Monsieur le Maire,
Cette lettre m’est inspirée par une grande colère et par beaucoup de tristesse.
Je suis né à Montluçon il y a trois quarts de siècle. C’est dans cette ville que j’ai passé mon enfance, avenue Jules Guesde, dans le quartier des Fours-à-chaux. J’ai fréquenté l’école publique Paul-Lafargue. J’ai fait mes études secondaires au lycée où j’ai eu, au nombre de mes professeurs, votre prédécesseur à la mairie, Jean Nègre, dont je garde un souvenir magnifique. Tous mes aïeux sont enterrés à Montluçon ou à Domérat
C’est à Montluçon que, à quatre ans, j’ai vu, pour la première fois, des êtres humains fracassés par un bombardement aérien. C’est là que j’ai assisté au triste spectacle de la « débâcle » : le défilé de pauvres gens, harassés de fatigue et de désespoir ; un groupe de misérables qui avaient trouvé refuge pour une nuit dans la cour de l’immeuble qu’habitaient mes grands-parents ; parmi eux, une femme qui touillait des vêtements dans une marmite sur un petit feu de bois : elle teignait ses vêtements en noir, car elle venait d’apprendre la mort de son mari soldat. C’est là que, quelques semaines plus tard, ma mère et mes grands-parents apprenaient que mon père était « mort pour la France » (encore une scène que je n’oublierai jamais). C’est là que j’ai vécu la guerre, avec la sensibilité si aiguë d’un gamin, apprenant, jour après jour, ce qu’était une ville occupée, une ville bombardée, une ville martyrisée, mais aussi une ville combattante (un des fusillés de la carrière des Grises était un proche de ma famille), puis une ville libérée…
Montluçon, une ville libérée. Donc, désormais une ville libre ? Je le croyais.
Et voici que son maire, sous le prétexte de préserver je ne sais quelle « harmonie » entre les citoyens, se couche devant l’islam, ce système politico-religieux dictatorial, expansionniste et guerrier, qu’il laisse construire une mosquée au sein de sa cité, qu’il donne son accord pour une deuxième. Une mosquée, c’est-à-dire un lieu de propagande, d’enseignement, de formation continue, un bureau d’état-civil, une mairie, un commissariat, un tribunal, éventuellement une prison ou une caserne… C’est tout ça, une mosquée ! En 1938, à Munich, fallait-il préserver « l’harmonie » à n’importe quel prix et, sous prétexte que les Allemands n’étaient pas tous nazis, qu’il y avait parmi eux des démocrates, laisser le champ libre aux chefs et chefaillons qui encadraient et mobilisaient les masses, aux chiens du parti qui, justement, pourchassaient sans relâche les opposants au sein de leur communauté ? Au moins, à l’époque, les républicains n’offraient-ils pas aux ennemis des démocraties des centres opérationnels sur notre territoire afin qu’ils puissent plus aisément y faire croître et prospérer leur idées mortifères.
Monsieur le maire, vous avez rejoint la troupe lamentable des grands patrons esclavagistes, des politiciens cyniques et gribouilles, des intellectuels aliénés ou aveugles qui, depuis quarante ans, livrent la France à un totalitarisme aussi redoutable que, hier, celui de Staline ou d’Hitler. Vous, successeur de Marx Dormoy, vous vous êtes mis au service d’une idéologie contraire à tous nos principes, à toutes nos traditions, à toutes nos valeurs. Vous vous êtes fait mercenaire d’une stratégie d’invasion. Ne savez-vous pas que les prétendus « religieux » (comme le dénommé Lamachi) qui encadrent, de plus en plus étroitement chaque jour, les communautés musulmanes et les manipulent considèrent que leur devoir le plus sacré – un devoir absolu, définitif, non révisable, non discutable, parce que commandé par Allah lui-même et, comme Lui, éternel – est de nous asservir, par tous les moyens, la ruse comme la guerre, l’argent comme le terrorisme, puis d’anéantir nos libertés, notre civilisation et jusqu’à notre honneur ?
Monsieur le maire, vos pas pourraient vous mener sur les traces de ceux qui ont flétri la France il y a soixante-dix ans. Les vaillants qui, alors, nous ont sauvés de la honte et de l’anéantissement leur ont fait payer leur trahison. Je ne demande rien de tel pour vous. Je me contenterai de souhaiter que, prenant conscience de votre ignorance ou de vos lâchetés (pour l’heure, je ne veux pas trancher), vous vous effaciez de la vie politique. Vous pourriez, par exemple, si vous avez été circonvenu en toute bonne foi, profiter de votre temps libre pour apprendre un peu ce qu’est l’islam. Peut-être, qui sait ?, ayant pris conscience des menaces qu’il représente pour les peuples européens, et, au premier rang, pour la France, rejoindrez-vous un jour les rangs des résistants.
