poursuite de ceux qui offensent en ligne les réfugiés, les politiques d’immigration, les gays et les politiciens.

Selon Gatestone, « même les immigrants ne semblent pas être autorisés à contester la politique d’immigration ou leur culture ». L’an dernier, une journaliste somalienne, critique de la culture des immigrés, a été intimidée à tel point par l’establishment journalistique suédois qu’elle a décidé que Mogadishu (Somalie) était un endroit plus sûr pour elle que la Suède.

 Ce n’est qu’en Suède que le gouvernement fait des emprunts pour verser des prestations d’aide sociale aux gangs de violeurs musulmans. Alors que le gouvernement et sa presse de gauche ont grandement critiqué une attaque sur les migrants, le silence a été le plus complet sur les viols par, principalement, des migrants arabes et africains musulmans sur des femmes suédoises. Le 4 mars 2016, le Daily Mail britannique a signalé que « ce qui est inquiétant, c’est que si l’affaire de la gare de Stockholm avait été étouffée au maximum, elle aurait pu alimenter artificiellement un sentiment en faveur des migrants, rendant les Suédois ordinaires moins prêts à exprimer leurs inquiétudes sur la migration de masse. Le soupçon d’une dissimulation a été divulgué suite à une enquête publiée par la presse en ligne suédoise florissante Nyherer Idag, montrant que les autorités suédoises avaient caché des agressions sexuelles publiques par des bandes d’immigrants sur des dizaines de jeunes filles lors d’un festival de musique populaire à Stockholm l’année dernière et en 2014 ».

Il va sans dire que dans les États de l’UE, les voix contre l’immigration sont étouffées par des lois archaïques qui sont, pour le moins, anti-démocratiques. Les bureaucrates européens de l’UE sont par ailleurs en train de supprimer la liberté d’expression dans l’intérêt de promouvoir des politiques d’immigration désastreuses. La fierté et les accomplissements de la civilisation judéo-chrétienne de L’Europe sont en passe d’être submergés par le mensonge et l’aliénation que représente le multiculturalisme.

Note de Christine Tasin

La seule chance des Européens, c’est la victoire des euro-sceptiques, afin de faire exploser l’UE et ses pouvoirs hallucinants. Demain Wilders, après-demain Marine… pour rejoindre le clan Orban et retrouver nos libertés et le droit de dire non à l’immigration et l’islamisation.

 

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24 Commentaires

  1. cela va paraître idiot , mais mettons des porcs(ou cochons) dans les rues, devant les moquées, les quartiers pourris par par tous ces voyous, malfrats et envahisseurs

    • Les porcs et les sangliers étant des animaux aussi intelligents que nos chiens (également considérés comme “impurs”), pourraient être dressés pour disperser les émeutiers violents.
      En Israel, certaines exploitations agricoles sont protégées par des porcs(animal également interdit dans le judaisme pourtant) contre les incursions hostiles).
      Une autre version des oies du capitole, les cochon de garde.???

  2. Bonjour
    Comme quoi leurs engagements sur ces questions et leurs indignations ne sont qu’hypocrisie et arrivisme politique..

  3. Je me posait la question de l’Allemagne: Comment ce pays si soucieux d’effacer toute trace de son passé nazi, d’en interdire toute manifestation, si sourcilleuse à juste titre sur la question de l’antisémitisme a t’elle put en arriver à offrir, parcequ’il n’y a pas d’autre mot, son pays aux populations les plus antisémites qui soient, les choyer et en allant avec la complicité des medias jusqu’à les protéger dans leurs exactions ou crimes?
    Aujourd’hui en Europe, il ne fait pas bon être juif, chrétien comme il n’est pas bon d’afficher son désaccord avec cette politique suicidaire.
    Aujourd’hui les juifs sont traqués et agressés physiquement, les chrétiens sont méprisés et accessoirement agressés ou leurs lieux de culte saccagés, le tout dans un silence complice des medias.
    Aujourd’hui la moindre opposition est susceptible d’entrainer une condamnation.
    Pour des morceaux de lard dans une boite aux lettres on est envoyé en prison et y laisser sa peau alors qu’un musulman peut donner un coup de couteau en plein coeur à un policier, ce qui s’appelle un tentative d’homicide, et se voir libre au sortir du tribunal.
    Qu’est ce que cette Europe là sinon la continuation du 3ème reich ?

