La grande peur de tous les candidats démocrates alignés sur la ligne de départ dans la course à la présidentielle est de se retrouver écrasés par les questions économiques.
Un article de The Conversation
Qui aurait pu penser, le 8 novembre 2016, que le candidat milliardaire venant d’être élu à la Maison Blanche allait réussir à déployer une politique économique si solide qu’elle en deviendrait son meilleur argument de campagne pour une éventuelle réélection ?
Pourtant, lors de sa première campagne électorale, en 2015-2016, Donald Trump s’était contenté de parler de son expérience de businessman, en assurant que cela suffirait pour faire une politique et qu’il n’avait pas besoin d’indiquer dans le détail où il porterait ses efforts. Il a donc joué cette carte plutôt osée et proposé à ses compatriotes de renouer avec le « rêve américain », du moins avec sa propre version de ce rêve, à travers des punchlines fracassantes :
« Vous allez tellement gagner avec moi que vous en aurez marre de gagner. »
« Je serai le plus grand créateur d’emploi que Dieu ai jamais créé. »
Cela faisait rire à l’époque. Donald Trump était moqué. Aujourd’hui, plus personne ne rit.
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CROISSANCE, DÉLOCALISATIONS : DES PROMESSES À LA RÉALITÉ
Les marchés financiers ont, pour leur part, immédiatement salué l’élection de Donald Trump en novembre 2016 ou, plus exactement, ils ont manifesté leur soulagement après une forte période d’incertitude. Comme cela se passe très souvent après une forte tension, le mouvement est parti très vite en sens inverse, et l’embellie économique s’est rapidement transformée en euphorie.
C’est l’attitude de Donald Trump qui a entraîné cette vague plus que surprenante d’après-élection, en créant le mythe qui manquait lors sa campagne. Le 29 novembre 2016, alors que Trump n’avait pas encore officiellement pris ses fonctions, l’Amérique éberluée apprenait dans un de ses tweets que le nouveau Président avait déjà sauvé 1400 emplois : l’entreprise Carrier, qui fabrique des chaudières à Huntington, près d’Indianapolis, confirmait en effet qu’elle renonçait à délocaliser sa production.
Dix jours plus tôt, Trump assurait déjà avoir convaincu Ford de renoncer à délocaliser au Mexique son usine de Louisville (Kentucky), après avoir multiplié les menaces contre le constructeur américain, promettant notamment de taxer les voitures à hauteur de 40 % à l’entrée aux États-Unis si Ford persistait à vouloir construire une usine de l’autre côté du Rio Grande.
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Ces deux événements ont permis au nouveau président de vanter son plan de patriotisme économique et d’insister sur la relocalisation attendue des entreprises, tout en dénonçant les accords de libre-échange, notamment celui en vigueur avec le Mexique.
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Le monde de la finance a considéré qu’il était en réalité un homme pragmatique et responsable. La dynamique boursière s’est alors orientée clairement à la hausse et les marchés lui ont donné leur confiance. Ils se sont mis à croire, à leur tour, en un avenir où se conjugueraient reprise de la consommation et de la croissance avec le retour des emplois. Ses promesses de relance de l’investissement public et de diminution des impôts, ainsi que les annonces répétées concernant l’assouplissement de la régulation financière ont – semble-t-il – fini de convaincre les plus sceptiques. Au fil des mois, le Dow Jones a battu des records absolus et continue à en battre aujourd’hui.
Le 3 décembre 2016, c’est une tempête de tweets qui s’est abattue sur l’Amérique et Donald Trump a vigoureusement mis en garde les entreprises américaines contre toute délocalisation à l’étranger, visant plus particulièrement le groupe Rexnord, qui voulait déménager son usine d’Indianapolis et ses 300 employés.
C’est bien à ce moment précis que la légende de Donald Trump s’est établie. L’opinion en a gardé l’impression que son intervention était magique et que son pouvoir de persuasion était illimité. « Il peut tout », « ça va changer », « ils ont peur de lui » sont quelques-unes des réactions qui ont été enregistrées et relayées par les journalistes dans leurs très nombreux reportages de l’époque.
Dès lors, aux yeux de beaucoup, conformément à ses promesses, ce président allait pouvoir rapatrier emplois et capitaux aux États-Unis. Au bout de six mois de mandat, les Américains semblaient penser que Trump avait déjà réussi puisqu’ils étaient 69 % à déclarer que le pays se portait bien et qu’ils avaient confiance que cela allait continuer ainsi. Pourtant, sa cote personnelle ne bougeait pas.
