La génération née en 1980, génération sacrifiée ? Par Florian Sébastien

La génération Touche pas à mon pote, la génération adulescent, la génération Y, la génération Bisounours, Télétubbies… c’est celle des enfants nés en 1980.

Une génération éduquée, dressée, lobotomisée, élevée, formatée pour critiquer voire dénoncer leurs aînés. Et ce, à l’insu d’une majorité de parents aveuglés.

Par quels instruments ? La télé et l’école.

Demandez à un trentenaire ce qu’il retient au niveau social des années 80, il vous répondra à coup sûr, Touche pas à mon pote.

Par ces 5 mots, ce slogan inoffensif a sérieusement lessivé notre cerveau.

Tout ceci dans le but que les enfants soient critiques vis-à-vis de leurs parents et prêts à dégainer le mot « raciste » si un parent venait à critiquer la politique d’immigration.

Les enfants grandissent, ils ont été émerveillés par Les Bisounours, Arnold et Willy, Le Prince de Bel Air… Combattons le racisme !

A l’école maternelle, primaire et collège. On ne ressent pas trop le racisme. Mais on voit qu’il y a des blancs, des beurs, des noirs, pas encore d’asiatique. Mais il y a aussi le Corse qu’on charrie avec les bombes corses, des Toulousains, des Bretons, des Marseillais, qui étaient fiers d’évoquer leur région et hâtent d’être en vacances pour aller voir leurs grands-parents.

Bernard Kouchner réussira à mobiliser toute cette armée d’écoliers de France pour récolter du riz (les boites oranges Uncle Ben’s) pour envoyer en Somalie.

Phase 1 réussie, tous les enfants quelle que soit leur couleur se tiennent la main.

 

Après l’enfance insouciante, vient l’adolescence. Et là, attention, pas facile de gérer des individus en pleine crise. Comment les mater ?

A la fin du collège, on passe le brevet et on doit faire nos vœux pour choisir une seconde générale ou une seconde technique.

Donc arrivée au lycée technologique.  En 1997, tous les lycées connaissent un formidable brassage de toutes les populations. Tous les lycées se doivent d’accueillir ce qu’on appelle aujourd’hui, les chances pour la France. 1997, c’est pour moi et d’autres la découverte de ce qu’on appelait «la pratique musulmane »  qui se montre au grand jour dans les cours de lycées.

Dans ma classe, il y avait Samir, Karima, Fatou, Kader… nous étions quelques blancs venant de toutes régions de France. Et ce panel hétérogène se répétait dans toutes les autres classes de la seconde à la Terminale.

Au sein de l’établissement, il n’y avait pas d’agression physique, je n’ai vu ni couteau ni drogue mais deux choses. Avec recul aujourd’hui, nous aurions dû avertir nos parents mais comme je vous l’ai dit depuis notre plus jeune âge, on nous a inculqué que montrer du doigt l’étranger était un acte profondément contraire aux droits de l’Homme, honteux, fasciste, raciste, bref « sois soumis et tais-toi ! ».

Ces deux choses sont clairement de dire qu’il n’y a pas de vrais français et que la culture musulmane c’est l’avenir et gare à celui qui critiquera.

Quelques exemples :

« Les vrais Français, ça n’existe pas ! » :

Discussion insolite. Karima demande à chacun de quelle origine il est. Chacun répond : Maroc, Algérie, Tunisie, Italie, Espagne… vient mon tour. A l’école c’était ringard d’être Français, mais je réponds quand même que ma famille a toujours été en France. Et là, Karima, énervée mais satisfaite de ce qu’elle voulait entendre me hurle : « Mais c’est pas possible, ça n’existe pas un vrai Français ». Bref pour ne pas envenimer le débat, je lui dis oui c’est vrai, j’ai une grand-mère espagnole. Alors que ce n’était absolument pas le cas. Comment j’aimerais trop revivre cette discussion et lui dire « Tu es raciste et négationniste en plus ».

De septembre à juin, un étrange long manteau noir :

La tenue des filles : certaines avaient un très long manteau doudoune noire qui couvrait le haut et les jambes et avait souvent un foulard sur les cheveux.

D’autres avaient une sorte de foulard qui couvrait le cou et les cheveux.