    • Bonjour,
      C’est ça l’immmense paradoxe de notre temps.Au nom de la culpabilité de la Shoah, la Gôche laisse prospérer l’antisémitisme musulman …

  4. Et oui, l’Union européenne pouvoir centralisateur tout à leurs dominations, se comporte comme un état totalitaire Fasciste, en accusant les autres à leurs places comme seul les dictatures se respectent.
    C’est les peuples qui sont attaqués de se défendre pour leurs libertés et pas seulement les pays européens, en dehors aussi.
    Sans l’union européenne tous les pays européens sont libres.
    Et bon débarras.

  5. Alexandre DELVALLE
    – Vers un “terrorisme islamiste durable” : conséquence des fautes stratégiques occidentales depuis la guerre froide
    :: https://www.alexandredelvalle.com/single-post/2017/02/22/Vers-un-terrorisme-islamiste-durable-cons%C3%A9quence-des-fautes-strat%C3%A9giques-occidentales-depuis-la-guerre-froide
    22/02/2017
    Nous avons déjà souligné dans nos analyses précédentes la nature contre-productive de cette stratégie du « Vert contre le Rouge » qui a contribué à favoriser l’expansion de l’islamisme radical incarné par des nébuleuses terroristes du type d’Al-Qaïda puis aujourd’hui Etat islamique et tant d’autres nébuleuses dont la genèse est liée à celle de la guerre froide et de l’endiguement de l’URSS. Les multiples attentats islamistes anti-occidentaux perpétrés depuis les années 1990 (après la guerre du Golfe et l’occupation anglo-américaine militaire de la péninsule arabique) étaient d’évidence des conséquences prévisibles des choix fous des stratèges américains et atlantistes qui ont conçu pareille « stratégie pro-islamiste » le cadre de la muslim belt, choix qu’ils ont hélas en partie maintenu jusqu’à aujourd’hui comme on l’a vu depuis le printemps arabe, vite devenu un « hiver islamiste », notamment en Syrie et en Libye.
    En fait, l’erreur fondamentale de la stratégie « pro-islamiste » occidentale dans le monde musulman a consisté à sous-estimer l’importance de l’idéologie islamiste et des fondements mêmes de l’islam sunnite orthodoxe selon lesquels la plus grande « injustice » pour laquelle la réponse ne peut être que la guerre djihadiste est l’occupation d’une terre islamique par des non-musulmans. Pour les islamistes et les religieux sunnites orthodoxes, le jihad, compris comme effort de guerre contre les ennemis de l’islam ou les occupants d’une terre islamique, était la réponse prévisible à la guerre du Golfe qui avait impliqué une présence américaine militaire et humaine durable en Arabie saoudite, considérée par les sunnites comme une terre sacrée et interdite aux non-musulmans. Et à chaque fois que des forces occidentales interviennent en terre d’islam, les islamistes ont un prétexte pour relancer le Jihad contre « l’ennemi lointain », ce qui provoque de nouvelles actions militaires occidentales, parfois légitimes, parfois inopportunes ou précipitées en fonction de l’actualité, de sorte qu’un cercle vicieux sans fins s’est créé depuis des décennies qui nous condamnent à vivre avec un « terrorisme islamiste durable »…
    Le Jihad comme moyen de défense et d’expansion légitimes dans l’islam classique
    Dans la doctrine classique de l’islam sunnite, le jihad est une doctrine et une praxis de défense des territoires islamiques face aux non-musulmans. Il est aussi un moyen d’expansion de l’islam depuis la geste même de Mahomet et des premiers califes. Aussi les stratèges occidentaux qui ont conçu la première guerre du Golfe – laquelle signifiait la présence dans la péninsule arabique de centaines de milliers de militaires chrétiens, juifs et athées – ne pouvaient logiquement que s’attendre à une réaction hostile et violente de la part des forces islamistes et orthodoxes sunnites.
    Dans le Coran, la légitimation du djihad offensif comme moyen d’expansion de l’islam et de défense contre ceux qui y font obstacle ou occupent une terre de l’islam est nommée « la guerre sur le sentier d’Allah ». On trouve dans plusieurs versets du Coran des incitations à s’engager dans la guerre (voir annexe I), tantôt qualifiée d’« effort sur le sentier de Dieu » (jihad fi sabil’Allah) ou « combat » (qital) (voir sourates du jihad, in annexe n°1 b). Dans ces passages du Coran particulièrement mis en valeur par les djihadistes, qui les interprètent, certes, de façon littérale, extensive et systématique, le combat armé est appelé le « Sentier d’Allah » et « ceux qui sont tombés dans la guerre sainte » sont comparés à des « martyrs de la Foi » (IX, 52 ; LVIII, 19) « Dieu (…) vous a fait combattre pour vous éprouver les uns par les autres », (XLVII, 5).
