Selon Jean-Paul Gourevitch, consultant international des migrations de l’islamisme radical et de l’Afrique, où il travaille depuis 30 ans dans le cadre du développement solidaire. Il est l’auteur de plus de 70 ouvrages et â publié 5 études sur les coûts de l’émigration entre-autres, « il a rédigé le rapport sur les migrations subsahariennes » adopté par le Conseil de l’Europe.
(Voir site Nordactu du 30.04.2016 copié sur Breizh-info.com.2016, dépêches libres de copie de diffusion, sous réserve de mention de la source d’origine)
Le coût de l’immigration irrégulière en France représenterait 1,38 milliards d’euros en 2015.
Ce montant est supérieur au budget alloué en 2016 par l’Etat au ministère de la santé (1,251 milliards)
C’est le double du budget consacré aux sports et à la vie associative qui est de 617 millions.
Ce rapport cinglant, épingle la gestion de l’immigration par la France et, c’est la 34ème étude demandée par l’Association contribuables associés : une étude qui dresse un panorama complet de l’évolution des flux migratoires en 2015 en Europe.
Dans cette étude rigoureuse et précise, l’auteur donne des chiffres précis sur l’immigration 2015 = 1,8 millions d’entrées en Europe (Frontex) – 1,256 millions de demandes d’asile (Eurostat) ainsi que leurs coûts pour la France et les autres pays d’accueil.
Jamais, depuis la seconde guerre mondiale, l’Europe n’avait compté autant d’entrées irrégulières sur le territoire.
J,P. Gourevitch analyse les défis auxquels la France et l’Europe sont confrontés alors que la désinformation gouvernementale et médiatique cherchent à les masquer, laissant prospérer les amalgames de toute nature. (Voir de plus amples détails dans l’article « Nordactu »
En septembre 2015 le ministre des finances M. Sapin, avait annoncé un coût de « quelques millions »… :
Le coût des migrations irrègulières en 2015, pour la France, est de 1,38 milliards, avec une gestion plus rigoureuse et une simple application de la loi, la France aurait pu économiser 764 millions.
La demande du droit d’asile est en augmentation depuis 2008 en France
et 96 % des déboutés du droit d’asile restent en France.
50 millions d’économies auraient pu être réalisées, en réduisant les subventions aux associations d’aides aux migrants irréguliers.
73,3 millions en faisant contribués les migrants aux frais de santé et justice,
542 millions en appliquant réellement des décisions concernant les déboutés.
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oui, une lettre très claire, faite par qqun qui a vécu au cœur des problèmes et qui les connait bien, pas comme ce connard de B Le Maire avec ses gros yeux d’ahuri qui pige que dal, et veut se dorer du lustre du grand défenseur de la Syrie.
Pour se planquer en province , ça va devenir difficile, vu que 280 centres ont ouvert, justement dans les villages et petites villes, nul ne va y échapper !
Ils s’attachent à islamiser tout le territoire, en les envoyant où ils n’auraient eu aucune idée d’aller.
Bonjour Templier,
Merci de nous avoir communiqué cette sublime lettre.
Je salue avec respect et admiration le Général J.P salini
Une seule solution : » la finale » .
« il faudrait pour avoir raison de ces hordes pratiquer le massacre de masse » »évidemment nous ne le pouvons pas » -votre citation implique que nous devions nous soumettre et ne pas répliquer. Si ,ce que nous voyons en UE se confirme,devons-nous abdiquer comme semble l’ indiquer les positions de nos politiques de TOUS bords, sauf le FN qui est pour le retour des frontières et sortie de l’UE .En clair ,ou nous nous laissons coloniser ,ou nous n’acceptons pas . Ce qui veut dire: étant donné le nombre sans cesse croissant de « migrants »(nous sommes au tout début d’un processus), il faudra tarir les sources si nous voulons continuer à exister. Donc il faudra pratiquer le massacre de masse ! ce sera nous ou eux , choix difficile mais VITAL
En Belgique c’est 8.600 milliards d’euro pour les frais d’immigration par an, et nous n’avons parlé que de nos deux pays, la France et de la Belgique.
