A Poitiers, les voitures continuent à brûler : seul le FN a un vrai projet pour les mineurs récidivistes

Dans la rubrique Faits divers, il est encore question de l’implication de mineurs dans des infractions pénales d’une gravité prononcée, on constate que le quartier de Bel air à Poitiers est toujours aussi « chaud », dans tous les sens du terme.
Les conteneurs et voitures continuent à brûler.
http://www.lanouvellerepublique.fr/Vienne/Actualite/Faits-divers-justice/n/Contenus/Articles/2016/12/29/POITIERS-Poubelles-incendiees-2952121
http://www.lanouvellerepublique.fr/Vienne/Actualite/Faits-divers-justice/n/Contenus/Articles/2017/01/29/VENDEUVRE-Feu-de-grange-une-personne-relogee-2983948
http://www.lanouvellerepublique.fr/Vienne/Actualite/Faits-divers-justice/n/Contenus/Articles/2017/01/30/POITIERS-Nouveaux-incendies-a-Bel-Air-2985063

« Le week-end a été marqué par de nouveaux incendies nocturnes, sans doute volontaires, dans le quartier poitevin de Bel-Air. Dans la nuit de vendredi à samedi, ce sont trois conteneurs à ordures qui ont été la proie des flammes. La nuit suivante, c’est une voiture qui a été détruite par le feu, l’incendie endommageant sérieusement un second véhicule stationné à côté du premier. Les deux voitures appartiennent à la même personne dont on imagine le désarroi dimanche matin ».
http://www.lanouvellerepublique.fr/Vienne/Actualite/Faits-divers-justice/n/Contenus/Articles/2016/12/23/POITIERS-Voiture-en-feu-a-Bel-Air-2947611

Territoire perdu de la République où certains font la loi. « Certains », car on ne nous dit rien du profil des intéressés, hélas.
Des violences ciblent les enfants fréquentant une garderie auquel le nom de « Baobab » a été attribué – c’est bien connu, c’est une espèce d’arbre très gauloise…
http://www.lanouvellerepublique.fr/Vienne/Actualite/Faits-divers-justice/n/Contenus/Articles/2017/01/06/Les-chaises-volent-a-Bel-Air-2958836

« Un habitant du quartier s’inquiète des événements violents survenus depuis quelques semaines et signale un nouvel épisode. (…) devant la garderie du Baobab, une bande de jeunes habitués du lieu s’amusaient à jeter avec violences des chaises dans la rue alors que, quelques mètres plus loin, des enfants sortaient du centre. Mon fils de sept ans a de plus en peur de venir au centre », témoigne ce père qui dit craindre que le secteur devienne une « zone de non-droit »… ce qui a toujours été contesté et par la police et par la mairie de Poitiers ».

Des adolescents y fabriquent même des bombes artisanales :
http://www.lanouvellerepublique.fr/Vienne/Actualite/Faits-divers-justice/n/Contenus/Articles/2017/01/03/POITIERS-Quatre-mineurs-avaient-prepare-une-dizaine-de-bombes-artisanales-2955655

Insultes et coups de poing pour un policier :
http://www.lanouvellerepublique.fr/Vienne/Actualite/Faits-divers-justice/n/Contenus/Articles/2016/12/12/POITIERS-Il-frappe-un-policier-et-prend-la-fuite-2934437

La situation ne cesse donc de s’aggraver

http://resistancerepublicaine.com/2016/11/29/1300-ans-apres-poitiers-732-des-musulmans-sont-revenus-dans-la-vienne-et-cest-la-barbarie/

http://resistancerepublicaine.com/2017/01/06/la-delinquance-dissuade-de-prendre-les-transports-en-commun-lecologie-de-goche-est-un-piege-a-gogos/

On constate souvent qu’il s’agit de « mineurs ». Or, je pense qu’à partir d’un certain niveau de criminalité, la minorité est usurpée. Ne serait-il pas temps, pour faciliter la privation de liberté qui préserve la sécurité publique, de dissocier l’âge de la majorité civile et politique (18 ans) de l’âge de la majorité pénale, en abaissant ce dernier ? On ne devrait considérer comme mineur que celui qui a été manipulé, qui n’a pas fomenté son projet délictueux ou criminel sciemment, que l’éducation peut récupérer. Dans le cas contraire, il n’y a pas de raison de recourir au droit pénal des mineurs, plus doux que celui des majeurs.

