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8 Commentaires

  1. Bonjour Christine,
    je ne trouve plus la liste des abattoirs hallal,
    la rubrique “hallal” renvoie à une erreur

    • Désolée, il y a longtemps que nous ne l’avons pas mise à jour et les anciens fichiers ne s’ouvrent plus en effet, possible de trouver ça sur vigilance halal peut-être ???

      • oui, merci Christine,
        je l’ai trouvée chez Vigilance hallal, mais eux mêmes ne sont pas à jour. (en vacances sur la côte atlantique), un abattoir qui concerne le rôti que j’ai acheté ne s’y trouve pas,
        je leur ai laissé un mot

        • Voilà leur nouveau site complet , avec la liste des abattoirs, cela a terriblement évolué en nombre d’abattoirs halal, mettant en lumière l’avancée de l’islam sur tout le territoire français;

          https://suivezlecoq.fr/

  2. merci pour votre proposition ; mais je n’y crois pas : nous sommes quelques sites à mettre à disposition sourates, haddith-s et des analyses les concernant (voir les articles de Philippe Jallade chez nous) ; Sami Aldeeb a déjà publié plusieurs livres comme ceux que vous évoquez, diffusion confidentielle ; et quoi que nous fassions nous ne sommes jamais relayés par les medias. Sauf à avoir les moyens financiers (ce n’est pas notre cas) d’imprimer un livre et de le mettre dans les boîtes à lettres (et il sera peu lu de toutes manières), aucune chance. A Résistance républicaine nous avons quelques tracts avec des sourates que nous imprimons et distribuons régulièrement…

    • vous oubliez tout simplement que personne n’achètera par peur de se voir agresser ou tuer pour blasphème, les gens ne sont pas si courageux !

  3. Bonjour Mme Tassin,

    Merci pour votre message reçu ce soir. Voici un excellent article de B. Lugan, grand spécialiste de l’Afrique.
    Avec mes meilleurs messages.