Vous ne trouvez pas que la facture n’est pas un peu grosse là, ce serait pas plutôt qu’ils se sucre aux passages là, et qu’ils s’en mettent plein poches les escrocs aux pouvoirs et l’immigration n’est qu’un prétexte de plus pour s’enrichir sur le dos des peuples européens.
Et le racisme est bien pratique comme excuse pour ces voleurs aux pouvoirs ingénus, ces messieurs dames je suis droit dans mes bottes, avec leurs lauriers là, qui sont plus honnêtes même que Jésus, je vous dis des anges nos élus.
Tous les pays européens sont ruinés et surendettés, devinez par qui, c’est sûrement le saint esprit.
Je voudrait connaître l’emploi qu’occupent les femmes voilées et les hommes barbus en afghans parce qu’avec ces accoutrements c’est impossible d’occuper un emploi et donc de contribuer à remplir les caisses sociales.
Avec ces gens la société se trouve dans un dilemme soit elle les maintient dans une situation d’assistanat mais cela a un coût pour nos caisses sociales qui n’ont pas besoin de cela et la France n’a pas vocation à entretenir des religieux radicaux prosélytes qui prônent le refus de notre société laïque.
Avec quels résultats pour le futur? Ces allocs qui sont versées généreusement ne le sont pas que pour faire plaisir aux parents c’est aussi une façon de dire aux futures générations, la société t’a donné par ses cotisation maintenant à toi de lui rendre la même chose en t’inscrivant dans le système dont tu as pu bénéficier et donc de t’intégrer dans cette logique.
Hors ces parents radicaux musulmans élèvent leurs progénitures dans la haine de la France et de ses traditions de mécréants, depuis le plus jeune âge, donc, est-ce que la société n’aura pas contribué à aider ses futurs bourreaux!
L’autre choix serait de laisser le ver pourrir toute la société en utilisant la stratégie des frères musulmans qui est de s’insérer dans toutes les parties de la société y compris dans les entreprises publiques avec les revendications religieuses sur le lieu de travail et le prosélytisme qui va avec.
Rappelons nous aussi que les terroristes du 11 septembre aux EU travaillaient à des postes à responsabilité
Mais vu l’agressivité de leur revendications la société serait soit dans l’obligation de réagir soit de se plier dans les deux cas ce serait dramatique pour la France et se serait la fin de notre pays même si certaines personnes pensent qu’en se planquant en province elles échapperaient à tout ces problèmes en continuant à prôner le vivre ensemble pour les autres.
Il faut bien voir que la population religieuse radicalisée qui veut plier la société à ses exigence se trouve près des lieux stratégiques, c’est à dire les grande métropoles là ou les décisions sont prises et non pas dans les villages.
Parmi les candidats à la présidence une seule personne me parait assez responsable pour prendre les bonnes décisions par rapport à ces problématiques et en tout cas elle n’ ignore pas la difficulté de la tâche.
Marine.
PROGRAMME DE FILLON OU FILON POur le gouvernemenT augmenter la tva et age depart a la retraite plutôt que la resolution de problèmes dispendieux comme sous louis 14 LE MALADE EST AFFAIBLI ET MOURANT REMEDE DES SAIGNEES urgence de trouver un praticien non charlatan
« PROGRAMME DE FILLON OU FILON »..ou FILOU ???
Pour faire des économie une seule solution, tous les virer.
Les ennemis de la France sont en France.
.Jean Paul Salini Général de l’Armée de l’air (2°s) Commandeur de la légion d’honneur
à Monsieur Bruno Le Maire
Monsieur le Député,
Dernièrement vous avez dit en parlant de la Syrie: » Il faut une coalition internationale à laquelle, à mon sens, la France devrait participer en mettant, elle aussi, un nombre limité de troupes au sol. » Et vous avez ajouté qu’elle (la France) doit prendre « l’initiative d’une coalition internationale qui devrait évidemment associer en premier lieu les États de la région. »
> Je suis un général d’aviation et j’ai quitté le service depuis bien longtemps. Il n’est guère dans les habitudes des généraux de rompre le silence auquel ils ont été habitués. Mais je crois que je dois faire valoir ici quelques-unes de mes idées.
