Je souhaite faire une petite mise au point concernant la façon dont la presse (toutes formes confondues) nous parle de la situation actuelle dans Gaza.
Presse et organisations pro-palestines s’émeuvent du peu de pertes humaines côté israelien, comparé au nombre important de pertes civiles du côté palestinien.
Côté israelien, la sauvegarde de la vie humaine est la priorité – que ces vies soient celles de civils ou de militaires.
D’où la présence de très nombreux abris pour le public, des normes contraignantes pour la construction d’immeubles avec une pièce sécurisée ou sécurisable par logement, et la formation en permanence -par tsahal- de tous (civils, écoliers, lycéens etc…) à la sécurité passive et aux mesures de protection.
Le rôle de Tsahal est de protéger sa population, et l’armée fait son boulot.
En face, que voit-on ?
Des souterrains, des tunnels de contrebande etc… qui transforment la bande de Gaza en un gigantesque emmenthal.
Souterrains « tous usages », qui pourraient former autant d’abris possibles pour la population civile.
Ces abris -lors d’actions israeliennes- sont exclusivement occupés par les gens du hamas et des autres factions.
Les civils servent de boucliers jetables à usage unique (kleenex), afin de protéger les « héros » cagoulés planqués sous terre.
Pourtant avec tous les fonds récoltés -notamment de l’UE- les dirigeants de Gaza auraient pu financer des abris pour les civils, des systèmes d’alerte, structures (protégées) de soins etc…
Autre tout petit exemple, de l’état d’esprit « habituel » des uns et des autres.
Tsahal prévient (par téléphone etc…) les civils vivants dans une zone quelconque de l’imminence d’une action … mais a-t-on déjà entendu les responsables du hamas ou du hesbollah avertir des civils israeliens de telle ville ou de telle bourgade, de l’imminence de tirs de missiles dans leur direction ?
Dans une situation de conflit, personne n’est blanc comme neige – ce n’est guère possible.
Mais apparaît rapidement la distinction entre ceux qui s’efforcent de combattre tout en respectant (pour autant que cela soit possible) l’adversaire, et ceux qui laissent libre court à la barbarie.
Mandalay, responsable Résistance républicaine Belgique
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C’est impossible nous le savons bien, ils sont formatés dès le berceau dans la haine du juif et du chrétien, comment voulez vous changer cela, même si leur soi disant religion venait a disparaitre, je suis persuadée qu’il y aurait des suicides de masses un peu comme ces sectes qui poussent leurs adeptes jusqu’au bout de leurs limites, et qui une fois démantelées n’aurait plus aucuns repaires et ce serait la fin pour eux, on peut le voir comme ça, bien sur ce n’est qu’une opinion mais je crois que c’est un hypothèse plausible. En attendant Israël ne fait que se défendre, pas de pitié pour les terroristes du hamas qui se cachent dans les souterrains de gaza, belle preuve de courage en effet que de mettre en avant des civils hommes, femmes et enfants.
Peu importe les preuves tangibles que vous pourriez apporter, les muslmans ne veulent rien enttendre rien savoir, seul Israël est coupaple et il faut les venger à tout prix le sang des innocents et angeliques pauvres palestiniens.Ces même palestinniens qui inculque le venin de l antisemitisme depuis le landau jusqu’à la tombe.Ces terroristes qui sont vénérés comme des héros pour chaque mort juif, chant de joie, distrubution de petits gâteaux. Comment faire enttendre raison à des peuples musulmans labotis és et haineux.
J e suis tombé sur cette citation de Golda cruellement vraie
« »Nous pouvons pardonner aux Arabes de tuer nos enfants.
Nous ne pourrons jamais leur pardonner de nous forcer à tuer les leurs.
Nous aurons seulement la paix avec les Arabes que quand ils aimeront leurs enfants plus qu’ils nous détestent. » »
Golda Meir bien entendu ! U n bogue encore… Windows 8 est un scandale !
Petit complément utile à ce billet.
Alors qu’elle était 1er ministre d’Israel, Golda MEIR a déclaré ceci (citation rendue de mémoire, mais sans en altérer l’esprit) :
Nous pouvons pardonner aux palestiniens de tirer sur nos enfants.
Nous ne pourrons jamais leur pardonner de nous obliger à tirer sur leurs enfants.
Cette citation est loin d’être nouvelle, puisque Golda Meir s’est éteinte fin 1978.
Elle est superbe en effet et résume parfaitement la situation