Pour le chef d'état-major de Trump, l'islam est problématique…

J’ai traduit ce texte pour informer les lecteurs de RR de la position politique de Donald Trump sur l’islam. Aux États Unis apparemment les musulmans ne seront plus au dessus de toutes critiques (enfin !). 
Et le général Micheal Flynn, ancien directeur de la Defense Intelligence Agency (DIA : service des renseignements américains) désire lever le voile sur la nature réelle de l’idéologie islamique. Robert Spencer a donc, à mon avis, décidé indirectement de faire part de ses connaissances au gouvernement américain, et populariser ainsi son message. 
Espérons qu’en France nous aurons la possibilité de suivre cet exemple, et stopper net cette intox qui nous présente l’islam comme une religion de paix et de tolérance. 
Robert Spencer déclare à PJ Media [NDT : média sur le web lié au parti conservateur] : Priebus qualifie les différents aspects de l’islam de «problématiques». Qu’en est-il vraiment ?
Le 22 novembre 2016 par Robert Spencer
L’administration Trump est sur le point de prendre des décisions majeures. Lire mon dernier article sur PJ Media :
Le nouveau chef d’état-major du président élu Trump, Reince Preibus, a brisé un tabou dimanche dernier, lorsqu’il a énoncé une vérité pratiquement mondialement démentie. Même ceux qui sont au courant de l’exactitude de ces informations, préfèrent généralement les dissimuler au public.
Des aspects de l’islam sont … “problématiques“.
Priebus a prononcé cette phrase forte quand il lui a été demandé sur ABC, de réagir à la nomination par Donald Trump de Michael Flynn au poste de conseiller à la sécurité nationale, pour traiter (entre autre) le dossier islam politique. Priebus a répondu :
De toute évidence, certains aspects de l’islam sont problématiques et nous les avons identifiés, analysés. Sans aucun doute les musulmans ne seront plus au dessus des critiques, mais Mike Flynn est l’un des officiers de renseignement les plus estimé en Amérique. C’est un fait que personne ne peut nier.
Sans aucun doute, car beaucoup de gens nient que certains aspects de l’islam sont “problématiques”. Hillary Clinton a fait en 2015 cette célèbre déclaration :
« Allons droit au but : l’islam n’est pas notre ennemi. Les musulmans sont pacifiques et tolérants et ils n’ont rien à voir avec le terrorisme ».

Hillary Clinton ne se contente pas que de donner son opinion. Elle se fait l’écho de la politique officielle dictée par l’administration Obama – laquelle politique aurait certainement été celle de son administration, si elle était devenue présidente.

Le discours de Priebus quant aux aspects «problématiques» de l’islam, fait suite à une campagne au cours de laquelle Donald Trump a plusieurs fois critiqué Hillary Clinton quant à son refus de désigner “l’islam radical” comme étant un ennemi. L’administration Trump a clairement l’intention de prendre une nouvelle direction quant à la menace que représente le djihad.

Nous pouvons être tout aussi certains que l’establishment politique de gauche et les médias critiqueront Donald Trump pour avoir soi-disant aliéné les musulmans pacifiques et, en qualifiant leur religion de “problématique”, les inciter à faire le djihad Aussi, d’importantes décisions d’ordre politique sont sur le point d’être prises sur cette question : les aspects “problématiques” de l’islam, existent-ils vraiment ?

De toute évidence, les djihadistes évoquent systématiquement, ou en tout premier lieu, le coran et l’exemple de Mahomet pour justifier leurs actions et recruter des musulmans pacifiques [NDT : ou qualifiés de modérés].

Abdullah Azzam – qui, avec Oussama ben Laden, a créé Al-Qaïda – écrivait dans son exhortation au jihad, Join the Caravan que “le Prophète (SAWS) était un maître pour les moudjahidines “, qui “menait des expéditions militaires, ou qui envoyait une armée combattre tous les deux mois au minimum”.

Les «expéditions militaires» de Mahomet se révèlent-elles sur certains points problématiques ? L’érudit égyptien Nasr Hamid Abu Zayd s’exprime sur la question :

Si nous suivons les règles établies à partir de l’étude orthodoxe des textes du Coran, il N’EST pas possible de condamner le terrorisme d’un point de vue religieux. 