> Lorsqu’on commence une guerre la seule certitude que l’on peut avoir est qu’on ignore trois choses. Comment elle finira! Et quand elle finira. Et même si elle finira. Car il est des guerres éternelles comme celle qui oppose Israël aux Palestiniens.
> Les choses au Moyen Orient sont tellement embrouillées que nul ne peut dire qu’il connait le problème et qu’il en a la solution. En fait il n’y a pas de solution. On ne connait même pas les énoncés des problèmes. Cela choque nos esprits occidentaux mais c’est comme ça. Ces populations aux origines et aux religions diverses ne vivaient en paix autrefois que parce qu’elles étaient soumises à l’Empire turc. Personne ne veut, ni ne peut, prendre la succession de l’Empire turc. Nul ne peut être arbitre sous peine de se voir reprocher par toutes les parties en présence de les avoir injustement brimées et d’avoir favorisé les autres. Et je vous rappelle, à tout hasard, que le siège de Rabbath par Joad, général de David a dû avoir lieu vers l’année 980 avant notre ère. À l’époque c’était les Juifs contre les Philistins. Je me suis laissé dire qu’il n’y a pas de voyelles dans les langues sémitiques. Philistin ça s’écrit P.L.S.T.N. Et Palestinien ça s’écrit comment ? P.L.S.T.N. aussi! Vous voyez ? Alors ce n’est pas pour faire plaisir à un président américain que ça va cesser.
> Les pays du monde entier n’aiment pas que les occidentaux s’ingèrent dans leurs affaires. Les occidentaux, quoi qu’il arrive sont responsables de tout. Qu’ils se taisent ou qu’ils parlent, qu’ils agissent ou qu’ils se tiennent cois, tout leur est imputé!
> Les guerres et les révolutions sont menées par des individus divers : doctrinaires, théoriciens, politiques, profiteurs et hommes d’affaires Mais ils ont tous une caractéristique en commun : la détermination. Cette détermination imprime aux évènements un dynamisme effrayant. Toute révolution, toute guerre est une explosion d’énergie. Et cette explosion, comme une explosion nucléaire, ne se maîtrise pas. Tous les anciens tabous sont supprimés. Y compris, et c’est essentiel, celui du respect de la vie humaine. Tout devient possible. Il n’est pas conseillé de heurter de face une révolution. La seule solution est de lui susciter des adversaires, le plus d’adversaires qu’il se peut et d’attendre. D’attendre quoi? Tout simplement que l’énergie se disperse et qu’elle se fatigue! Dans le cas qui nous occupe, ça risque de durer et Daesh et Al Qaïda ne sont peut-être que les premiers d’une longue série.
> Nous autres, occidentaux avons le respect de la vie humaine. Ce sentiment nous est venu après plusieurs hécatombes sanglantes et a été favorisé sans doute par le fait que notre natalité est faible. Du coup toute perte est significative et nos soldats sont comptés. On a vu, chose inconcevable pour un général de 14-18 ou de 39-45, le chef de l’Etat se déplacer aux Invalides pour enterrer de simples soldats. On ne peut pas opposer, quelle que soit leur valeur militaire, ces soldats « comptés » aux hordes inépuisables qui nous font face et pour qui la mort est un aboutissement. Il faudrait pour avoir raison de ces hordes pratiquer le massacre de masse. Bien évidemment nous ne le pouvons pas.
> L’une des armes les plus efficaces de notre adversaire c’est la terreur. Croyez-vous que nous puissions utiliser nous-mêmes la terreur?
> Intervenir en Syrie avec des troupes au sol ! Mais quelles troupes? Nos soldats sont occupés aux quatre coins du monde et le reste, dans le cadre de Vigipirate, marche inlassablement à travers les rues de nos villes. Des soldats, il n’y en a plus. L’Armée de terre tout entière tiendrait dans le stade de France. Et vous ne croyez pas que nous avons assez à faire en Afrique?
