Voici venu le temps des gros boniments ; dans l’île aux bobards, c’est tous les jours le Véran

RENCARD AVEC LA NATION

 

Lorsqu’il aura achevé son sabordage national et que la France aura été coulée le cul tourné à Bruxelles, le capitaine de radeau arborant à sa proue la septante méduse, retournera à ses premiers amours théâtraux.

Reprenant ses classiques, hors du champ démocratique qu’il aura mis à bas, le Mozart d’opérette reconverti en Molière des « Deux ânes », pourrait remonter sur les planches non pourries, celles qui ont échappés à la vermine dont il est le germe.

L’œuvre exceptionnelle et culturelle Française existant bel et bien, elle sierra à merveille pour mater  le pédant et ses sbires, auxquels on associera volontiers les titres les plus célèbres.

  • Le malade imaginaire
  • Le Tartuffe
  • Les précieuses ridicules
  • Les fâcheux
  • L’impromptu de Versailles
  • Les fourberies de Scapin

Et,  rien que pour le titre : Monsieur de Pourceaugnac.

.

Notre éminent Molière de son vrai prénom Jean Baptiste, servi d’un patronyme de circonstance, ne prendra qu’une pelletée pour enterrer une décennie de tourments.

Déchu par ses impairs, l’assoiffé de pouvoir, n’aura pas le goût d’étancher sa pépie infectieuse, au goulot merveilleux de La Fontaine royale.

Ne lui restera plus qu’a tâter du septième art, celui des séries B ou des comiques illusoires à fonds de ricanements :

Il pourra à loisir être « Seul sur Mars » héros d’une énième version de « La vérité si je mens » pour finir lassé et qu’enfin il se résigne dans un remake de Woody Allen « Prends ta vieille et tire toi »

L’ode à la joie, choisie en hymne d’un empire utopique dont il espère faire son royaume, déshonore l’œuvre de Ludwig Van le génie, le seul trône sur lequel il resplendi, est l’orée d’un méandre s’échouant en station non pas balnéaire, mais purifiante.  

Que la Marseillaise ne soit plus salie par ceux à l’aisselle fétide qui la crachent, s’il veut un hymne qu’il prenne celui-ci.

Voici venu le temps

Des gros boniments

Dans l’île aux bobards

C’est tous les jours le Véran

 

C’est l’pays macronneux

Des menteurs vicieux

Des Dupont gentils

Oui c’est la macronnie

 

Ce jardin

N’est pas loin

Car il suffit de l’ immigration

Pour que tout

Tout près de vous

Poussent ses CRA, où fleuri l’invasion

 

Voici le temps… (refrain)

 

Si seulement

Les votants

Avaient envie de virer le puéril

Tout serait

Beaucoup plus gai

Et surtout beaucoup moins islamisé

 

Voici le temps

Alexis

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1 Commentaire

  1. Iago, un rôle qui lui irait comme un gant. Pourceaugnac aussi, sans le gnac de fin.

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