La tenue des garçons musulmans : à chaque fois ils avaient leur casquette. A l’extérieur, c’était normal. Mais foulards et doudounes c’était de septembre à juin.

Là encore, personne ne prêtait attention à ces tenues. Les quelques profs qui osaient s’en plaindre voire demander gentiment à ces filles et garçons de se dévêtir un peu, les filles rétorquaient « j’ai froid madame ou j’ai mal à la gorge ». Bref la prof cédait. Et les gars, ils retiraient d’un geste brusque leur couvre-chef en bronchant et en disant « sale pu.. ». La prof faisait semblant de ne pas entendre. A part une prof de Français qui bien souvent demandait à l’élève de répéter ce qu’il venait de dire et l’élève soupirait.

La Photo de classe : Devinez qui étaient les absents ?

Là encore avec recul, je pense à deux filles musulmanes qui étaient méga précurseur dans le genre « ne pas se mélanger avec les mécréants » car chaque année, elles prétextaient être malades le jour où il y avait la traditionnelle prise souvenir de l’année.

Gélatine, grâce à eux j’ai su que cela venait du porc ! J’adore les bonbons bien gélatineux !

Nabil me dit « Donne-moi un bonbon ». On passera sur les formules de politesse. Il prend le bonbon et avant il me demande où je les ai acheté et de voir le paquet. Après avoir lu les ingrédients, il a remis le bonbon dans le paquet en disant « ah non dégueu, y a de la gélatine ! » (pour être plus juste, il connaissait le terme physique du conservateur ou de je ne sais quoi, mais en gros qui lui signifiait qu’il y avait du porc). Face à tant de politesse, d’hygiène… je mangeais mes bonbons en cachette.

Deuxième semaine de ramadan : pendant les cours, le soleil se couche bientôt. Ça chahute, ce sont les pratiquants qui demandent l’heure toutes les 2 minutes à gauche, à droite, devant, derrière (ils n’ont jamais eu de montre L). Je me souviens d’un prof qui hurla « c’est quoi ce foutoir ! ». Karima dit « Monsieur, ça va, c’est Ramadan ! ». Le prof, pas du genre à aimer qu’on lui réponde, rétorqua, école laïque ! Le cours reprend. Il fait nuit dehors. C’est le feu vert. On entend des bruits de papier alu se déplier dans les rangs. Le prof : « Que faites-vous ? ». Réponse de tous les pratiquants : « c’est la fin du ramadan, on peut manger ». Le prof a failli avoir une attaque. Il s’est senti insulté. Il s’est assis et a lu son journal devant nous et dit « Vous vous expliquerez avec vos camarades que par votre faute, je refuse de continuer mon cours, ce que vous faites est totalement intolérable ». Les « vas-y, vous abusez » des élèves motivés pour travailler fusèrent tandis que les musulmans n’avaient que mépris et le mot qui tue « bande de racistes» ou bien encore « bande de chacals » (je n’ai jamais bien compris la signification de cette phrase dans le vocabulaire musulman, ils aimaient dire « chacal »).

Troisième semaine : la tension monte. Malheur à celui qui fumerait, boirait, mangerait et autres actions qui perturberaient celui qui fait le ramadan. Par exemple, si l’un arrivait avec sa clope, le pratiquant disait « vas-y t’abuse, je me casse de là », ou un autre « Qui veut un bonbon ? », le pratiquant « hé, ca va pas, tu me manques de respect ». Et à chaque fois, nous étions lâches, nous écrasions nos clopes, rangions les paquets de bonbons et par-dessus tout on s’excusait.

Quatrième semaine : les autres « ca se finit quand le ramadan ? vendredi, cool ». L’exaspération se faisait sentir d’un côté, l’épuisement de l’autre.

Ensuite fin du ramadan, il y avait la fête. Les musulmans apportaient des spécialités du Maroc, d’Algérie… et nous incitaient vivement à fêter avec eux la fin du ramadan. J’ai osé dire que je n’aimais pas le gâteau, j’ai déclenché un orage. Aujourd’hui, je pense qu’on me mettrait une fatwa.

