Brest, mon Brest, est devenu un tas de merde…

Ce qui me met en rogne, dans l’histoire de l’imam de Brest, c’est que le nom de la ville de Brest soit accolée à celui de ce pauvre débile, un peu comme un sparadrap sur une plaie qui suinte.

Je ne parlerai pas du quartier de Bellevue réquisitionné pour accueillir des réfugiés, de l’ancienne gendarmerie de l’Arteloire ré-ouverte pour les mêmes raisons, des bateaux venant régulièrement des Comores pour débarquer familles et islam, du quartier de Pontanézen, zone de non-droit total entièrement islamisée et administrée par un élu d’origine maghrébine – apparemment, il est de bon ton d’avoir dans sa ville un coin où on ne ramasse pas les poubelles.

Place de la Liberté, ça deale au vu et su de chacun, sans aucun complexe. Des petites frappes, toutes d’origine afro-maghrébine, revendent, sac en bandoulière, le fruit de leurs efforts au travail ( comprenez : investissent les alloc.). Je ne parlerai pas non plus de Recouvrance qui est devenu en quelques années le squat de tous les parias, camés, dealers et autres asociaux de tout poil. C’est chouette de plastronner en vantant la nouveauté du tram – il existait déjà avant la 2eme guerre mondiale -, la rue de Siam entièrement réorganisée en axe piétonnier, la révolution du transport vers le plateau des Jacobins grâce au prochain téléphérique (!) – dont on dit que ce n’est qu’un lamentable et stupide caprice d’élu qui va coûter très cher à la communauté -, mais on ne parle pas pendant ce temps de ce qui pourrait fâcher…

Dans la Marine, on avait l’habitude de dire que peinture sur merde égale propreté…Brest, mon Brest d’aujourd’hui, est devenu l’équivalent d’un véritable tas de merde dissimulé sous la dorure trompeuse de la bien-pensance et de la complaisante collaboration des politiques carriéristes.

De toute façon, depuis que la Marine a déserté la rade et les rues de la ville pour aller faire tourner le commerce toulonnais, Brest est en chute libre. Cité à vocation militaire, surtout depuis Vauban, naturellement tournée vers la mer, Brest est devenue ville universitaire par défaut.

Le jean’s troué taille basse a supplanté le pantalon à pont et les dreadlocks sous bonnet douteux ont remplacé la coupe réglementaire et le bachi en « porte-avions ». Mais les étudiants sont comme les maghrébins : à cinq autour d’un café ou d’un coca. Le tenancier jubile, tu m’étonnes… De surcroît, contrairement aux mac do qui ne s’installent qu’après une solide étude de marché – enseigne oblige -, les kebabs, eux, seul système de restauration rapide financièrement accessible aux plus modestes, fleurissent aussi vite que disparaissent les petits restaurants classiques et les boutiques de fringues. Si ce n’est pas déjà fait, les blocs de viande seront plus nombreux à griller sur les trottoirs brestois que les nems à frire dans l’huile asiatique…

On croise de plus en plus de barbus en chemise de nuit, de filles voilées accompagnées de leurs mamans à l’avenant, quand elles ne sont pas entièrement bâchées comme des rounds de foin, une jeunesse afro-maghrébine musulmane pratiquante masculine, arrogante, provocatrice, intrusive, envahissante, vulgaire, grossière, irrespectueuse de tout sauf d’elle-même, forte en gueule, et en parallèle une population de souche qui rase les murs, regarde la pointe de ses chaussures et s’accommode de ce qu’on lui impose en fuyant sa peur dans un protocole de collaboration qui me fait honte, c’est le moins que je puisse en dire.

Avec du recul – j’ai connu Brest au temps du PAC , en 75 – on se rend compte que le passage à l’Universitaire a considérablement affaibli la ville. Est-ce seulement un hasard ? Car on n’aborde plus les choses de la même manière selon qu’on vit à bord, pour et avec l’armée comme seule famille, ou bien en coloc. décontractée en centre-ville avec papa – maman qui se proposent de financer la voiture si on ne descend pas sous les 10 en philo. Je m’explique : les bagarres en ville n’avaient rien d’exceptionnel quand la Marine était encore présente à Brest. Mais paradoxalement, les bars ne désemplissaient pas et le commerce tournait plein pot. C’est surtout qu’on ne se laissait pas marcher sur les pieds sans aussitôt réagir. Les filles, draguées comme il se doit, on le devine, n’en étaient pas moins respectées pour autant. Au contraire! Malheur à celui qui aurait oser s’en prendre méchamment à l’une d’entre elles…

Qu’en est-il à présent? Les nanas, tout autant que les mecs, émergent naïvement du même moule intello-gaucho-collabo-bobo. Aucune différence de style, d’attitude, de comportement, d’engagement, d’idée qui marquerait qu’on s’adresse à un homme ou à une femme. La parité et l’égalité des sexes, me dit-on…Peut-être, mais je vois très mal l’un d’entre eux descendre au port provoquer le marin-pêcheur juste histoire de venir le faire chier sur son territoire… Impensable! Trop risqué! Les coups, ça fait mal…Alors défendre une fille qui se fait emmerder par des mahométans en soif d’autorité… Je n’ai plus mes vingt ans, ça, c’est sûr et définitif, le souffle et les jambes ne sont plus là – les excès se payent un jour, d’une manière ou du autre – mais quand on me dit qu’il faut vivre avec son temps, je réponds que c’est exactement ce que je fais…

Chatelain

 770 total views,  2 views today

image_pdf

16 Commentaires

  1. Luttons pour que cela ne soit pas comme ça, je vais envoyé un plan pour ceux qui voudront y venir à Christine d’ici une semaine. Luttons, luttons mais ne regardons pas ces gens détruirent notre belle FRANCE.

