Inde, djihad à la ricine, un médecin et deux autres musulmans arrêtés

►Inde : un médecin et deux autres musulmans arrêtés pour un complot terroriste lié au djihad à la ricine…

Times of India

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L’unité antiterroriste du Gujarat (ATS) a arrêté Ahmed Mohiyuddin Saiyed, un médecin de 35 ans originaire d’Hyderabad, ainsi que deux complices lors d’une opération antiterroriste menée dans plusieurs villes. Selon les autorités, cette opération a permis de déjouer un attentat planifié à la ricine visant divers sites en Inde. Saiyed a été intercepté près du péage d’Adalaj, sur la route Ahmedabad-Mehsana (Gujarat), et arrêté le 7 novembre. Ses complices, Azad Suleman Sheikh (20 ans) et Mohammad Suhail Mohammad Saleem Khan (23 ans), ont été interpellés dans le district de Banaskantha, au Gujarat.

L’ATS du Gujarat a arrêté trois musulmans originaires du même État pour avoir planifié des attentats terroristes en Inde -dire que le nouveau maire élu de New York, Zohran Mamdani, avait un jour déclaré qu’aucun musulman ne vivait dans cet État car Narendra Modi les avait tous tués !

Ces arrestations ont eu lieu suite à un renseignement qui a permis aux enquêteurs de découvrir un stock d’armes et de précurseurs chimiques destinés, selon l’ATS, à la production de ricine, un composé hautement toxique extrait des graines de ricin. Des responsables de l’ATS ont déclaré à la presse que Saiyed, diplômé en médecine et chirurgie (MBBS) en Chine, avait commencé à préparer de la ricine en se procurant les substances nécessaires et en menant des recherches chimiques. Les enquêteurs ont par ailleurs confirmé, grâce à l’analyse d’appareils mobiles et d’autres objets saisis, que Saiyed avait expérimenté l’extraction de ricine à partir de déchets de graines de ricin.

Saiyed était également en possession de deux pistolets, un Glock et un Beretta, d’une trentaine de cartouches et de quatre litres d’huile de ricin. Selon l’ATS, les informations récupérées sur le téléphone du médecin ont permis d’identifier et d’arrêter deux autres suspects originaires de l’Uttar Pradesh : Azad Suleman Sheikh, un tailleur, et Mohammad Suhail Mohammad Saleem Khan, un étudiant, accusés de fourniture d’armes et de soutien logistique. Il a également été établi que Saiyed était en contact avec des complices au Pakistan. Leur sinistre complot associait une menace à l’arme conventionnelle à une tentative d’attaque chimique.

La ricine est une toxine extrêmement puissante produite à partir de déchets de ricin, et elle est mortelle même en petites quantités si elle est ingérée, inhalée ou injectée ; les autorités soulignent que la possession ou la production de tels agents est considérée comme un acte de terrorisme en vertu du droit indien.

Dans un communiqué, l’ATS a décrit l’opération comme ayant une portée nationale. Elle a précisé que les suspects arrêtés menaient des recherches sur la manière de fabriquer des armes à partir de dérivés de ricin et de se procurer des armes à feu par des voies illicites, notamment par le biais de drones. La police collabore avec des laboratoires de police scientifique afin de déterminer l’ampleur de la production de ricine et de vérifier si des lots de cette toxine ont été fabriqués avec succès.

Les autorités confirment également que les trois suspects avaient effectué des repérages de plusieurs cibles potentielles à Delhi, Lucknow et Ahmedabad, et avaient observé les bureaux et les locaux de groupes hindous dans le cadre d’un plan plus vaste. Bien que l’ATS s’abstienne de toute confirmation, des articles de presse laissent entendre qu’ils auraient pu prévoir d’extraire de la ricine et de l’utiliser pour contaminer les sources d’eau potable et les offrandes (prasad) des temples de ces villes. L’ATS confirme toutefois l’existence de liens entre les djihadistes islamistes et un contact à l’étranger, identifié dans ses rapports comme « Abu Khadija », un agent basé en Afghanistan et soupçonné d’être lié à l’État islamique – Province du Khorasan.

