Le projet de (nouvelle) réforme du collège est paru. Du Hollande-BelKacem tout craché. Ça pourrait tout aussi bien être du Tarik Ramadan-Qatar inspirés par l’idole des pédagogistes, Meirieu. L’école pour imposer la disparition de notre civilisation et de nos élites. Un système éducatif qui doit s’adapter aux élèves au lieu de faire en sorte que les élèves s’adaptent à notre moule, à notre école, à notre modèle et grandissent, aient la chance de progresser avec l’ascenseur social…
http://www.education.gouv.fr/cid86831/college-mieux-apprendre-pour-mieux-reussir.html
Tout, ou presque, est à jeter mais essayons de mettre en valeur les pires décisions qui ont été prises (et sur lesquelles on prétend consulter le personnel…) :
I Le collège de 2016 devra mieux enseigner les savoirs fondamentaux, former à d’autres compétences et avoir un fonctionnement quotidien assoupli pour s’adapter à la diversité des besoins des élèves. La réforme du collège concerne simultanément les programmes, les pratiques d’enseignement et l’organisation pédagogique.
Les évaluations nationales et internationales sont sans appel : le collège aggrave la difficulté scolaire, particulièrement dans les disciplines fondamentales. Sans mettre en cause la compétence et l’engagement des enseignants, force est aujourd’hui de reconnaître lucidement que le collège cristallise les défauts de notre système éducatif. Il est profondément inégalitaire, triant les élèves davantage qu’il ne les accompagne dans la réussite. Il est monolithique dans son approche disciplinaire, suscitant parfois l’ennui, voire la perte du goût pour le travail et l’effort. Il est inadapté au développement des compétences indispensables à la future insertion des collégiens et peu efficace sur l’orientation et la lutte contre le décrochage. En définitive, le collège actuel est souvent peu motivant pour les élèves, anxiogène pour les parents et frustrant pour les professeurs, auxquels il ne laisse que peu d’autonomie.
Traduction :
Ce que l’on fait au collège serait TROP DIFFICILE pour une certaine partie de la population qui refuse de bosser ; ceux qui font le strict minimum sont considérés comme excellents par rapport aux autres, et c’est une inégalité inacceptable pour les fainéants.
Naturellement c’est le collège qui serait responsable du peu de goût de certains pour le travail et l’effort et non les parents, les pubs, la télé, la vie facile… La solution ce serait bien entendu de motiver les élèves en faisant du ludique, en les occupant sans les faire travailler. Ainsi les parents ne prendraient plus de Prozac pour supporter l’idée que leur progéniture est nullissime et les professeurs, échappant au carcan du programme pourraient se livrer à toutes les envies et expériences pédagogiques qu’ils jugeraient bon de pratiquer…
Mise en place :
« C’est ce même impératif qui doit nous conduire à améliorer la façon de transmettre pour les professeurs et d’apprendre pour les élèves, en donnant aux équipes une marge de manœuvre de 20 % du temps d’enseignement, dans le respect des horaires disciplinaires. Ce temps dédié à un apprentissage différent des savoirs fondamentaux, par le travail en petits groupes, des enseignements pratiques interdisciplinaires ou un accompagnement individuel particulièrement renforcé en 6e, est au cœur de la nouvelle organisation du collège.
Donner de plus grandes marges d’initiative aux enseignants : 20 % du temps consacré aux nouvelles modalités d’enseignement
La confiance dans la capacité des équipes pédagogiques et éducatives à définir les réponses aux besoins de leurs élèves est une des clés de la réussite de cette réforme. Elles disposeront d’une réelle capacité d’initiative. Au total, les nouvelles modalités d’enseignement (les enseignements pratiques interdisciplinaires, l’accompagnement personnalisé et le travail en petits groupes) représenteront 20 % du temps des enseignants qu’il leur reviendra d’organiser (en conseil pédagogique) en fonction des besoins des élèves ; pour l’apprentissage des élèves, ils représenteront 4 à 5 heures chaque semaine :
Transformer 20 % (20 % !!!! une heure sur 5 !!!! ) des horaires disciplinaires en bidouillages, amusements, expériences,projets à la gomme, interdisciplinarité ludique et creuse…. autant de temps qui ne sera plus consacré à l’apprentissage des connaissances et techniques nécessaires… Le vide sidéral va s’installer dans un collège qui était déjà à l’agonie.
II Les programmes mettent les acquis des élèves au cœur de la pratique (désormais, le programme, ce n’est plus ce que l’enseignant doit faire avec les élèves mais ce que les élèves doivent savoir).