> Je suis effrayé de constater avec quelle facilité la France s’engage dans des opérations extérieures. Si on s’en tient à la seule Afrique la liste est de 40 interventions en cinquante ans. Quelques-unes sont mineures mais voici les principales:
> 1969 Tchad contre la rébellion du Tibesti et du Frolinat (M. Pompidou)
> 1977 Mauritanie : contre le Front Polisario (M. Giscard d’Estaing)
> 1978 Zaïre : opération à Kolwezi (M. Giscard d’Estaing)
> 1979-1981 Centrafrique : destitution de Bokassa (M. Giscard d’Estaing)
> 1983-1984 Tchad : opération Manta contre la Libye (M. Mitterrand)
> 1985 Tchad : bombardement des soldats Libyens (M. Mitterrand)
> 1990-1995 Rwanda : opération Turquoise (M. Mitterrand et gouvernements Bérégovoy puis Balladur)
> 1997 Congo-Brazzaville : contre le Nigeria (M. Chirac-Jospin)
> 2002- 2011 Côte d’Ivoire : Opération Licorne, Chute de Laurent Gbagbo (M. Chirac puis M. Sarkozy)
> 2011 Libye : Chute de Kadhafi (M. Sarkozy)
> 2013 Mali : opération Serval (M. Hollande)
> 2013 Centrafrique : opération Sangaris (M. Hollande)
> 2014 Opération Barkhane (contre des groupes Djihadistes au SAHEL à partir du 1er août 2014. (M. Hollande). Elle remplace Epervier, déclenché en 1986 (M. Mitterrand).
> Il faut bien évidemment ajouter à cela les opérations faites ailleurs qu’en Afrique. Toutes celles du Liban, par exemple ou la participation à la première guerre d’Irak contre Saddam ou notre action en Afghanistan ou en Syrie. Et j’allais oublier notre action en Yougoslavie. Il est difficile de nier l’intérêt de quelques-unes de ces interventions et on peut leur trouver des justifications mais au bout du compte, ça fait beaucoup.
>
> Je me demande encore ce que nous sommes allés faire en Afghanistan, sinon complaire au gouvernement des Etats Unis.
> En tant qu’aviateur, si je considère le petit nombre d’avions que nous avons engagés et les distances considérables que certains doivent parcourir pour atteindre leurs objectifs, j’ai quelques doutes sur l’efficacité de notre action en Syrie. Je manque de renseignements sur les résultats obtenus mais je crains qu’ils ne soient pas à la hauteur des inconvénients liés à notre implication dans ce conflit.
> La guerre, c’est le mal absolu. Contrairement à ce que prétendait le docte général Clausewitz, la guerre n’est pas « la politique continuée par d’autres moyens ». La guerre c’est le constat de faillite des diplomates et des politiques. La guerre, c’est lorsque les pauvres troupiers et les malheureux civils doivent payer l’ardoise des erreurs commises par leurs dirigeants. Je le sais. J’ai été promené, pendant toute ma carrière, dans des guerres diverses, ordonnées par des gouvernements inconsistants et à court d’idées. Et lorsqu’elles ont été finies (et perdues) on m’a expliqué que c’était ma faute et que j’avais eu tort de les faire. Clémenceau disait (et il avait raison) que la guerre est une chose trop sérieuse pour être confiée aux seuls militaires. Mais à qui, Bon Dieu! confiera-t-on la paix?
> On ne me persuadera jamais que les ennemis de la France sont à Damas ou à Bagdad. Les ennemis de la France sont en France. Nous marchons à grand pas vers la guerre civile. Il y a les Corses, les Bretons, les Basques les Catalans. Et surtout il y a d’immenses collectivités récemment venues en France qui ne savent pas, qui ne peuvent pas, qui ne veulent pas respecter la culture et la civilisation de la France. L’immigration? Une chance pour la France? Oui! car celui-là qui appartient à une double culture m’enrichit. Mais dans notre cas il ne s’agit plus d’une immigration mais d’une invasion. De l’occupation de la France par des blocs étanches, insolubles, et qui trainent derrière eux des idées du moyen -âge et des querelles d’autres pays et d’autres temps.
> Assez de croisades, Monsieur le Député! Elles n’ont jamais porté bonheur à la France. Tout récemment, monsieur Bernard Henry Lévy, philosophe de son état, ce qui devrait l’inciter à une certaine modération, a sorti sa plume et a prêché l’intervention en Libye contre l’abominable Kadhafi. « La Guerre! Vive la guerre! » Mais monsieur Lévy s’est montré convainquant. Il avait la vérité! Alors on est allé faire un petit tour en Libye et on s’est aperçu avec étonnement que notre intervention n’avait pas changé de façon sensible la mentalité des Libyens ni leur façon de régler (ou de ne pas régler) les problèmes.
