Lettre ouverte à Keir Starmer, Premier Ministre du Royaume Uni

« Je contemple l’avenir et je suis rempli d’effroi. Comme les Romains, je vois confusément le Tibre écumant de sang » Virgile – Enéide

Monsieur le Premier Ministre,

Trois petites filles ont été lâchement assassinées à Southport et sept autres blessées. Devant l’horreur de cet acte, une partie de la population indignée est descendue dans la rue. Ils demandaient que vous et l’ensemble de la classe politique britannique agissiez enfin pour mettre un terme à l’immigration qui plonge votre pays dans le chaos.

Et qu’avez-vous fait ? Vous avez refusé d’entendre le cri de ceux qui demandaient légitimement justice. Vous avez laissé les manifestants se faire agresser par des hordes islamisées qui patrouillaient dans vos rues, parfois armées. Vous avez jeté l’opprobre sur tous ceux qui demandaient justice et la fin des folles politiques migratoires engagées par votre gouvernement et vos prédécesseurs, en lançant sur eux l’anathème de l’extrême droite. Vous avez lâché votre justice et votre police pour réprimer par la force ces Anglais justement révoltés. Vous en avez fait des criminels, alors qu’ils sont les victimes des politiques migratoires pratiquées depuis cinquante ans que vous avez soutenues. Vous avez même fait sortir de prison 500 détenus de droit commun pour enfermer les révoltés ! Quelle honte !

Ces méthodes dignes des pires régimes rappellent les moments les plus sombres de l’histoire de l’Europe. Elles sont indignes du Royaume-Uni qui se targue d’être le défenseur de la démocratie et de la liberté d’expression.

Ces atteintes ne sont pas nouvelles. Nous les avons déjà connues en 2018, lorsque Tommy Robinson avait été envoyé en prison pour avoir dénoncé publiquement le gang de musulmans qui avait violé et prostitué plus de 1400 enfants et jeunes filles à Rotherham. Comme aujourd’hui, la vérité gênait l’establishment. Il fut donc enfermé. Aujourd’hui, on lui reproche d’avoir diffusé un documentaire sur cette question. Il risque une nouvelle fois la prison. Est-ce bien normal ? Y-aurait il en Angleterre un délit d’opinion comme en Corée du Nord qui justifierait l’internement des opposants politiques ? Faut-il vraiment que l’on prenne le risque que monsieur Robinson soit assassiné en prison par des détenus musulmans ?

Letter to Mr Javid Traduction ici :Letter to Sajid Javid – Traduction

( Je n’ai reçu aucune réponse de ce ministre qui était pourtant un de mes anciens collègues de travail. Quelle honte !)

Faut-il vraiment s’étonner et s’indigner comme vous le faites qu’une partie du peuple britannique descende dans les rues pour demander de mettre un terme à l’immigration ?

Force est de constater que contrairement aux autres pays européens, ce courant d’opinion n’a aucun relais politique au Royaume Uni, ni au parlement, ni ailleurs, et que tout a été fait pour interdire aux élus d’exprimer ce sentiment anti-immigration qui est pourtant assez partagé dans la population. Est donc bien cela la démocratie ? Que sont donc devenues la Magna Carta, la Bill of right et la liberté d’expression ? Votre pays où j’ai eu l’honneur de résider de 1997 à 2014 est aujourd’hui méconnaissable et prend de plus en plus les couleurs des pires régimes autoritaires.

Vous et vos prédécesseurs ne pouvez prétendre ne pas avoir été prévenus des risques des politiques migratoires mises en place dans votre pays depuis près d’un demi-siècle. Car ce qui se passe aujourd’hui chez vous, était prévisible. Cela a même été prédit. Enoch Powell l’avait annoncé dans son discours de Birmingham prononcé le 20 avril 1968. Un discours connu sous le nom de discours des « fleuves de sang » (Rivers of blood), bien que l’expression « fleuves de sang » n’y soit jamais prononcée. « Je contemple l’avenir et je suis rempli d’effroi. (…) Comme les Romains, je vois confusément le Tibre écumant de sang (…). Dans ce pays, dans 15 à 20 ans, les Noirs domineront les Blancs (…). Nous devons être fous, littéralement fous à lier, en tant que nation, (…) J’ai l’impression de regarder ce pays élever frénétiquement son propre bûcher funéraire ».

Pour avoir osé le dire, il a été démis de ses fonctions, ostracisé, et sa carrière politique a été brisée. Comme le disait Chamfort : « en France, on laisse en repos ceux qui mettent le feu, et on persécute ceux qui sonnent le tocsin ». C’est visiblement aussi le cas en Angleterre et partout ailleurs en Europe. Aujourd’hui tout le monde peut constater qu’Enoch Powell avait raison et que ceux qui ont depuis dirigé l’Angleterre ont trahi leur pays en le livrant à une invasion migratoire sans précédent depuis la fin de l’empire romain. Et en toute connaissance de cause donc. Car qui pourrait maintenant croire que ce crime contre la nation britannique a été commis par ignorance ?

Peu après le crime de Southport, vous vous êtes engagé à protéger la communauté musulmane. Alors que c’est au sein de cette communauté qu’on voile les femmes, qu’on les bat, qu’on les excise, et qu’on les viole. Mais aussi d’où sont issus les pires terroristes de l’histoire de votre pays?  Auriez-vous oublié les terribles attentats de Londres du 7 juillet 2005, 56 morts et 784 blessés ? Pouvez-vous vraiment ignorer que les perpétrateurs de ces crimes étaient musulmans et encouragés par l’idéologie véhiculée par l’islam ? Est- ce en vous soumettant à leurs supporters et leurs frères de religion que vous rendez hommage aux victimes ? Et que dire des familles des trois petites filles auxquelles vous n’avez toujours pas daigné envoyer vos condoléances ? C’est aussi cette communauté de plus en plus organisée et vindicative qui n’a pas hésité à faire défiler ses éléments les plus radicaux dans les rues, frappant des Blancs en pleine rue au cri de « Allah U Akbar » pour intimider et montrer sa force. L’avez-vous dénoncé ? Non. Et avez-vous étendu votre protection aux anglais blancs de souche ? Encore non !

Que pensera la postérité d’une classe politique et d’un premier ministre qui prennent le parti de l’étranger et des criminels ? D’un gouvernement qui livre son pays à l’invasion de populations allogènes, le promettant à une mort certaine. L’histoire a jugé le maréchal Pétain et tous les dirigeants européens qui ont collaboré avec l’ennemi allemand. Il est probable qu’elle vous jugera aussi. Et je n’envie pas votre sort, car il y a peu d’exemples de traîtres dans l’histoire qui n’aient pas finalement payé leur crime. Tel sera sans doute le coût personnel de la politique que vous avez choisie pour préserver votre bonne conscience au mépris des intérêts fondamentaux de votre pays et de l’Europe.

Vous avez manqué au devoir de protection que vous devez au peuple britannique que vous avez trahi. C’est donc Enoch Powell qui aura le dernier mot de cette affaire. Malheureusement pour vous. Lui qui disait dans son discours prophétique : « La fonction suprême de l’homme d’état est de protéger la société de malheurs prévisibles (…) Je ne sais si la volonté populaire exigera ou obtiendra de telles mesures. Mais ce que je sais, c’est que se taire devant cette situation serait une trahison majeure ».

Enoch was right. Tommy Robinson is right. SHAME ON YOU !

Emmanuel Crenne
Conseiller Régional d’Occitanie (2015 – 2021)
Délégué Régional du parti Reconquête de mars 2021 à février 2022

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