René Marchand
Ancien élève de l’Ecole nationale des Langues orientales, licencié de langue et littérature arabe.
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Que dire… ? C’est vrai. Mais cette mouvance religieuse a 800 ans de moins que le christianisme. Elle est en pleine conquête du monde comme le christianisme des croisés l’étaient. Ils n’étaient pas moins barbares, non ?
Rien à voir pour au moins deux raisons :
– les textes de réference du christianisme (les Evangiles) sont amour paix pardon tolérance quand les textes de référence de l’islam sont haine violence, intolérance, punition… et les musulmans n’ont pas le droit de changer ces textes, ils doivent les respecter et les appliquer.
– les croisades obéissent à une nécessité historique reprendre le tombeau du Christ auquel les musulmans conquérants interdisaient l’accès aux chrétiens et défendre les populations chrétiennes (dont certaines étaient même là avant le christianime)
Une lettre qui porte haut le devenir de la France , écrite avec des mots justes et percutants et une classe que seul sait avoir Monsieur René Marchand.
« Les vaillants qui, alors, nous ont sauvés de la honte et de l’anéantissement leur ont fait payer leur trahison. Je ne demande rien de tel pour vous. » Et pourquoi non? Et pourquoi attendre?
« … si heureux de montrer que sa ville diffuse l’appel du muezzin, et que tout le monde vit « en bonne intelligence ». Je ne remets pas en cause l’intégrité des personnes qui visiblement croient à une harmonie possible. Je m’interroge sur le moment où les plus durs prendront… »
Non mon ami, mais les Français savent qu’ils ne peuvent rien dire bien qu’ils ne soient pas d’accord. Mais en privé sans risque, les langues se délient. Vivre en bonne intelligence n’est qu’une illusion pour un élu.
Merci pour cette lettre chaque mot en est si juste.
Pour cette lettre, Monsieur Marchand, un grand merci!
Peut-être faudrait-il envoyer une copie à plusieurs maires, celui du Puy-en-Velay par exemple, si heureux de montrer que sa ville diffuse l’appel du muezzin, et que tout le monde vit « en bonne intelligence ». Je ne remets pas en cause l’intégrité des personnes qui visiblement croient à une harmonie possible. Je m’interroge sur le moment où les plus durs prendront possession des lieux, quand la démographie aura fait son oeuvre, et alors, y aura-t-il de la pitié pour les infidèles? Nos élus sont incapables d’anticiper l’avenir, c’est pourtant pour ça qu’ils sont (en partie) payés…Parfois il s’agit de clientélisme pur ou de sottise.
Bien sûr, à chaque résistant/militant de l’utiliser au mieux et de l’envoyer à qui cela lui semble nécessaire
Bravo et merci Monsieur Marchand, oui, votre lettre est admirable et dit TOUT!
Je voudrais qu’elle soit publiée partout, lue par tous…
Je ne suis encore qu’un jeune homme de 17 ans, et pourtant je suis déjà rongé par la haine de cette religion primitive, noyée dans la violence, ce peuple de soumis qui s’en prennent aux femmes. Votre lettre est superbe et je suis de tout coeur avec vous. Chaque bon français doit faire parti de la résistance anti-islam. Vive la France!
Mon pauvre chéri, ne te laisse pas happer par leur spirale de haine car c’est aussi par cela qu’ils nous détruisent …..
Tout à l’heure, vers 21 h, je sors sur ma terrasse et j’entends la sempiternelle prière à fond, au lieu de piquer le énième coup de sang, j’ai chantonné très fort : mensonges … pipeau … hypocrisie …mascarade … prosélytisme … carnaval de Rio … etc. La diffusion a stoppé net. Ils savent que les choses changent et que la vraie France (pas celle du hongre oie) s’est remise à ronronner.
Dès que j’aurais enfin mon pass pour le forum des adhérents (depuis avril j’attends….) je t’apprendrai les boucliers protecteurs….
Courage mon gars, c’est toi l’avenir.
Magnifique lettre que je ne vais pas manquer d’envoyer à ce maire félon. On ne peut pas décemment croire qu’il ne cherche pas à abuser ses administrés quand il interdit l’usage du mot minaret et exige de le remplacer par surélévation.
Ecrivez, écrivez ….il en restera toujours quelque chose.
http://sitasecure.wordpress.com/2011/08/17/action-sita-ni-mosquee-ni-minaret-et-encore-moins-d%E2%80%99appel-a-la-priere-a-montlucon/
Monsieur René Marchand votre lettre est admirable.
Je suis heureux que vous l’ailliez faite et surtout su l’écrire.
Bravo.
Dire que vous arrivez à rester très courtois.