    Le guerrier est donc le bras de Dieu, ce n’est pas lui qui détruit et qui tue, mais Allah. Cela est clairement exprimé dans le Furqan : « ce n’est pas vous qui les tuez, c’est Dieu. Quand tu lançais (un trait), ce n’est pas toi qui le lançais, c’était Dieu, pour éprouver les fidèles par une belle épreuve ; car Dieu entend et sait tout » (Coran, VIII, 17). Dans son recueil de Hadiths (Al Sahib), le très célèbre El-Bokhari, commentateur des « dits et faits » de Mahomet, relate la célèbre réflexion de celui-ci sur la valeur spirituelle primordiale du jihad : « Un homme vint trouver l’Envoyé de Dieu et lui dit : «indique-moi une œuvre qui ait la valeur de la guerre sainte. — Je n’en trouve pas, répondit le Prophète.» Puis il ajouta : «Pourrais-tu, pendant le temps où le guerrier est parti à la guerre sainte, te tenir incessamment en prière dans ton oratoire et observer un jeûne ininterrompu ? — Qui le pourrait, repartit l’homme» ». En conséquence, « la révolte armée et la guerre sainte s’imposent comme un devoir sacré à tout musulman », souligne El-Ghazali (1058-1111), l’un des plus grands savants de l’islam. Selon l’école malikite, « le jihad est une obligation d’institution divine. Pour nous, les Malikites, écrit Ibn Abi Zayd El-Qayrawânî, il est préférable de ne pas commencer les hostilités avec l’ennemi avant de l’avoir appelé à embrasser la religion d’Allah, à moins que l’ennemi ne prenne d’abord l’offensive. De deux choses l’une : ou bien ils se convertiront à l’islamisme, ou bien ils paieront la capitation (jizya), sinon, on leur fera la guerre ». Tuer pour la gloire de Dieu est donc légitime pour un musulman orthodoxe désireux de respecter les commandements de sa religion. Ainsi, les juristes musulmans ont-ils été amenés à réglementer les modalités du jihad : « La loi défend de tuer, dans la guerre contre les Infidèles : des mineurs, des aliénés, des femmes et des hermaphrodites (…) mais on peut tuer légalement : les moines, des mercenaires que les Infidèles ont pris dans leur service, des vieillards, et des personnes faibles, aveugles ou maladives, alors même qu’ils n’auraient ni pris part au combat, ni donné des renseignements à l’ennemi. Quand on ne les tue pas dans la guerre, il faut en tout cas les réduire à l’esclavage. Il est licite d’assiéger les infidèles dans leurs villes et dans leurs forteresses, d’employer contre eux l’inondation, l’incendie ou les machines de guerre, et de les attaquer la nuit à l’improviste ».
    Dans les conceptions islamiques classiques, telles qu’elles sont enseignées dans les grandes universités islamiques (Al-Azhar en Egypte ou a fortiori à Médine, berceau du salafisme, en Arabie saoudite et même dans nombre de mosquées et centres islamiques d’Europe), l’idée d’une séparation nette entre la religion et l’Etat est totalement dénuée de sens, le pouvoir politique et le pouvoir religieux ne faisant qu’un et la qualité de l’un découlant de celle de l’autre. Aussi les juristes et théologiens musulmans sunnites comme Ibn Taimiyya (référence suprême des Wahhabites officiels et les salafistes et Frères musulmans, rappellent que la religion, l’Etat et la société sont une seule et même chose.
    Les islamistes radicaux, qui exigent partout la restauration de la théocratie islamique, y compris au moyen du jihad, sont donc aussi ‘orthodoxes’, voir plus, que leurs contradicteurs musulmans considérés comme modérés qui ne retiennent du jihad qu’une lecture soufie, allégorique du « grand jihad », spirituel, c’est-à-dire tourné contre soi-même et ses mauvais penchants.
    L’altérité dans la doctrine islamiste, entre élimination et soumission-sujétion