►Bruxelles : un musulman fonce en voiture sur quatre policiers – VIDÉO

Voxnews

Et RTL : on en sait plus sur l’homme « déjà condamné pour des faits de violence »…

À présent, ils estiment, et à juste titre puisque c’est la démographie qui décide, que des quartiers entiers, et bientôt des villes entières, sont interdits aux policiers qu’ils considèrent comme des étrangers.

Bruxelles sous attaque : un migrant algérien clandestin tente de renverser quatre policiers – L’islamisation tue.

**Bruxelles, 8 novembre 2025** – Un cri de terreur retentit dans les rues de Schaerbeek, quartier bruxellois multiethnique, presque islamique, véritable creuset de migrants : un Algérien de 30 ans, sans papiers arrivé en Belgique quelques semaines auparavant, a tenté de renverser quatre policiers avec sa voiture, fonçant furieusement sur eux.

Islamico non vuole poliziotti nel ‘suo’ quartiere nella città ormai quasi islamica di Bruxelles e si lancia con l’auto contro di loro: pic.twitter.com/cB3gy1Jdz0

— CriminImmigr*ti (@CriminImmigratl) November 10, 2025

Les faits, confirmés par le parquet de Bruxelles, sont un véritable cauchemar : l’individu, connu des autorités françaises pour de multiples crimes violents et déjà expulsé de France, a ignoré les injonctions des policiers et a foncé droit sur leur véhicule, un acte qui s’apparente à un meurtre prémédité.

Arrêté et incarcéré pour tentative de meurtre, ce migrant, qualifié de « très dangereux », incarne un nouveau chapitre de la guerre silencieuse menée par l’immigration islamique incontrôlée : non pas un homme désespéré, mais un prédateur exploitant la porosité des frontières européennes pour semer la mort.

Les policiers, « profondément choqués », comme le rapporte RTL, sont miraculeusement indemnes, mais l’incident ravive l’inquiétude : en Belgique, avec plus de 800 000 musulmans et des quartiers comme Molenbeek grouillant de radicaux, ces « immigrés clandestins » ne fuient pas la pauvreté, mais répandent la haine djihadiste, comme les trois islamistes « français » arrêtés pour avoir planifié une reconstitution des attentats du Bataclan.

►Une star de TikTok kidnappée et brutalement exécutée par Al-Qaïda au Mali…

Une influenceuse de TikTok a été kidnappée et exécutée publiquement par des djihadistes d’Al-Qaïda au Mali.

Daily mail

Des djihadistes liés à Al-Qaïda au Mali ont kidnappé et exécuté une star de TikTok devant sa famille après l’avoir accusée de les filmer et de collaborer avec l’armée.

Mariam Cisse, qui publiait des vidéos sur la ville de Tonka dans la région de Tombouctou, au nord du pays, à ses 90 000 abonnés, a été abattue par des membres présumés du tristement célèbre groupe terroriste Jama’at Nasr al-Islam wal-Muslimin (JNIM) sur une place publique le 7 novembre. 

La nouvelle de sa mort a choqué le pays, dirigé par une junte militaire qui peine à contenir l’insurrection djihadiste qui le ravage depuis 2012.

Le Mali fait partie d’une série de pays africains qui sombrent dans le chaos.

« Ma sœur a été arrêtée jeudi [6 novembre] par les djihadistes », a déclaré le frère de Mariam, affirmant que la branche d’Al-Qaïda l’accusait d’« informer l’armée malienne de leurs mouvements ».

Mariam, connue pour soutenir publiquement l’armée en portant leurs uniformes dans ses vidéos, avait été emmenée hors de la ville lors d’une foire locale par plusieurs hommes armés.

Elle diffusait en direct sa journée à la foire au moment de son enlèvement.

Le lendemain, ils l’ont emmenée à moto à Tonka, où elle a été abattue sur la place de l’Indépendance, un lieu emblématique de la ville, a déclaré son frère, ajoutant qu’il avait été contraint d’assister à la scène depuis la foule.

Mariam publiait principalement des vidéos humoristiques et légères qui traitaient de problèmes sociaux et des dangers de vivre dans un pays instable.

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