« Ce n’est pas l’objet d’un conseil de classe » :

Quand ils n’allaient pas à la cantine (je ne saurais vous dire si c’était le jour des plats à base de porc mais je pense que c’était finalement pour cette raison), mes camarades musulmans se rendaient en groupe au kebab du coin et s’installaient dans la salle de classe tous ensemble et rien qu’entre eux pour manger. Je me souviens que quand c’étaient les autres qui mangeaient Mcdo dans cette même salle de temps à autre, les surveillants les viraient en disant que cette salle n’était pas un réfectoire mais le jour des musulmans, pour eux, pas de surveillants, pas de gêne odorante, bref « la paix sociale » qu’on dirait aujourd’hui. Et donc, j’ai pu apprendre que même pendant 4 heures de suite, toutes fenêtres ouvertes, l’odeur du Kebab est invincible. Cela nous a valu de nombreuses prises de bec, les musulmans avaient toujours réponse à tout et surtout raison et nous tort. J’ai souvenir d’avoir évoqué ce problème lors d’un conseil de classe lorsque j’étais délégué. Réponse : « ce n’est pas l’objet d’un conseil de classe ! ». J’aurai été au moins une fois dans la peau d’un rebelle, tant la réponse fut sèche mais j’ai senti que j’allais avoir une belle étiquette.

Voilà, c’était il y a plus de 15 ans, et en 2013, nous avons les même problèmes hormis que maintenant des élèves et leurs parents ont le courage d’en parler, de se rebeller, de faire pression sur leur maire…

Les trentenaires que nous sommes aujourd’hui nous avons été lâches, soumis, dans un excès de bienpensance, on n’a pas osé se rebeller. Nous étions assez nombreux pour réimposer la laïcité, la vraie, et nous l’avons abîmée pour ne pas dire abandonnée. On a eu faux, je suis sûr que beaucoup s’en mordent les doigts aujourd’hui. Mais à notre décharge, de la loi de 1905, on nous apprenait que c’était la séparation de l’Eglise et de l’Etat, point ! A l’époque pour moi le musulman et le ramadan, ce n’était pas une religion et donc pas une église. On nous a mal appris la notion de laïcité, intentionnel ?

Aujourd’hui, on a bisounours à l’Elysée mais j’espère vraiment que la génération du même nom a ouvert les yeux. Il ne faut pas qu’il y ait d’autre Sylvain tué parce qu’il est roux ou d’autres dont la liste est trop longue, tués ou blessés à l’école parce qu’il ou elle est tout sauf comme celui qui le ou la poignarde façon halal.

Moi aussi j’ai été naïf, je l’avoue. Bêtement, je pensais comme nos aînés « Faut que jeunesse passe ». Donc je me disais, ils arrêteront, leur crise d’ado passera et à 30 ans, ils seront rangés, mariés, papa, maman…

J’ai pensé cela jusqu’en 2001 lorsque j’ai vu dans mon quartier un petit gamin de 10 ans ressemblant à Willy d’Arnold et Willy avec un petit sourire angélique. Mais ce sourire était satanique car passé à ma hauteur, il dit à son copain « Vive Ben Laden » (quelques jours après le 11 septembre). Et je me suis dit « eh bé, ça sera quoi dans 10 ans ? ». J’ai eu ma réponse en mars 2012, un Mohamed Mérah, 23 ans. Je confirme ce n’était pas le gamin que j’avais croisé mais ça aurait pu être « le tueur en scooter ». J’ai retrouvé ce même sourire. Les média n’avaient pas pu aller au commissariat prendre la photo de son casier judiciaire d’où cette photo au sourire angélique. C’est cynique mais demandons-nous pourquoi on a voulu nous imposer cette image ? D’habitude, on a droit à des photos sans sourire et des visages bien terrifiants.

Finalement, la télé depuis 10 ans veut vous montrer au travers de Loft, academy et autre secret story une jeunesse composée de « débiles mentaux » (terme entendu dans les instances de la boite à image)  qu’on enferme et qu’on surveille 24/24. Mais elle vous cache qu’il y a de sérieux malades mentaux en liberté et non surveillé.

Je n’ai jamais voulu travailler sur une télé-réalité mais si cela empêche l’Islam, je me dévoue de suite.