    S’il existe une spécificité propre à la religion islamique, elle réside dans la propension à refuser – souvent par la violence – tout « pouvoir non-musulman », c’est-à-dire « infidèle » (ou « pouvoir barbare-ignorant », dans la terminologie islamiste, « houkoum al jahili). Le terme de « jahilite » est de ce fait souvent utilisé par les idéologues de l’islamisme salafiste djihadiste qui légitiment ainsi la violence terroriste, y compris contre les « mauvais » musulmans (« apostats ») ou tout musulman qui s’opposent à leurs vues théocratiques (Takfir).
    La doctrine islamique traditionnelle définit clairement deux zones géopolitiques distinctes et ennemies : la demeure de l’islam (dar-al-islam) — c’est-à-dire l’ensemble des pays reconnaissant l’islam comme religion d’Etat — et la demeure de la guerre — (dar-el-harb), le monde non-musulman. La demeure de la guerre est un espace géopolitique et religieux hostile, avec lequel seules des relations de guerre peuvent exister. Selon le fiqh, les régions non-musulmanes, ainsi que les biens de leurs habitants, appartiennent virtuellement à l’islam et l’on doit essayer de les faire rentrer dans le droit, dès que les circonstances le permettront. Les Harbiyûn, habitants du dar-el-Harb, lorsqu’ils pénètrent sans autorisation dans les terres musulmanes, de même les naufragés, peuvent être tués licitement.
    Entre le dar-al-islam et le dar-el-harb, il ne peut théoriquement y avoir que des relations d’hostilité, car dans la théocratie islamique, l’altérité religieuse n’est appréhendée qu’en termes d’inimitié politique. L’Autre est un ennemi politique parce qu’il est un adversaire religieux. Cette vision parfaitement orthodoxe est très présente dans les revendications et textes de références juridique des groupes islamo-terroristes comme Etat islamique qui n’ont de ce point de vue rien inventé en invitant les musulmans d’Occident soit à faire leur Hijra (émigration) en terre islamique (Dar al-Islam, titre de la revue francophone de Da’esh), soit à combattre l’Infidèle par des attaques, razzias, prises d’otages et actes de jihad divers.
    Des Frères Musulmans aux pôles officiels de l’Islamisme mondial : Si l’Occident mécréant facilité son islamisation, l’impératif du jihad y devient caduc…
    Toutefois, la Charià prévoit une exception à cette règle : la demeure de l’islam (Dar al-Islam) peut contracter une trêve avec la demeure de la guerre si la conjoncture politique l’impose et si cette trêve permet aux musulmans de prêcher leur doctrine en territoire infidèle sans exiger en contrepartie le même droit de prédication non-musulmane à l’intérieur du dar-al-islam.
    D’après le théologien et juriste sunnite Abou Youssouf, « il n’est pas permis au représentant de l’Imam de consentir la paix à l’ennemi quand il a sur lui la supériorité des forces, (…). Il appartient donc à l’Imam de faire la paix avec les Polythéistes lorsque cela est avantageux à l’islam et à la religion et qu’il espère ainsi les amener par la douceur à se convertir ». Cette trêve, d’essence unilatérale, permise dans l’unique but de conquérir par la suite le dar-al-harb, est nommée « zone de conciliation » (dar-el-solh). La trêve, ou conciliation (solh), n’est concevable que si elle est destinée à assurer, à terme, la suprématie totale de l’islam. Il s’agit donc d’une stratégie réfléchie visant à endormir l’ennemi pour mieux l’anéantir au moment propice, stratégie connue sous le nom de taqiya. Les Frères musulmans, notamment Youssef al-Qardaoui et son disciple Tariq Ramadan, ont également qualifié l’Europe de Dar al-Shahada, « terre du témoignage », en raison de la facilité par laquelle l’islamisme y progresse sans obstacles en vertu d’un prosélytisme permis par la liberté des démocraties.
    L’adaptation de la doctrine islamiste radicale au contexte occidental et le piège de la « pax islamica »
    D’après le droit canon islamique sunnite orthodoxe, entre la demeure de l’islam (dar-al-islam) et les nations non-musulmanes de la demeure de la guerre (dar-el-Harb), il ne peut y avoir en principe que des relations d’hostilité, car dans la théocratie islamique, l’altérité religieuse n’est appréhendée qu’en termes d’inimitié politique. La « conciliation » et la trêve avec les terres des Mécréants, anormales, sont d’évidence susceptibles d’être dénoncées unilatéralement à tout moment d’après les textes classiques. Dans la Charià, la « trêve », d’essence unilatérale, permise dans le seul but de nécessité ou de conquête par la suite le