Après les « territoires perdus de la République » (2002), un livre qui a fait date, Georges Bensoussan nous donne « Une France soumise ».
Je ne l’ai pas encore lu.
Mais j’en donne ici quelques extraits parus dès à présent dans le « Figaro »
Rien n’a changé depuis 2002.
Tout a désepérément empiré sous l’incurie de Sarko et de Flanby.
A preuve ces témoignages, extraits du livre, de personnes confrontées au cancer islamique.
Hélène, fonctionnaire préfectorale:
Il y a deux ans, j’ai décidé de changer de fonctions et d’aller confronter mes expertises sur les politiques publiques au terrain des banlieues que l’on dénomme aujourd’hui «quartiers populaires». […]
Mon arrivée dans la commune coïncidait avec le mois de ramadan. Le quartier était désert, les commerces fermés, les stores de métal baissés. Pas âme qui vive en début d’après-midi. Comme dans tous les quartiers prioritaires en France, les commerces sont presque exclusivement communautaires et ethniques. De ce fait, les interdits sont plus facilement respectés. […] Les premiers jours dans mon poste ont été difficiles. J’avais envie de fuir, de retrouver un territoire où je retrouverai une vie «à la française». Je me sentais épiée, regardée, véritablement étrangère dans une cité où je croisais des gens vêtus selon un code religieux.
J’ai cherché à comprendre la position des musulmans «modérés», de celles qui ne se voilent pas, de ceux qui ne portent pas la barbe ou la chemise longue, sur la pratique rigoriste de leurs coreligionnaires. Aucune critique n’est émise à leur égard. Au contraire, ils me font souvent part de leur admiration pour ces «salafis», ces personnes pieuses qui montrent l’exemple, qui ont le courage de vivre selon les principes édictés par le Prophète. À écouter ces modérés, ce sont plutôt le courage et la vertu qui manquent au plus grand nombre pour leur ressembler. Quand je pose la question aux femmes qui ne sont pas voilées, elles sont nombreuses à me répondre qu’elles le seraient si elles le pouvaient mais que la société française les en empêche dans leur travail.
Mon arrivée dans la commune coïncidait avec le mois de ramadan. Le quartier était désert, les commerces fermés, les stores de métal baissés. Pas âme qui vive en début d’après-midi. Comme dans tous les quartiers prioritaires en France, les commerces sont presque exclusivement communautaires et ethniques. De ce fait, les interdits sont plus facilement respectés. […] Les premiers jours dans mon poste ont été difficiles. J’avais envie de fuir, de retrouver un territoire où je retrouverai une vie «à la française». Je me sentais épiée, regardée, véritablement étrangère dans une cité où je croisais des gens vêtus selon un code religieux.
J’ai cherché à comprendre la position des musulmans «modérés», de celles qui ne se voilent pas, de ceux qui ne portent pas la barbe ou la chemise longue, sur la pratique rigoriste de leurs coreligionnaires. Aucune critique n’est émise à leur égard. Au contraire, ils me font souvent part de leur admiration pour ces «salafis», ces personnes pieuses qui montrent l’exemple, qui ont le courage de vivre selon les principes édictés par le Prophète. À écouter ces modérés, ce sont plutôt le courage et la vertu qui manquent au plus grand nombre pour leur ressembler. Quand je pose la question aux femmes qui ne sont pas voilées, elles sont nombreuses à me répondre qu’elles le seraient si elles le pouvaient mais que la société française les en empêche dans leur travail.
Olivier, médecin généraliste à Saint-Denis:
Voilà un peu plus d’une décennie que j’y suis installé. Les choses ont progressivement changé, mais dans le mauvais sens du terme. Au début, j’avais le discours du nouvel arrivant: «C’est exotique»,«Toute cette dynamique, c’est incroyable», «Les gens ici sont vraiment gentils et accueillants». Peu à peu, j’ai acquis une expérience professionnelle singulière, et j’ai découvert la profondeur du mépris et du désamour de la France chez ceux qu’elle a accueillis et – concernant mon univers professionnel, la médecine de proximité – qu’elle accompagne avec bienveillance et générosité.
