Unis contre l’obscurantisme -discours de Hugues Bouchu aux Assises de la Liberté d’expression

Affiche-15-mars-a4Chers amis et chers compatriotes,

 En premier lieu, je tiens à remercier  Christine Tasin et Pierre Cassen, responsables de Résistance Républicaine et de Riposte Laïque, de nous avoir invités à ces assises, mais c’est aussi l’histoire d’une grande amitié…

 C’est au nom ​ des identitaires​ de la Ligue Francilienne ​ et du

Réseau Identités que j’interviendrai.

C’est avec une immense inquiétude que j’apporte​rai​ mon témoignage, immense inquiétude face à l’évolution de notre civilisation, menacée de régression dans ses valeurs, d’effacement dans sa mémoire, pour tout dire menacée d’une disparition complète, rapide et sans retour.

 Mais, avant de commencer, je voulais vous rappeler cette série télévisée qui a peut-être marqué certains d’entre nous. Vous savez, c’est l’histoire de ce personnage incarnant un architecte seul à se battre contre des extra-terrestres aux apparences humaines avec pour unique but de conquérir la Terre. Eh bien, l’urgence réelle qui nous réunit aujourd’hui ressemble à s’y méprendre aux mésaventures imaginaires de ce personnage

​ ​

car “DAESCH” ​( Etat islamique en langage “Novlangue,  autrement dit “politiquement correct”)​  et ses chiens de garde, les Merah et autres Coulibaly sont à nos portes !


Nous ne sommes pas encore, à vrai dire, confrontés à une guerre ouverte et explicitement déclarée de religion, même si, en France, par exemple, les profanations d’églises, les dégradations de lieux de culte chrétiens, dont les grands médias négligent de parler, et les agressions antisémites sont légion ;  mais, pour reprendre l’expression du fameux roman de Herbert George Wells, nous entrons dans une « guerre des mondes ». Je fais ici allusion à ceux qui nous menacent, mais que je ne pourrai nommer en vertu d’une conception complètement dévoyée et imposée du « savoir-vivre-ensemble », bref au nom du politiquement correct, qui interdit toute critique immédiatement rebaptisée « stigmatisation », qui entraîne pour son auteur une persécution professionnelle, judiciaire et physique, en bref, le néantissement.

Au nom de ce prétendu ​ vivre-ensemble qui du reste se noie dans un bain de sang,  nous voyons nos représentants politiques, nos grands médias, largement nourris par l’Etat à coups de centaines de millions d’euros de subventions et nos institutions endosser la blouse de l’infirmier psychiatrique. Nous serions devenus ​ “multi-phobiques” ! Certes, nous ne sommes pas –ou pas encore- dans un régime de type soviétoïde où toute dissidence serait promise à la camisole de force. Non, le procédé est plus insidieux, plus sournois, ​plus pervers, ​ plus vicieux : nous sommes punis de mort sociale. Ce système névrotique d’Etat (car, la vraie folie, est chez les infirmiers, pas chez les malades), ce système d’inquisition pointilleuse et sans cesse en éveil, sans cesse à l’affût, pesant chacun de nos mots, aussi bien ceux qu’on a dits que ceux qu’on aurait pu dire, cette inquisition incessante nous interdit de nommer nos peurs et d’en nommer les causes.  Les malades que nous sommes sont mis à l’isolement ou bâillonnés, et personne en France ni à l’étranger ne doit entendre nos cris. Nous n’avons même pas la ressource de hurler notre douleur, nous devons la refouler en nous, l’intérioriser silencieusement jusqu’à ce qu’elle nous bouffe… et le corps et l’âme !

Notre civilisation européenne est devenue la cible « d’éradicateurs » moyenâgeux, sentencieux et criminels qui, avec la complicité

​latente ​ de la plupart des grands médias, des élites politiques, intellectuelles et parfois spirituelles ont organisé, planifié, juré la conversion, la soumission psychique, spirituelle, culturelle, physique et démographique de l’Europe.