dar-al-harb, ou en tout cas afin de pouvoir y annoncer librement l’islam aux non-croyants, peut également être motivée par un rapport de force momentanément inégal en faveur de la partie non-musulmane. « L’armistice n’est permis que lorsqu’il en résulte quelque avantage pour les musulmans, confirme An-Nawawi, jurisconsulte de l’école chaféite ; par exemple si nous sommes faibles en nombre, ou si l’argent ou les munitions de guerre nous font défaut, ou bien si il y a espoir que les Infidèles se convertiront ou qu’ils offriront de se soumettre et de payer la capitation ». Cette jurisprudence de l’islam classique continue d’être la référence des organisations islamistes sunnites, majoritaires au sein du tissu associatif musulman européen, ainsi que de l’Arabie saoudite et de nombreux Etats islamiques (Pakistan, Soudan, Mauritanie, Koweït, etc.), et elle est toujours enseignée à l’Université Al Azhar d’Egypte, la plus prestigieuse du monde musulman.
    Les musulmans d’Occident, pris en otage par les pôles de l’islamisme radical avec la complicité des Etats « mécréants »…
    Globalement, les organisations et Etats islamistes (non-terroristes) qui tentent d’encadrer (légalement) les communautés musulmanes en Europe ( à la différence des terroristes qui refusent la trêve) considèrent l’installation de millions de leurs coreligionnaires en terre occidentale comme un fait accompli, voir une opportunité de conquête douce, d’autant que l’Europe et les pays occidentaux ne sont plus une entité définissable par la seule chrétienté mais sont vues comme des terres « ouvertes », profondément sécularisées, donc, perméables à la « Dawa’ » (prédication islamique), sachant que mes Eglises chrétiennes, exceptées certaines mouvances fondamentalistes et sectes, ne développent aucun prosélytisme en milieu musulman immigré en Europe.
    Or de telles conditions : absence de prosélytisme auprès des musulmans et déchristianisation des sociétés ; neutralité spirituelle des Etats ; indifférence des individus gagnés par le relativisme religieux; puis le fait que les sociétés démocratiques occidentales sont fondées sur la liberté d’opinion et de conscience, la lutte contre la discrimination envers les minorités, etc., poussent nombre de responsables musulmans – y compris islamistes – à théoriser le fait que l’Europe n’est plus demeure de la guerre, mais demeure de la conciliation (dar al solh) ou du Témoignage (Dar al-Shahada). En effet, le fait que l’installation massive, en Occident, de populations musulmanes et ses corollaires (multiplication des mosquées et centres de religieux prosélytes, liberté d’action totale des propagandistes musulmans, y compris via les médias audiovisuels nationaux, conversions d’Européens), ne soit point conditionnée par l’octroi de droits et de libertés équivalents aux non-musulmans vivant dans le dar-al-islam – les cas les plus flagrants étant l’Arabie Saoudite, le Pakistan, la Libye, l’Afghanistan, ou même l’Algérie, où les non-musulmans sont interdits ou persécutés – constitue pour les islamistes une reconnaissance de facto de la supériorité de l’islam, à travers le fait que la tolérance est bien à sens unique, condition principale pour que la présence musulmane en Occident devienne licite.
    Les organisations et Etats islamiques considèrent donc d’une manière générale que la progression pacifique de l’islam en Europe peut être la pire des choses, si ces musulmans s’intègrent aux sociétés d’accueil jugées immorales (donc se « désislamisent »), d’où la nécessité impérieuse de compromettre l’intégration via le repli communautaire. Mais ils pensent qu’elle pourrait être également une chance inespérée, un nouveau miracle d’Allah, le point de départ de la troisième grande phase d’expansion de l’islam décrite par Bernard Lewis, si les communautés musulmanes issues de l’immigration réussissaient à rester ou redevenir vraiment musulmanes, grâce à l’action en leur sein des pôles de l’islam mondial, voire même si les Occidentaux massivement déchristianisés, donc spirituellement plus vulnérables, pouvaient progressivement embrasser l’islam.
    Source: http://www.atlantico.fr/decryptage/vers-terrorisme-islamiste-durable-consequence-fautes-strategiques-occidentales-depuis-guerre-froide-2967100.html