Cette affirmation est parfaitement conforme aux règles orthodoxes de l’islam, visant à sanctifier l’essence même du terrorisme. C’est là que réside le secret de la puissance “mystique” du djihad.

Khalid Sheikh Mohammed et ses complices accusés pour l’attaque du 11 septembre 2001, ont procédé à une longue apologie de l’attentat qu’ils décrivent comme étant explicitement une attaque djihadiste :

« Mille mercis à Dieu, pour son geste bienveillant, et de nous avoir choisis pour accomplir sa volonté par le djihad et pour défendre l’islam et les musulmans. Par conséquent, vous tuer et vous combattre, vous détruire et vous terroriser, répondre à vos attaques, tout cela, comme notre religion nous l’ordonne, est éminemment notre devoir légitim»

Dans le même registre, le taliban et terroriste Baitullah Mehsud a déclaré:

« Allah à 480 reprises dans le saint coran exhorte les musulmans au djihad. Nous ne faisons qu’obéir aux ordres de Dieu. Seul le djihad peut apporter la paix au monde ».

Aussi, bien entendu, les chefs terroristes ne voient pas où se trouverait « l’équivoque » en islam. Ces terroristes sont-ils « extrémistes » ?

Eh bien – même s’ils étaient tous des musulmans dévots, déterminés à pratiquer leur religion correctement – nous devrions d’abord, pour répondre à cette question, nous interroger sur les sources de l’islam sunnite : les écoles juridiques (madhab).

École shafi’ite

Le manuel shafi’ite de droit islamique a été validé en 1991 par des religieux de l’université Al-Azhar, certainement l’autorité de référence du monde arabo-musulman. Ce manuel est considéré comme un guide fiable de l’orthodoxie sunnite.

Quand il est question du djihad, ce manuel stipule que “le calife fait la guerre aux juifs, aux chrétiens et aux zoroastriens … jusqu’à ce qu’ils se convertissent ou qu’ils s’acquittent de la taxe spécifique (jizya) imputable aux non-musulmans”.

A été ajouté au manuel un commentaire de Sheikh Nuh Ali Salman expert jordanien sur la jurisprudence islamique : le calife ne fait la guerre aux infidèles que “si il a d’abord invité [les juifs, les chrétiens et les zoroastriens] à se convertir à l’islam comme croyants et pratiquants et, en cas de refus, alors leur proposer d’intégrer la société islamique en payant la jizya, taxe spécifique réservée aux non musulmans … tout en continuant à pratiquer leur religion ancestrale (La dépendance du voyageur, o9.8).

Bien sûr, le califat n’existe plus aujourd’hui, à moins que l’on ne prenne en compte les revendications de l’État islamique et par conséquent la déclaration souvent répétée qu’Ousama, et les autres n’ont en fait aucune légitimité quant à faire le djihad, vu qu’ils ne sont mandatés par aucun état.

En tout état de cause, tous justifient leurs actions par le djihad défensif. Il ne nécessite pas la licence de l’état pour être entrepris et il est «obligatoire pour tout le monde» (Dépendance du voyageur, o9.3) si une terre musulmane est attaquée.

Et les musulmans ne déclarent pas le djihad défensif, quand une coexistence pacifique avec les non-musulmans considérés comme des égaux, est effective. La Dépendance du Voyageur précise que la guerre contre les non-musulmans doit se poursuivre jusqu’au “Retour de Jésus sur Terre”. 

Et après ? “[Seul] l’islam sera agréé par tous, car la capitation ne sera plus légitimement perçue après le retour de Jésus” (o9.8).

Là, nous avons à un problème.
École hanafite : le manuel hanafite de jurisprudence islamique reprend les mêmes injonctions que l’école shafi’ite.

