Source de la capture d’écran ci-dessus avec les 2 « enquêteurs à charge » puisque payés par le think tank « destin commun » dont la raison d’être est « de mieux comprendre ces mécanismes qui nous éloignent les uns des autres, de faire émerger un chemin commun et de contribuer à unir nos concitoyens pour affronter ensemble les défis du temps présent« . C’est beau comme un camion…Raphaël Llorca, essayiste et expert associé à la Fondation Jean-Jaurès, et Laurence de Nervaux, directrice du think tank Destin commun.
En tout cas ils ne sont pas malins… leur problème est simple et avoué : Comment imposer des migrants en zone rurale ?. Le mot « imposer dit tout ». Qui a dit que nous étions dans une démocratie, qui interdit les référendums sur l’immigration et impose impitoyablement celle-ci à tout un peuple ?
Leur médiocrité n’a d’égale que leur mauvaise foi.
Où l’on apprend que l’échec de l’implantation du projet Horizons à Callac les a marqués, stupéfiés, rendus enragés… au point de rémunérer des chercheurs pour comprendre ou plutôt interpréter, on va y revenir.
Ce que nous, qui avons mené la bataille à Callac constatons, c’est que l’échec de Callac a eu comme conséquence que, sans renoncer à envahir la France profonde avec des migrants, ils ne communiquent plus, ne se lancent plus dans de grands projets soutenus médiatiquement, se contentant d’affréter des bus qui débarquent partout en France avec leur cargaison, à charge pour les maires de se débrouiller.
Et ils font un peu plus attention, moins de migrants que prévu à Callac (mais il y en a beaucoup trop malgré tout, et la petite ville, son école et ses rues changent…) ; à Saint-Brévin où la bataille a fait rage également, ils essaient de calmer le jeu en installant dans le Cada qui jouxte l’école plutôt des femmes et des enfants que des jeunes hommes seuls (pour le moment, histoire de faire retomber la tension). D’ailleurs, bizarrement, il se dit que nombre d’élèves de la dite école… auraient changé d’établissement, on se demande bien pourquoi…
Mais revenons aux conclusions des 2 zozos payés non pas pour comprendre mais pour changer le regard des Français sur les Résistants à l’immigration. Il y a le feu au lac, puisque les migrants arrivent chaque jour de plus en plus nombreux, que les nuisances, vols, viols, agressions faites par certains d’entre eux remplissent les rubriques « faits divers » des journaux. Il y a le feu au lac, puisque dans moins de deux mois les Français vont voter et les sondages sont clairs, le RN anti-immigration passe devant les immigrationnistes de Renaissance, de LR, des Insoumis, malgré des décennies de diabolisation.
Où nous découvrons que nous serions des pervers très doués parvenant à susciter « le sentiment de l’importation de la violence » (celle-là, elle est grandiose) pour faire peur au Français moyen et l’amener à voter pour des partis anti-immigration… qualifiés, bien sûr, d’extrême-droite.
« L’extrême droite place l’ancrage dans la ruralité au cœur de sa stratégie, avec les municipales de 2026 en ligne de mire, souligne Laurence de Nervaux. Les choses ne vont pas s’arrêter là » « Quand on arrive à susciter le sentiment de l’importation de violence généralisée dans cette France paisible, loin du chaos du monde, on finit par se dire qu’on n’est plus à l’abri nulle part, souligne Raphaël Llorca. D’un coup, le narratif des identitaires prend chair. »
M’est avis qu’ils nous confondent avec Macron le manipulateur, le menteur, l’injurieur, celui qui déteste les Français et n’a qu’une idée en tête, nous soumettre pour mieux nous faire disparaître. C’est bien lui, qui, depuis 7 ans, s’évertue à tenir les journaleux afin qu’ils ré-informent les Français dans son sens et qu’ils fassent peur à propos d’une extrême-droite vilipendée et fantasmée. Mais nous n’avons, quant à nous, ni les moyens financiers de Macron, ni l’aide de Mc Kinsey, ni 95% des medias publics à notre solde, ni la volonté de faire disparaître notre histoire, nos valeurs et ce qui ne sera bientôt plus qu’une ethnie, la nôtre, de la surface de la France.
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deux collabos à combattre, comme les autres
En automne 1945, il y en a d’autres qui regrettaient que leur tête soit apparues dans tout les journaux…
Ce n’est plus le narratif des identitaires qui prend chair, c’est le couteau dans la chair qui devient réalité, et contre ça nos deux Diafoirus ne peuvent rien même avec les meilleurs mots du monde, ils ont déjà perdu.
5 siècles d’occupation sexuelle maure et on a le résultat que l’on voit : « je joue au Blanc mais j’suis islamo à 100% » et si j’suis en france c’est pour ce faire. ». raphaêl ? un prénom politique glucksman vachement courant chez Nous dans le mondialisme anti Gaulois jusqu’à « l’arnault » et son no pasaran signifié en hispanique ça fait mieux pour écraser les gueux de dessus les pyrénées.
Dans le titre : démocratie ou démographie ?
pourquoi ça n’a pas fonctionné, parce qu’on en veut pas de tes migrants. Parce que les français n’en veulent pas. Sauf ou il y a des collabos inconscients et cons qui d’ailleurs commencent à déchanté, parce que la réalité leur saute à la gueule.
Si vous partagez cette excellente analyse de Christine sur le travail des ces deux collabos propagandistes de l’islam, faites-le leur savoir concrètement : IMPRIMER cet article et le leur ENVOYER par La Poste à leur adresse professionnelle publique, que vous trouverez sur
RAPHAËL LLORCA, https://www.jean-jaures.org/expert/raphael-llorca/ (adresse tout en bas à gauche)
Laurence de Nervaux, https://www.destincommun.fr/nous-contacter/nos-bureaux/
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Ils ne doivent pas installer des migrants (en plus ce ne sont pas des vrais réfugiés,mais des éconnomiques) en zone rurale:les vrais parisiens qui ne peuvent plus les supporter ont fui en province……..
Pourquoi les pro- migrants ont-ils tous des têtes à claques? Mystère…
Parce que ce sont des têtes à claques!
Bonjour,
Oui, c’est grandiose !!