Florian Sébastien

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10 Commentaires

  1. Un jeune enfant est comme une EPONGE:
    il apprend ce qu’on veut bien lui inculquer, les BONNES, comme les MAUVAISES MANIERES
    Pour bien se construire dans une société, il a besoin d’apprendre un minimum de VALEURS SOCIALES, ou MORALES: ce qu’il PEUT faire, ou dire, et ce qu’il ne DOIT pas faire. La vie n’est pas composée seulement de DROITS (des Hommes et des Femmes), mais aussi et SURTOUT……………..de DEVOIRS.
    Mais ça évidemment, on ” aime moins “, et surtout,……….. on n’en parle JAMAIS
    Ce RÔLE ESSENTIEL d’éducation CIVIQUE, est normalement tenu par les 2 parents (quand ils sont là),
    mais aussi et surtout………par l’EDUCATION NATIONALE (les enfants passent plus de temps à l’école, que chez eux).
    Reporter ce MANQUEMENT sur l’Autre, c’est montrer et dévoilé son IRRESPONSABILITE
    OUI, les parents sont souvent FAUTIFS, et COUPABLES de ” laisser-faire ” les enfants,
    mais OUI AUSSI, notre Système éducatif a ABANDONNE son rôle FONDEMENTAL……… d’EDUCATEUR CIVIQUE
    Nos enfants partent en VRILLE……………….est-ce de leurs fautes ?????, ou celles de leurs…éducateurs
    Si dans un jardin, vous laisser faire….. la “nature”, vous n’obtiendrez que…………..des mauvaises herbes,
    et si vous n’apprenez pas à un enfant à se tenir debout, il rampera toute sa vie à quatre pattes.
    La BONNE EDUCATION, ………………..çà s’APPREND. Encore faut’il QUELQU’UN…… pour vous l’apprendre

  2. C’est vrai que les 3/4 des parents soixante-huitards portent une lourde responsabilité dans la situation actuelle !

  3. Bonjour à tous et plus particulièrement à Christine
    Je suis assez hallucinée de lire ce que je viens de lire. Je peux vous dire que j’ai eu deux enfants dans la décennie en question (une fille en 1982 et un fils en 1988) et que tous les deux n’ont jamais été formatés par l’idéologie imbécile et criminelle dont vous parlez ! Pourquoi ? Mais parce que j’y ai veillé ! Le libre arbitre, ça existe, bon sang ! Bien sûr, ça demande un investissement et de l’énergie ainsi qu’un certain courage si ce n’est un courage certain, mais c’est à ce prix que j’ai préservé mes enfants en tant que parent RESPONSABLE et lucide. Personne n’a manipulé mes enfants en bas âge ni même plus tard. J’ai toujours contré cette saloperie de formatage, j’ai toujours mis dans la tête de mes gosses des idées saines à base d’amour de la Nation et de préférence nationale (entre autres) et aujourd’hui mes efforts sont récompensés. Mes deux enfants ainsi que le conjoint de ma fille et moi bien évidemment votons F.N. Alors, je crois que cette “génération perdue”, l’est surtout à cause de la CONNERIE abyssale de la plupart des parents ainsi que de leur indifférence et de leur lâcheté concernant l’avenir de leurs enfants. Comme on dit “Après moi le déluge” semble être le mot d’ordre de cette génération de “parents” dégénérés.
    Personnellement je n’ai rien lâché, j’ai éduqué mes enfants conformément à MES IDEES et non à l’idéologie puante en vigueur depuis plus de trois décennies et aujourd’hui, ils votent intelligemment (du moins pas comme les derniers des couillons) et ont chacun un métier et un emploi bien rémunérés. Il n’y a pas de hasard : les chiens ne font pas des chats et les cons ne font pas des génies…
    Tout ça pour dire que cette “génération perdue” l’est entièrement du fait d’une majorité de la génération précédente qui n’a pas eu le courage et l’intelligence de préserver sa descendance de la lobotomisation programmée. Pour ma part, j’ai la conscience tranquille et rien à me reprocher.
    Merci à vous de m’avoir lue.

  4. Je trouve cruel d’avoir manipulé des enfants en bas âge. C’est de l’abus et il devrait y avoir un recours collectif pour dédommagement monétaire à cet effet auprès des représentant au partis politiquequi était au povoir à l’époque pour avoir planifié ça. Il y a eu des séquelles qui sont toujours présente aujourd’hui alors que ces enfants sont maintenant des adultes, et ces gens doivent être dédommagés car ils ont réellement été abusés et manipulés. Du fait qu’ils étaient mineurs à l’époque est un fait agravant.