Ils sont moins prescriptifs (ils font davantage confiance aux enseignants et à leur connaissance des besoins des élèves).
Traduction
Le programme n’a jamais été ce que l’enseignant doit faire avec les élèves (où sont les Inspecteurs généraux censés avoir travaillé sur cette réforme ? De façon évidente ce texte de réforme a été écrit par des énarques et Bel Kacem qui ne connaissent rien à l’école). Le programme a toujours présenté les objectifs en terme d’apprentissage de technique et de connaissance par l’élève. En niant ainsi l’évidence on peut s’attendre à une inversion complète, ce qui est prouvé par la mise en place proposée, montrant que c’est l’élève qui va définir contenu et méthode…
Mise en place
Des éléments culturels et linguistiques des langues anciennes seront intégrés dans le programme de français
Les collèges qui proposaient l’option facultative latin pourront l’inclure dans la matière complémentaire Langues et cultures de l’Antiquité. Les élèves pourront ainsi, s’ils le souhaitent, poursuivre l’apprentissage du latin de la 5e à la 3e.
Ah bon ? En ayant fait disparaître le capes de lettres classiques, en n’étant pas revenu sur la décision calamiteuse de permettre à des enseignants de lettres modernes d’enseigner sans avoir jamais fait de latin, en ayant supprimé la licence de lettres classiques ? De qui se moque-t-on ? Bref, on va saupoudrer quelques étymologies ici et là pour justifier la disparition de l’enseignement des langues anciennes et faire disparaître, avec, une élite amoureuse de notre langue, de notre passé, de notre culture.
Les nouveaux programmes de mathématiques vont construire chez les élèves la culture mathématique nécessaire à la compréhension du monde d’aujourd’hui et rendront l’enseignement des mathématiques plus attractif.
Nous y voilà, il faut du fun, il faut que les petites racailles kiffent les maths pour avoir accès aux études scientifiques.. Ce qui suppose en avoir fait disparaître toute difficulté, toute complexité… tout intérêt. et toute utilité pour notre pays. Pas grave, on importera des scientifiques indiens ou chinois.
Plus simples, plus lisibles, plus progressifs et plus cohérents, les nouveaux programmes [d’histoire] permettront aux élèves de mieux maîtriser la connaissance du passé
Plus simples… simples comme les élèves…
À compter de la rentrée 2016, pour mieux s’approprier des savoirs abstraits, les élèves bénéficieront d’enseignements pratiques interdisciplinaires. Ils permettront aux élèves de comprendre le sens de leurs apprentissages en les croisant, en les contextualisant et en les utilisant pour réaliser des projets collectifs concrets.
Ces projets s’inscriront dans l’un des huit nouveaux thèmes de travail correspondant aux enjeux du monde actuel : développement durable ; sciences et société ; corps, santé et sécurité ; information, communication, citoyenneté ; culture et création artistiques ; monde économique et professionnel ; langues et cultures de l’Antiquité ; langues et cultures régionales et étrangères.
Ces temps de travail sont des moments privilégiés pour mettre en œuvre de nouvelles façons d’apprendre et de travailler pour les élèves. Ils développeront l’expression orale, l’esprit créatif et la participation.
Bref, ils développeront le goût du rien, du facile et concourront à mettre davantage, par comparaison, au rebut tout ce qui paraîtra un peu difficile, qui nécessitera réflexion et temps. Objectif faire disparaître de futures élites atteint.
L’expérience, désastreuse, des TPE en lycée (et c’était en lycée où les jeunes ont, au moins sur le papier, des bases pour inventer et trouver eux-mêmes),avait été abandonnée… Les voici de retour au collège, sous la pire forme qui soit, l’interdisciplinarité, le règne du tout et du n’importe quoi.
III Aujourd’hui, le collège est trop uniforme. Il n’est pas adapté à la diversité des élèves
Traduction
Il faudrait savoir… Quand nous sommes passés au collège unique on nous a dit que c’était pour plus d’égalité, pour que l’uniformité permette à tous d’avoir ses chances… Il semble que l’on n’ait pas réussi à gommer encore les différences et que les « différents » ne soient pas pris en compte…
Nous sommes ainsi passés d’un collège qui triait dès la sixième en fonction des résultats et mettait les enfants dans une des 3 voies possibles à un collège qui doit étouffer la voix des aspirants aux connaissances pour donner la parole à ceux qui ont un souci avec l’école, avec l’autorité, avec les femmes, avec la France, avec la société, ou qui ont tout simplement la comprenette difficilette.