  6. L’armée, encore à majorité chrétienne, sera-t-elle obligée d’envoyer un missile nucléaire sur la commission européenne, désormais soumise à Allah=Satan?
    Pour pouvoir rétablir le christianisme en Europe avant le grand remplacement mahométan, l’assassinat de tous les chrétiens, et la destruction de toutes les cathédrales millénaires?

    • Exact l”armée française est devenue chrétienne en 496 lors du baptême de Clovis Roi des francs avec environ 5000 de ces guerriers à Reims par Saint Rémi .

  7. Poutine ne sourit plus du tout
    :: http://www.dedefensa.org/article/poutine-ne-sourit-plus-du-tout
    20 février 2017
    – Le problème abordé ici concerne la situation politique russe essentiellement, et nullement la pseudo-“politique russe” de Trump, qui n’est aujourd’hui qu’un faux-semblant accessoire. (Comme nous l’écrivons dans notre chapeau/abstract :”Le problème de Trump, plus que jamais en posture d’affrontement avec l’establishment [le Système] est que son front principal est intérieur et que sa “politique extérieure” est devenue un instrument tactique pour cette bataille intérieure”.)
    Le problème russe, plus précisément abordé, est que non seulement la patience russe dans l’attente de Trump s’érode devant le désordre US, mais surtout que la Russie ne peut plus assumer la position de “paralysie stratégique” qu’elle avait acceptée de supporter pour soutenir Trump depuis son élection, et l’aider à définir une nouvelle “politique russe”. Le 16 février, dans son Journal-dde.crisis, PhG citait un article de Foreign Policy du 13 février analysant la position russe en fonction de la position de la nouvelle administration US, où il était dit clairement que les Russes commençaient à s’inquiéter de ce qui, dans le chaos de Washington, semblait être la “politique russe”, ou une pseudo-“politique russe” de Trump en net durcissement par rapport à ce qu’on en attendait (à ce que les Russes en attendaient). On cite ce passage, avec en souligné de gras ce que nous jugeons être le constat principal :
    « Ce que les Russes craignent le plus aujourd’hui, c’est que Trump soit chassé ou même tué. Son départ, disent des sources internes du Kremlin, amènerait une campagne bipartisane antirusse virulente à Washington. Par conséquent et étrangement, Poutine est devenu l’otage de la survie et du succès de Trump. Cela restreint sérieusement les options géopolitiques de la Russie. Les Russes savent parfaitement que les démocrates veulent utiliser l’épouvantail-russe pour discréditer et destituer Trump alors que les républicains veulent utiliser l’épouvantail-russe pour réduire et discipliner Trump. Le gouvernement russe craint non seulement la chute de Trump, bien entendu, mais aussi la possibilité qu’il puisse par opportunisme adopter une ligne antirusse dure de façon à faire la paix avec les dirigeants républicains ultra-faucons du Congrès. »
    … Plutôt qu’“otage” pur et simple “de la survie de Trump”, nous préférons dire la paralysie diplomatique que Poutine avait acceptée de manifester pour donner le temps à Trump d’organiser sa “politique russe” (ne rien faire qui puisse aggraver les difficultés de la mise en place de cette politique en donnant des arguments contre cette politique par une interprétation hystérique de l’antirussisme qui règne à Washington). Poutine n’est en rien un “otage” et Trump ne lutte pas moins pour “sa survie” que l’establishment en place : les deux, Trump et l’establishment, luttent chacun pour leur survie puisque c’est une bataille à mort. Simplement, il semble bien que Poutine ne puisse ni ne veuille attendre plus longtemps ; 1) d’une part parce que sa fonction n’est pas de défendre les intérêts du nouveau président des USA, même s’il paraît par période d’un réel intérêt de le faire (l’actuelle période est close, mais cela n’empêche que d’autres du même ordre peuvent survenir) ; 2) d’autre part parce que sa fonction est de défendre les intérêts de la Russie et que ces intérêts commencent à être compromis par la politique de “paralysie volontaire”, ou “paralysie bienveillante” faite pour aider Trump.
    …/…