  5. Bravo, superbe témoignage.
    En lisant ceci je m’aperçois (encore) de la chance qui fut la mienne.
    De 1973 a 1982 point de télé a la dass. Placé dans un tout petit village, point de cette foutue mixité ethniquo-culturelle, et surtout, SURTOUT, la campagne, cette divine campagne qui permet aux enfants de jouer dehors même pour mes cadets et donc d’échapper à toute cette propagande télévisuelle.
    Mon papa a fait la guerre d’Algerie, moi même, j’ai fait d’autres “Opex”‘ mais, on avait choisi la voie militaire, on va pas s’en plaindre aujourd’hui même si les traces demeurent (psychologiques ou physiques), mais plus encore que l’auteur de ce témoignage, aujourd’hui adulte, je plaint les mômes, enfants ou adolescents qui vivent là, en 2013, tout ce que monsieur Sébastien décrit mais encore multiplié puisque l’immigration ne cesse pas, et que désormais l’intégration est encore moins encouragée qu’avant (bien qu’a l’époque le communautarisme arabo-musulman notamment n’était déjà pas combattu ce témoignage le démontre)
    Nos jeunes, ceux qui se revendiquent Français, surtout ceux ayant la malchance de vivre dans ces cites ‘sensibles’, vivent pire que ce que j’ai vécu dans mes opérations extérieures, pire que ce que mon père a vécu en Algérie, car déjà, nous nous étions armés, autorisés a riposter, mais surtout, nos jeunes n’ont pas choisi, ils vivent une guerre dont seuls leurs ennemis savent qu’elle est déjà en cour.
    Pour finir, monsieur Sébastien parle de télé-réalité, moi j’aurai un programme de rêve.
    On prendrait un élu, grimé pour ne pas pouvoir être reconnu, on lui fournirait un studio, dans une cite, on l’equiperait de caméra bouton, mini-micro caché, et là, mission pour lui (elle) de vivre disons six mois, sans gardes du corps, sans chauffeur, sans voiture de fonction, de privilégier les transports en commun etc etc.
    J’ai même déjà le titre “vivre en France multiculturelle puisque j’en fait la promotion” ça aurait sûrement un certain succès, surtout l’épisode deux ou Manuel,Martine,François ou Jean Marc fuierait en courant.

    • Superbe idée !!!! Je crains seulement que les candidats ne soient très peu nombreux ….
      On devrait y mettre Fabius qui révait d’une belle Marianne métissée …..

  6. Oui, c’est bien de témoigner ; mais pourquoi n’incriminez vous pas vos parents ? Vous, étiez jeune ado : bien sur qu’à cet age, on est “fragile” et qu’on souhaite se fondre dans la masse ; c’est pourquoi je pense que les adultes (entourage) de l’époque ont aussi leur part de responsabilité.
    Marié à un tunisien depuis 17 ans et vivant dans le pays……..je ne vous parle pas du lavage de cerveau (à l’école) en termes de religion ; moi qui suis une anti religion et très virulente sur le sujet, vous ne pouvez pas imaginer mon discours à la maison : “j’essore et je rince” !!!!
    Idem en termes de “multiculturel et vivre ensemble” : moi qui vit avec des musulmans depuis 17 ans….croyez-moi, on a rien en commun !!!!! …donc foutaise le vivre ensemble.
    J’ai toujours gardé mon “identité” et ne me suis que très rarement pliée aux coutumes locales (oui, la circoncision …ça, je n’ai pu y échapper) et hors de question pour moi de mettre une djellaba ou tout autre accoutrement inhabituel !!!!
    Vu de l’extérieur et connaissant bien les mentalités d’ici, je ne peux que déplorer la dhimmitude de mes concitoyens de France. Oui, bientôt, la France sera envahie.

  7. Merci pour ce témoignage.
    Ca me rappelle des souvenirs relatifs à ma propre scolarité. J’en aurais aussi des choses à dire sur le racisme anti-blanc et la propagande pour l’islam diffusée par l’éducation nationale. Il faudrait peut-être faire un jour un recueil de témoignages pour pouvoir enfin mettre des mots sur un problème et des souffrances que beaucoup ont été contraints de refouler par peur d’être montrés du doigt.

    • Oui Rosa il faut témoigner afin que la vérité et la révolte éclatent

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