[…]
La France est reconnue pour la qualité, et plus encore la gratuité de ses soins médicaux. Étudiant en médecine, je trouvais cela formidable. Pourtant, cette générosité n’est pas vue comme une force de la France généreuse qu’on remercie, mais bien plutôt comme un tribut normal d’un pays colonialiste qui «doit payer pour ce qu’il a fait». Ces gens sont-ils heureux de devenir français? Pas du tout! Mieux encore, ils m’expliquent pour nombre d’entre eux qu’ils ne veulent pas le devenir. Un jour, un patient que je croyais français naturalisé d’origine algérienne m’avouait: «Moi, Français? Ah non, docteur, ah non, ça jamais! Jamais!» En revanche, le droit du sol avait fait de ses enfants des Français. Dans quel contexte de respect pour leur pays de naissance allaient-ils grandir? Je sentais que j’abordais chez lui un sujet sensible et cela m’a mis très mal à l’aise.
[…]
La France est reconnue pour la qualité, et plus encore la gratuité de ses soins médicaux. Étudiant en médecine, je trouvais cela formidable. Pourtant, cette générosité n’est pas vue comme une force de la France généreuse qu’on remercie, mais bien plutôt comme un tribut normal d’un pays colonialiste qui «doit payer pour ce qu’il a fait». Ces gens sont-ils heureux de devenir français? Pas du tout! Mieux encore, ils m’expliquent pour nombre d’entre eux qu’ils ne veulent pas le devenir. Un jour, un patient que je croyais français naturalisé d’origine algérienne m’avouait: «Moi, Français? Ah non, docteur, ah non, ça jamais! Jamais!» En revanche, le droit du sol avait fait de ses enfants des Français. Dans quel contexte de respect pour leur pays de naissance allaient-ils grandir? Je sentais que j’abordais chez lui un sujet sensible et cela m’a mis très mal à l’aise.
J.-P. F., professeur d’histoire-géographie en Île-de-France:
J’enseigne l’histoire-géographie depuis vingt-cinq ans dont dix-huit dans un lycée de Région parisienne, un établissement sans histoire qui jouissait encore il y a peu d’une excellente réputation. […]
Le mardi 2 décembre 2014 a lieu le vote concernant la reconnaissance par l’Assemblée nationale de l’État palestinien. On frise l’hystérie dans les couloirs du lycée, tout particulièrement devant ma porte de classe. J’entends mes propres élèves hurler sous mon nez des «inch Allah», avec une joie démonstrative et quelques youyous.
Au cours de cette journée éprouvante, une de mes élèves de seconde, déjà âgée de 18 ans, m’interpelle vivement pendant le cours (sur l’Antiquité romaine) pour me sommer de me positionner sur le conflit israélo-palestinien. Je lui réponds que ce n’est pas le sujet. Elle insiste et parle d’un peuple «chassé de sa terre», accuse les Israéliens de crimes contre l’humanité et précise qu’«ils se servent de kalachnikov pour tuer les enfants». Pendant de longues minutes, elle garde furieusement la parole, s’agite et se lève, cherche à soulever les autres, ce qu’elle ne parvient pas à faire à l’exception d’un seul, un garçon réputé instable et violent, déjà exclu récemment d’un autre établissement.
Après quelques efforts de discussion, je demande à la jeune fille de sortir, elle s’y refuse et insiste dans des débordements qui me sont directement adressés. Je demande: «Dois-je comprendre que vous me menacez?» Elle répond: «Moi, je vous menace, moi je vous menace? D’accord!» Elle range ses affaires dans son sac, s’avance furieusement vers moi. Une fois arrivée à ma hauteur, elle crache par terre à mes pieds en me fixant et me dit: «Je vais te faire un kick», entendez «je vais te casser la gueule».
Le mardi 2 décembre 2014 a lieu le vote concernant la reconnaissance par l’Assemblée nationale de l’État palestinien. On frise l’hystérie dans les couloirs du lycée, tout particulièrement devant ma porte de classe. J’entends mes propres élèves hurler sous mon nez des «inch Allah», avec une joie démonstrative et quelques youyous.
Au cours de cette journée éprouvante, une de mes élèves de seconde, déjà âgée de 18 ans, m’interpelle vivement pendant le cours (sur l’Antiquité romaine) pour me sommer de me positionner sur le conflit israélo-palestinien. Je lui réponds que ce n’est pas le sujet. Elle insiste et parle d’un peuple «chassé de sa terre», accuse les Israéliens de crimes contre l’humanité et précise qu’«ils se servent de kalachnikov pour tuer les enfants». Pendant de longues minutes, elle garde furieusement la parole, s’agite et se lève, cherche à soulever les autres, ce qu’elle ne parvient pas à faire à l’exception d’un seul, un garçon réputé instable et violent, déjà exclu récemment d’un autre établissement.