  8. ça m’écœure quand je lis “les français engagés au côtés de daesh”, car ils n’ont jamais été français, ce sont des muzz et rien d’autres,
    des français ne s’engagent pas pour daesh

  9. Révolution, juger ses enfoirés et les coller contre un mur, pour acte de trahison.

  10. ATTENTION quand l’Occident, quand la France surtout parle de “démocratie” on peut s’attendre à des bouleversements problématiques et dangereux.
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    – La mission d’information sur les relations politiques et économiques entre la France et l’Azerbaïdjan au regard des objectifs français de développement de la paix et de la démocratie au Sud Caucase
    ASSEMBLÉE NATIONALE
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    RAPPORT D’INFORMATION DÉPOSÉ en application de l’article 145 du Règlement
    AU NOM DE LA MISSION D’INFORMATION sur les relations politiques et économiques entre la France et l’Azerbaïdjan au regard des objectifs français de développement de la paix et de la démocratie au Sud Caucase
    Tome I & II
    :: http://www.assemblee-nationale.fr/14/rap-info/i4511-ti.asp
    :: http://www.assemblee-nationale.fr/14/rap-info/i4511-tii.asp
    – I. B. UNE ÉCONOMIE DÉPENDANTE DES RESSOURCES ÉNERGÉTIQUES DU PAYS
    – II. A. UN PARTENAIRE ÉCONOMIQUE IMPORTANT POUR LA FRANCE
    |—- B. DES RELATIONS BILATÉRALES ÉTROITES DANS DE NOMBREUX DOMAINES
    – III. DÉMOCRATIE ET DROITS DE L’HOMME : POUR UNE APPROCHE ÉQUILIBRÉE ENCOURAGEANT L’OUVERTURE DE L’AZERBAÏDJAN
    |—- A. UNE SITUATION PROBLÉMATIQUE DES LIBERTÉS DÉMOCRATIQUES ET DES DROITS DE L’HOMME
    …/…
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  11. Amnesty International est en train de lancer des alertes pour se plaindre des gouvernants qui osent vouloir défendre leur pays ! Même la France est épinglée, notamment au sujet de sa politique “protectionniste” (?)… Nous n’en faisons pas assez pour les réfugiés !
    Autre info : c’est la journée des scouts. On leur apprend l’ouverture d’esprit, l’entraide, la compassion. Mouvement formé sur des valeurs chrétiennes… Le problème c’est qu’aujourd’hui cette ouverture et ces qualités concernent, également, l’accueil des “réfugiés” ou clandestins….

    • Amnesty international ou autres ong sont financées par le vieux débris et corrompu de soros , donc les alertes et les rapports d’amnesty et autres assoces de merde ne valent rien tout au plus à servir de papier Q .

    • de plus Amnesty international est une association payés avec l’ impositions des contribuables des pays d’ Europe . la dissolutions de toutes ces associations de merdes qui nous pourrissent la vie ,seras une priorité pour sortir de cette dictature d’ immigration imposé .