Aujourd’hui, la terrible réalité du quotidien nous interdit de nous taire et nous fait une obligation absolue de parler sans détour, car nos futurs assassins, expression vivante d’anachronismes religieux, sont bien décidés à nous exterminer froidement et méthodiquement. L’égorgement et la décapitation de coptes égyptiens, les assassinats de Copenhague et de Paris, ou encore ce couple brûlé vif dans un four à brique, ce jeune officier condamné au bûcher, sans oublier la destruction en Syrie ou ailleurs de l’héritage artistique et architectural d’une culture sensible et pensante… et tout cela au nom d’un dieu !

Malgré tout, certains persistent à dire et à proclamer que toutes les civilisations se valent, ils en sont presque à dire qu’il n’y a sur notre planète qu’une seule culture et qu’une seule religion. Que de simplification ! Quel simplisme coupable ! Je dirai, en reprenant le mot de nos adversaires habituels: quel amalgame ! Mais grâce à Dieu, il y a plusieurs amours pour Dieu et aucun interdit religieux ne peut justifier le crime !

​ Au nom de quel dieu l’innocence d’un enfant peut-elle être armée?

On nous parle de laïcité, mais de laquelle ? Celle qui organise des repas particuliers et personnalisés, ​ plus exactement des menus religieux, dans les cantines de la République, celle qui institue des horaires aménagés dans nos piscines pour les hommes et pour les femmes, celle qui favorise la construction de centres dits

​de “sociabilisation”,  ou bien celle qui interdit à des maires d’installer une crèche de Noël dans leur ville ou leur village sous peine de sanction ? Enfin, celle qui tait les attaques contre les  fidèles chrétiens et les saccages d’églises ?

Confrontés à ces pratiques d’un autre temps, d’un autre lieu et d’autres mœurs, certains aveugles commencent enfin à retrouver la vue. Devant cette guerre déclarée, nous sommes dans le devoir, dans l’obligation d’oublier nos querelles de village et de chapelle politique. Rassemblons nos forces et réunissons-nous autour de nos valeurs communes ! car la seule question à se poser est la suivante : que voulons-nous devenir ? Voulons-nous oui ou non disparaître ?

Notre combat doit être celui de la ​ reconquête de nos valeurs, de nos traditions, de notre héritage, de notre culture  européenne… c’est ce message qu’ont porté hier à Béziers  nos amis identitaires de la Ligue du midi en soutien à Robert Ménard qui a eu le courage de bloquer la roue dentée de la repentance en renommant la rue du 19 mars 1962 en rue du Commandant Hélie Denoix de Saint Marc. C’est tout le sens du mot d’ordre identitaire que je vous transmets aujourd’hui :

Stop à la repentance, en avant vers la reconquête !

Enfin, si aujourd’hui j’ai répondu présent à l’invitation de Christine et de Pierre, c’est pour vous témoigner de mon combat de résistant face à l’oppression terroriste fondamentaliste de ces véritables fous de Dieu.

Mais c’est aussi pour appeler à l’union de tous dans

​cette reconquête,  plus nécessaire que jamais, car chaque jour le péril est plus grand ; l’ennemi qui ne cesse pas – et ne cessera pas – une minute son travail de sape, mine toutes les structures défensives de notre société sans exception.

Oublions ce qui nous différencie ou ce qui pourrait nous diviser.

Individuellement nous sommes des proies faciles, collectivement nous sommes invincibles !

​La véritable bataille n’est pas entre nous ​ car​   ​la guerre est en face !

   

 Au nom de la Ligue Francilienne ​ et du Réseau Identités, je vous remercie,

 Hugues Bouchu, Président de la Ligue francilienne

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3 Commentaires

  1. Oui tout a fait mais moi je poserais une question, qu’ont-ils a gagner en nous forçant a installer et vivre avec l’islam et les musulmans, le fric ? ben oui le fric car sans cela jamais cette horreur aurait pu pénétrer nos sociétés, et quand il seront assez nombreux les élites politiques fuiront la queue entre les jambes car les musulmans n’accepteront jamais la démocratie, ils la tolèrent par ce qu’ils sont encore minoritaires mais dans quelques dizaines d’années il en sera tout autrement quand ils seront en nombre et ce sera le pire et la fin pour nous ! si rien n’est fait avant pour les en empêcher.

  2. Le gouvernement met en place les structures et les lois qui convergent vers le GENOCIDE du Peuple Français, la disparition de notre identité au profit d’une religion politisée qu’est l’islam.

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