  2. J’ai visité Brest l’an dernier…je ne m’en suis pas remis! C’est vraiment devenu un cloaque. Et ça doit être encore pire cette année vu que ça se généralise partout, avec la délinquance qui explose…Toutes les grandes villes sont malades, très malades de ce pourrissoir musulman dont on ne pourra se désinfecter que par l’emploi de la force.

  3. j’étais hier encore une fois à Aubervilliers avec ma compagne.
    Rue de la République, nous nous sommes sentis très très seuls… et nous n’avons pas traînés…

  4. Je ne suis pas Brestoise mais je l ai connu , quand à BREST on pavoisait Français et Marine

    qui n avait pas en BRETAGNE un frére , un fiancé , basé dans la Royale à Brest
    oui BREST nous dégoute et ceux qui la gérent

    je ne vais plus à BREST depuis que j ‘ai vu ces rues qui ressembles maintenant à l ‘autre coté de la méditerannée

    oui plus de pompons rouges dans les rues ,
    des sacs poubelles humains , qui trainent des poussettes bien remplies , et des hommes en chemises
    dans les magasins les mouquéres avec leur mioches comme gardes-du corps
    et vous avez raison du kébab partout

    vat- elle devenir une zone de non droit comme certaine ville ??
    quand les chances pour la FRANCE arrivent pour nous essorer

    c’est la rage au coeur que j ‘écrit sous votre article
    mais nous ne voyions rien de bon se profiler à l horizon hélas
    kénavo

  5. Quel désastre ! J’ai connu Brest en 71-72, cette belle ville avait une toute autre allure ! Il faut dire que la présence militaire y était pour beaucoup. Comme quoi l’uniforme, la discipline et le partage du même souffle sont les garants de la prospérité et de la sécurité.

  6. Hé oui, » Brest même » était vivant et français par le passé !
    Moi mon PC était à Recouvrance au Café du Nord  » qui en 67 69 était le RDV des sakos de la CP Brest !

  7. Brest aussi. Marseille aussi, Strasbourg aussi. Amiens aussi, Lille aussi, Saint Denis aussi, le dix-huitième aussi, le 93 aussi et d’autres aussi. La peau de panthère comme l’a si bien dit celui que toute la France connaît…qu’ils vont transformer en peau de lapin.

  8. Malheureusement, bientôt, toutes les villes et tous les villages de France seront comme Brest, Marseille… Et que dire de la capitale de la France dont certains quartiers sont tout sauf français… N’oubliez pas : après les élections, ce sera trop tard. Les migrants protégés par Merkel arriveront en France. Vous savez les 800000… Vous avez pu observer que, depuis quelques semaines, les travaux de rénovation de HLM et autres immeubles de bureaux transformés en logements s’accélèrent et ce, dans toutes les régions. Tout sera prêt pour le mois de décembre. Les migrants vont arriver en France entre les élections régionales et les fêtes de Noël. L’objectif est clair : les islamocollabos veulent qu’ils soient prêts à massacrer les chrétiens.

    • Je suis parfaitement d’accord avec vous, Agnès.
      Le loup est dans la bergerie, et il n’est pas entré par hasard.

  9. et à Strasbourg!!fleurissent les kebabs, épiceries avec que des produits turcs et viande halal, disparition de magasins bien français même ma boulangerie préférée ce qui m’emmène à prendre la voiture pour aller chercher mon pain si je le veux comme je l’aime!!un magasin se vend qui le rachète à vote avis?
    quant aux jeunes je n’ai pas très bon espoir à part une minorité ils se laissent vivre sans vouloir se poser de questions, un d’eux m’a même dit que nous ‘les vieux’ nous étions hostiles aux changements! quand on sait que notre génération a connu le plus de changements depuis des siècles: d’un coup nous sommes passés d’une France rurale à un pays moderne avec fax, télé en couleur et x chaines, ordinateur, libération des moeurs et j’en oublie ! alors j’ai répondu à ce jeune homme : nous n’avons pas peur des changements mais de la régression!! et toc!

  10. Oui, c’est un bilan catastrophique ! Et le constat est vrai pour d’autres grandes villes, bientôt la France profonde, en raison de la volonté du Vivre Ensemble partout !!! Les Français se laissent marcher sur les pieds sans réagir, je veux dire pour la majorité d’entre eux !
    Soit les nouvelles générations se révolteront, malgré le préchi-précha, parce qu’ils auront pâti du harcèlement maghrébin à l’école, soit ils feront comme leurs aînés et il n’y aura pas de sursaut national assez fort pour nous sauver.

  11. Et a Marseille alors !!! ce sont des quartiers entiers et cela s’étend de jour en jour , l’infection atteint même la périphérie de la ville , ils rachètent les commerces , les bars , les logements …tout et les français foutent le camp .
    Nombreux sont les quartiers ou ont complètement disparu boucheries françaises, boutiques de vêtements , pizzérias , charcutiers …….etc au bénéfice de snacks hallal , mosquées , épiceries de nuit , bar a chicha , boucheries hallal …etc et évidement tout ceci accompagné de la faune adéquate. PAUVRE PAYS . C’ est a croire que le maire a des peaux de saucisson devant les yeux a moins qu’il ne mange hallal lui aussi auquel cas ce serait alors des rondelles de kébab .

Les commentaires sont fermés.