Depuis quelques jours, c’est un peu la panique sur internet et surtout sur TikTok. Une épidémie de la « maladie X » se préparait-elle ? « Ça y est ça arrive, la pandémie arrive. Ce n’est pas moi qui le dis, c’est l’OMS qui nous prévient (…) Quelle va être cette pandémie ? Je ne suis pas Nostradamus. On parle d’une maladie X, ça fait déjà trois ans qu’on en parle, comme quoi tout est planifié d’avance », a déclaré un internaute dans une vidéo postée sur la plateforme.
La « maladie X » n’est qu’une menace hypothétique, mais le système de santé russe est prêt à y faire face. C’est ce qu’a déclaré le chef du ministère de la Santé Mikhaïl Murachko, rapporte RIA Novost
Comme l’a souligné le ministre, le système de santé peut s’adapter rapidement.
« Un certain nombre de programmes mis en œuvre aujourd’hui, qui permettent, entre autres, de renforcer la base de diagnostic, de développer rapidement des systèmes de test et de surveiller la morbidité, indiquent qu’il existe des opportunités », a souligné Murashko.
Le chef du ministère de la Santé a ajouté que tout était fait en Fédération de Russie pour que le pays soit préparé à des situations plus graves et à des épidémies de morbidité.
Plus tôt, les participants au Forum économique mondial de Davos ont discuté de la « maladie X », qui pourrait faire 20 fois plus de victimes que la pandémie de coronavirus, écrit la chaîne Telegram « Radiotochka NSN
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AVANT LE COVID on parlait déjà de la “MALADIE X” ; ils y travaillent, ils y travaillent sans relâche ; le COVID est-il passé devant cette maladie X ou n’était-ce qu’un exercice préparatoire ?
Au cours des dernières années, les épidémies se sont multipliées à la surface du globe. Zika, Ebola ou encore le SRAS, des pathologies suscitant la peur, mais qui sont pourtant considérées par les scientifiques comme les annonciatrices de maladies plus inquiétantes encore. Récemment, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a ajouté la « Maladie X » à sa courte liste des épidémies prioritaires regroupant les maladies dont le pouvoir de mortalité et de contagion les classe comme urgence de santé publique internationale.
Désigné sous le nom de « Maladie X », ce potentiel agent pathogène n’a pas encore été identifié par les scientifiques. Cependant, la menace imminente de son inévitable existence a conduit les chercheurs de l’OMS à l’inscrire sur sa liste des maladies prioritaires. Ce catalogue contient les quelques épidémies potentielles futures pour lesquelles aucune contre-mesure n’existe ou pour lesquelles les moyens thérapeutiques actuels sont insuffisants.
Comment une maladie qui n’a pas encore été découverte peut-elle représenter un danger aussi sérieux pour la santé publique internationale ? En réalité, le terme « Maladie X » est simplement un libellé pour une épidémie qui ne s’est pas encore déclarée, mais dont l’émergence est virtuellement inexorable. Bien que non-encore identifié, l’OMS prépare déjà un protocole d’urgence global de lutte contre ce futur pathogène.
« La ‘Maladie X’ représente la conscience que nous avons qu’une dangereuse épidémie mondiale pourrait être causée par un pathogène actuellement inconnu », expliquent les chercheurs de l’OMS. « Nos nouveaux plans de R&D visent explicitement à mettre en place un protocole transversal aussi efficace que possible concernant une potentielle « Maladie X » inconnue ».
Ces plans de R&D ont été initialement publiés en 2015 et sont mis à jour chaque année. Ils permettent de prioriser, en matière de santé publique internationale, les pathogènes émergents les plus dangereux à fort pouvoir épidémique et pour lesquels peu ou aucune contre-mesure médicale n’existe. Cette liste a subi une mise à jour majeure en février et contient désormais les maladies suivantes : fièvre hémorragique de Crimée-Congo, maladies à virus Ebola et Marburg, fièvre de Lassa, syndromes MERS-CoV et SRAS, infection à virus Nipah, fièvre de la vallée du Rift et fièvre Zika.
Cette année, l’OMS a donc ajouté la « Maladie X », anticipant ainsi officiellement l’émergence imminente d’un nouveau pathogène. En diffusant ainsi cette information au public et à la communauté scientifique, l’organisation espère que les laboratoires prendront la mesure de la menace et commenceront déjà à travailler sur des moyens thérapeutiques.
« L’Histoire nous enseigne que la prochaine grande épidémie sera quelque chose que nous n’avons encore jamais vu », explique John-Arne Rottingen, directeur du Conseil de la Recherche de Norvège et consultant à l’OMS. « Il peut paraître étrange d’ajouter un « X », mais nous voulons être sûrs d’être préparés, que ce soit en matière de vaccination ou de tests diagnostiques. Nous voulons voir apparaître des plateformes « plug and play » fonctionnant pour le plus large éventail d’épidémies possible ; c’est-à-dire des dispositifs qui nous permettront de créer des contre-mesures rapides et efficaces ».
https://trustmyscience.com/maladie-x-pourrait-etre-prochaine-epidemie-mortelle-globale/
ÉTONNANT à plus d’un titre. Des questions se posent.
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■ La «maladie X» de l’OMS, la fausse épidémie qui affole internet | 7/06/2023
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► En réalité, cette « maladie X » n’est pas un virus fabriqué et prêt à frapper comme certains internautes le pensent, mais juste une hypothétique maladie pour analyser les capacités de réaction des États. Au journal 20 Minutes, l’OMS explique que cette maladie « représente la connaissance qu’une épidémie internationale grave pourrait être causée par un agent pathogène actuellement inconnu pour provoquer une maladie humaine ». Rien de grave donc et surtout pas de panique, la « maladie X » n’existe pas, elle est en réalité un outil pour mesurer le potentiel de réaction des états face à une épidémie.
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La maladie X n’a pas été identifiée, car, en réalité, les labos ne l’on pas encore mise au point.
Néanmoins, les chercheurs travaillent d’arrache-pied dans le monde entier pour créer une souche tueuse, qui pourra foudroyer les trois quarts de la population mondiale.
Cette souche s’échappera sournoisement d’un laboratoire quand elle sera au point.
Les USA qui ne respectent pas les conventions internationale ont 13’000 scientifiques qui font de la recherche en armes biologiques, en particulier recherches de gain de fonction.
Elle est SURTOUT un outil futur pour museler toute forme de contestation avec des mesures coércitives à l’encontre des récalcitrants.
A bon les apprentis sorcier ont encore échappé (peut-être volontairement) un virus fabriqué par eux.
Et à maladie X, il y aura déjà le vaccin X tout prêt…
c’est quoi ça…..
Oui ; ils sont déjà dans les cartons.
C’est ce qui est étonnant et met un peu plus la puce « dans » l’oreille.