A Prague, le 13 mai, des représentants de 14 pays européens ont lancé la Forteresse Europe

Article écrit pour Présent 

Au Parlement tchèque, nous étions une centaine de militants politiques ou associatifs anti-UE, anti-immigration, anti-islam et attachés à la civilisation occidentale,  à notre identité et à la souveraineté populaire.

Réunis par Pegida Allemagne et le parti tchèque USVIT, il y avait là des représentants de la France, bien sûr ( Pierre Cassen et Christine Tasin pour Résistance républicaine-Riposte laïque, Karim Ouchikh pour le Siel),  de l’Italie du Nord, de l’Espagne, de la Grande Bretagne, des Pays-Bas, de l’Irlande, de la Bulgarie, de la Pologne, de la Lituanie, de l’Estonie, de l’Autriche, de la Slovaquie …

Nous étions là pour poursuivre le travail entrepris lors des journées européennes des 6 et 7 février 2016 contre l’islamisation de nos pays et l’immigration. Il s’agit de créer un réseau de partis et mouvements travaillant à une Europe des nations qui laisse toute souveraineté au peuple. Nous avons donné à ce réseau un nom « Forteresse Europe » afin de résister ensemble.

Il y avait là des représentants de nombreux pays d’Europe centrale et d’Europe de l’est qui, voyant avec horreur l’état de l’Allemagne et, pire encore, de la  France, ne veulent à aucun prix que leurs pays connaissent de telles évolutions. Ils étaient avides de comprendre comment et pourquoi une telle islamisation était possible. La France n’est plus la France. Nos amis d’Europe centrale et d’Europe de l’Est, plutôt enclins à penser que pour nous c’est fichu ont repris espoir devant notre détermination à ne pas baisser les bras, les informations que nous leur avons apportées sur les différents mouvements et réseaux qui se développent et qui ont pu, par exemple, faire annuler le concert de Black M.

Nous avons donc décidé de construire une « Forteresse Europe », en organisant, ensemble ou séparément, par tous les moyens possibles, la Résistance dans nos pays.

Dans un premier temps, une pétition au Parlement européen va être lancée dans tous les pays signataires de l’accord, avec l’objectif d’atteindre un million  de signatures pour dire non au système des quotas que Bruxelles veut nous imposer.  Nous ne nous faisons pas d’illusions, quant à nous, qui a jamais vu une dictature renoncer à quoi que ce soit avec une pétition ? Sans parler de la difficulté de collecter des signatures pour les militants. Nous donnerons néanmoins dans quelques jours sur Résistance républicaine et Riposte laïque le mode d’emploi afin que chacun imprime, signe, fasse signer et envoie au Parlement européen sa demande. Il est vrai que si nous avions un million de signatures, il faudrait bien que le Parlement  les examine et en fasse quelque chose ! Et si, pour faire signer cette pétition, les nôtres touchaient des gens qui ne se rendent pas encore compte de ce qui se passe ou croient que tout est perdu, ce ne serait pas inutile !

Rien, dans la lutte à mort qui a commencé, n’est inutile, les gouttes d’eau font les grands rivières, c’est, aussi, le message que nous avons ramené de Prague et qu’il faut transmettre à un maximum de gens. Il s’agit d’une course de vitesse, toute information, toute contestation, toute défense de nos pays européens compte.

Patriotes de tous les pays, unis, nous vaincrons, soyez-en sûrs.

Christine Tasin   

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3 Commentaires

  1. Bonsoir Christine.
    Forteresse Europe, c’est très bien. Mais il faudrait agir avant qu’il ne soit trop tard. Plus on attend, plus il sera difficile de sortir de cette situation. Sans compter que le parlement peut se torcher le c… avec un million de signatures, il faut s’attendre a tout.

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