Mise en place
Afin de tenir compte des spécificités de chaque élève, des temps d’accompagnement personnalisé vont être mis en place pour s’assurer que chaque élève maîtrise les savoirs fondamentaux et pour leur permettre d’approfondir leurs apprentissages. Ces temps d’accompagnement personnalisés serviront aussi à apprendre à chaque élève les méthodes de travail.
Des horaires dédiés à l’accompagnement personnalisé sont prévus pour tous les élèves afin de s’adapter aux mieux à leurs besoins hétérogènes.
Par âge
En 6e, tous les élèves auront 3 heures d’accompagnement personnalisé afin que la transition école-collège se fasse dans les meilleures conditions (voir aussi encadré « Garantir la continuité école-collège »). On y fera acquérir plus explicitement les méthodes : prendre des notes, apprendre une leçon, faire des révisions, comprendre et rédiger un texte écrit, faire une recherche documentaire, etc.
En 5e, 4e et 3e, les élèves auront au minimum 1 heure d’accompagnement personnalisé permettant l’explicitation des attendus, l’approfondissement, l’entraînement, la construction de l’autonomie ;
Tous les élèves bénéficieront du même nombre d’heures d’accompagnement personnalisé.
Ça, c’est de l’égalité. Les pauvres mômes qui ont tout compris, qui bossent tout seuls et vite, qui travaillent avec leurs parents (salauds de privilégiés) … vont devoir se farcir 2 à 3 heures par semaine en petit groupe avec des neuneus qui ne comprennent rien quand ils pourraient, eux, approfondir, apprendre, en ayant des heures de cours, des vrais. De quoi les dégoûter de l’école. C’est bien entendu fait exprès.
On m’a rapporté qu’un reportage télévisé avait présenté des collèges expérimentaux où les enfants arrivaient en classe, déballaient qui des cartes, qui un sandwich, qui les jeux sur téléphone portable, histoire de ne pas être traumatisés par un environnement directif et déstabilisant.
Je ne peux le croire, mais je sais qu’ils en sont capables.
Quant aux pauvres gosses pleins de bonne volonté qui ont un peu plus de mal que d’autres, c’est de vrais cours qu’ils ont besoin, d’heures supplémentaires de français ou de maths, pas d’heures où on va leur apprendre à faire leur sac ou apprendre à apprendre. Je ne sais qu’une chose, issue de l’expérience de ma longue carrière d’enseignant, on n’apprend pas à apprendre, on apprend quelque chose, et c’est à force d’apprendre, de chercher à apprendre quelque chose (un poème, une leçon, du vocabulaire… ) que l’on trouve la façon de faire qui vous convient. J’ai quitté l’enseignement il y a 4 ans en découvrant que la nouvelle réforme des programmes de lycée (merci Sarkozy) avait pour conséquences de transformer l’enseignement de la littérature en terminale en partie en heures de communication, que les heures de soutien de français en seconde ne seraient plus consacrées à enseigner en demi-groupe l’art de la dissertation mais à « apprendre à apprendre » avec interdiction de faire du soutien disciplinaire, que l’on allait proposer aux élèves des modules qui leur permettraient d’analyser des brochures touristiques au lieu de feuilleter Les Lettres persanes…
4 ans plus tard, je découvre, atterrée, la version collège de Belkacem, c’est le même esprit, en pire.
Pauvres gosses. Pauvre école. Pauvre France.
Mais je ne dirai pas « pauvres profs », ils sont suffisamment capables de se mobiliser pour des choses qui ne les regardent pas (2) pour qu’on ne leur pardonne pas s’ils laissent passer ça.
IV Donner aux collégiens de nouvelles compétences adaptées aux monde actuel
Constat 3 – Aujourd’hui, le collège est inadapté à l’évolution des élèves et de la société
Traduction
Jetons tout l’héritage du passé, au diable Molière, Pasteur, Einstein, la dissertation et le commentaire et préparons nos chères têtes blondes (blondes, vraiment ? ) à savoir devenir des Loana
Mise en place
Au-delà de donner du sens aux apprentissages, les enseignements pratiques interdisciplinaires ont une seconde vertu : ils permettent aux élèves d’apprendre le travail en équipe, de proposer, de s’exprimer à l’oral, de conduire un projet. Ces compétences, qui sont indispensables pour la poursuite des études, la vie en société et l’insertion sociale et professionnelle, sont aujourd’hui insuffisamment travaillées au collège. Dans les pays où le travail en groupe a été institué à l’école, comme à Singapour, les élèves pensent le plus souvent qu’il est utile de partager les idées et apprennent plus vite en travaillant à plusieurs. Ils ont par ailleurs tendance à se sentir mieux à l’école et à avoir une plus grande confiance dans leurs enseignants. Enfin, leur capacité à coopérer, l’ouverture dont ils font preuve face à de nouvelles expériences favorisent leur insertion sociale et professionnelle.