Les auteurs du manuels insistent sur le fait que les infidèles doivent être invités à se convertir à l’islam avant d’être combattus, “parce que c’est ainsi que le prophète a parlé à ses lieutenants en leur recommandant d’encourager les infidèles à embrasser l’islam”. Les auteurs du manuel soulignent que le djihad ne doit pas être entrepris pour le butin, mais uniquement pour des raisons religieuses. Pour l’appel à la conversion,

«… les peuples se rendront compte qu’on leur fait la guerre pour des raisons religieuses bénéfiques [NDT : si on se fie à cette école, les terroristes commettent des attentats pour le bien des populations !] et, non pour prendre leurs biens ou pour asservir  leurs enfants et, sur cette considération il est possible qu’ils puissent être amenés à accepter l’appel à se convertir afin d’éviter les horreurs de la guerre [NDT : après l’attentat à Charlie hebdo, on a observé une recrudescence des conversions à l’islam] ».

En tout état de cause :

« [Si] les infidèles, après avoir été invités à se convertir n’embrassent pas l’islam et, ne consentent pas à payer la [jizya], il incombe alors aux musulmans d’invoquer Dieu pour obtenir de l’aide et de faire la guerre aux incroyants, parce que Dieu aide ceux qui Le servent et, Il est le destructeur de Ses ennemis qui sont les infidèles et, il est nécessaire d’implorer Son secours à chaque occasion; Le Prophète, en outre, nous ordonne d’agir ainsi » (Al-Hidayah, II, 140).

École malikite : Ibn Khaldun (1332-1406), historien et philosophe précurseur, il fut également un théoricien juridique de l’école malikite. Dans son célèbre Muqaddimah premier ouvrage de la philosophie de l’histoire, il note :

« Dans la communauté musulmane, la guerre sainte est un devoir religieux, en raison de l’universalisme de la mission musulmane et (de l’obligation de) convertir tout le monde à l’islam de gré ou de force.

En islam, celui que est en charge de la religion s’intéresse au ‘pouvoir politique’ parce que l’islam doit impérativement régner sur toute la Terre ».

École hanbalite : Le grand théoricien médiéval de ce qui est communément intitulé aujourd’hui islam “radical” ou “fondamentaliste”, Ibn Taymiyya   (Taqi al-Din Ahmad Ibn Taymiyya, 1263-1328), est un juriste hanbalite.
Il a enseigné :

« Puisque la guerre légitime est en premier lieu le djihad, et que son but est que la religion soit entièrement dévolue à Allah et, que Sa parole domine sur tout ce qui existe, il faut donc lutter contre tous ceux qui s’opposent à ce mandat (divin) ».

Cette thèse est également enseignée par les théoriciens islamiques modernes. Majid Khadduri était un érudit irakien en droit islamique de renommée internationale. Dans son livre La Guerre et la Paix selon la loi Islamique qui a été publié en 1955 et, qui demeure l’un des ouvrages les plus perspicaces et les plus révélateurs sur le sujet, Khadduri s’exprime sur le djihad :

« L’état islamique, vecteur de mondialisation d’une religion reconnue, doit toujours obligatoirement être en expansion [NDT : c’est sans doute la raison pour laquelle l’Arabie Saoudite exporte le wahhabisme avant de diversifier son économie] ». L’État islamique, qui a pour principal devoir d’instaurer la loi de Dieu sur Terre, a pour mission d’établir l’islam comme idéologie prépondérante, dominante dans le monde entier

« Le djihad a donc été un moyen pour mondialiser l’islam et pour la création d’un état impérialiste sur toute la Terre (P. 51) ».

Imran Ahsan Khan Nyazee, est professeur adjoint à la faculté de la charia et au droit de l’université islamique internationale à Islamabad. Dans son livre de 1994, The Methodology of Ijtihad, il cite le juriste du 12e siècle, Maliki Ibn Rushd [NDT : Averroes] :

« Les juristes musulmans ont convenu que le but du combat contre le Peuple du Livre (les Juifs) … ne sera atteint que suite : à la conversion à l’islam, ou au paiement de la jizya ».

Nyazee conclut :

« Aucun doute n’est permis quant à l’objectif premier des musulmans, les juristes islamiques demandent aux croyants de répandre la parole d’Allah par le djihad, et l’option de l’impôt spécial [jizya] ne doit être réclamée qu’après assujettissement des non-musulmans ».