Après quelques efforts de discussion, je demande à la jeune fille de sortir, elle s’y refuse et insiste dans des débordements qui me sont directement adressés. Je demande: «Dois-je comprendre que vous me menacez?» Elle répond: «Moi, je vous menace, moi je vous menace? D’accord!» Elle range ses affaires dans son sac, s’avance furieusement vers moi. Une fois arrivée à ma hauteur, elle crache par terre à mes pieds en me fixant et me dit: «Je vais te faire un kick», entendez «je vais te casser la gueule».
Héloïse et Marcel, infirmiers:
Certains patients étrangers de culture musulmane ayant une pratique rigoriste justifient leur refus de quitter l’hôpital par des habitudes culturelles: pour eux, il est impossible de recevoir quotidiennement à domicile un infirmier ou une infirmière pour le suivi de soins car ils considèrent que c’est le rôle de leur épouse (restée au pays). Héloïse: «“Vous êtes payée pour ça” est une phrase que j’entends souvent quand j’essaie d’expliquer à un patient qu’il doit faire seul certains soins pour s’autonomiser, comme mettre ses gouttes ou faire son dextro.
Une France soumise, de Georges Bensoussan. Albin Michel, 544 p., 24,90 €.
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« we shall never surrender! » W.Churchill
cette secte de merde avance insidieusement depuis des décennies avec la bénédiction des vendus du gouvernement… en nous rabaissant et nous traitant de racistes à la moindre occasion. ils sont tous aussi sournois et fourbes, d’un côté comme de l’autre. et il ne nous reste qu’à serrer les coudes pour nous en débarrasser ! nous n’avons plus le droit à l’erreur aux prochaines élections !
Pour les 2 roues, ils ne les ont pas achetés, mais plutôt volés, c’est un de leur congénères qui me l’a dit, en bas du HLM
J’aimerais savoir ce qu’il y a en plus des témoignages, qui ne font que s’ajouter, à ce que nous vivons au quotidien,
Quand les français se sortiront-ils de la tête que le FN n’est pas le nazisme, mais au contraire la seule défense proposée actuellement contre l’islamo-nazisme ?
xtemps
MERCI MAGNIFIQUE
Je constate que la préface est d’Elisabeth Badinter, essaie t elle de se repositionner ? À voir.
Bonjour,
Elle ne dit pas que des bêtises : loin de là :=)
Je n’ai pas encore lu le livre. Pour préciser ma pensée sur Elisabeth Badinter , en effet elle a toujours été un auteur remarquable et attendu. Elle ne dit pas que des bêtises loin de là. Seulement j’ai en mémoire une reculade, un déni, après intimidation sans doute, qui m’avait fait mal au cœur.
C’est d’une monstruosité sans limite(s) !
Dans mon quartier, pourtant sans comparaison avec ce qui se passe dans le 93 il y a des « prises de pouvoir » qui ne sont pas sanctionnées. Par exemple, tous les jours des individus s’installent près d’un immeuble tranquille et « campent », discutent nuit et jour, font griller des merguez. Les discussions et la fumée indisposent le voisinage. L’un des habitants de l’immeuble est allé se plaindre au maire du quartier. Celui-ci lui a répondu « qu’il n’y avait rien à faire car dès que ces individus voient arriver un véhicule de police ils partent en courant dans la nature…. Mais, sitôt que la police est partie, ils reviennent et s’installent en reprenant leurs « activités ». Pour ma part, je dis « trafic » car leurs réunions ne se limitent pas à des échanges verbaux mais bien à ce que nos maudits politiques nomment « des activités parallèles » ; activités dont ils vivent. Sans oublier l’achat des deux roues, de quads, dont les plus jeunes se servent pour pourrir la vie de tout le quartier avec des passages ultra-bruyants sur leurs engins lancés à fond sur routes et boulevards ! L’été, jours et nuits !
Mais, essayez de nommer les coupables, d’y mettre un nom et vous verrez que les regards se détournent, les mines se ferment ainsi que les bouches…
Pourtant, leurs existences de locataires a perdu en paisibilité, en sérénité. Ils souffrent, je souffre, nous souffrons mais il faut continuer à se taire !