Il y a juste quelques nuances à apporter. C’est qu’à Singapour, l’autorité de l’enseignant signifie encore quelque chose. C’est qu’à Singapour l’ascenseur social et la réussite scolaire sont encouragées, bien vues et nécessaires et qu’à ce titre les élèves qui travaillent en équipe le font pour appliquer des cours théoriques et progresser, pas pour passer le temps et éviter de s’ennuyer…
V – Faire du collège un lieu d’épanouissement et de construction de la citoyenneté, une communauté où l’expérience individuelle et l’activité collective sont privilégiées
La boucle est bouclée. Il s’agit bien de former un nouvel élève, un petit d’homme qui n’existe plus en tant qu’individu avec un destin et des ambitions, mais un petit imbécile qui parle, bien qu’il n’ait rien à dire (l’expression orale à développer revient sans cesse dans ce projet), qui est considéré comme un futur ouvrier à la chaîne auquel on interdit de construire seul l’ensemble de la voiture et d’en être fier. On fait de lui un morceau d’un puzzle, réduit à participer mais surtout pas à être.
On s’arrêtera là, bien que la matière soit celle d’un livre à écrire. Le reste, la mallette des parents, ouvrir l’école aux parents pour la réussite des élèves, mesurer et améliorer le climat (si, si, c’est écrit en toutes lettres) scolaire, c’est du téléphoné. J’ai gardé le meilleur pour la fin :
VI Mettre fin à la ghettoïsation des collèges
Après avoir décidé d’investir le moindre petit village, le moindre immeuble, à coups de logements sociaux et d’immigrés, illégaux de préférence, restait à interdire aux Français « l’entre-soi » dès l’école.
Gageons que les écoles privées, déjà saturées, ne vont plus savoir où donner de la tête.
Gageons qu’en ces temps de chômage de masse, les parents ayant fait un tout petit peu d’étude et qui le pourront décideront d’enseigner à la maison à leurs enfants, afin de leur épargner cette nouvelle forme de déportation au goulag belkacénien.
Bonnes gens, il est temps de vous organiser en réseau afin d’échanger avec d’autres parents, voisins, grands-parents, des tours de garde et d’enseignement comme nous les avions imaginés il y a 4 ans avec La Faute du bobo Jocelyn.
En attendant, dites votre mécontentement ces dimanche 22 et 29 mars dans les urnes, ôtez-leur toute velléité de croire qu’ils auraient le feu vert populaire pour nous amener en enfer.
Christine Tasin
(1) Défense des clandestins, de Leonarda… par exemple.
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» les parents ayant fait un tout petit peu d’étude et qui le pourront décideront d’enseigner à la maison à leurs enfants, »
Mais…………si on leur en laisse le droit! Il n’était pas prévu de limiter cette prérogative?
Quant aux urnes…. les Français sont indécrottables et continuent de voter pour leurs fossoyeurs.
c’est vrai qu’ils essaient de nous en enlever le droit mais on le peut encore si on prouve qu’il y a bien enseignement et si l’enfant est capable de passer les tests
Qui va s’étonner de la haine du peuple de la Belle conne kacem, encore une crocodile.