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UNE RÉFORME FISCALE MENÉE AU PAS DE CHARGE
Au même moment, les entreprises annonçaient des bonus très généreux vis-à-vis de leurs employés : parfois jusqu’à 1000 dollars par personne. Mais, paradoxalement, la cote de popularité du président ne bougeait toujours pas.
La grande réussite de Donald Trump a été indéniablement de pouvoir conduire une réforme fiscale en quelques mois à peine : en moins d’un an, il a ainsi pu imposer et faire voter ses propositions de baisses massives des impôts, tant pour les entreprises – dont le taux d’imposition a été ramené de 35 à 21 % – que pour les ménages.
Ces baisses d’impôts, décidées en un temps record dans le cadre de la plus grande réforme fiscale jamais menée aux États-Unis, ont fait extrêmement peur aux démocrates, car son impact politique pouvait se révéler destructeur : « Les baisses concernant l’impôt sur le revenu bénéficient en priorité aux plus riches », ont alors claironné les opposants à Donald Trump. Et d’insister sur le fait que ce sont eux, les riches, qui payant le plus d’impôt seraient le plus impactés par la baisse annoncée.
Trump a donc fait un pari fou, espérant ainsi doper la croissance au-delà des 3 %. Adoptée formellement par le Congrès, le 19 décembre 2017, la réforme fiscale a été le « plus beau cadeau de Noël qui soit pour les Américains », selon la formule trouvée par le président des États-Unis lui-même, transformée en maxime, tweetée et retweetée.
DES DÉMOCRATES INAUDIBLES
Il est vrai que cette réforme était particulièrement ambitieuse, prévoyant une baisse des impôts de quelque 1456 milliards de dollars. Les démocrates se sont empressés de critiquer ce trou dans le budget, qui alourdit immanquablement la dette du pays et qu’il faut assumer sur la période 2018-2027. Mais qu’est-ce que la dette nationale pour un Américain moyen dans son quotidien ? Les démocrates sont vite devenus inaudibles sur ce sujet.
Des spécialistes de l’économie sont certes montés en première ligne pour expliquer qu’en raison des contraintes structurelles liées au vieillissement de la population, d’une main-d’œuvre de plus en plus réduite et d’une croissance de la production ralentie, il serait très difficile, voire impossible, d’atteindre l’objectif de 3 %, ou encore des 4 % de croissance du PIB évoqué par Donald Trump. En effet, les baisses d’impôts risquaient de provoquer, à très court terme, une hausse des taux d’intérêt et une relance de l’inflation, qui ralentiraient alors mécaniquement la croissance du pays.
Les anti-Trump ont retenu que les baisses d’impôts risquaient de ne pas être si bonnes que cela pour l’économie. Et le Parti démocrate a persisté dans sa stratégie à combattre les réformes engagées par Donald Trump en jouant sur l’émotion, grandement aidé par des économistes de renom n’adhérant pas aux solutions préconisées par le 45e président. Ainsi, l’économiste et prix Nobel Paul Krugman avait signé une tribune dans le New York Times dès le 9 novembre 2016, dans laquelle il prédisait une récession à venir dans les prochains mois, causée par Donald Trump et sa politique.
C’EST TOUJOURS L’ÉCONOMIE, IDIOT !
Ce faisant, ils ont tous joué un jeu dangereux car la liste des promesses tenues par Donald Trump n’a cessé de s’allonger et a mis dans l’embarras ses opposants les plus virulents. Et peu à peu, de plus en plus d’Américains se sont dit que Trump n’était pas simplement un clown, comme on le leur avait répété pendant des mois, mais qu’il développait un programme, d’abord emprunté au Tea Party, avant d’être calqué sur celui des groupes conservateurs et des évangéliques. Mois après mois, les chiffres n’ont cessé de s’améliorer, bluffant tous ses opposants.
De fait, son plan à base de dérégulations, de baisses massives d’impôts et des charges et de réindustrialisation a fonctionné : plus de cinq millions d’emplois ont été créés dans les deux années qui ont suivi son élection, dont encore 244 000 le mois dernier (alors que les analystes tablaient encore sur 160 000). Le chômage est tombé en dessous de 4 %, soit le plein-emploi. Un tel résultat n’avait pas été enregistré depuis la fin des années 1960 aux États-Unis.
