A Victor Schoelcher, la race noire reconnaissante…

Merci à Jean Lafitte qui nous a fait suivre ce courriel…

Bizarre , tiens comme c’est bizarre, Nadine Morano vient de se faire “massacrer” par la gauche, et par tous les médias de gauche, ( oui, je sais, c’est un pléonasme ), parce qu’elle avait employé le mot race blanche, dans l’émission de Laurent Ruquier.

Cocasserie historique, sur le monument érigé à Sainte-Anne, en Guadeloupe, à la gloire de Victor Schoelcher qui a fait abolir l’esclavage, le mot race (et même race noire) est bien en évidence ????
Carte de la GuadeloupePlace Schoelcher

Je vous laisse réfléchir sur l’absurdité de la situation !

Et si possible en tirer les conclusions nécessaires.
(Le bas de l’image a été complété à partir d’une autre photo)

Monument Schoelcher

 428 total views,  2 views today

image_pdf

8 Commentaires

  1. Oui, oui, tapez sur la gauche tant que vous voulez, mais n’oubliez pas que la droite est à mettre dans le même sac. Morano, ça vous rappelle quelque chose du côté des Ripoublicains ?

  2. Il y a plusieurs races humaines, mais il n’y a qu’un genre humain. C’est évident, et donc par définition inaccessible aux “cerveaux” des gauchiasses, chez qui la bêtise la plus définitive le dispute à une malhônneteté intellectuelle sans remède.

  3. Tien c’est étonnant ça !. C’est bien ce qui prouve l’absurdité et la bêtise de cette gauche moralisatrice et islamobobo qui ne sait plus quoi inventer.

  4. “Race noire”, “négritude”, rien là qui défrise personne, bien sûr.
    J’ajoute, sur un autre plan, que, depuis l’édification de ce monument, qui proclamait la “reconnaissance de la race noire envers Schoelcher, un changement s’est produit : aucune reconnaissance désormais envers celui qui obtint en 1848 l’abolition définitive de l’esclavage, ni envers aucun Métropolitain pour aucun bien dont les Antillais ont pu bénéficier.
    Tout l’effort des “zélites” intellectuelles et politiques issues de ces territoires s’est , en effet, porté sur le rappel inlassable des crimes de l’esclavage et de la colonisation. Césaire avait ouvert le ban, les générations suivantes ont usé et abusé de ces thématiques, attisant la rancune contre les “Français” d’un côté et faisant pression , de l’autre, pour toujours plus de repentance et de largesses de la France à leur égard.
    Concernant l’abolition de l’esclavage, le mythe d’une libération par les esclaves eux-mêmes s’est ainsi substitué à l’approche objective de l’Histoire. J’en ai été témoin, notamment en 1998, lors des interminables célébrations martiniquaises de l’abolition : un matraquage quotidien, notamment sur les télévisions locales achevait de confiner les Antillais dans une postures d’assistés éternellement revanchards… et volontiers racistes. Les Métropolitains naïfs, dont je fus, le découvrait avec stupeur.

    • Bonjour,

      Oui, en plus l’inculture de ces néo-militants sur le sujet de l’esclavage est abyssale.

      Je me souviens, à la télévision, d’un quizz de cinq questions, fort simples, sur l’Histoire de l’esclavage, posé à la grande papesse de la repentance esclavagiste, Françoise Vergès: elle n’a su répondre à AUCUNE !

      Ces prétendus historiens sont en fait des militants dont la seule obsession est de mettre la France en accusation.

      https://fr.wikipedia.org/wiki/Françoise_Vergès

      • En effet, Antiislam, ce ne sont pas des historiens même si la discrimination positive leur permet d’être adoubés par l’Université, devenue une vieille maquerelle gâteuse.Pour la “papesse de la repentance” que vous citez, comme pour bien d’autres, le discours anti-esclavagiste et anti-colonialiste n’est qu’un moyen facile de faire carrière.
        Sans travailler sérieusement, en enfonçant des portes ouvertes, en tenant des postulats pour des faits, paresse et malhonnêteté couvertes par la complaisance des jurys, trop heureux de se faire payer le voyage aux Iles.

  5. Cher Chatelain, je crois que nous sommes dans l’impasse:

    A) modifier le mot “race” :

    Je propose de le remplacer par …un Blanc ! L’effacement donnerait :

    “La —————– noire reconnaissante”

    B) déboulonner,

    Impossible cela priverait la “———” en question d’un symbole de victimisation.

    Insoutenable ! Mais que fait le CRAN ?

Les commentaires sont fermés.