Encore une fois, les évènements me poussent à réagir, selon l’expression consacrée, comme un vieux con. Ainsi, je veux dire que de mon temps, c’est à dire les années 70, le terme « discipline » n’était pas un vain et gros mot, bien au contraire. A l’école, comme par ailleurs dans tous les autres compartiments de la vie familiale et professionnelle, on pouvait en retrouver les implications par l’éducation et l’apprentissage du respect dus à qui transmet et élève, au sens botanique du terme. Le porteur du savoir bénéficiait alors d’un statut qui lui dédiait de fait une aura particulière à son métier que personne ne se serait aventuré à vouloir sérieusement contester. L’instituteur était regardé avec autant d’égard qu’il convenait d’en réserver au médecin ou au notaire. Non, l’école ne se destinait pas à divertir et continuait d’ instruire, fidèle aux engagements qui étaient les siens, mais dans un climat d’études qui ne souffrait pas longtemps l’écart de conduite. Me revient en mémoire, entre autres choses, cette gifle magistrale reçue d’ un prof en colère et, quelque temps plus loin à la maison, la même, mais de mon père mécontent d’apprendre que son fils s’était mal tenu en classe. Et je suis toujours là, nom de Dieu ! ! Il y avait une sorte de continuité implicite unissant l’école à la cellule parentale dans une autorité commune qui n’offrait pas d’entendre trente six sons de cloches. A la maison, on ne discutait pas les décisions prises à l’école. Jamais on n’aurait assisté au spectacle avilissant d’une mère entorchonnée débarquant en plein cours pour frapper le prof et venger l’affront d’une colle un samedi matin car alors c’est le parent, contrairement à aujourd’hui, qui aurait fait honte à son gosse. Et comment ! Je ne prône pas le retour aux beignes distribuer à tour de bras, les récréations passées à genoux sur une règle en fer ou les oreilles mauves d’avoir été tordues, mais je déplore, en la dénonçant clairement, cette école démissionnaire, pusillanime, sa façon de se fourvoyer an rabaissant ses devoirs citoyens à la hauteur des revendications capricieuses de l’élève – pardon, de l’apprenant – alors que tout son mérite était justement de savoir s’en distancer. L’école aujourd’hui rivalise bientôt avec les meilleurs colonies de vacances, à moins que ça ne soit l’inverse, ce qui ne change rien à l’affaire, tout part à vau l’eau.
Nous sommes entièrement d’accord, Chatelain et tant pis sion nous traite de vieux con. Il y a avait effectivement le respect dû au savoir alors qu’on a fait en sorte que les détenteurs de savoir rasent les murs et aient honte de savoir plus que les autres. On marche sur la tête
je constate chére Christine que la discrimination anti française ce que je dénonçais dans un précédent commentaire de ma scolarité dans les années 50 ..se poursuive anti français blanc, chrétien ou juif ou athée.
Je me demande ce qu’ olande a commis comme faute pour se coucher devant la tobira…. et ses récriminations
j’espére que nos juges non vendus fouilleront dans les comptes et patrimoine de cette femme le plus tôt possible …
encore 2 ans à attendre trop long pour éliminer ces mauvaises herbes !!!
Je me souviens : en 1974, c’était ma première année de prof de français et l’idée géniale de l’époque c’était de consacrer 15% du temps à autre chose qu’aux cours ‘normaux’. A chacun d’inventer : initiation à l’argot ou à je ne sais quoi. C’était plutôt amusant, mais peu sérieux. Et je vois que maintenant, ce sera 20%. Voilà du neuf et du prometteur…
C’est à s’arracher les cheveux….
Merci Christine,
C’est consternant. L’an dernier j’ai mis à la porte de ma classe une crétine d’inspectrice. Ses copains ont essayé de revenir trois fois dans l’année. Sans succès.
Ton analyse est tout à fait exacte.
Dominique, enseignant.
Merci Dominique pour ton témoignage
Bonjour,
Merci Christine pour cette belle analyse : je voulais justement vous demander de nous écrire une contribution sur la destruction de notre Ecole.
C’est fait et remarquablement fait !
Il faut oser le dire : il est inscrit , pour ce que j’en comprends désormais , dans la mentalité musulmane LE DROIT absolu d’accéder à tout , sans bosser …
Héritage de cette idéologie musulmane de pure prédation.
C’est la mentalité de l’urologue musulman d’Angers qui exige un château parce qu’il estime que c’est dû à son « rang » (sic).
Côté de l’autre calamiteuse , la Taubira , les projets sont tout aussi inquiétants d’après la Presse de ce matin.
Elle veut introduire des « class actions » en matière de discrimination :
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/03/05/01016-20150305ARTFIG00102-hollande-et-taubira-veulent-introduire-les-actions-de-groupe-contre-les-discriminations.php
Bref tout est fait par ces malfaisants au pouvoir pour broyer la République …
Et ils se préparent ,déjà , à remplacer une équipe de malfaisants par une équipe de malfaisants semblables :
http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/coulisses/2015/03/18/25006-20150318ARTFIG00284-christiane-taubira-fait-l-eloge-d-alain-juppe.php
Merci Antiislam, oui on n’arrête plus le bulldozer Taubira, on y reviendra la semaine prochaine !