Donald Trump a aussi, entre-temps, renégocié l’ALENA, le traité de libre-échange entre le Canada, les États-Unis et le Mexique, pour le remplacer par l’USMCA, un traité qui donne quelques avantages supplémentaires à son pays, certes limités, mais bien suffisants pour le faire apparaître comme un vainqueur.
Les chiffres de la croissance sont dans le vert aujourd’hui. Le PIB augmente plus que les analystes ne le prévoyaient pour atteindre 3,5 % en 2018, après une année précédente à 1,2 %. Il faut donc croire que Trump a réussi à relever son défi. Au second semestre de 2018, l’embellie a été telle que la croissance avait même atteint 4,3 % au second trimestre, faisant taire toutes les critiques sur les « maigres capacités » en matière économique de Trump.
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Les démocrates ont alors changé de sujet et se sont plus avantageusement repositionnés sur le terrain de la morale et des valeurs, qui leur a donné de nombreuses occasions de faire éclater leur courroux. Ils ont beaucoup reparlé du Trump « scandaleux », « brouillon », « incompétent », qui dégraderait la fonction présidentielle… On a aussi beaucoup reparlé de ses tweets.
TOUJOURS L’ÉCONOMIE… MAIS PAS SEULEMENT
La grande peur de tous les candidats démocrates alignés sur la ligne de départ dans la course à la présidentielle est pourtant bien de se retrouver écrasés par les questions économiques.
On ne le sait que trop : les ménages regardent d’abord leur pouvoir d’achat. L’économie est devenue un épouvantail dans cette campagne, que tous les observateurs surveillent en sachant qu’il s’agit bien du point fort de Donald Trump, lui permettant potentiellement d’être réélu pour un second mandat. Même le Washington Post ou le New york Times s’y mettent avec les mêmes inquiétudes exprimées dans leurs pages sur le sort du camp démocrate.
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Or l’hôte de la Maison Blanche n’en a pas l’air aussi convaincu qu’eux. Déjà en 2018, avec des chiffres aussi bons qu’aujourd’hui, Trump a choisi de pousser l’immigration comme premier thème de campagne. Cela a beaucoup surpris. Et il recommence aujourd’hui. En fin politicien, il sait que Barack Obama n’a pas été élu en 2008 puis réélu en 2012 pour ses promesses puis ses résultats économiques. Le premier président noir a soufflé un vent d’espoir avec son slogan sur toutes les lèvres en 2008 : « Yes we can ». Rien à voir avec l’économie. George W. Bush a quant à lui été réélu grâce à l’élan patriotique suscité par les attentats du 11 septembre 2001. L’économie, là encore, n’a pas joué le moindre rôle.
Ainsi, le vote est une construction subtile, qui ne s’adosse pas à une thématique unique, fut-elle économique. C’est bien ce qu’on appelle de la politique et que les uns et les autres ont laissé de côté pendant ces deux dernières années, aveuglés par le trumpisme, l’anti-trumpisme, et l’économie.
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DES ÉLECTEURS QUI ATTENDENT AUTRE CHOSE
Donald Trump semble à première vue bien placé pour gagner : il doit bien entendu parvenir à conserver jusqu’au bout le noyau dur de son électorat, qui se situe autour de 45 %, pour espérer aller chercher des indécis et passer la barre qui lui permettra d’être devant dans chacun des États qu’il convoitera en 2020, selon les règles électorales américaines. N’importe quel observateur admettra que c’est là quelque chose qui est largement à sa portée.
Mais pas grâce à l’économie ! Car, si on y songe un instant, ce n’est pas tant sur le terrain économique qu’il pourra faire la différence et gagner ces quelques points qui lui manquent : les résultats sont déjà là, et sa cote continue à invariablement stagner depuis de très long mois.
C’est donc bien que les électeurs qu’il lui faut séduire attendent autre chose. Tout le travail reste à faire, pour lui, comme pour les démocrates. Mais un constat semble d’ores et déjà s’imposer : ce n’est pas l’économie qui fera perdre ou gagner cette élection 2020.
Jean-Éric Branaa, Maître de conférences politique et société américaines (Paris 2 Panthéon-Assas), Auteurs fondateurs The Conversation France
Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original.