> Et ne me parlez plus du leadership de la France, de l’exemple français. « Gesta Dei per Francos! ». On n’entend plus que ça. Cela nous rend odieux à nos partenaires. Mais la France n’est plus une grande puissance. Et cela depuis un instant bien précis. Depuis le 10 mai 1940, à 3h 30 du matin.
> Cela ne veut pas dire que l’influence de la France est réduite à néant. Mais elle doit chercher l’efficacité plus que le geste. Elle doit œuvrer avec discrétion. Elle doit susciter des ennemis à ses adversaires. Elle doit profiter des querelles des autres sans jamais s’y impliquer. Elle doit tracer autour d’elle un cordon sanitaire qui la mette à l’abri des aventures risquées. Nous ne devons pas être les pompiers ni les gardiens de but. Parce que les pompiers finissent toujours par se brûler et que les gardiens de but finissent toujours par encaisser des buts.
> Et s’ « Ils » veulent se battre, eh bien! qu’ils se battent! Ce sont leurs affaires. Si elles font les nôtres tant mieux! Et il faut se débrouiller pour qu’elles nous soient favorables. En attendant rien ne nous empêche de « clamer le droit ». C’est ce que font les bons apôtres depuis soixante ans. Ça ne mange pas de pain et ça n’engage à rien.
> Car leurs affaires sont embrouillées. Celui qui pense connaître les tenants et les aboutissants du Moyen Orient est ou un présomptueux, ou un imbécile, ou un ignorant. Tout est infiniment complexe. Celui qui pense avoir une solution est un fou. Et quelle que soit la solution proposée ce ne sera pas la bonne. Alors évitons d’en proposer une.
> Ah! Un dernier point pour finir. Ne pensez pas, monsieur le Député, qu’on va pouvoir s’en tirer en enseignant aux autres les vertus démocratiques. La démocratie est une conquête qui exige du temps. Nous avons mis deux cents ans pour l’apprendre. Et il n’est pas bien évident que nous ayons tout compris.
> Quant aux malheureuses populations, je les plains autant que quiconque. Mais il apparait que, sauf dans quelques pays privilégiés, elles n’aient d’autre avenir que les barbus, la dictature ou l’exil en Europe. L’Europe où elles apporteront leurs problèmes et leurs drames!
> Alors un peu de méfiance, Monsieur le Député. Vous ne savez pas dans quoi vous vous engagez. La guerre est une chose trop sérieuse pour être déclarée comme ça, pour satisfaire à des impulsions généreuses.
> Et il nous reste tant de choses à faire chez nous. Nous, qui marchons allègrement vers une guerre civile et religieuse. Il nous faut restaurer l’idée nationale. Faire respecter l’Etat. Assimiler les corps étrangers. Fermer les frontières à des populations moyenâgeuses. Abattre les bastilles. Réformer la Justice, les Finances, l’Enseignement, le droit du travail. Donner un bras armé à la Cour des Comptes. Restaurer le sens des responsabilités. Alléger le poids de l’Administration sur la vie quotidienne. Diminuer les dépenses de l’Etat et des collectivités locales. Rétablir la sécurité. Nettoyer notre pays des éléments inassimilables en restaurant la peine du bannissement. Et par-dessus-tout, cette mission suprême qui est d’éviter la guerre et d’assurer la survie de notre peuple, de notre culture et de notre civilisation. Ça ne vous suffit pas?
> Je vous assure, Monsieur le Député, de ma très haute considération.
>
>
J.P.Salini
> Le Vila 66400 Reynes
> P.S. J’ai l’intention de communiquer cette lettre à mes correspondants habituels. Non pas pour vous mettre en cause mais pour faire valoir mes idées.
>
J’avais reçu par un contact cette lettre…mais quand l’analyse me paraît être excellente ( c’est-à-dire pas à la sauce bien-pensante… ), je pense aussitôt HOAX mais j’avoue ne pas avoir vérifié… Le principal est la véracité des faits énoncés…