Certains gauchistes veulent abaisser la majorité électorale à 16 ans. C’est plutôt la majorité pénale qu’il faudrait abaisser à cet âge ! Le droit pénal des mineurs est une farce, ne serait-ce que parce que condamner une racaille de 15 ans à 7500 euros d’amende, c’est, dans la quasi-totalité des cas, être sûr que l’amende n’est pas recouvrable, pour cause d’insolvabilité. https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F1837

Il existe un réel problème à propos de la majorité pénale. Comment expliquer que la population de certains quartiers puisse encore être terrorisée très régulièrement par des groupes de mineurs sans que rien ne change ? Il faut recourir à la privation de liberté pour que les nuisances cessent et, pour cela, abaisser l’âge de la majorité pénale. Des sanctions financières pour les parents pourraient être adaptées aussi.

A cet égard, le site du Front national propose de « réserver un traitement énergique et efficace à la délinquance des mineurs : la responsabilité pénale sera accrue pour tous les mineurs de plus de 13 ans, le traitement des dossiers les concernant sera accéléré et les aides sociales aux parents d’enfants récidivistes seront supprimées, sous réserve de la preuve de leur carence ».
http://www.frontnational.com/le-projet-de-marine-le-pen/autorite-de-letat/justice/

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9 Commentaires

  1. La proximité des universités que ce soit Poitiers, Rennes ou Toulouse etc …génère par la demande le trafic de drogue intensif et créée les zones de non-droit et les mafias locales tout cela avec la bienveillance de certains élus locaux
    Il faut bien que ces petits jeunes se détendent de leurs dures heures de cours en prenant leur petits joints tout cela dans une ambiance festive et bon enfant.
    Le contraste est violent avec ce qui se passe dans les quartiers fournisseurs proches du monde estudiantin où la liberté de citoyen n’existe plus pour les
    personnes qui n’ont pu fuir ces endroits qui ne sont plus en France où l’impunité est la règle et la délinquance n’a plus de limite où l’omerta est imposée et les représailles immédiates sur les habitants pour tout soupçon de collaboration avec la police.
    Les dealers types sont des jeunes délinquants fous déscolarisés multirécidivistes de quinze à vingt ans qui dictent leurs lois à toute la cité
    Ces individus peuvent agresser personnes âgées comme enfant sous l’emprise de ces drogues qui peuvent avoir une action catastrophique sur un petit cerveau
    La responsabilité des étudiants qui achètent leurs doses aux dealers en créant cette situation de domination mafieuse dans les quartiers est la même que celui du client des prostituées qui favorise les trafics d ‘êtres humains.
    Cela fait peur de savoir que certaines de nos futures élites passées par l’université dépendants de ces drogues sans ordonnances ont aussi peu de conscience tout en voulant donner des leçons de »vivre ensemble » ou autres fadaises gauchisantes à la terre entière.
    Les élus locaux comme la société bien pensante minimise au maximum les conséquences de ces consommations de drogues en les banalisant au maximum pour faire croire que tout cela est très marginal. Mais pour que cela reste en l’état ils tentent par tribunaux interposés d’empêcher les gêneurs alerteurs comme un Bensoussan de témoigner de cet état de fait et c’est cette attitude qui me met le plus en colère.
    Tout juste s’émeuvent-ils quand les exactions dépassent la limite et que les délinquants font des incursions dans les centres villes
    En niant les faits cela leur permet de faire comme si de rien était dans les cités jusqu’à pousser le cynisme à continuer à percevoir les mêmes impôts que le reste de la société sur les pauvres malheureux qui n’ont pu fuir ou qui ne peuvent faire autrement mais qui n’ont plus les mêmes droits que les autre citoyens
    Tant pis pour eux ce sont des dommages collatéraux.
    Cela s’appelle enlever la dignité des gens!

  2. le problème c’est que toutes ces pourritures sont archi connues de la police, mais elle a des ordres on touches pas, pas de vagues, on regarde ailleurs, mauvais, tres mauvais choix, seule solution on rentre dans le tas on retient pas les coups, pas pitié pas de quartier, quant aux pas contents expulsion directe ou bagne!

  3. Il est certain qu’avant 18 ans on sait ce que l’on fait !
    Dans les années 90, dans certains foyers de la DDASS (le nom a changé), la délinquance commençait à 8 ans, les dits délinquants se situaient donc entre 8 ans et 12 ans, et ils n’étaient pas tendres. Alors, les réactions des adultes ? Rien, juste grondés, un peu, sur fond de culture de l’excuse (milieu social invoqué), voire récompensés (du fait de sommes importantes allouées à leur prise en charge, alors que la plupart des parents continuaient à percevoir les allocations familiales – je ne sais pas si cela a changé)…… déjà !
    Et maintenant, on s’étonne….
    Problématiques différentes, enfants d’âges différents voire très petits, milieu social différent, et tout cela mélangé…. ! On imagine le contexte.
    Bien sûr, ce que l’on voit est à plus large échelle, mais la mentalité n’a pas changé à ce que l’on peut constater dans le traitement de la délinquance.
    Il y a des choses à revoir, c’est certain.