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mon sport matinal
consulter les perfidies des journaputes français a propos de Trump!
bon! il est vrai que ça devient lassant
mais pas pour ces ordures!
ils doivent palper pour chaque nouvelle vacherie
Je préfèrerais et de très loin Trump avec sa houpette rousse sous laquelle brille l’intelligence teintée d’une certaine rouerie, certes, mais mise au service de son pays, comme président plutôt que notre golden boy bouffi de suffisance qui n’avait pas plus de programme ou tellement et volontairement confus à présenter lors des présidentielles qui, contrairement à Midas, transforme en cendres tout ce qu’il touche, jusqu’à notre liberté d’expression.
C’est un régal.
Malheureusement, nous continuons à subir en France la tyrannie des suffisants et des minables.
Qui sera le Trump français, franchement, j’ai peur, si c’est Marine, le petit fondé de pouvoir qui pourrit la vie des français battra le rappel de tous les nuls qui nous on empoisonné l’existence pendant quarante ans et elle échouera une fois ce plus.
Ils nous referons le coup du barrage.
A moins que d’ici-là surgisse la perle rare patriote, honnête qui agira comme le catalyseur du retour de la France et des son peuple.
Pourtant Zemmour et Messiha sont brillants, mais Zemmour est plus un inspirateur qu’un candidat et Messiha à manqué le coche de l’élection législative reste un simple conseiller programmatique.
Marion Maréchal, n’a pas l’air non plus de vouloir y aller.
Pourtant la vague patriotique et anti mondialiste est, justement,… mondiale, Poutine, Trump, Orbàn, Salvini, Duharte, …la France fait penser à une sorte d’île qui va à contre-courant.
Bonjour ,
La France va à contre-courant du bon sens et de son identité trop de gens ne comprennent rien à l’envahissement des muzzs et à l’islamisation = arabisation pour les gros naïfs , pourtant de plus en plus grave de la société .
Pour les secouer nous avons besoin de politiques comme Salvini ou Trump qui parlent clairement sans détour fumeux .
Pour une fois je ne suis pas d’accord avec l’article ou plutôt avec l’universitaire qui est contre Trump .
Qu’est-ce que cela veut dire « éventuelle réélection » la photo pas terrible de Donald Trump et après une vidéo de Barack Obama , plus d’autres insinuations déplaisantes pour le Président des USA ?
Pour commencer je dirai que l’économie est le point fort de Trump et qu’il sera certainement réélu à cause de l’économie et SURTOUT de ses promesses électorales tenues au désespoir des démocrates dépités .
Les démocrates sont inaudibles n’est ce pas sur les questions économiques (cf l’article) Trump les a scotchés par son patriotisme économique .
En deux ans il a créé plus de 5.000.000 d’emplois ce qui n’existait plus depuis la fin des années 60 autant dire AVANT la crise économique mondiale .
Ce plein emploi a été fait sans faire venir d’immigrés ce sont les Américains FIRST qui bossent .
Bravo !
Quelle leçon pour la France des délocalisations et ses chômeurs plus les parasites qui vont être encore plus nombreux avec ce que le GVT va faire venir en 2019/2020 .
Si avec ça les gens ne comprennent toujours pas !
Donald Trump est vainqueur sur l’économie c’est ce qui intéresse d’abord les Américains , n’en déplaise à ses adversaires qui racontent n’importe quoi pour le dénigrer .
Je maintiens qu’il sera réélu les démocrates ayant montré leur nocivité pour l’Amerique .
Pouvez pas nous le prêter pour redresser la situation chez nous ?
J’aime beaucoup cet homme et d’autant plus quand je vois les visages de haine qui me sont adressés lorsque je dis mon admiration pour cet homme.
Merci pour cet article. J’aime Trump car il écrase magistralement tous les prétentieux car Trump est un communiquant agréable avec son esprit de synthèse redoutable combiné à la formule humoristique courte très parlante. Il aime son pays dans son incarnation des valeurs occidentales.
Et pendant ce temps en France notre salopard lui préfère laisser partir nos usine à l’étranger, car pour lui vaincre le chômage en France c’est de faire travailler les étrangers, comme Renault en Roumanie par exemple. De plus il fait rentré des milliers de parasites sur notre sol, qui gangrène nos usines dans le seul but d’y propager l’islam et qui laisse nos enfants sur le carreau puisque la place est prise par les envahisseurs.