  12. Comment vont-ils procéder ? Qui seront exactement les personnes inquiétées ? Peut-on en rire ? Cette résolution peut-elle se retourner contre le gouvernement français lui-même très impliqué et responsable des meurtres commis au Moyen-Orient ?
    ASSEMBLÉE NATIONALE – SESSION ORDINAIRE DE 2016-2017 : 21 février 2017
    :: http://www.assemblee-nationale.fr/14/ta/ta0925.asp
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    RÉSOLUTION sur la reconnaissance et la poursuite des crimes perpétrés en Syrie et en Irak et sur l’accès des populations civiles à l’aide humanitaire.
    L’Assemblée nationale a adopté la résolution dont la teneur suit : Voir le numéro : 4359.
    Article unique
    L’Assemblée nationale,
    – Vu l’article 34-1 de la Constitution,
    – Vu les rapports de la commission d’enquête internationale indépendante sur la République arabe syrienne,
    – Vu le Statut de Rome de la Cour pénale internationale (CPI),
    – Vu la loi n° 2010-930 du 9 août 2010 portant adaptation du droit pénal à l’institution de la Cour pénale internationale,
    – Vu l’article 136 du Règlement de l’Assemblée nationale,
    Rappelant l’ampleur des crimes commis en Syrie et en Irak par des organisations étatiques ou non étatiques, en particulier par le prétendu « État islamique en Irak et au Levant », Al-Qaïda et le Front Fath Al-Cham ;
    Considérant que ces crimes, commis à l’encontre des populations civiles de toute confession, notamment les populations chrétiennes, yézidies et d’autres minorités, relèvent des incriminations prévues de crimes de guerre, de crimes contre l’humanité, voire de génocide ;
    Considérant que des ressortissants français engagés auprès de ces organisations terroristes et criminelles se rendent coupables de ces crimes ;
    1. Invite le Gouvernement à utiliser toutes les voies de droit, y compris la saisine de la Cour pénale internationale par le Conseil de sécurité, pour reconnaître les crimes perpétrés en Syrie et en Irak, notamment les crimes contre l’humanité et les crimes de guerre, voire les crimes de génocide, et pour poursuivre leurs auteurs ;
    2. Invite le Gouvernement à poursuivre sans relâche ses efforts afin que l’aide humanitaire internationale parvienne aux populations civiles en Syrie.
    Délibéré en séance publique, à Paris, le 21 février 2017.
    Le Président,
    Signé : Claude BARTOLONE
    ISSN 1240 – 8468
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  13. Une seule question a se poser , on s’oriente ver quoi ? réponse rien de bon , la solution : quitter se machin infecte le plus tôt possible car inutile d’essayer de le corriger on n’y arrivera pas car c’est pourri jusqu’à la moelle de l’intérieur comme de l’extérieur . Il y a encore des gens qui tiennent a ça , désolé ces gens se trompent lourdement car le seul dieu de Bruxelles c’est l’argent et les migrants ne sont vus que dans cette optique là et pas sous l’angle humanitaire comme ils veulent bien nous le faire croire . Nous voyons donc dans ce machin une nouvelle puissance d’exploitation de l’homme
    au même titre que le communisme d’il y a trente ans , d’ailleurs le désir de tout régenter devrait nous alerter , conclusion il serait temps que tout les citoyens d’ Europe ouvrent les yeux dans d’en mourir . Ça commence mais trop lentement a mon gout j’espère qu’il n’est pas trop tard !

  14. Confier les rennes du pays à des socialistes, à des islamophiles, ce n’est pas compliqué: C’est comme confier ses enfants à des pédophiles.
    Et je vous le dit “les yeux dans les yeux”..

  15. La commission européenne n’a aucun pouvoir politique, mais aucun parlementaire européen, aucun chef d’état ne s’élève pour dénoncer ses abus ( sauf Nigel Farade qui l’épingle régulièrement) Qu’attend donc l’Europe pour révoquer tout simplement cette commission constituée de fonctionnaires non élus?

  16. Bonjour,
    Sortir du totalitarisme de l’UE est devenu une nécessité mais cela ne sera pas suffisant il faudra sortir aussi de TOUTES les institutions internationales d’après la fin de la deuxième guerre mondiale comme l’ONU. Les lois liberticides française type Pleven sont issues de ces accords internationaux.
    Ces préalables seront encore insuffisants : En application des lois contre la TRAHISON (articles 411 -1 et s du code pénal) des ENQUÊTES devront être diligentées contre TOUS y compris les maires des plus petites communes les ÉLUS français afin de vérifier déterminer leur rôle précis dans le développement de l’islam qui détruit la France et plus généralement la RUINE de la France. Chaque condamnation devra être assortie d’une sanction financière exorbitante permettant de rembourser même symboliquement la dette du pays . Il faut ruiner les ruineurs.
    Si Marine est élu nous pourrons proposer une loi dans ce sens . Le cadre du REFERENDUM D’INITIATIVE POPULAIRE (engagement 5 de Marine Présidente) sera idéal.

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