Les sources islamiques officielles, se basant sur ces quatre écoles de jurisprudence, affirment non seulement que l’islam a des aspects “prêtant à confusion”, mais ils certifient que les aspects «problématiques» de l’islam, ne sont pas des commandements “radicaux”, alors que ces aspects “équivoques” sont en fait centraux dans la religion musulmane.

Tout cela, en faisant l’impasse sur les nombreux, nombreux passages du coran exhortant les croyants à faire la guerre aux incroyants, passages que nous n’évoquerons pas ici.

Nous serions démythifiés si Hillary Clinton ou John Kerry ou le pape François ou d’autres, qui soutiennent que l’islam est une religion de paix, pouvaient nous produire quelques citations venant des autorités musulmanes et considérées comme « authentiques » par elles.

En outre, ceux qui maintiennent que l’islam est une religion de paix, devront expliquer pourquoi les autorités musulmanes que j’ai citées plus haut et d’autres qui leur ressemblent, sont inauthentiques.

Alors qu’aucune autorité musulmane ne peut définir ce qu’est l’islam “véritable” et, qu’il est prudent de ne pas faire de grandes affirmations sur qu’est véritablement “l’islam authentique”, de toute évidence de nombreux musulmans croient que l’islam authentique sanctionne officiellement la violence contre les non-musulmans — et ils (les musulmans) peuvent nous présenter des siècles de littérature musulmane typique et populaire à l’appui de leurs convictions [NDT : mais oui bien sûr] …

Traduit de l’anglais par Lavéritétriomphera.
Source : https://www.jihadwatch.org/2016/11/robert-spencer-in-pj-media-priebus-calls-aspects-of-islam-problematic-are-they
 

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14 Commentaires

  1. Merci pour le rappel historique de toutes les exactions commises par ces fous de Dieu.partout où ils ont pu s’installer
    Je n’en crois pas mes yeux de lire que les attentats ont provoqué une recrudescence des conversions,
    Qui peut m’expliquer ça ?

  2. L’Islam n’a jamais été une religion mais un dogme,une idéologie créé par un conquérant Mahomet d’ou son nom “soumission”,tu te soumets ou l’on te coupe la tète ,c’est la religion d’amour par excellence!C’est un mélange de toutes les religions plus des sourates adaptés pour conquérir ,raser,tuer !
    Hitler adhérait a cette religion ,c’est in signe!
    Citez moi un seul pays ou sévit ce dogme ou régne la liberté et les droits de l’homme!!!
    Bienvenue chez les fous !

  3. L’islam en lui même est problématique, c’est pour cette raison que leurs conquêtes n’ont jamais dépassées le sud de l’Europe, parce qu’en face ils avaient du répondant, une puissante armée européenne, c’était en 732 avec Charles MARTEL et un autre noble dont je ne me souviens plus du nom qui était là,lui aussi pour faire barrage à cette invasion musulmane, ma mémoire fait défaut dans ce domaine.

  4. Les événements de ces derniers jours nous ont égarés sur des aspects politiques qui risquent de nous diviser. Au moins, cet article va dans le sens de notre combat. Il faut privilégier ce genre d’article et minimiser les autres qui nous dispersent, nous ne pourrons être efficaces qu’en étant concentré sur un seul sujet ultra-prioritaire.

  5. Et l’Inde , 80 millions de morts ? Il me semble ne pas l’avoir vue passer dans votre nomenclature des jeux et des ris de l’islam.

    • Trop souvent passé sous silence, désolé si je ne l’extasie pas devant le Taj Mahal qui n’est en rien représentatif de la civilisation indienne.

  6. Il n’y a pas que pour le chef d’état major de Trump que l’islam est problématique, il l’est pour tout être humain , il n’y a que pour les inconscients et les doux rêveurs comme nos bobos bienpensants que l’islam ne pose pas de problème.

    • Là est le fond du problème. L’islam est problématique, cette réalité ne peut être niée quand on s’informe sur les écrits islamiques. Nous devons cependant encore subir des personnes, qui à l’instar d’Hillary Clinton, nous affirment droit dans les yeux, que l’islam ne pose pas de problèmes réels. La dérive radicale serait seule responsable du terrorisme.
      Robert Spencer a donc expliqué encore une fois en quoi l’islam est problématique. Mais nous savons tous : “qu’il n’y a pas plus sourd que celui que ne veut rien entendre” et l’on peut rajouter de plus aveugle que celui qui ne veut rien voir.