En Amérique il y a un vrai président qui aime sont peuple et son pays et chez nous en France on a un faux président , une ordure qui n’aime pas son peuple ni son pays, qui à mis en oeuvre avec des collabos zélés la destruction de la France et qui préfère les envahisseurs étranger, qu’il reçoit même à l’élysée.
Alors oui je veux un Trump pour mon pays.
Notre « machin » qui nous sert de « Chef des tas », on peut leur offrir avant qu’il n’ait fini de tout détruire.
Et sans fleurs, ni même les bonbons au grand Jacques….
Mais surtout, qu’il ne veuillent surtout pas nous le rendre, même lorsqu’il aura trouvé assez de décérébrés pour le réclamer.
Au départ je ne l’aimais pas trop , mais je le préférais i finiment à ces démocrates que je détestais.
Maintenant je vois en lui un pragmatique qui est en train de sauver son pays et même la paix malgré la forte capacité de nuisance de l’Etat Profond.
Il est du même niveau que Poutine qui la précédé en partant de plus loin après les frasques désastreuse d’un Eltsine alcoolique.
En In de Modi, et même un Bolsonaro , un Duharte au Philipinnes, emboîte le pas, et c’est tant mieux.
Mon satisfecit n’est pas encore complet car il est encore obligé de jouer la comédie avec les saoudiens et les qataris, mais au moins il démontre une chose, le patriotisme aujourd’hui, et même un certain degré de nationalisme ce n’est pas, n’en déplaise à un Mitterrand, la guerre!
Bien au contraire.
Coup de génie, il prend à revers ses adversaires qui se ridiculisent de plus en plus sur maints sujets:
-il n’a jamais été ni raciste, ni sexiste: et vlan une Lorna Mahlock, noire, femme, générale , patriote et américaine nommée générale en chef du corps des US Marines.
-il ne se laisse instrumentaliser par aucun lobby, y compris ceux qui lui sont favorables: il donne des gages sans pour autant accepter l’engrenage(nous l’avons vu lors des mini bombardements sur des installations militaires syriennes préalablement évacuées, russes et syriens étaient avertis); entre deyx maux il a su choisir le moindre, pas d’état islamique en Syrie.
– il a eu raison de déchirer l’accord boiteux avec l’Iran , chef de file de l’autre islam, le chiite, mais sans pour autant engager des soldats et forces armées américaine dans une expédition contre un pays de 84 M d’habitants.
-idem avec la Corée du Nord
-idem avec le Vénézuela…
Les faucons mondialistes mangent leur chapeau.
Plus fort encore, en terme de politique intérieure, il commence à préparer de beaux effets boomerang sur la figures de ceux qui, bien plus compromis que lui ont essayé fe le mouiller dans l’affaire de tafic d’enfants dans laquelke un Jeffrey Epstein s’est fait, retour de Paris, prendre.Ça sent le roussi pour les Clinton.
-Les démocrates, n’ont cessé de mentir comme des ânes qui reculent (l’âne, symbole de leur parti)et commencent à se laisser prendre comme des moyches dans le pot de confiture 3t n’on plus que de maigres têtes de listes à lui opposer: des Biden, des Sanders, des Pelosi…
-On a voulu gaire de lui un Dr Folamour alors que cumulé le bilan guerrier et meurtrier de ses prédecesseurs, les deux Bush, un Clinton, un Obama en Irak, Afghanistan, Serbie, Afghanistan n’est guère reluisant.
Le seul qui peut lui être comparé est cet autre président républicain que l’on voulait faire passer pour un benêt dangereux avant lui: Ronald Reagan.
Comme Ronald Reagan(qui lui aussi ne s’est jamais lancé dans une coûteuse intervention extétieure, juste une petit invasion de la petite île de Grenade), Donald Trump est un maître à jouer et il a plutôt très bien joué sa partition.
Trump joue et fait déjouer ses adversaires avec un talent certain.
La paix durable ce sont les nations qui la construisent, pas les monstres idéologiques supranationaux, les Trump, Poutine, Duharte, Orbàn , Salvini, Modi, l’ont parfaitement compris.
France : vers un régime autoritaire ?
https://www.dreuz.info/2019/07/13/france-vers-un-regime-autoritaire/