  4. je suis sceptique sur la « responsabilité pénale  » mais je veux bien la contradiction , car il me semble que ce sont les juges qui décident …
    quand aux aides sociales qui seront supprimées et qui « incombent  » au futur(e) élu(e)c’est une très bonne chose car cela responsabilisera une fois pour toute les familles déficientes et leurs enfants ..
    J’avais d’ailleurs vu un reportage qui m’avait frappé , de vérité , c’est qu’à la barre d’un tribunal d’une ville du midi , on appelait le jeune mais aussi et en même temps, le parent , histoire de lui montrer que ce jeune n’est pas le seul responsable voir pas responsable ( c’est selon ) .. j’avais trouvé cela génial ! comment peut on faire sans responsabiliser les gens ? c’est bien pour cela que l’on se trouve dans la situation actuelle et c’est juste DU BON SENS ! Il me semble que nous avons été élevé comme cela , non !

    • Encore faut-il que les parents soient aux-mêmes en capacité de le faire. Parfois trois générations d’assistés sociaux avec tous les problèmes qui peuvent en découler…. Quand il y a en plus le refus de la société dans laquelle on vit avec imposition de ses propres valeurs d’origine, le cocktail est explosif.
      Mais agir au niveau de l’argent (ici les allocations familiales) effectivement cela serait une bonne chose, c’est un « langage » qui pourrait leur parler pour se réveiller un peu (la corde sensible !). En outre, cela introduirait une sorte de justice sociale et rendrait du sens, car normalement, les allocations familiales sont ont été mises en place pour assurer l’éducation des enfants.

  5. SITE : breizh-info.com
    :: http://www.breizh-info.com/
    THÈME : SYNDICALISME POLITISÉ en croisade contre le FN/RBM
    ARTICLE : Fougères. Des syndicats subventionnés s’engagent contre l’extrême droite
    :: http://www.breizh-info.com/2017/01/26/60464/fougeres-syndicats-subventionnes-sengagent-contre-lextreme-droite
    AUTEUR :
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    Fougères. Des syndicats subventionnés s’engagent contre l’extrême droite
    26/01/2017
    Des syndicats professionnels et étudiants engagés contre l’extrême droite ? Le fait n’est pas nouveau, mais mérite d’être rappelé d’autant plus que la, CGT, FO, FSU, Solidaires et l’Unef 35 perçoivent des subventions publiques. Un « débat » public orienté et intitulé « combattre les fausses idées de l’extrême droite » est ainsi organisé par ces syndicats, ce jeudi 26 janvier 2017, à Fougères. Il se déroulera aux Ateliers, à 20 heures.
    Loïc Morel secrétaire de l’Union départementale CGT, qu’un journaliste de La Chronique Républicaine questionne sur la politisation des syndicats et la légitimité à tenir ce genre de réunion, répond : « Le FN, parti moteur des idées de l’extrême droite, attise les peurs, divise les salariés et les hommes. Il est donc antinomique avec les valeurs d’égalité et de fraternité que nous défendons ».
    Tandis que Fabrice Lerestif, secrétaire départemental de FO (Force Ouvrière) poursuit : « L’extrême droite et ses idées nauséabondes prospèrent à cause des politiques d’austérité qui sont menées, à cause de la casse régulière du service public ».

    Cet engagement politique de la part de syndicats subventionnés par l’argent public, c’est à dire par le contribuable – électeurs du Front national compris – interroge. En 2015, la Région Bretagne a ainsi versé 45 000 euros de subventions à la CGT Bretagne, 24 624 euros à Force Ouvrière, 10 624 euros à la FSU, et 14 125 à Solidaires. Les subventions attribuées en 2016 ne sont pas encore disponibles sur le site de la Région, malgré l’obligation légale qui est faite aux collectivités de les mettre à disposition des citoyens
    De plus, et en conflit total avec la loi, le conseil régional de Bretagne ne donne aucune information sur l’utilisation de ces fonds publics distribués. La loi indique pourtant que « lorsque la subvention dépasse 23 000 €, l’administration ou l’organisme qui l’attribue doit conclure une convention avec l’association définissant l’objet, le montant, les modalités de versement et les conditions d’utilisation de la subvention.»

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