    > Nelson Mandela : l’icône et le néant
    >
    > Posted: 06 Dec 2013 07:50 AM PST
    >
    > Communiqué de Bernard Lugan [1]
    >
    > (6 décembre 2013)
    >
    > Né le 18 juillet 1918 dans l’ancien Transkei, mort le 5 décembre 2013, Nelson Mandela ne ressemblait pas à la pieuse image que le politiquement correct planétaire donne aujourd’hui de lui. Par delà les émois lénifiants et les hommages hypocrites, il importe de ne jamais perdre de vue les éléments suivants :
    >
    >
    >
    > 1) Aristocrate xhosa issu de la lignée royale des Thembu, Nelson Mandela n’était pas un « pauvre noir opprimé ». Eduqué à l’européenne par des missionnaires méthodistes, il commença ses études supérieures à Fort Hare, université destinée aux enfants des élites noires, avant de les achever à Witwatersrand, au Transvaal, au cœur de ce qui était alors le « pays boer ». Il s’installa ensuite comme avocat à Johannesburg.
    >
    >
    >
    > 2) Il n’était pas non plus ce gentil réformiste que la mièvrerie médiatique se plait à dépeindre en « archange de la paix » luttant pour les droits de l’homme, tel un nouveau Gandhi ou un nouveau Martin Luther King. Nelson Mandela fut en effet et avant tout un révolutionnaire, un combattant, un militant qui mit « sa peau au bout de ses idées », n’hésitant pas à faire couler le sang des autres et à risquer le sien.
    >
    > Il fut ainsi l’un des fondateurs de l’Umkonto We Sizwe, « le fer de lance de la nation », aile militaire de l’ANC, qu’il co-dirigea avec le communiste Joe Slovo, planifiant et coordonnant plus de 200 attentats et sabotages pour lesquels il fut condamné à la prison à vie.
    >
    >
    >
    > 3) Il n’était pas davantage l’homme qui permit une transmission pacifique du pouvoir de la « minorité blanche » à la « majorité noire », évitant ainsi un bain de sang à l’Afrique du Sud. La vérité est qu’il fut hissé au pouvoir par un président De Klerk appliquant à la lettre le plan de règlement global de la question de l’Afrique australe décidé par Washington. Trahissant toutes les promesses faites à son peuple, ce dernier :
    >
    > – désintégra une armée sud-africaine que l’ANC n’était pas en mesure d’affronter,
    >
    > – empêcha la réalisation d’un Etat multiracial décentralisé, alternative fédérale au jacobinisme marxiste et dogmatique de l’ANC,
    >
    > – torpilla les négociations secrètes menées entre Thabo Mbeki et les généraux sud-africains, négociations qui portaient sur la reconnaissance par l’ANC d’un Volkstaat en échange de l’abandon de l’option militaire par le général Viljoen[2].
    >
    >
    >
    > 4) Nelson Mandela n’a pas permis aux fontaines sud-africaines de laisser couler le lait et le miel car l’échec économique est aujourd’hui total. Selon le Rapport Economique sur l’Afrique pour l’année 2013, rédigé par la Commission économique de l’Afrique (ONU) et l’Union africaine (en ligne), pour la période 2008-2012, l’Afrique du Sud s’est ainsi classée parmi les 5 pays « les moins performants » du continent sur la base de la croissance moyenne annuelle, devançant à peine les Comores, Madagascar, le Soudan et le Swaziland (page 29 du rapport).
    >
    > Le chômage touchait selon les chiffres officiels 25,6% de la population active au second trimestre 2013, mais en réalité environ 40% des actifs. Quant au revenu de la tranche la plus démunie de la population noire, soit plus de 40% des Sud-africains, il est aujourd’hui inférieur de près de 50% à celui qu’il était sous le régime blanc d’avant 1994[3]. En 2013, près de 17 millions de Noirs sur une population de 51 millions d’habitants, ne survécurent que grâce aux aides sociales, ou Social Grant, qui leur garantit le minimum vital.
    >
    >
    >
    > 5) Nelson Mandela a également échoué politiquement car l’ANC connaît de graves tensions multiformes entre Xhosa et Zulu, entre doctrinaires post marxistes et « gestionnaires » capitalistes, entre africanistes et partisans d’une ligne « multiraciale ». Un conflit de génération oppose également la vieille garde composée de « Black Englishmen», aux jeunes loups qui prônent une « libération raciale » et la spoliation des fermiers blancs, comme au Zimbabwe.
    >
    >
    >
    > 6) Nelson Mandela n’a pas davantage pacifié l’Afrique du Sud, pays aujourd’hui livré à la loi de la jungle avec une moyenne de 43 meurtres quotidiens.
    >
    >
    >
    > 7) Nelson Mandela n’a pas apaisé les rapports inter-raciaux. Ainsi, entre 1970 et 1994, en 24 ans, alors que l’ANC était “en guerre” contre le « gouvernement blanc », une soixantaine de fermiers blancs furent tués. Depuis avril 1994, date de l’arrivée au pouvoir de Nelson Mandela, plus de 2000 fermiers blancs ont été massacrés dans l’indifférence la plus totale des médias européens.
    >
    > 8) Enfin, le mythe de la « nation arc-en-ciel » s’est brisé sur les réalités régionales et ethno-raciales, le pays étant plus divisé et plus cloisonné que jamais, phénomène qui apparaît au grand jour lors de chaque élection à l’occasion desquelles le vote est clairement « racial », les Noirs votant pour l’ANC, les Blancs et les métis pour l’Alliance démocratique.
    >
    >
    >
    > En moins de deux décennies, Nelson Mandela, président de la République du 10 mai 1994 au 14 juin 1999, puis ses successeurs, Thabo Mbeki (1999-2008) et Jacob Zuma (depuis 2009), ont transformé un pays qui fut un temps une excroissance de l’Europe à l’extrémité australe du continent africain, en un Etat du « tiers-monde » dérivant dans un océan de pénuries, de corruption, de misère sociale et de violences, réalité en partie masquée par quelques secteurs ultraperformants, mais de plus en plus réduits, le plus souvent dirigés par des Blancs.
    >
    >
    >
    > Pouvait-il en être autrement quand l’idéologie officielle repose sur ce refus du réel qu’est le mythe de la « nation arc-en-ciel » ? Ce « miroir aux alouettes » destiné à la niaiserie occidentale interdit en effet de voir que l’Afrique du Sud ne constitue pas une Nation mais une mosaïque de peuples rassemblés par le colonisateur britannique, peuples dont les références culturelles sont étrangères, et même souvent irréductibles, les unes aux autres.
    >
    >
    >
    > Le culte planétaire quasi religieux aujourd’hui rendu à Nelson Mandela, le dithyrambe outrancier chanté par des hommes politiques opportunistes et des journalistes incultes ou formatés ne changeront rien à cette réalité.
    >
    >
    > [1] La véritable biographie de Nelson Mandela sera faite dans le prochain numéro de l’Afrique Réelle qui sera envoyé aux abonnés au début du mois de janvier 2014.
    >
    > [2] Voir mes entretiens exclusifs avec les généraux Viljoen et Groenewald publiés dans le numéro de juillet 2013 de l’Afrique réelle http://www.bernard-lugan.com
    >
    > [3] Institut Stats SA .

    • Merci à vous, Bernard Lugan dit et écrit des choses fort justes mais il ne peut empêcher que, quelles que soient les évolutions de l’Afrique du Sud, Mandela a eu raison de lutter contre ceux qui avaient envahi son pays et qui avaient fait une situation détestable aux siens. Les Français sont nombreux à être prêts à reprendre le flambeau de Mandela dans notre pays qui est de plus en plus dénaturé