C’est vraiment de la persécution contre nous les peuples européens, nos dirigeants doivent avoir une profonde haine contre nous pour imposer cette saloperie en Europe, sans aucune précautions, sans référendum, avec des lois liberticides et des insultes depuis des années, comme le racisme et autres insultes et laisser des violes par ces crasseux, des agressions, des attentats sur notre sole européen.
Nous avons suffisamment été humilié et patient jusqu’à maintenant, nous devons absolument reprendre le pouvoir par tous les moyens amis résistants et notre avenir sans ces arriérés chez nous et dehors!, l’Islam de la haine dehors!, faire payer très chère ces humiliations à ces ordures de merdes qui nous gouvernent depuis trop longtemps et tout leurs saisir, tout! pour réparations, à poile!.
Pour ces ordures c’est terminé, car là, cela représente plusieurs dizaine de millions d’européens qui n’en peuvent plus de ces ordures aux pouvoirs, qui sont encore divisé, pour le moment.
C’est la fin pour eux, ils n’ont plus aucune crédibilité avec les peuples européens.
Nous avons que trop supporté ce pouvoir Fasciste de merde qui nous gouverne, que nous n’avons pas mérité, nous n’avons rien fait pour mérité çà, la plaisanterie a assez durée européens.
je n’accepte plus ces insultes comme être traité de raciste car on pense pas politiquement correct et je deviens agressif avec ceux qui osent encore le faire et je les couvres de honte devant tout le monde.
Et je l’ai déjà fait dans le train et j’ai même été applaudis par tout le monde et le prochain arrêt, la personne descendu du train.
Nous devons plus accepter de se laisser faire par ces ordures qui nous humilient, au contraire soyons tous fière de ce que nous sommes, la France est grande, l’Occident est grand, il y a que les minus aux pouvoirs qui sont trop petits et trop cons.
– je n’accepte plus ces insultes comme être traité de raciste … – ;
Idem, mais lorsque des élus vous dénoncent lors de réunions en disant que vos demandes sont celles d’un parti extrémiste, il est difficile de rester clame !
Des élus qui préfère une religion autre que celle de nos pères devrait être mis dos au mur !
Il y a en France une population de 5, 10, 15 ? – les statistiques ethniques sont interdites – millions d’habitants qui non seulement ne s’intègrent pas, mais refusent de le faire .
Pire, ils nous haïssent.
Par clientélisme, par crainte de nouvelles » émeutes des banlieues « , tout leur est cédé.
Un exemple récent : Compiègne
http://www.francetvinfo.fr/societe/drogue/compiegne-quand-les-dealers-font-leur-loi_2012798.html
On mure les immeubles, on évacue les habitants, on abandonne le territoire . pour ne pas risquer de ….
«Comment peut-on éviter la partition? Car c’est quand même ça qui est en train de se produire: la partition.» ( Hollande dans » un président ne devrait pas dire ça » )
Dans quelques années, une » résolution de l’ ONU » décidera que :
– la basilique de St Denis n’a aucun lien avec l’histoire de France *
– les Français qui s’installent dans tel ou tel quartier sont » des colons « .
* les rois de France sont enterrés dans la basilique de St Denis
Je n’ai malheureusement plus l’âge d’être jeune (quoique j’ai conservé une part de mes neurones révoltées contre l’injustice) mais « si c’était à refaire » j’arrêterais de considérer avec autant de respect les « hauts fonctionnaires » soixante-huitards.
J’instaurerais une fermeté Gaulliste avec un choix « La France ou la valise ».
Un jeune insulte à l’école;1 avertissement avec signalement aux parents qu’il n’y en aura pas trois auquel cas c’est la famille qui déménage « retour au bled ».
Quant au droit du sol…à la poubelle, ne deviendrait Français que celui qui aurait prêté serment d’allégeance et ce après dix ans de vie « tranquille » dans le pays.
Ils nous ont chassé ….Pas de possibilité de devenir français. On trop donné la nationalité française à n’importe qui
on a trop donné (pardon)
Témoignages…témoignages…Bon….et après !????
Est ce que l’un d’entre eux appelle à se regrouper ? …. Non .
Donc qu’ils continuent à se lamenter dans leurs coins….ils n’ont encore rien vu.