  7. Que des actions du vivre ensemble , avec grandes quantitées d’exemples a nouveau, nous ne sommes plus dupent. Merci a vous

  8. Péronne : « Ultra-droite » contre « anti-fa » sur le marché
    PUBLIÉ LE 28/11/2016
    Par L’Aisne Nouvelle
    Une cinquantaine de personnes anti-migrants a manifesté à Péronne. La contre-manifestation de l’extrême gauche fait le même score.
    Habituellement, le marché qui se tient chaque samedi à Péronne est plutôt tranquille. Samedi, ce ne fut pas le cas. Les commerçants se sont retrouvés au milieu d’une centaine de manifestants d’extrême droite et d’extrême gauche. Les leaders du Parti de la France, Thomas Joly et David Martin, rejoints par Xavier Jesu, de « Souveraineté, identité et libertés », ont orchestré cette manifestation anti-migrants. De son côté, la contre-manifestation, organisée par Emmanuelle Laurent de Solidaires 80, a regroupé des sympathisants d’extrême gauche, des anarchistes et des syndicalistes. Dans chaque camp, il y avait une cinquantaine de manifestants.
    L’avenue Charles-Boulanger est alors rebaptisée « La rue de la honte » par un de ses habitants. Pour Michel Devrelle, « c’est scandaleux que cette manifestation anti-migrants ait été autorisée », explique le riverain. De l’autre côté de la rue, une Péronnaise qui souhaite rester anonyme est venue « écouter ce qui se dit par l’extrême droite ». Pour elle : « Les migrants, je ne sais pas d’où ils viennent, je n’écoute pas les informations mais ce que je sais c’est qu’ils nous piquent nos logements, nos boulots et que nous, on n’a plus rien. On ne peut pas continuer comme cela. »
    L’avenue Charles-Boulanger est fermée à la circulation. Impossible d’y pénétrer sans passer par un barrage où chaque identité est relevée. À l’autre bout de la rue, les militants d’extrême gauche arrivent. Ils sont bloqués par un cordon de gendarmes mobiles. Les manifestants d’extrême droite lisent leurs discours. Au bout de la rue, les contre manifestants crient leur slogan : « Pour ne pas laisser la rue aux fascistes à Péronne ». Le ton est donné.
    Panique et petite bagarre
    Au bout d’une demi-heure, les trois leaders d’extrême droite invitent leurs sympathisants à se « disperser dans le calme ». Ils rejoignent leurs véhicules garés près de l’hôpital. Mais une vingtaine d’entre eux décide de descendre vers le centre-ville. De l’autre côté, les contre-manifestants choisissent de passer devant la place Daudré où est installé le marché. Les deux groupes sont face à face. Les provocations fusent… Et une bagarre éclate. Elle est rapide : à peine une quinzaine de secondes. Un militant d’extrême gauche est attrapé et jeté au sol, il prend quelques coups au visage.
    Pris de panique, les commerçants remballent leurs étalages. « On a vu que les manifestants arrivaient et on a décidé de tout remballer. On ne sait jamais ce qui peu se passer ! », explique un commerçant.
    A.K, V.F et N.T (Courrier picard)
    http://www.aisnenouvelle.fr/region/peronne-ultra-droite-contre-anti-fa-sur-le-marche-ia14b0n432043

  9. Les américains et les russes ont compris et leurs écoles de guerre ne doivent rien omettre dans leurs enseignements des méthodes de guerre psychologique et réelles de l’islam, les nôtres aussi mais elles l’énoncent bien moins ouvertement en raison des contingents d’élèves officiers formés dans nos écoles de guerre comme St-Cyr originaires du Dar Al Islam.
    Il est urgent de hâter un changement politique radical et conforme aux souhaits de la très grande majorité de nos peuples.
    Trump semble annoncer qu’il tiendra ses promesses.

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